Pas encore…Afin de disposer de plus de temps il a acceptĂ© son invitation Ă dĂ©jeuner. Lorsqu’il arrive, vers 10h30 elle est occupĂ©e Ă prĂ©parer le cafĂ©.Il se place derrière elle et l’entoure de ses bras. Ses bras sont croisĂ©s sur ses seins. Il dĂ©pose de petits baisers sur ses cheveux puis dans le cou. Ses mains emprisonnent ses seins. Elle frissonne, ses jambes flageolent, mais elle persiste Ă finir le cafĂ©.C’est doux, troublant, de le sentir contre son dos. Ses gestes deviennent de moins en moins sĂ»rs. Elle rejette la tĂŞte en arrière et la cale tout contre lui. Il rattrape de justesse la cafetière pleine, la pose. Il lui caresse les seins de plus en plus fort. Elle roule sa tĂŞte de gauche Ă droite. Ils respirent de plus en plus fort. L’odeur du cafĂ© s’insinue fortement, c’est agrĂ©able. Il lui prend les mains et les attirent vers l’évier. Elle comprend et s’y agrippe. Elle sent son sexe dur contre elle. Il lui dĂ©boutonne le pantalon, fait glisser la fermeture. Le pantalon tombe. En trois gestes elle s’en dĂ©barrasse. Comme il lui avait demandĂ© elle n’a pas de dessous…Il prend un peu de recul, soulève son pull et regarde sa main qui entre et sort de son entrejambe. Ses doigts s’infiltrent dans son vagin, ressortent et suivent la fente de ses fesses. Il lui masse les fesses, une main pour chacune. Ses pouces font de petits ronds et se rapprochent de plus en plus l’un de l’autre. D’un coup il lui ouvre les fesses, se penche et lèche le petit trou. Elle gĂ©mit de plus en plus fort, dirige sa main vers son sexe et entreprend de se caresser. Il l’empĂŞche. Trop tĂ´t pour faire l’amour, il rabat le pull et lui demande oĂą sont les tasses Ă cafĂ©. Elle se retourne et l’embrasse fougueusement un long moment. Il se presse contre elle. Les jambes enlacĂ©es, elle sent son sexe dur sur sa cuisse. Elle se ressaisit et prend les tasses…Assis sur le canapĂ© ils savourent leur 100% arabica accompagnĂ© d’un carrĂ© de chocolat. Ils ont chacun une main posĂ©e sur la cuisse de l’autre. Ils se sourient, se donnent de petits baisers entre deux gorgĂ©es de cafĂ©.Soudain, elle se met Ă genou et le pousse contre le dossier. Tout en lui dĂ©boutonnant son pantalon elle lui dit : « laisse-toi faire, ta queue doit ĂŞtre toute comprimĂ©e ».Les deux mains sur la nuque il se laisse faire… « Regarde ma queue comme elle bande, suces-la ma belle, suces-la».Toujours Ă genou, elle se penche et lui donne un grand coup de langue de bas en haut. Et d’un coup la met toute dans sa bouche. Elle remonte doucement tout en serrant ses lèvres… Il gĂ©mit que c’est bon. Il lui quitte son pull et lui caresse les fesses d’une main, son autre main caresse sa chevelure bouclĂ©e. Il sent ses seins libres frotter contre sa cuisse. Il ferme les yeux et savoure ce moment.Après avoir suçotĂ© un moment son gland, elle empoigne sa queue Ă la base et commence Ă le branler doucement tout en le suçant de plus en plus loin. Les mouvements sont de plus en plus rapides, elle le sent se raidir et ralentit. Il a une profonde respiration et dit : « arrĂŞte ! C’est trop tĂ´t, pas encore… ».C’est l’heure de dĂ©jeuner, au menu il y a du saumon fumĂ© et des toasts, une salade d’endives, des raisins en dessert. Il se dirige vers la table. Les chaises en paille sont recouvertes de coussins. Parfait, il dĂ©cide de rester en liquette. En la regardant se diriger vers la cuisine, il se demande si elle restera nue pendant le dĂ©jeuner. La rĂ©ponse ne tarde pas. Elle revient vĂŞtue d’un tablier. Le dos nu, seul un nĹ“ud ballotte sur ses fesses. Le devant est couvert, mais les seins tentent de s’échapper de chaque cĂ´tĂ© du carrĂ© de tissu. Cela suffit Ă le maintenir en Ă©tat de bandaison.Cette pause dĂ©jeuner est particulièrement dĂ©tendue. Il s’avère ĂŞtre un convive drĂ´le. Elle est enchantĂ©e, conquise.De retour au salon ils prennent un second cafĂ©. Elle se montre plus intrĂ©pide. Un genou de chaque cĂ´tĂ© de ses cuisses, elle lui fait face ; Lui dĂ©boutonne sa chemise, l’en dĂ©barrasse. Elle glisse doucement ses mains froides sous son tee-shirt et s’aperçoit qu’il en a deux. Il s’est souvenu qu’elle lui a demandĂ© de lui en donner un avec son odeur. Elle dormira avec et imaginera passer la nuit avec lui. Son souvenir sera plus prĂ©sent.Tee-shirts et tablier envolĂ©s ils se font face, nus. Il entreprend de lui caresser les seins, les malaxer de ses mains puissantes. Elle gĂ©mit, ses lèvres s’entrouvrent, frĂ©missantes. Son regard se voile. Il met tour Ă tour ses tĂ©tons dans sa bouche, les suces… elle râle. Son bassin bouge, son pubis lui caresse le sexe. Petit Ă petit les lèvres s’ouvrent, il sent sur sa queue sa chatte trempĂ©e. Le mouvement est de plus en plus rapide. Les lèvres se sont ouvertes. Elle branle son clito contre son sexe dur. Il gĂ©mit aussi, doit arrĂŞter de lui sucer les tĂ©tons pour reprendre sa respiration.D’un mouvement du bassin, il glisse son sexe dans sa fente, trouve son fourreau et entre d’un coup. Ils gĂ©missent Ă l’unisson, restent un moment ainsi, sexes enfin rĂ©unis. Elle remonte lentement le long de sa colonne en serrant ses muscles vaginaux, comme il lui a apprit. Redescend tout en gardant ses muscles tendus, remonte… Il ne maĂ®trise plus rien… toute son attention est dirigĂ©e vers le plaisir qu’il ressent. Il se laisse aller Ă cette extase, il va bientĂ´t jouir… « Non chĂ©ri, pas ici… montons dans ma chambre »…Ils montent l’escalier main dans la main. Galant il la suit. Son regard se porte vers ses fesses qui frottent l’une contre l’autre Ă chaque pas. Devinant son regard elle gravit les marches deux par deux, provocant des mouvements plus amples. L’espace de quelques secondes il voit ses fesses Ă©cartĂ©es, une partie de sa chatte poilue…ArrivĂ©s dans la chambre ils se font face. Se scrute du regarde. Leurs corps chauds et doux se touchent. Leurs bouchent se cherchent, se trouvent pour un long baiser passionnĂ©. Taquin, il avance petit Ă petit jusqu’à ce qu’elle bute contre le lit. DĂ©sĂ©quilibrĂ©e elle s’assoit puis s’allonge. Il se met Ă genoux, caresse sa motte. Elle remonte ses jambes, les appuies sur ses Ă©paules, s’en sert pour l’attirer vers elle. Après avoir lĂ©chĂ© sa fente, aspirĂ© son clitoris, il insère un puis deux doigts en elle. Elle se cambre, sa tĂŞte roule de gauche Ă droite. « ChĂ©ri, chĂ©ri, prends-moi, je n’en peux plus, viens en moi » « Non, pas encore ma chĂ©rie… ».Il la retourne, se lève et va chercher un flacon aperçu en entrant. Il l’ouvre, verse un peu de son contenu odorant dans ses mains et commence Ă lui masser le dos. Les paumes appuient sur les cĂ´tes pendant que ses pouces font de petits mouvements circulaires le long de sa colonne vertĂ©brale. Il redescend en une douce caresse. Elle se laisse aller… son corps se dĂ©tend, ses fesses s’ouvrent. Il continu son massage sur ses fesses un moment, puis insère trois doigts dans son vagin. Elle aime et lui dit. Il caresse sa raie Ă l’aide de ses doigts mouillĂ©s, entre un doigt dans son anus. Elle ne se contracte pas, ses fesses ont un mouvement vers son doigt comme pour l’avaler. EncouragĂ© il glisse un second doigt. Elle gĂ©mit.Il bande tellement qu’il ne se souvient pas d’avoir vu son sexe aussi grand. Son gland touche son anus. Doucement il entre son bout, puis la moitiĂ© de sa queue. Elle crispe ses doigts sur l’oreiller ; s’appuie sur ses genoux pour remonter son bassin. Il la pĂ©nètre Ă fond. « C’est bon, oh oui, c’est bon ». Il avance, recule en elle de plus en plus vite…Elle dirige sa main vers sa chatte. Son clito est Ă©norme, elle ne l’avait jamais senti aussi gros. En quelques mouvements Ă l’aide de ses doigts elle atteint vite le plaisir. Un plaisir qui se prolonge, un plaisir intense. Elle crie. « Oh oui, oui chĂ©ri ». L’orgasme contracte son vagin ainsi que son anus. Il sent les contractions contre son sexe. Il crie Ă son tour. « Oh oui c’est bon, oh oui chĂ©rie ». Son sexe se libère en saccades de son sperme si longtemps retenu. Cela semble ne plus pouvoir s’arrĂŞter…