Paty et PhilChapitre 3 : De surprise en surpriseJe venais de rentrer de mission et nous avions décidé de nous faire un petit resto grec sympa, situé à quelques minutes de chez nous. Rien de tel en effet, pour fêter la Saint Valentin, qu’un bon repas en tête-à -tête, copieusement arrosé d’un apéro, d’une bouteille de vin rouge Néméa et de deux pousse-café. De retour dans notre nid douillet, et confortablement installés sur le divan du salon, nous sirotions un verre en cherchant désespérément un programme TV digne d’intérêt. Patricia, pelotonnée au creux de mes bras, les jambes allongées sur le fauteuil, me dit :— Tu sais, pendant que tu étais en mission, il m’est arrivé deux aventures assez coquines. La première, je préfère ne pas t’en parler maintenant, car cela gâcherait ma surprise. Je te la raconterai plus tard, mais quant à la seconde, elle date de jeudi et je suis certaine qu’elle va sûrement aiguiser ton appétit.* * * * *J’ai cassé le talon de ma chaussure au boulot, heureusement c’était en fin de journée, et comme le shopping center était ouvert jusqu’à 20 heures, j’y suis allée après le travail. Voyant une belle paire dans une vitrine, je rentre pour l’essayer. Le magasin est désert car il reste à peine dix minutes avant la fermeture. Seule la gérante était encore là , une jolie femme brune avec un chemisier en dentelle saumon et une jupe marron, assez courte d’ailleurs. Malgré l’heure tardive, elle accepte de s’occuper de moi mais, vu l’heure, elle préfère fermer la porte pour être certaine de ne plus voir entrer d’autres clientes.Pendant qu’elle me passe les chaussures aux pieds, mon regard se pose sur l’ouverture de son chemisier qui laisse entrevoir deux globes charnus à souhait. Depuis mon expérience avec Sylvie, il est vrai que les femmes ne me laissent plus indifférente et je la trouvais décidément très appétissante. Tout en discutant et en essayant différentes paires qu’elle me propose, je remarque que sa jupe est remontée petit à petit sur ses cuisses. Je peux maintenant apercevoir entre ses cuisses un joli slip rose. Ma chatte commence à mouiller tant elle me fait envie.Hésitante, je demande à essayer une autre paire. Pendant qu’elle est partie dans l’arrière-boutique, j’en profite pour ôter ma culotte et la mettre dans mon sac. Revenue, elle s’agenouille à mes pieds et j’en profite pour écarter légèrement les cuisses pendant qu’elle me passe les chaussures aux pieds. Tout à coup, son regard se trouble et elle lève les yeux vers moi. Rien ne trouble le silence mais nos yeux se parlent. Pendant que je lui souris, sa main quitte mon pied et remonte lentement le long de ma jambe pour s’insinuer délicatement entre mes cuisses. Son doigt atteint mon buisson et se glisse entre mes lèvres trempées. De son doigt, elle agace mon clitoris, ce qui déclenche en moi des ondes de plaisir. Sa jupe est remontée haut sur ses cuisses et je peux voir une tache sombre qui humidifie son slip. Elle se lève et m’entraîne par la main dans l’arrière-boutique.Sans attendre, elle me plaque contre le mur et m’embrasse à pleine bouche. Nos langues tournent l’une sur l’autre et nos dents s’entrechoquent. Tandis que nos salives se mêlent, elle glisse sa main sous ma jupe et enfonce deux doigts dans ma chatte inondée. Mes mains malaxent ses seins et pincent ses tétons durcis. Ses mains s’attaquent maintenant à mon chemisier qui tombe rapidement sur le sol, rejoint presque immédiatement par ma jupe. Mes seins sont durs d’envie et c’est avec soulagement que je la sens défaire mon soutien-gorge. Je suis maintenant nue devant elle et à mon tour je la déshabille fébrilement. Sans lui enlever son slip, qui est maintenant trempé, je l’allonge sur la moquette tout en l’embrassant tendrement. Mes doigts se promènent sur sa chatte et je sens son jus qui coule sur ma main au travers de sa culotte.Contournant l’élastique, mes doigts s’insinuent sous le slip et pénètrent dans sa chatte. Sa grotte est chaude et onctueuse et mes doigts s’agitent, tournent et s’enfoncent plus profondément. Elle crie de plaisir et tandis que nos regards sont fixés l’un à l’autre, je retire mes doigts inondés de son jus et les porte à ma bouche. Lentement, je les suce en savourant la liqueur qui les recouvre. Me laissant glisser au sol, ma bouche s’approche de son buisson et mes mains font glisser son slip détrempé que je lui enfonce doucement dans la bouche en lui disant :— Tiens, suce-le et goûte-toi, c’est tellement bon.Sans plus attendre, ma tête s’insinue entre ses jambes et ma bouche se colle à sa source. Ses jambes s’écartent et elle s’offre à moi tout en attirant mes jambes vers sa tête.Étendues l’une sur l’autre, tête-bêche, ma langue glisse de son clitoris à sa chatte détrempée qu’elle lape pour y recueillir la liqueur qui s’en écoule tandis que mon index s’égare entre ses fesses pour s’enfoncer dans son œillet brun. Elle pousse un cri de plaisir et enfonce sa langue au fond de moi à la recherche de mon jus. Sa langue tourne dans ma grotte et je sens le plaisir qui monte dans mes reins. Mon doigt s’agite de plus en plus vite dans son cul et je pince son clito entre mes lèvres jusqu’à ce que nous explosions ensemble dans un même cri.* * * * *Le récit de Patricia s’achève, ma main a discrètement remonté sa jupe et s’est égarée entre ses cuisses.— Il me semble que je ne suis pas le seul à être en appétit, ta culotte est trempée, ma chérie. On dirait presque que tu as fais pipi dedans.Ses yeux se fixent aux miens et elle me murmure à l’oreille :— Décidément cela ne te passe pas. Ça te plairait vraiment, n’est-ce pas ? Tu aimerais que je fasse pipi dans ma culotte, comme une sale petite fille… J’y ai repensé plusieurs fois, mais c’est difficile à expliquer, ça me semble sale et ça me gêne. D’un autre côté, je voudrais te faire plaisir et je ne sais pas, peut-être que cela m’exciterait aussi de m’exhiber à tes yeux.— Je sais ma chérie et je ne veux pas te brusquer. D’ailleurs je ne sais pas comment je réagirais non plus. Je ne sais pas exactement comment l’envie m’est venue. En fait, il y a plusieurs années, quand j’étais adolescent, j’avais lu des récits érotiques où on en parlait et ça m’avait excité, à l’époque. Et dernièrement, je suis tombé sur des photos uro sur Internet et j’ai, à nouveau, trouvé ça excitant, peut-être parce que, justement, c’est peu conventionnel. C’est probablement pour cela que c’est excitant, comme le sont beaucoup de choses non conventionnelles ou interdites. Mais tu sais que faire l’amour entre personnes du même sexe ou à plusieurs est encore mal vu par beaucoup, et pourtant tu aimes les femmes.— C’est vrai, tu as raison mais cela me semble tellement bizarre.— Je t’assure que je ne suis pas le seul à avoir ce genre d’idée, j’ai été étonné en parcourant un site où il y avait des annonces, de voir le nombre de personnes qui ont cette pratique. Et puis, il faut essayer avant de juger.— C’est possible que ça m’exciterait aussi, mais il faudrait que je sois dans l’ambiance. Allez ! ne parlons plus de cela et ressers-moi un verre, nous avons mieux à faire que de parler. Après, on fera l’amour, j’en ai envie, d’ailleurs tu as pu le constater.Tout en sirotant notre verre, nous commençons à nous caresser, à nous bisouter tendrement. Mes mains glissent son chemisier et viennent taquiner ses bourgeons, puis s’égarent de nouveau sous sa jupe, la caressant au travers de son slip qui s’humidifie de plus en plus.— Philippe, je brûle, entre un doigt dans ma chatte, je t’en prie !Comment résister à une telle invitation ! Tandis que nos lèvres s’unissent, je glisse deux doigts sous l’élastique de son slip et les enfonce dans sa grotte gorgée de plaisir. De mon autre main, j’enlève un des glaçons qui flottent dans mon verre et, avant qu’elle ne s’en aperçoive, je le glisse dans sa chatte. Ses cuisses se serrent sur ma main et elle se mord les lèvres.— Oh, c’est bon, c’est froid et délicieux en même temps. J’aime que l’on fasse toutes ces choses excitantes. Oui, continue, fais-moi jouir encore.Je me laisse glisser le long du divan et mes mains courent sur ses cuisses soyeuses et remontent la jupe, découvrant un slip de dentelle, ravissant mais quelque peu détrempé. Lentement, je le fais glisser, aidé en cela par Patricia, qui se soulève légèrement, et je m’arrête stupéfait devant un superbe papillon aux couleurs chatoyantes qui semble prêt à s’envoler. Je regarde Patricia, qui me sourit.— Je t’avais dis que je me ferai faire un tatouage, un jour. Eh bien, c’est fait ! Ça te plaît, ma petite surprise ?— Il est superbe, et placé juste au-dessus d’une fleur que je butinerai encore plus…Sans attendre, je colle ma bouche à ses pétales humides et ma langue récolte le nectar qui s’écoule de sa corolle. Mon doigt s’est déplacé et se pose sur son œillet brun puis le force lentement. Alors que ses fesses se desserrent pour l’accueillir, j’attrape à tâtons un second glaçon et, retirant mon doigt, lui enfonce dans le cul. L’effet est immédiat, et une onde de plaisir la secoue toute entière pendant qu’elle s’affaisse sur le divan. M’agenouillant à ses pieds, je fais glisser son slip détrempé par son jus mêlé à l’eau provenant des glaçons. Le portant à mes lèvres, je le suce avidement pour en extraire tout le jus. Reprenant ses esprits, Patricia se lève et, me prenant par la main, m’entraîne vers l’escalier qui mène à l’étage.— J’ai bu pas mal, aujourd’hui, l’apéro, le vin, le pousse-café, deux verres maintenant, et toi qui me fais jouir comme une folle ! J’ai la tête qui me tourne un peu, viens, montons. On va prendre une douche, et puis tu me feras l’amour.Arrivé dans la salle de bain, je colle dans son dos et, un à un, je défais les boutons de son chemisier sous lequel ses seins dansent librement. Une main monte s’enrouler autour d’un de ses globes et mes doigts se resserrent autour du bourgeon dur et tendu. L’autre main descend se perdre sous sa jupe, dans son buisson détrempé.— J’adore sortir avec toi et voir tes seins pointer sous ton chemisier. C’est excitant et ça le serait encore plus si tu ne portais pas de slip. Il faudrait que tu essaies, pour ma part je n’en ai pas mis aujourd’hui. Tu te rends compte que tu n’aurais eu qu’à descendre la fermeture éclair de mon pantalon pour sortir ma queue et…— Oh ! Phil, c’est bon ! Continue comme ça, je t’en prie, n’arrête pas. Je jouis… je coule comme une fontaine.Effectivement, je sens son jus qui coule le long de mes doigts et glisse sur ses cuisses. Ses mains s’insinuent entre nous et pétrissent mon membre au travers de mon pantalon.— Viens, on continuera sous la douche, me susurre-t-elle.Le reste de nos vêtements s’envole et nous nous retrouvons, nous caressant, sous l’eau chaude. Tout en me forçant à m’agenouiller, Patricia stoppe l’eau et pose un pied sur le rebord de la baignoire, exposant son sexe ruisselant à mes yeux :— Lèche-moi, je t’en prie. Caresse mon clito et enfonce-moi ta langue.Sans se faire prier plus longtemps, ma langue s’enroule autour de son clito et le titille avant de glisser entre ses lèvres pour s’enfoncer dans sa grotte. Une douce chaleur m’y accueille et c’est avec délectation que je sens son miel s’écouler sur ma langue pour se perdre dans ma gorge. Insatiablement, je m’active faisant monter en elle le plaisir tandis que ma main glisse sur ma queue.— C’est délicieux, tu me donnes tant de plaisir, c’est si bon que la tête me tourne encore plus, je voudrais…De ses deux mains, elle m’arrache à elle et me tient à distance à ses pieds. Ses yeux, brillants d’excitation, se fixent aux miens :— Attends, ne me fais pas encore jouir. Je voudrais te donner autant de plaisir que j’en ressens maintenant. J’ai envie de te faire plaisir, c’est peut-être l’alcool, je n’en sais rien, mais avec tout ce que j’ai bu je dois faire pipi, et j’ai envie de le faire devant toi. Je ne sais pas si je pourrai, mais je vais essayer. Ça t’exciterait, n’est-ce pas ?Ses yeux brillent d’excitation et, dans son regard, je sens une sorte de défi devant ses tabous. Mes yeux sont fixés sur son entrecuisse écartelé par ses doigts. Quelques gouttes commencent à perler discrètement.— Je sens que ça vient. Tu vois, j’y suis quand même arrivée, je fais pipi devant toi. Encourage-moi, dis-moi que ça te plaît ? Tu aimes que je sois vicieuse, n’est-ce pas, ça t’excite ?Gagnée par l’excitation elle aussi, ses inhibitions s’envolent et, ne se retenant plus, un long jet fuse d’entre ses cuisses. Le jet est plus intense qu’elle ne le pensait, probablement, la pluie dorée et chaude s’abat sur mon ventre et ma queue.— Oui, ma petite vicieuse, j’aime te voir comme cela, savoir que tu le fais pour moi. Oui, cela me plaît énormément ! C’est chaud et c’est un peu comme si j’étais ton esclave, et que tu fasses de moi ce que tu veux. Oui, j’aime être soumis à ta volonté et ton plaisir.— Oh, ça m’excite aussi de pisser sur ta queue, sur toi, je ne pensais pas que ça me ferait cet effet.Sa source s’est tarie et, attrapant ma tête, elle me la fourre entre ses cuisses humides.— Oui, lèche-moi, lèche les dernières gouttes. Oh oui ! bouffe ma chatte et fais-moi jouir maintenant.Ma langue la fouille au plus profond de sa grotte et il ne faut pas longtemps avant que je sente que sa jouissance est proche.— Viens, lève-toi et baise-moi. Je vais jouir et je veux sentir ta queue en moi.S’appuyant dos contre le carrelage, elle s’abaisse en écartant les cuisses largement, si bien que c’est sans la moindre difficulté que je m’enfonce dans sa chatte tiède et inondée de miel. Quelques secondes plus tard, l’orgasme la secoue alors que je me répands en elle.Après une dernière douche bien nécessaire, c’est dans les bras de Morphée que nous nous enfonçons, non sans un dernier baiser, pour un repos bien nécessaire et sans surprise.