Louis, jeune black de vingt cinq ans attend au sous sol, planté devant les ascenseurs. L’un deux est bloqué au huitième étages. Il hésite à monter de peur de le croiser. »A, çà y est, il descend »Huit…Sept…Six. »Merde, il s’arrête. Non. Il redémarre ».Cinq…Quatre…Trois…Deux…Un…Sous sol. Ting , ting.La porte s’ouvre. Mélissa, superbe métis de vingt deux ans, future épouse de Louis, est allongé sur la moquette de l’ascenseur. Elle est entièrement nue, jambes écartées. sa minijupe, son débardeur, et son string jonchent le sol autour d’elle. Elle se doigte le clitoris totalement décalotté, et fait courir un doigt sur sa fente, ou l’on peut voir du sperme couler de l’orifice. Tout son corps en est maculé. Même la commissure des lèvres. Son poing gauche est serré, comme s’il cachait quelque chose.-Mais chérie, dit Louis surpris. Que t’est-il arrivé?-Oh mon amour, comme je viens de me faire régaler, répond-elle.-Mais comment, je comprend pas.-L’ascenseur s’est fermé devant moi, alors, j’ai du prendre l’autre……-Venez, Mademoiselle, dit Hervé en tenant la porte. Laisse passer Didier.-Merci, répond Mélissa, c’est gentil.Les deux jeunes garçons sont âgés de dix neuf et vingt ans. Très beaux. La tenue sexy de Mélissa ne l’est laisse pas indifférent. Ni une, ni deux, Hervé bloque l’ascenseur.-Merde, dit Didier, une panne. Quelle poisse.On est au huitième étages. Les images les plus malsaines défilent dans la tête de Mélissa. Elle a peur, coincée là avec deux inconnus. En plus, la lumière s’affaiblit. Elle sent un souffle chaud dans son cou. Un bras musclé l’a prend par la taille, l’autre s’engouffre sous le débardeur. C’est Hervé. Didier, lui, est devant elle. Il pose ses mains sur les cuisses de Mélissa, et remonte sur les hanches. Il sent la peau frissonné sous ses doigts. Il baisse le string.-Mais vous êtes fou, arrêtez tout çà, se débat-elle. mon copain m’attend, déconnez pas.Hervé arrache le débardeur. Deux petits seins bien fermes, bien galbés, jaillissent dans la cabine. Didier glisse une main entre les jambes de la jeune black. Mais celle-ci les serrent, bouchant le passage.-Je vous en prie, laissez moi, sanglote Mélissa.Cependant, le pouce d’Hervé est libre de tout mouvements. Il se porte en haut de la fente, et joue avec le clitoris qu’il décalotte. Doucement, les cuisses s’écartent. La respiration de Mélissa s’accélère. son corps a tendance à s’abandonner. La minijupe rejoint le string et le débardeur. Mélissa est totalement nue, son jeune corps offert à ses deux agresseurs. Didier se déshabille. Son membre est impressionnant. Il soulève les jambes de Mélissa. La chatte humide est entièrement offerte. Doucement, le gland, complètement décalotté, ouvre la fente. Elle ferme les yeux, en poussant un petit cri de plaisir.-Enfoiré, gémit-elle, Qu’est-ce-que tu me fais là. Tu me niques salaud. Vas-y, prend moi.Toujours empalée sur sa queue, Didier la couche sur la moquette. Hervé ôte son bermuda, et se met à genoux, et place sa bite contre les lèvres de Mélissa. Maintenant chaude, elle ouvre la bouche et l’avale. Il commence ses mouvements de branle.-La petite pute, dit-il, elle sait tailler les pipes.-Regarde comme elle mouille, poursuit Didier, elle aime la queue des jeunes blancs, hein?Mélissa cambre ses reins pour mieux se faire pénétrer. Le bout de ses seins roulent entre les doigts d’Hervé. C’est sur, elle va jouir.-Hum..hum, gémit Mélissa. Vous êtes moins montés que nos mecs, mais quelle façon vous avez de caresser une femme, oh putain, que c’est bon. Ils nous font pas çà eux.-Je viens, grogne Hervé, j’espère qu’elle avale. han..han.-Mais bien sur que j’avale chéri, soupire Mélissa. Tu vas voir quand je vais te nettoyer le bout, et te bouffer les couilles.-Et moi, râle Didier, ce que je lui met dans la chatte à cette pute. Houa, ha, la salope.C’est au tour de Mélissa. L’orgasme est terrible. Seule la queue d’Hervé atténue le cri.-Oh putain, comme je me le suis fais mettre. Il y a un moment que j’ai pas pris un coup de queue comme çà. Enculés. et comme vous m’avez caressée, vicieux. Donnez moi encore, s’il vous plait. ma petite chatte en veut encore. Et mon petit trou. Vous l’avez pas pris lui.Mélissa est souillée de spermes. Sur ses lèvres, sur son ventre, au bord de sa chatte. Elle est épuisée. Les deux jeunes hommes se rhabillent. Didier se penche sur elle, et lui glisse une petite carte.-Tiens, dit-il, nôtre adresse. si çà te dis de te faire enculer, on aime bien faire çà aux jeunes blacks.-Je viendrai me le faire mettre, très bientôt, répond-elle, promis. S’il vous plait, embrassez moi.Hervé fait descendre l’ascenseur jusqu’au sixième, puis appuie sur sous sol.