Histoire coquine :J’habite depuis quelques années, un petit village perdu au fin fond de la France. Pas forcément enchantée par le manque de distraction, à la base, j’ai vite trouvé un remède à l’ennui en la personne de mon nonagénaire de voisin, monsieur X.Monsieur X, sous son apparence innocente de petit vieux, est en réalité un accro à la pornographie, auteur de nouvelles érotiques, photographe et vidéaste amateur, et surtout un voyeur patenté.Pour beaucoup, avoir un tel voisin serait un véritable enfer. Pas pour moi. J’aime me montrer et j’aime être regardée. J’ai toujours aimé me balader nue chez moi, que cela soit à l’intérieur ou dans mon jardin. J’aime sortir de la maison sans aucun sous-vêtement (et que ça se voit). Porter un mini-jupe au ras des fesses, sans rien dessous et me pencher pour attraper quelque chose dans un rayon de magasin, sachant qu’on peut voir ma petite chatte rasée m’excite au plus haut point. J’aime m’exhiber.Cependant, j’ai hésité au début, à trop me dénuder dans mon nouveau jardin, qui n’est séparé de celui de Monsieur X que part une petite murette de pierres pas plus haute que soixante-dix centimètres. J’ai beau aimer me montrer, ce n’est pas pour autant que je voulais provoquer une querelle de voisinage ou que le vieil homme m’envoie la gendarmerie, pour le simple plaisir de me balader nue au grand air.Je me contentais donc de me dénuder à l’intérieur, et de laisser mes sous-vêtements à la maison quand je sortais. Jusqu’au jour où j’ai ouvert la porte à Monsieur X, seulement « vêtue » d’un plaid attrapé à la va-vite au moment où j’ai entendu la sonnette de l’entrée. Je ne sais plus ce qu’il était venu me demander, mais je me souviens parfaitement de ce qu’il a dit en voyant mon plaid :-Quel dommage. J’avais espéré voir de près ce que j’observe de loin depuis plusieurs semaines.J’avoue avoir eu quelques instants où j’ai douté avoir bien compris ce qu’il voulait dire, avant qu’il ne me touche la poitrine à travers la laine polaire de mon plaid, le regard salace et un sourire aux lèvres. Une fois, le plaid mis de côté, Monsieur X s’est contenté de regarder quelques instants mon corps dénudé, puis a engagé une conversation des plus normales, comme si je n’étais pas entièrement nue à moins de cinquante centimètres de lui. Personnellement, j’étais très excitée, je mouillais et n’avait qu’une envie : qu’il me doigte, là, sur le pas de ma porte. Je sentais ma mouille qui commençait à couler le long de mes cuisses et lui ne faisais rien, se contentant de me zieuter de temps en temps.Je ne sais pas combien de temps il est resté là à me faire la conversation, mais je sais que dès qu’il fût parti, je me suis précipitée sur mon tiroir à sex-toys, j’en ai sorti le plus gros gode ventouse de ma collection, l’ai collé sur le carrelage de mon salon (dont la baie vitrée donne directement sur les jardins et la maison de Monsieur X) puis l’ai chevauché énergiquement, mes gros seins (105 F) bondissant en rythme, tout en caressant mon clito gonflé par l’excitation. D’où j’étais, je pouvais voir Monsieur X assis sous sa véranda, m’observant aux jumelles.À partir de ce jour, je n’hésite à me déshabiller dans mon jardin et Monsieur X ne cache pas l’intérêt qu’il me porte. Une sorte de jeu s’est installé entre nous, celui du voyeur et de l’exhibitionniste. La plupart du temps, il se contente de regarder, mais parfois je m’installe sur la murette qui sépare nos deux jardins et le laisse me toucher les seins ou la chatte. Pour un homme de son âge incapable de bander, il est très doué pour me faire jouir juste avec ses doigts.Souvent, il me prend en photos ou me filme quand je me masturbe devant lui ou que je baise (il aime particulièrement quand je me fais prendre par plusieurs hommes à la fois) dans le jardin.Parfois, il me demande de venir faire un peu de ménage chez lui (« Vêtements non recommandés, Mademoiselle C ! », me dit-il à chaque fois). Étonnamment ou pas, à chaque fois qu’il me demande ce service, il a la visite d’un ou plusieurs hommes, pendant que je me trouve chez lui, nue et excitée. La plupart du temps, ce sont d’autres petits vieux du village qui se contentent de regarder, ou s’ils se sentent courageux me touchent légèrement les seins ou me mettent un doigt dans la chatte.D’autres fois, c’est son petit-fils, M, qui est obsédé par mon cul et se retrouve avec la trique dès qu’il voit ma petite porte arrière, et aime que je le branle entre mes seins.Parfois, ce sont des dépanneurs pour qui je fais le show : je joue avec mes seins, titille mon clito, me doigte la chatte ou le cul, m’enfonce des objects/fruits/légumes (suivant ce que j’ai à portée de main) dans le minou, gémis le plus bruyamment possible. Mais toujours, je donne l’impression que ce n’est pas pour eux, mais pour Monsieur X, que je me donne ainsi en spectacle. Jusqu’à ce qu’ils craquent et commencent à se branler discrètement à travers leur pantalon. Alors, je libère leur queue toute dure et les sucent jusqu’à ce qu’ils lâchent leur jus au fond de ma gorge, que j’avale sans en perdre une goutte.Le seul « invité » de Monsieur X que je laisse me baiser, c’est son infirmier, Y. Sa queue énorme et sa langue font des miracles, mais surtout, il aime me prendre violemment, m’étrangler, m’empêcher de respirer alors qu’il m’enfonce sa grosse bite au fond de la gorge. Je suis totalement à sa merci, souvent immobilisée, fréquemment humiliée, ses fessées laissent des marques pendant plusieurs jours, ses morsures restent visibles tout aussi longtemps. Quoi que l’on fasse, il finit toujours de me baiser en levrette, deux ou trois doigts dans le cul, histoire de décupler les sensations, tout en me traitant de sale chienne.Hum… rien que d’y penser, j’en mouille. Et… oui, voilà, un énorme vibro dans la chatte et un plug anal devraient diminuer un peu la tension.Ah… aaaah… Monsieur X est là, caméra posée sur un trépied, il filme, et me suce les seins et… et me tripote le clito, pendant que j’essaie de, de… je…. aaaaaah, oh oui oui oui oui oui, pendant que j’essaie de finir d’écrire mais c’est… aaaah, c’est difficile de se concentrer. Je crois que je vais m’arrêter là et profiter de quelques orgasmes.Partagez ce récit coquin : Tweeter