Pauline Chapitre 2
Suite de l’histoire vraie d’une amie, amante, amoureuse… Volcanique. Pauline Ă©tait libre mais pas moi. Grâce Ă elle j’ai reconstruit ma sexualitĂ©. Ce rĂ©cit est le rĂ©cit d’une vie (ou presque).
Proposée le 9/07/2022 par Ivannormal Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugalPersonnages: FHLieu: Vacances, voyagesType: Histoire vraie
Je me réveille… seul… La lumière émanent des persiennes ne me permet pas de savoir l’heure. Je ne travaille pas alors je prend mon temps. Je ne veux pas savoir l’heure qu’il est, ni le temps qu’il fait, ni rien. L’instant présent me suffit… Jusqu’à ce que le cerveau se réveille… et ressasse. Ce que mon cerveau a retenu de cette nuit de bien, de beau, il a dû me le servir en rêve mais maintenant que je suis réveillé, il me rend tout ce que je veux ignorer… en vain.Je suis infidèle. Coupable car avant de l’être, je fantasmais de l’être. Une chose essentielle me retenais : j’avais toujours éprouvé moins de désir pour une fille que le désir d’être infidèle… ouai c’est pas simple… En gros, j’éprouve aujourd’hui du désir, immense désir pour Pauline, j’avais envie d’elle et que d’elle, je ne pensais à rien d’autre qu’elle. C’est l’évidente conclusion de ce dérapage. Problème : ça ne peut dans ces conditions être considéré comme un accident, c’est un acte consenti, et de surcroit qui sera amené à se reproduire… M gni h grrg borde… fais ch… chut… tranquille… là … respire… Il me faut un verre d’eau, une douche, un peu de sport, un bon film. Day off / été / soleil / fare niente. Profite mon Vanvan… oui parce que je m’appelle Vanvan dans l’intimité quand je parle à mon double imaginaire… OOOkkk on passe à la suite…Pauline entre dans la chambre. Une pile électrique, une grosse dose de bonne humeur et surtout comme je ne vais pas tarder à le découvrir, une absence totale de langue de bois. Ah et la tenue ? Un t-shirt de mec (pas le mien) et une petite culotte bleue. « ça va beau gosse ? » grand sourire, ses seins sous le t-shirt…Elle : Bien dormi ?Moi : Très bien et toi ?Elle : Oh oui, c’était trop bien… mais trop courtJe prend connaissance de l’heure, il est vraiment trop tôt… bref. Pauline s’allonge sur moi…Elle : « Ouh… grande forme matinale… c’est pas pour me déplaire » rire… j’ai envie d’elle, je passe mes mains autour de sa taille.Moi : « Chris ? »Elle : « Ils sont dans la piscine, il fait beau, ils profitent, ça te dit ? »Moi : « La piscine ? … Oui bien sûr »Elle : « Tu veux que je te débarrasse de ça ?  » Elle pose sa main sur mon sexe, seul le drap nous sépare elle et moi… puis elle s’allonge à mes côtés. Et entame la conversation. « Ok, discutons. Qu’est-ce que Chris t’a dit sur moi ? »Moi : « Rien de spécial » feignant ne pas savoir de quoi elle parle…Elle (tout sourire) : « ok » Elle lèche sa main goulument, la passe sous le drap et m’attrape le sexe, pris en flagrant délit d’excitation soutenue… « Je reprend, qu’est-ce qu’il t’as dit sur moi ? » Elle soupire en sentant mon sexe gonfler entre ses doigts…Moi (sans concession comme souvent quand j’ai le sexe serré entre les doigts d’une fée…) : « Que tu étais bonne… qu’il aimait tes gros seins… qu’il t’a prise en levrette et étouffé tes cris en mettant ses doigts dans ta bouche… » Ces mots l’ont fortement excité, tandis que ces mouvements sur moi s’amplifiait au fur et à mesure que je prononçais cette phrase, elle entamait des mouvements dont la nature est différente mais qui poursuivent les mêmes objectifs… J’aime resté vague… comme le mouvement de ses mains… M’entendre parler (ou à travers moi entendre Chris parler) et de surcroit parler d’elle en des termes qui ne sont pas les miens, crus donc, mais de les prononcer m’excite énormément aussi, et je me prête au jeu…Elle : « il t’a dit comment il avait jouit ? »Moi (timidement) : « Oui… »Elle : « Comment ? »Moi : « Dans ta bouche… »Elle : « Et… »Moi : « … que tu avais avalé »Elle : « hummm, et… est-ce qu’il t’as dis… que j’avais deux doigts en moi quand il l’a fait… parce que ça m’a rendu folle d’excitation ? » A ce moment, j’entendait les battements de ma queue se faire masturbé par cette fille sublime et que je découvrais totalement délurée… mais aussi le bruit de sa fente qu’elle astiquait frénétiquement… Je me laissais faire car c’était trop bon, trop beau.Moi : « Non il ne l’a pas mentionné… »Elle (riante) : « … parce qu’il était trop occupé à déverser son sperme… »Elle n’a jamais finis sa phrase… Je lui ai attrapé les cheveux pour la guider vers mon membre qu’elle a tout de suite gober… J’ai posé ma main sur la sienne, celle qui me branlait depuis un moment pour accompagner son mouvement… Je sens encore l’humidité de ses lèvres se poser sur mon gland puis manger avec appétit l’objet de son désir et le témoin de ma passion naissante pour cette petite effrontée… C’est un peu ringard comme mot mais qu’importe… Je ne tarde pas à lui donner ce qu’elle veut, une main sur sa main sur mon sexe, une autre dans les cheveux, et à l’autre ouverture du t-shirt, une autre main s’affole sous le tissus probablement trempé qui lui couvre (mal) ses attributs intimes… J’explose… je gémis… je rend pour la première fois mon sperme dans la bouche d’une autre… que dis-je… dans une bouche… tout court… C’est l’été des premières (et c’est pas terminé…).Pauline de nouveau tout sur moi, son visage près du mien, sperme en bouche, un petit effort et pfiou… disparu les graines de papa… Et puis ses lèvres qui s’écrasent contre les miennes… Elle a mon goût… et loin de me dégouter ça m’excite…Je pose mes mains partout où il est possible de les poser sur ce corps de rêve… Je la retourne dans le lit, je l’embrasse, je la chérie… On ne m’a jamais fait jouir comme cela. Elle est toute joyeuse… Après le câlin post-pipe du matin… j’aurais pu rester au lit et lui faire l’amour encore quelques heures durant, possiblement, mais des réminiscences du gars sérieux que j’étais me poussent à me lever et affronter la belle journée qui s’annonce.Je vais à la douche. Une douche froide pour bien me réveiller et me ragaillardir de mes cochonneries. Puis plouf dans la piscine, rejoignant Chris et Agathe sans visiblement réconciliés. Moi je fais le coq si bien qu’il est difficile de cacher aux autres ce qui s’est passé… Enfin Agathe s’en moque bien mais Chris… c’est autre chose. Le flirt a continué pendant la semaine avant l’arrivée d’Agathe et ni Pauline ni Chris n’a semblé se soucier de le cacher aux autres. Pour l’instant, je ne me soucie pas de ça. Je ne sais même pas si Pauline et moi allons continuer à batifoler (ringard aussi… j’avoue).Et Pauline débarque, bikini ultra sexy comme hier (mais un autre), petits pas de courses, bons de seins, plouf, les yeux des bonhommes hagards, les yeux d’Agathe fou de jalousie. Elle est pourtant très belle cette fille, « bien foutue » je me dis. Mais ce n’est pas là le problème. Elle se lève et part se rhabiller d’un air plus qu’énervé. Chris se tourne vers Pauline.Chris : « A quoi tu joues ? »Pauline : « Comment ça ? »Chris : « Arrête ! » haussant le ton soudainement…Pauline baisse les yeux et a déjà perdu la lueur joyeuse qu’elle avait dans les yeux. Elle se sens coupable… Elle se sait coupable. Chris quitte à son tour les lieux. Il est peu avant midi. Nous sommes seuls maintenant, discutant au bord de la piscine.Elle sait que le jeu auquel elle jouait était puéril, la compétition entre femmes, Agathe de 6 ans son ainée… Et maintenant Pauline éprouve l’envie de rester seule. Je la comprend, je ne m’oppose en rien à ses souhaits. Je rentre.Je me sens… bien… mitigé… triste car cette journée s’annonçait… grandiose. J’ai la sensation d’avoir été l’objet de « vengeance » ou sinon de cette concurrence entre fille… enfin je ne sais pas trop. Et bien sûr, j’ai été infidèle. Au cœur de mes pensées je cherche un moyen de ne pas porter ce fardeau qui à ce moment me pèse. Céline m’a offert ce carnet bleu, je vais baptisé ces pages pour m’apaiser et garder au fond de moi ce qui semble être un mensonge gros comme une montagne. Oui ! C’est pas rien. J’étais assez sensible.Certains d’entre vous doivent penser que j’exagère, d’autres que je mérite bien ça. Précisons donc. Je pense comme à l’époque que tromper c’est « mal », oui c’est le mot. Et comme à l’époque, je trouve que le mensonge est la meilleurs solution. Prendre sur soi comme un adulte qui a eu une faiblesse d’adulte. Mais ce à quoi j’avais goûté dans les 24 heures que je venaient de vivre… J’en voulais encore…Pauline m’appelle, rendez-vous 19h à la plage. J’avais hâte…J’ai passé l’après-midi à rêvasser, notant les choses sur mon carnet tout neuf pour ne pas oublier, écrivant pour revivre ce qui s’était passé. Je sais que Pauline avait besoin de réfléchir et le fruit de sa réflexion restait obscure jusqu’à notre conversation du soir.Elle m’attend sur la plage, un peu à l’écart même s’il y a beaucoup de monde à cette heure. Elle porte une jupe à fleur, une veste en jean et un haut blanc que j’aurais du mal à décrire mais qui, et c’est le plus important, donne un relief saisissant à sa poitrine. A ce moment, plus rien dans sa beauté ne me paraît vulgaire, ou que sais-je, je trouve son corps très beau, je la trouve très belle. Je m’assois à côté d’elle.Pauline tout sourire… soulagement. Elle parle. Voici un résumé de ce qu’elle m’a dit (je ne me souvient pas de tout le détail mais en gros) : « Je sors toujours avec des mecs maqués et du coup tout le monde pense que je suis une salope. Cette conne d’Agathe qui prend son mec pour un objet, pas étonnant qu’il aille voir ailleurs. Un jour je me trouverai un mec tout mignon, je me marierai avec, rangée, deux enfants, une maison. Mais là j’ai envie de m’amuser, j’ai le droit non ? »Évidemment qu’elle a le droit, et ce n’est pas à elle de culpabiliser. Après tout, elle est libre et ne fait de mal à personne. Tandis que j’évalue l’empathie que je porte à Pauline, je me rend compte que je n’éprouve (plus) aucune jalousie, aucun sentiment d’appartenance ni de possession. Avec ma petite amie oui, mais pas avec Pauline. Ça semble logique mais ça ne l’ai vraiment pas. Je me dis « j’adore cette fille, je la désire certes mais c’est aussi une amie ou du moins nous connectons et c’est une amitié naissante ». Deux sentiments (le désir et l’amitié) qui se rejoignent là où je ne pensais pas qu’il était possible de se rejoindre. J’ai toujours penser, en amitié, tu ne désires pas. Et c’est comme ça que je m’étais préparé à ce que rien ne se passe ce soir là … Naïf que j’étais.Je lui répond donc : « Tu n’as rien à te reprocher sur ton attitude, si ce n’est, la prochaine fois, reste loin des copines de tes amants. »Elle : « Ta copine va venir te voir je suppose ? »Moi : « C’est prévu oui »Elle : « Et il se passera quoi ? »Moi : « Rien je suppose, j’éviterai de me retrouver dans la situation dans laquelle s’est retrouvé Chris hier et ce matin »Un temps de silence…Elle : « Pourquoi moi et pas Julie ? »Pourquoi j’ai craqué avec elle et pas avec Julie ? Bonne question…Moi : « Je sais pas, ça s’est pas passé pareil… »Je vois qu’elle ne prend pas mes mots pour argent comptant et je crois qu’elle a raison. Je la désire tout simplement plus que Julie voilà tout. Mais je me refuse de le lui dire, elle s’en rendra compte toute seule si ce n’est déjà le cas. Et je la soupçonne d’en tirer une satisfaction d’ailleurs…Elle : « Ecoute, je vais être claire. Ce qui s’est passé, ça va recommencer, j’en ai envie, t’en as envie, bon. Mais sache que je reste libre, et d’ailleurs tu l’es aussi… ok ? »Moi (sans réfléchir) : « Ok »Sourire.Elle : « Si tu es ok alors suis-moi ».Je m’exécute.Elle me conduit à une voiture, la sienne ? je ne pose aucune question. Elle se met au volant, je suis le passager. Nous sortons de la zone urbaine. « Je t’emmène dans un coin secret ». Elle nous a conduit sur un sentier en forêt un peu sombre, une petite piste peu fréquentée à quelques km de la ville. Le soleil couchant traverse la cime des arbres pour nous donner un tissu de lumière et d’ombre à couper le souffle. Il n’y a personne aux alentours, nous sommes assis sur le capot. Je ne fais rien, elle s’en agace…Elle : « il faut que je te dise… »Elle se lève se met face à moi, m’embrasse du bout des lèvres sur les miennes, agrippe la fermeture de mon pantalon pour le déboutonner… et reprend en me regardant droit dans les yeux…« J’adore sucer… »Interloqué d’abord, je me dis que j’avais remarqué mais je le garde pour moi…Elle a sorti mon sexe et est allé tellement vite que je n’ai pas eu le temps de bander… J’ai un peu honte de présenter une verge molle au regard de cette bombe sexuelle mais elle ne se dégonfle pas… Et elle plonge mon sexe frileux dans sa bouche humide et chaude. Je pose mes mains sur le capot derrière moi et je la regarde s’affairer comme une déesse. Elle opte pour une position jambes tendues, penchée en avant sur mon entre jambe et me laisse le loisir de voir son cul bombé. Langue contre gland, main sur mes couilles et me branlant un peu, vu sur sa croupe… Je monte en pression sanguine… Les forces me quittent et je me laisse aller savourant cette pipe qui m’amène une puissante érection. Ma queue pousse dans sa bouche et elle semble apprécier.L’air est frais, la lumière est sublime, un courant de plaisir me traverse de part en part, je prend de grandes inspirations, je ne me suis jamais sentis aussi relaxé… Pauline travaille désormais au corps. Mon érection est vive maintenant et elle doit s’affairer en de larges vas et viens sur mon sexe usant de ses épaules, de son cou, de tout son corps… C’est pourquoi elle éprouve le besoin de faire une pause.Elle se redresse, ne lâche pas l’emprise de sa main sur ma verge, ni le mouvement d’aller et retour. Elle me sourit et nous nous embrassons, je pose alors les mains sur ses fesses. Elle rentre son visage dans mon épaule, je lui embrasse le cou et elle continue de me masturber. Je lui tiens les fesses pour la maintenir contre moi… Mais son mouvement est en train de me rendre animal et de caresses en étreinte, j’ai soulevé sa jupe fleurie. Je descend du capot et je passe derrière elle. Je soulève sa jupe en fleur, elle porte un string rouge, j’écarte l’élastique brulant et trempée, elle tend sa croupe, je tend mon bout tout dur, j’arme. Et sous sa jupe en fleur, je pose mon gland entre ses pétales de chair. Le contact me provoque des râles de plaisir, comme à elle. Mains sur chacune de ses fesses rondes, j’avance mon bassin et me projette à l’intérieur…Elle a les deux mains sur le capot et reste redressée, offrant simplement sa courbe à ma besogne… je réalise que je réalise un fantasme, prendre une fille en levrette sur un capot de voiture. Fantasme commun, métaphore sexuelle oblige de la courbe, de la puissance, de l’acte sexuel. Comme j’y pense mes coups deviennent puissant et cette petite Pauline n’a plus les forces de maintenir son poids bras tendus contre le capot. Elle se penche petit à petit vers la carrosserie et je pose ma main entre ses épaules pour qu’elle épouse de son torse sublime, la courbe de sa voiture. Je veux qu’elle se sente confinée entre mon étreinte et la taule… Puis pour la chevaucher encore, je lui attrape les cheveux, tire sa tête en arrière, elle crie, je crie, je jouis en elle…Un instant sur elle pour reprendre mon souffle, je réalise qu’elle éprouve sans nul doute le même besoin… Je m’écarte.J’apprends à ne pas trop me poser de question quand il s’agit de sexe, mais je suis encore jeune à ce moment et je me demande si ça lui a plu, si je ne lui ai pas fait mal etc… Mais elle se redresse toute pimpante, sourire, elle m’enlace, elle me susurre à l’oreille alors que j’ai toujours la bite à l’air et qu’elle ne manque pas d’attraper pour m’extirper mes dernière goûte de semence… « merci ».Ma joie est à son comble, je vis le fantasme qui me gonfle d’orgueil… Je me sens « mâle », animal, primate… je m’abandonne en fait. Et c’est exactement l’effet qu’elle fait aux hommes. Elle remonte dans la voiture et une fois rajusté, je la rejoint au siège passager. Nous quittons la piste alors que le soleil coule derrière l’horizon.Elle : « On va chez moi »Et non ce n’est pas une question.Elle (comme elle me cerne à la perfection) : « C’est l’été de tes premières fois ? »Moi : « Ça se voit tant que ça ? »Elle : « Oui »Je me sens plus humble d’un coup.Moi : « Et toi il te reste encore des premières fois ? »Elle : « Bien sûr ! (sans transition) Tu te branles souvent ? »Moi : « Euh »Elle : « Allez, tu peux me dire, je veux dire malgré ta nana, tu te branles ? tu mates des films cochons ? »J’ai l’impression d’être dans un traquenard… Mais dans ce genre de situation, il faut être honnête… même si ça me fait honte (à l’époque).Moi : « ça m’arrive oui »Elle : « Ça veut dire que madame ne comble pas tous tes désirs ? (je reste sans réponse) Pardon, c’est pas mes oignons… Alors qu’est-ce qui te fait fantasmer ? »Moi : « je sais pas… »Elle : « Mais si tu sais, le truc que tu vois faire dans ces films et où tu te dis, je lui ferai bien la même chose à cette salope ? »Des centaines de choses me viennent à l’esprit et aussi décontenancé que je suis, cette conversation m’excite énormément…Elle : « Ivan… Je me suis touché la chatte devant toi hier, j’ai avalé ton sperme ce matin. Tu crois que je te juge ? Et tu viens de me prendre sauvagement sur le capot d’une voiture… »Un instant…Moi : « Éjaculer… dehors… »Elle : « Éjaculer sur mon corps ça te plairait ? »Moi : « …Beaucoup… »Elle :  » Tu seras exhaussé ce soir… heureux ? »Elle continue de regarder soigneusement la route mais moi je regarde sa gorge et j’imagine des choses…Elle : « Moi j’aimerai bien me faire prendre par deux mecs… c’est ça que je recherche quand je regarde du porno… »Moi : « Je suis désolé, j’ai qu’une bite… » Elle rit aux éclats…Je suis très fier de cette blague… non mais faut voir le contexte…Nous arrivons chez elle. Toujours personne dans cette grande maison… Elle me dit de me mettre à l’aise… Je m’attable dans la cuisine. La lumière est allumée, Pauline est devant moi et retire tous ses vêtements. Elle est nue dans la lumière. Je la contemple pour la première fois sous cette angle. Le pli des seins, la ligne de son ventre, le duvet presque roux sur son pubis et sa petite chatte qui semble gonflée, elle pose une main entre ses cuisses, son bracelet argenté accompagne son mouvement…Elle : « Ça va être ton moment mon grand »Je me lève, elle s’installe sur la table de la cuisine en pleine lumière. Je retire mes fringues, je me branle devant elle pour me donner de la vigueur mais c’est inutile, je suis dur et dressé comme un piquet… Elle écarte les cuisses, un pieds sur la table, l’autre sur une chaise… Sa main quitte son sexe, elle lève le petit doigt et le pli deux fois… le message est clair : « viens ici »J’approche, sexe tendu, je pli les genoux, et je retourne où j’étais il y a quelques instants. Elle pose délicatement ses mains autours de mes épaules et me regarde en souriant… Je n’oublierai jamais ce regard… Je me jette en elle, entre ses cuisses, elle jouit d’une voix aigüe. Je jette un œil et regarde mon sexe la pénétrer vaillamment, comme ses lèvres épousent le contour de mon membre, comme il lui écarte l’entre-cuisse, je savoure le frisson que provoque nos frottements mutuels… Nous communions.Nos peaux se nappent de sueur, elles deviennent brillantes, je vois sa sueur perler entre ses seins, je m’amuse à la bourrer violemment pour faire rebondir ses formes. Puis elle se retourne et pose ses coudes sur la table, penchée en avant, le cul présentable, les genoux légèrement pliés. Me revoilà derrière elle, mon pieux battant la mesure dans sa chatte bouillante et son cul vibrant de mes assauts… Sueur perlant cette fois entre ses fesses et que vois-je ? son petit anus tout serré… En voilà un autre de fantasme… mais ce ne sera pas pour cette fois…Je sens que ça monte… je sens que je ne vais plus tenir longtemps à besogner cette blonde généreusement pourvue par le nature. Je n’ai pas peur de demander mon dû…Moi : « J’ai envie de jouir Pauline »Elle : « Mmmmmm… ça va être bon ça… Tu as choisis ? »Moi : « Comme tu sens… »Elle sourit, se retourne, me caresse le torse et un peu le sexe qui pointe durement, il vibre comme une flèche plantée dans le bas ventre…Elle : « Ouuuhh… tu es à point… Suis-moi »Et encore je m’exécute… On se croirait dans un film X. Elle aime visiblement jouer des rôles et là elle prend une voix douce et très sensuelle pour me parler. Nous sortons rejoignons la piscine… Un air frais fort agréable pour effleurer nos peaux humides… Elle s’allonge sur un transat’. Elle lève les genoux, écarte les cuisses, se frotte le clitoris vivement, et se caresse les seins, la gorge, le ventre… Je suis debout devant elle… Légèrement au dessus de son sexe, mon sexe pointe au delà de son nombril. Je me masturbe et remarque que je ne m’étais jamais branler après un coït.Point technique que j’ai pris soin de relever dans mon journal à l’époque (ce qui m’a fait rire en me relisant), je cite : « D’habitude quand je me branle seul, j’utilise mon prépuce pour le faire coulisser sur mon sexe pour le garder humide, là impossible de faire coulisser quoi que ce soit, mon sexe est trop tendu, trop gonflé… Je me suis contenter de frotter mon sexe, mon gland, de serrer les doigts et la jouissance était sans commune mesure avec ce que j’ai toujours connu lorsque je me masturbe… C’est cool de découvrir son corps, encore après toutes ces années »Je me suis donc secouer la tige devant elle, les yeux dans les yeux et plus j’allais vite, plus elle se branlait vite et je l’ai sentis s’exciter plus que de raison. Cette situation l’excite… Je senti mon sperme me traverser, entre mes doigts ma verge gonfla et pfuit’, un éclat de cette trainée blanche expulsée du bout de mon gland plongeant à vive allure sur la tendre chair de mon amie, ravie de cette petite pluie estivale, épaisse et brulante.Son souffle s’emballe alors que je grogne de plaisir et expulse les giclées suivantes. Une larme de sperme sur sa joue, une autre sur sa gorge, près de son téton, et les dernières gouttes font ploc sur son ventre et sur son bas ventre, un peu sur son avant bras qui surmonte sa main qui détient les doigts qui vacillent entre ses cuisses…J’ai les genoux en coton, j’ai chaud, je la regarde, elle est joyeuse, satisfaite… je le suis aussi, à peu près autant que je suis rompu… Le transat’ d’à côté, je m’allonge…Elle : « C’était comment ? »Moi : « Parfait, mieux que ça même »Elle : « Ça t’as bien plu me gicler ton foutre sur moi »Irrévérencieuse. Provocatrice. Le petit minet que j’étais commençait tout juste à y prendre goût… « Mon sperme sur sa peau »… Les derniers mots sur cet épisode écris dans mon journal. Nous avons finis dans la piscine à nous bécoter. Elle aurait sans doute bien aimé que je sois encore d’attaque mais ce n’était pas le cas. Et le lendemain nous retournions au travail.© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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