Promenade imprévue en forêtPetit après-midi sans a priori de septembre, arrière-saison très agréable, en retour de lèche-vitrine. Pantalon et tee-shirt couleur jean pour moi et robe bleu marine style ancienne blouse d’école à manches courtes, gros boutons et ceinture pour Léa. Nous n’avons pas trouvé grand-chose, mais en traversant le petit bout de forêt qui nous ramène à l’appartement :— J’aimerais bien trouver quelques petites fougères pour mettre sur le balcon.Cela dit, ma foi, sans arrière-pensées. Parking, donc et chemin forestier, bras dessus, bras dessous, évidemment. C’est quand nous avons croisé ce promeneur que le déclic a eu lieu. Non, non… sérieux… avant, nous n’y pensions sincèrement pas… avant… mais après ! Le regard de cet homme sur ma petite fée nous fait nous regarder en souriant.— Tu penses à la même chose que moi ?— ÉVIDEMMENT… me confirme Léa en se blottissant un peu plus à mon bras.Du coup, ma main qui était posée sur sa taille, simplement amoureuse, devient immédiatement coquine, se met en devoir de grignoter un peu le tissu de la robe. Ma main gauche, profitant que Léa est collée contre moi, compense de suite le tissu du vêtement de l’autre côté. La robe qui, sagement, arrivait à mi-cuisses, remonte doucement mais sûrement. Je nous arrête, enlace ma petite fée, et sous prétexte de l’embrasser, me renseigne.— Nous avons un spectateur… discret… mais spectateur.Rassurés et surtout ravis, nous reprenons, et pas seulement notre promenade. Mes doigts viennent doucement accumuler le tissu de la robe, qui rétrécit, sous la ceinture. Quand, à vue de doigts, je pense avoir raccourci de dix centimètres, je montre à Léa un hypothétique plan de fougères de la main :Léa s’avance à quelques mètres pour me faire admirer que non seulement sa robe est bien devenue une mini, mais aussi que ses cuisses sont vraiment toujours aussi sexy.— Tu es franchement à croquer… Petit chemin à droite.Nous nous y engageons doucement, sans pour autant oublier de continuer de raccourcir sa robe. Je penche un peu devant Léa pour nous assurer que la robe devenue mini soit effectivement toute mini, mais surtout à la limite extrême de la décence.— De derrière, je suis certaine qu’il doit apercevoir la naissance de mes fesses… et avec un peu de chance ma petite culotte, me roucoule, très chatte, Léa.— Je préférerais qu’il ne puisse pas la voir, ta petite culotte… dis-je, amusé, à Léa – amusé surtout par le regard incrédule qu’elle me fait. Bah… c’est tout simple, ma fée… il faut simplement que je te l’enlève…Un fou rire suit immédiatement cette évidence, pour le moins bien vue et bien venue. Un regard alentour nous fait miroiter ce gros arbre, là-bas, sans pour autant oublier notre promeneur… il nous suit avec discrétion, d’arbre en arbre. Nous avons de la chance : un voyeur certes, mais un voyeur courtois et respectueux. Nous quittons le petit chemin pour faire plus ample connaissance avec cet arbre.Léa s’adosse à lui. Je prends tranquillement le temps de l’embrasser en la pelotant, pour le plaisir, mais aussi pour laisser le temps à notre voyeur de se trouver un endroit où il puisse mater non seulement sereinement, mais aussi distinctement. J’écarte doucement les bras de Léa pour les installer autour de notre complice, qui sera le seul à rester de bois. Je m’accroupis devant cette déesse de sensualité et remonte doucement une main sur l’intérieur de sa cuisse. De l’autre, je fais signe à notre voyeur qu’il ne doit pas faire de bruit ni se montrer, afin qu’il comprenne qu’il ne pourra qu’être voyeur et invisible. Mater, se branler, oui, mais pas s’imaginer pouvoir toucher, caresser et encore moins sauter ce corps de rêve, cette femelle excitante et impudique. Son signe de tête me conforte dans son respect de vrai voyeur.Alors ma première main se trouve rejointe par la deuxième et, ensemble, elles se mettent à folâtrer, caresser, explorer ces cuisses fabuleuses, pour remonter doucement vers ces convoitises merveilleuses que sont ses fesses et sa belle petite chatte. Je glisse ces doigts fouineurs sous la micro robe, tatillonne pour attraper la petite culotte et délicatement, la fait descendre religieusement sur ses cuisses jusqu’aux pieds, sans oublier de regarder notre voyeur. Braguette grande ouverte, son sexe rigide à l’air libre, il se branle, les yeux rivés sur ma petite fée lubrique.— Ton admirateur apprécie grandement, à ce que je vois…Je me penche sur sa toison, enfouis ma bouche dans ce parfum humide, et les deux mains lui attrapant les fesses, associe une langue chercheuse, complaisante et goulue. Je me redresse pour m’occuper aussi un peu de cette merveilleuse poitrine, bien à l’étroit dans ce petit soutien-gorge. Un bouton, deux, trois puis quatre, les pans de la robe s’écartent par la magie de mes doigts, laissant découvrir ce petit vêtement qui va devenir rapidement un souvenir. Petites contorsions de complaisance, et la magie continue d’opérer en la « personne » de ces deux divins petits globes d’érotisme. Le soutien-gorge rejoint la petite culotte au fond de ma poche.Léa est somptueuse, les cuisses nues, légèrement écartées, les bras grands ouverts, exhibant, indécente, sa poitrine soyeuse à nos regards gloutons et « violeurs », la robe ne servant que d’écrin complice et très sexe. Une main sur cette poitrine avenante et l’autre pataugeant dans sa petite moule, je malaxe, tripote, triture, viole, me goinfre de ce fabuleux fruit aux saveurs pimentées et douces à la fois. Notre voyeur, lui, s’active frénétiquement devant ce spectacle grandiose.— Il ne va pas tarder à jouir pour toi…J’ai à peine le temps de finir ma phrase que Léa se contracte violemment, en resserrant fortement ses cuisses sur ma main inquisitrice et m’attrapant le bras avec ses deux mains, le souffle rauque accompagné d’un « Huuummmm… » expiateur, elle se mord les lèvres de plaisir, laissant exploser sa jouissance. Notre complice, près de son arbre, se laisse aller lui aussi, arc-bouté, congestif, en lâchant son jet blanchâtre. Léa, les yeux rêveurs, dans le vague, plane. La quiétude de son visage tranche avec la tempête qui vient de la « ravager » il y a quelques instants, cette quiétude de ravissement lui donne un visage poupon et irréel.Je la prends par le bras et nous nous dirigeons à nouveau sur le petit chemin. Petit détail d’organisation : je lui laisse volontairement sa robe débraillée, lui laissant les seins à l’air et à tous vents, surtout à tous regards, et bien évidemment toujours aussi mini-mini au ras de son cul et les poils de sa chatte franchement visibles. Si Léa est fourbue de jouissance, moi, par contre j’en ai mal à la queue tellement je bande encore, et je compte bien continuer un peu à m’exciter de ma petite poupée d’érotisme, surtout que, quand elle est dans cet état second, elle reste a-réactive comme si elle avait fumé un joint trop fort ou abusé d’alcool. Donc, j’en profite, pour mon plus grand plaisir, et nous avançons l’air de rien. Le spectacle est vraiment fabuleux, avec un peu de chance, nous allons pouvoir aller jusqu’à la voiture, et j’espère peut-être même la faire mater « en passant ».Bien sûr, je ne reste pas inactif. J’ai les mains baladeuses, avec tendresse, tendresse, oui, mais sur ses seins offerts, sur son cul à l’air et sur sa chatte à demi exposée, je me régale de ces caresses sensuelles et douces tout en avançant tendrement. Notre voyeur a visiblement vu mon petit manège, et coupant à travers les taillis, se retrouve à une vingtaine de mètres de nous sur le bord de notre chemin et attend en connaisseur notre passage, notre pas sage, je devrais plutôt dire .Je ralentis, ravi. Continuant à peloter Léa, j’en profite pour remonter encore un peu plus sa robe et ouvrir béante l’échancrure sur ces petits seins adorables. Léa a comme un sursaut :— Y a quelqu’un…— Oui… je sais… c’est notre voyeur… laisse-toi aller…En arrivant à sa hauteur, Léa a les yeux pratiquement fermés et les pommettes bien rouges, les seins totalement à l’air et la robe à la taille. Ce que j’aimerais être à la place de notre voyeur en ce moment, mater une telle inconnue, dénudée et offerte. Les yeux la dévorant de partout, un « Merci » lui ponctue le résumé de ses pensées.Une voiture vient de rentrer sur le parking au loin. La robe reprend de suite son aspect vestimentaire conventionnel. Le charme est rompu, dommage, j’avais espéré pouvoir me masturber devant Léa et lui jouir dessus… pour qu’elle rentre jusqu’à l’appartement maculée de foutre… Ce sera pour une prochaine fois.