Au cours de mon service militaire, j’eus une permission inespérée d’une semaine qui me permit de rentrer enfin de Berlin. C’est là que je découvris avec stupeur que Diane, une voisine avec qui j’avais eu une intense aventure, n’était pas tout à fait celle que je croyais.Après avoir rapidement salué ma famille, c’est évidemment chez elle que je me rendis, avec le secret espoir de faire l’amour tout de suite, pour vider le trop-plein de ma libido en sommeil depuis trois longs mois. Les vingt-quatre heures de train m’avaient permis d’imaginer des tas de scénarios, les scènes les plus hard, des giclées de sperme époustouflantes, son petit corps tout frêle, ses seins aux tétons énormes, sa chatte brûlante et son anus que j’avais été le premier (disait-elle) à percer.Habitué de la maison, j’entrai sans frapper. Bien entendu, personne dans la cuisine, mais des rires dans le salon dont la porte était close. Une femme… Marie, la voisine, sans doute ? Non, ce n’était pas elle, je ne reconnaissais pas sa voix rauque. Une autre femme ! Alors là ! Je ne comprenais pas… une invitée pour le café sans doute ? J’hésitai.— Diane, tu es là ? demandai-je vivement.Les voix s’éteignirent d’un seul coup.— Oui, je viens ! Attends-moi, Jean !Quelques instants plus tard, la porte du salon s’ouvrit et Diane apparut, ébouriffée, en robe de chambre de satin blanc, pieds nus, rouge comme une pivoine.— Mais que fais-tu là ?— Une perm’ surprise. Que se passe-t-il ?— Ce n’est qu’une copine de travail, elle a mangé là, nous buvons le café…— En robe de chambre ?— Euh…Elle se jeta dans mes bras, ses lèvres cherchèrent les miennes et je ne refusai pas son baiser, depuis le temps que j’attendais cet instant. Lorsque nos langues se mêlèrent, je sentis comme un drôle de goût âcre et salé. Un goût de femme.— Qu’est-ce qui se passe ?— Oh, ce n’est rien !— Ta bouche a un drôle de goût !— …— Dis-moi ce qui se passe, lui demandai-je, légèrement énervé.— Bon, je vais t’expliquer.Elle me raconta alors qu’elle s’était liée d’amitié avec la jeune stagiaire qui lui avait été attribuée ces quinze derniers jours et que voilà… comme elle aimait les femmes, la tentation avait été trop grande. Histoire de connaître des sensations nouvelles !J’étais complètement abasourdi, ce n’est rein de le dire ! Mais cela ne semblait pas l’émouvoir plus que cela. Parfaitement détendue, elle ouvrit son peignoir sous lequel elle était complètement nue et vint se coller à nouveau contre moi. Je ne pus que sentir ses tétons dardés sur mon torse, à travers ma fine chemisette. Sans même réfléchir, je repris violemment ses lèvres, glissant mes mains sous le peignoir pour empoigner ses douces fesses, puis caresser son buisson touffu. Notre baiser dura longtemps, puis elle se détacha brutalement.— Alors, et maintenant, tu fais quoi ? Tu reviens ce soir ? Je te préviens, je risque d’être fatiguée ! Je n’ai pas l’intention de ne pas profiter de mon après-midi !— Ou… ?— Ou tu restes !Je me rendis compte d’un seul coup de la véritable personnalité de Diane. Elle avait découvert l’adultère avec moi et à présent, elle ne pouvait plus s’en passer. Je pensai alors que sa voisine Marie avait aussi quelques responsabilités là-dedans, elle, c’était une véritable nymphomane ! Devais-je m’en aller ? Rester, en acceptant sans doute de voir celle qui hantait mes nuits dans les bras d’une autre ? Je l’avais vue avec Marie, mais j’avais (à tort) imaginé que c’était uniquement pour me faire plaisir ! La raison me disait de partir, mais les jolis seins et la touffe noire que j’avais devant les yeux me soufflaient le contraire. Diane me secoua et me sortit de ma rêverie.— Tu veux vraiment ?— Mais oui, mon biquet ! J’ai hâte de sentir ta belle queue !— Mais… l’autre ?— L’autre s’appelle Anne et ça, ce n’est pas un problème ! Allez, viens !Elle m’entraîna vers le salon où, effectivement, ce n’était pas un problème ! Nue sur le canapé, une magnifique jeune fille que j’avais déjà vue en ville, ayant largement passé la vingtaine d’années, attendait, assise, les cuisses serrées. Blonde, des cheveux courts, elle possédait une poitrine avantageuse aux aréoles larges et aux tétons rosés. Son sourire était forcé, elle ne semblait pas savoir quelle attitude adopter. Diane quitta son peignoir et m’invita à me déshabiller. Puis elle me tira vers l’endroit où se trouvait son amie. Quelques secondes plus tard, elle était accroupie devant moi et me suçait comme une damnée. C’est là que je vis cette chose extraordinaire. Anne, je la connaissais de vue, mais ce qu’elle offrait à ma vue dépassait mon imagination. Elle se branlait en nous regardant, mais au lieu de faire cela en enfonçant ses doigts dans sa chatte, comme je l’avais vu faire par Diane et Marie, c’était tout simplement une queue miniature longue de trois ou quatre centimètres qu’elle masturbait entre deux de ses doigts. Un véritable gland entrait et sortait de son capuchon lors des mouvements, un bouton rose, enflé et luisant de mouille. Au-dessous, son sexe coulait, ses cuisses étaient gluantes de cyprine. Elle souriait de voir mes yeux complètement écarquillés. Diane se releva d’un coup, brisant cet instant de découverte.— Allons dans la chambre ! Nous serons plus à l’aise.Nous la suivîmes sans rechigner. Du coup, la tension était un peu retombée, ma bite aussi, au grand damne de Diane qui comptait bien se régaler d’une bonne dose de foutre bien chaud.— Quand tu es arrivé, tu as interrompu la fellation que j’étais en train de prodiguer à Anne !— Fellation ?— Tu as vu sa bite ? Elle est mignonne, non ?— Effectivement.— Allez, vas-y, elle adore se faire sucer, occupe-toi d’elle. Et bande, s’il te plaît, je veux te terminer !L’instant de surprise passé, je m’agenouillai entre les cuisses d’Anne qui me présenta son sexe, en écartant largement les grandes lèvres charnues de ses deux mains. C’était extraordinaire ! Je commençai par la lécher du bout de la langue, un brin intimidé par cette chose extraordinaire. Habitué à l’onctuosité de Marie et de Diane, de leurs lèvres tendres et gonflées par le plaisir, je fus agréablement surpris par la présence supplémentaire de ce petit appendice tout dur. Diane m’encourageait, mais je sentais bien qu’en même temps elle se moquait de moi.— Vas-y, suce comme si c’était une bite !Elle me reprit dans sa bouche alors que ma queue était presque au repos. Qu’est-ce que je pouvais en savoir, moi ? Je n’avais jamais sucé de bite ! Et cela ne m’était même pas venu à l’idée ! A la caserne, j’aurais pu, mais je ne l’ai pas fait ! Non mais ! Néanmoins, je pris plaisir à m’occuper essentiellement de ce petit bout de chair en érection.— Tu vois, ça te fait même bander, me fit remarquer Anne.En effet, Diane avait de plus en plus de difficultés à m’avaler entièrement, se contentant de suçoter mon gland épais et de me masturber doucement. L’effet de mon action sur le gros clitoris d’Anne ne tarda pas à avoir des effets sur la jeune femme. Je sentis brusquement ses cuisses se serrer autour de mon cou, son bassin se soulever nerveusement, par à-coups, allant à la rencontre de mes lèvres scellées aux siennes, plus intimes. Ouvrant grand ma bouche, j’aspirai ce sexe béant tout entier, laissant ma langue courir sur le bouton durci. L’effet fut immédiat : le corps d’Anne se tétanisa et un cri rauque jaillit de sa bouche, tandis que je me sentis étranglé par ses cuisses durcies. Je parvins à me dégager de l’emprise des deux femmes et repris doucement ma respiration, la bouche emplie d’une quantité incroyable des sécrétions que la jeune femme avait envoyées dans ma bouche. Diane se précipita pour venir partager cette liqueur d’amour qu’elle avait l’air d’apprécier au point d’oublier complètement ma bite qui battait contre mon ventre. Anne, alanguie, avait aussi un peu de mal à récupérer. Diane changea de côté et l’embrassa tendrement, puis descendit lécher tendrement la chatte encore béante de son amie.Le spectacle était grandiose. Intérieurement, je remerciai ma tendre voisine de m’avoir offert involontairement de participer à cette partie de plaisir. Si je racontais cela à mes copains de chambrée, ils me feraient bien comprendre que je lisais trop de revues pornographiques qui circulaient dans la caserne. Je le garderai pour moi. Mais ce qui importait le plus maintenant, c’était d’en finir avec cette érection qui me faisait mal. Laissant Anne reprendre ses esprits, Diane revint vers moi.— T’as vu ça ? Moi non plus, je ne l’imaginais pas !— C’est génial !— Sais-tu qu’elle est arrivée à me faire jouir juste en frottant sa petite bite contre mon clito ?— Et si tu t’occupais de cette chose qui demande du secours, lui fis-je remarquer en empoignant ma verge tendue ?Elle me bouscula, me plaçant sur le dos. Et sans autre forme de procès, m’enjamba, se saisit de ma bite, la plaça à l’entrée de sa chatte gluante et s’empala d’un coup de reins, nous arrachant un gémissement. Elle ne bougea plus, le temps que son vagin prenne la mesure de la hampe qui l’occupait. Elle attira Anne près de nous et lui fit un signe. Je compris très vite où elle voulait en venir. Anne enjamba mon visage et colla sa chatte sur ma bouche ouverte qui accueillit avec joie ce sexe bizarre. Pendant ce temps, elles s’embrassaient et se tripotaient les seins. Les va-et-vient commencèrent alors, tantôt longs, tantôt rapides, mais toujours au plus profond de son vagin qui dégoulinait sur mes couilles. Elles changèrent de place, inversant les rôles, non sans être venues mettre à mal ma résistance avec leurs bouches goulues, aspirant en même temps mes boules durcies et mon gland à vif. Diane était une véritable fontaine, j’eus du mal à avaler tout le jus qui en sortait. Mais le plus surprenant fut le frottement du clitoris d’Anne à la base de ma queue au moment où elle s’est entièrement empalée.Involontairement, mon bassin s’est soulevé pour aller à la rencontre de cette présence qui me donnait une envie irrésistible de jouir instantanément. Mais je me devais de les attendre, j’avais retenu les leçons des premiers rapports plutôt rapides qui avaient laissé ma voisine en rade. Par bonheur, je sentis Diane, au-dessus de moi, commencer à donner des coups de bassin désordonnés. Je ne les voyais pas, mais je devinais que les deux femmes s’embrassaient et se trituraient les seins violemment. La chatte d’Anne se serrait convulsivement sur ma queue. L’instant fatidique arrivait. Diane me délivra, se coucha près de moi et se masturba comme une folle. Elle jouit dans un cri. Anne se coucha sur moi, m’embrassa fougueusement en frottant sa poitrine sur mon torse. Au moment de jouir, elle serra ma queue dans son fourreau soyeux, son clito enfoncé dans les poils de mon pubis.L’explosion de ma jouissance fut phénoménale. Mon sperme remonta le long de la hampe et jaillit de mon gland gonflé en saccades. Elle n’accepta qu’une partie des giclées en elle et laissa les dernières, moins violentes, s’écouler doucement entre nos corps, collant nos pubis. Après quelques instants de récupération, nous nous retrouvâmes tous les trois sur le dos, vannés, prêts à nous endormir. Enfin, Anne et moi. Car Diane, friande des choses de l’amour, passa encore un bon quart d’heure à nettoyer nos sexes gluants de sperme avec sa langue. Je remarquai tout de même, avant de fermer les yeux, qu’elle prit grand soin du joli clitoris de sa nouvelle amie.