Pauline Chapitre 5
C’est l’Automne, Ă Paris, la grisaille, le froid, l’Ă©tĂ© est loin. Mais Pauline est de passage. Et comme attendu, nous ne serons pas sage ce soir-lĂ . Je m’Ă©clipse pour la revoir et tromper ma petite amie avec mon insatiable Pauline…
Proposée le 23/09/2022 par Ivannormal Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: HôtelType: Histoire vraie
Je suis avec CĂ©line. Un soir, une fin d’après-midi d’un automne pluvieux Ă Paris. Quelques mois après l’été… Je passe des moments magnifiques avec CĂ©line, comme un renouveau. Et ce texto : « Je suis sur Paris, on se voit ? ».Par chance CĂ©line dit voir ses copines. Alors j’en profite. Je ne sais pas ce que je ressentirai, je ne sais pas dans quel Ă©tat d’esprit elle est mais je tremble, mon cĹ“ur s’emballe. Le rendez-vous est au pied de la statue des horloges de la gare St Lazare.Tous ces mois sans nouvelles, sans un message. Dans mon esprit ce fĂ»t un moment d’égarement sans suite… j’avais tort… et j’en Ă©tais ravi.Et la voilĂ .Habits d’hiver, noir, long, Ă©pais. Et un bonnet mais les yeux et le sourire…Quelques heures plus tard je rejoins CĂ©line, elle boit un dernier verre avec ses amis. Il est tard. Je suis un peu fatiguĂ© mais elle insiste pour que je la rejoigne. Je me laisse portĂ©. Mais je me sens bizarre. J’ai l’impression que toutes savent que j’ai passĂ© la soirĂ©e entre les reins d’une autre. Ce fut assez bref comme Ă©treinte mais ce fĂ»t puissant. Le rĂ©cit de cette expĂ©rience est presque sans intĂ©rĂŞt vraiment graphique mais il est essentiel.Ce qui m’a surpris c’est qu’elle m’ait fait la bise. Mais c’est une formalitĂ© car ce que nous voulions nous faire, ce n’était pas la bise bien sĂ»r.Elle a pris une chambre d’hĂ´tel, elle m’y invite car elle a envie, j’ai envie et dans un hĂ´tel en plus. Un bel hĂ´tel. RĂ©ception, « bonsoir », ascenseur, presque sans un regard et couloir capitonnĂ©, porte, clĂ©, et attente insoutenable derrière elle. « Je la veux ».Porte passĂ©e, elle me laisse passĂ©, elle ferme la porte, puis je me retourne et elle se jette dans mes bras…Mes mains qui caressent son corps, Ă travers ses vĂŞtements, ses bras qui m’étreignent et son parfum… et je rĂ©alise… doucement… que les lèvres de Pauline sont posĂ©es sur les miennes, que la bouche de Pauline a entrepris de conquĂ©rir la mienne, que les vĂŞtements de Pauline jonche Ă prĂ©sent le sol et que j’ai bien trop de vĂŞtements sur moi.Pauline s’allonge sur le lit, patientant pour que je la rejoigne. Moi je la regarde ahuri pendant que je quitte enfin mon dernier bout de tissu cachant maladroitement l’immense bonheur de la voir et annonçant l’immense plaisir que l’on va se donner.Pauline est là … et elle Ă©carte les jambes… et sa toison dorĂ©e… et ses lèvres roses… et ça brille… et ça mouille… et elle se caresse et moi je m’incline. A genoux, je place mon visage entre ses cuisses et j’embrasse chaque centimètre de peau sur mon passage et quand elle sent mon souffle lui faire froid sur la chair humide, elle retire sa main… Et je pose de long baiser sur son entre jambe… hummmm son goĂ»t… Langue dĂ©ployĂ©e pour la lacĂ©rer. Je transperce une vulve de ma langue, et tout ce jus se dĂ©pose entre mes joues, et toutes ses hanches parcourent le coin de matelas oĂą sa croupe a chu.Le bonheur de sentir sa chatte humide et brĂ»lante dans ma bouche et celui de goĂ»ter sa mouille… encore… et entre mes mains, ses cuisses, ses fesses et sa main sur ma nuque parce qu’elle pense comme moi… encore… Elle aurait aimĂ© un doigt sans doute… trop envie, je vais lui donner plus gros, meilleurs, moins dĂ©licat mais plus gĂ©nĂ©reux…Je me redresse, de tout mon corps, membre tendu, cĹ“ur Ă l’ouvrage, je plonge dedans, je me plonge dedans, je la plonge dedans, et de toute part nos soupirs s’élèvent et se transforment en râle et se transforment en gĂ©missement et se transforment en cris.J’en reviens pas d’être en train de la baiser… encore. Un encore qui aurait pu durer toujours… Mais ma queue est bien lĂ , dure en pleine, action et sabordage d’un corps trop beau, trop bon pour ĂŞtre pris sans que mes souvenirs ne m’enlèvent ma vertu… J’ai de nouveau et pour toujours encore un sexe qui pleure des larmes blanches de me remĂ©morer tous ces moments. Son corps vibre sous mes assauts, et ventre, et seins, et pieds en l’air, et chevelure, et cris, et visage fermé… Je vais l’arroser de mon sperme ce corps vibrant… Et je doute qu’elle n’ait eu le temps de jouir… non que j’en sois fier.VoilĂ sous mes yeux, ma bite sortie du fourreau pour asperger une dĂ©esse de nectar lacté… En pleine lumière, l’abondance de mon sperme Ă©jaculĂ© pour celle qui n’en demandait pas tant. Et un fauteuil derrière, je m’assois et elle se caresse, se passant ma semence sur le corps et bientĂ´t c’est son tour. Elle a jouit après moi… et dans le bruit de sa gorge qu’elle dĂ©ploie quand elle baise.Et retour avec CĂ©line et ses copines. Nouvelle donne, nouvelle situation, nouvelle excitation. CĂ©line est toujours aussi belle et quand on quitte les autres, elle veut que je m’occupe d’elle et que je le fasse sĂ©rieusement. Et arrivĂ© chez elle, comme par empressement, elle se dĂ©shabille, elle est ivre mais juste assez pour avoir envie de se faire baisĂ© sans rĂ©flĂ©chir, juste pour joindre Ă l’ivresse de l’alcool, celui du plaisir et moi… j’en ai envie aussi et elle se met nue et Ă mes pieds cherchant mon Ă©rection qui lui a sautĂ© au visage. J’entre dans sa bouche… mais j’y repense…Je me rhabille et Pauline se rince. Et la conversation commence.Pauline : « J’ai un entretien d’embauche demain, c’est pour ça que je suis là »Et alors que CĂ©line me suce le gland en me profĂ©rant de grand coups de main pour me branler et m’arracher un gĂ©missement, je revois le sourire de Pauline qui semble aux anges et très confiante. Et moi… et bien je me rĂ©jouis. Plus de Pauline, plus de vie, plus de sexe et de partenaires et une amie que je retrouve et qui sera Ă mes cĂ´tĂ©s. Le dĂ©but d’autre chose, sans aucun doute. Et je ne sais plus ce que je lui ai rĂ©pondu. Une discussion s’en ai suivi et nous sommes tombĂ© d’accord sur le fait qu’entre elle et moi, il ne devait plus avoir de sexe…Mon sexe dure contre la langue de ma bien aimĂ©e me permet de me sentir moins triste mais ce n’est pas suffisant. Alors je la redresse, l’embrasse, je dois prĂ©ciser que nous sommes dans l’entrĂ©e de son appartement, je la retourne et la plaque contre la porte… Et pendant que je me place en position pour la dĂ©foncer contre la porte, je repense Ă ce que je venais de retrouver et perdre instantanĂ©ment.Je me laisse aller au sentiment de rage qui semble procurer Ă©normĂ©ment de plaisir Ă la personne dĂ©sinhibĂ©e qui me tient entre ses cuisses alors que je cherche Ă m’en Ă©chapper aussi vite qu’à y retourner… tout au fond…Pauline : « Avec ta copine, si on se voit souvent, on ne pourra pas entretenir cette relation, du moins toi, tu ne le pourras pas »La porte vibre, nos chairs claquent, ma voix rugit et sa gorge se dĂ©ploie… elle aussi, et j’ai fait jouir deux femmes dans la mĂŞme soirĂ©e… enfin pas techniquement. Mais quand mĂŞme, ça ne m’était jamais arrivĂ©.Moi : « Je dois rejoindre CĂ©line »Pauline : « Tu m’en veux ? »A la frĂ©quence Ă laquelle je pĂ©nètre ma chĂ©rie, je me dis que CĂ©line doit penser la mĂŞme chose, mais Ă la puissance de ses cris, je me dis qu’elle aime.Moi : « Non je crois que tu as raison »Elle avait raison bien sĂ»r mais nous n’avons pas tenu… enfin ce sera pour plus tard. pour le moment… Je me dĂ©verse Ă l’intĂ©rieur, je veux me finir au chaud, lĂ oĂą l’humiditĂ© domine. Je me cale si loin en elle, je me contracte et … joie… joie d’une longue Ă©jaculation qui me provoque des spasmes…Et la douche, et la nuit, dormir, rĂŞver, peut-ĂŞtre oublier. Je crois que CĂ©line avait un peu mal… un peu partout ce lendemain matin. Je crois qu’elle apprĂ©cie le nouveau moi lorsque la question du sexe se pose. Mais je crois qu’elle a un sentiment très inconfortable quant au fait que parfois… elle ne me reconnait pas.Et Pauline sur le quai de la gare, après son entretien, confiante… Elle a emmĂ©nagĂ© au mois de dĂ©cembre de la mĂŞme annĂ©e. Dès lors, ma vie a changĂ©.© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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