Pina m’avait appelé vers 13h, juste au moment où je venais de m’étendre pour une petite sieste avant de reprendre mon travail. Elle voulait me voir ce soir et me demandait si elle pouvait passer vers 21h. Je ne l’avais pas vu depuis une semaine. Je savais donc qu’elle allait m’appeler aujourd’hui, sinon demain. »Ok Pina, passe à 21h, mais pas plus tard, parce que demain, je dois encore me lever assez tôt comme tu le sais » »Ne t’inquiète pas Fred, je serai à l’heure. Mais tu sais, ma cousine Mimi aimerait bien venir avec moi, elle n’a rien à faire ce soir, alors je lui ai dit qu’elle pouvait m’accompagner. Ça te dit ou tu préfères que je vienne seule? »Pina savait très bien que je n’allais pas refuser que sa cousine l’accompagne, bien au contraire… J’avais vu Mimi une seule fois, alors qu’elle accompagnait Pina à un rendez-vous que je lui avais donné il y a plusieurs mois. J’avais vu Pina arrivée de loin, grande, fine, noire et très belle, comme d’habitude. Pina était l’archétype quasi parfait de la jeune malienne qui, en apparence, se montrait très insouciante et n’aimait rien temps que de s’acheter de beaux vêtements qui mettraient encore un peu plus ses formes en valeur. La fille qui l’accompagnait était moins grande que Pina et un peu plus forte aussi, mais elle avait de magnifiques tresses lâchées sur son dos et une peau aussi noire que celle de Pina. Elle portait un jean assez moulant, des tapettes en plastique rouge qui dévoilaient deux très jolis pieds et surtout, elle portait un débardeur, rouge lui aussi, avec un décolleté très échancré. Elles étaient à quelques mètres de moi et avançaient tranquillement dans ma direction. Quand Mimi vint me saluer, je n’ai pas pu décrocher mon regard de son décolleté. Sa poitrine était très forte et le galbe parfait de ses seins se partageait en deux merveilleuses poires d’où ressortaient deux tétons que j’imaginais plutôt comme deux belles tétasses très noires et très dures. Pina connaissait mon faible pour les gros seins et plus particulièrement ceux de ses sœurs africaines et elle m’avait bien vu presque baver de désir devant sa cousine.Depuis ce jour, je n’avais pas oublié Mimi et régulièrement, j’en demandais des nouvelles à ma douce Pina et il m’arrivait parfois de lui en parler quand nous faisions l’amour. Pina aimait bien se prêter aux jeux de mes phantasmes et c’est avec beaucoup d’excitation que je lui faisais l’amour en imaginant Mimi ou certaines autres de ses amies à nos côtés. »Pas de problème Pina, tu peux venir avec Mimi. Tu le sais très bien d’ailleurs…Mais dis-moi, vous voudrez dîner avec moi ou seulement regarder un DVD? » »Oui Fred, on va dîner avec toi, mais s’il te plaît, achète-nous du poulet ok? Mimi adore ça et ça lui fera vraiment plaisir d’accord? »Je répondis à ma belle que problème ta la! C’est à dire que j’allais leurs faire plaisir et payer deux bons poulets si c’est ce qu’elles voulaient. »Mais dis-moi Pina et si j’ai envie de toi, comment est-ce qu’on va faire avec ta cousine? Tu prendras bien un peu de temps pour moi quand même non? » »On verra Fred, Mimi comprend ça. Tu sais qu’elle a un copain maintenant. T’inquiète pas va! Allez, je t’embrasse partout, à ce soir mon chéri… »Bon, il faut dire que je n’ai pas pu faire ma sieste, mais je suis resté allongé sans pouvoir m’empêcher de me caresser doucement en pensant aux seins de Mimi et à la si jolie bouche de Pina. J’avais 4 heures de boulot devant moi avant de me préparer pour cette soirée.Les deux poulets étaient au four, terminant de rôtir et les pommes de terre sautées à l’ail encore en train de cuire, répandaient dans la villa une bonne odeur qui me mettait en appétit.Elles arrivèrent à 21h30, alors que je regardais une fête de village sur l’unique chaîne de télévision malienne. J’étais en tong, pantalon léger en tissus pagne et une chemisette de la même étoffe. Les deux gros ventilateurs du plafond ronronnaient tranquillement et soulageait quelque peu l’atmosphère assez chaude de ce mois de mai au Mali.Les deux cousines étaient magnifiques. Elles étaient toutes deux en pagnes et en tapettes. Un tee-shirt rouge pour Pina qui faisait d’avantage ressortir le noir ébène de sa peau et une chemisette blanche pour Mimi de laquelle transparaissait un soutien-gorge blanc lui aussi. Toutes deux avaient des tresses mi-longues attachées par un gros chouchou. Pour un amoureux comme moi des femmes noires, c’est un réel bonheur de voir, sinon de contempler sans jamais en être lassé, la beauté profonde et sensuelle de ces filles à peaux d’ébène.A peine rentrées dans le salon, elles jetèrent les tongs, se retrouvant pieds-nus et vinrent s’asseoir sur le canapé, face à la télévision. Mimi, réservée, regardait l’émission, tandis que Pina me racontait ses dernières nouvelles. Puis elles se levèrent toutes deux quand Pina décida de préparer la table et de sortir les poulets du four. Le repas pouvait commencer.Je m’étais prévu une bouteille de Château Ferrande et bien sûrs quelques sodas pour les filles.Pendant le repas, Pina taquinait Mimi sur son copain, un dénommé Soulé que je ne connaissais pas, mais que j’enviais déjà pensant comment il devait s’amuser la tête enfouie entre les deux gros seins de Mimi. »Alors Mimi, Soulé, il te fait bien l’amour oui ou non? »Mimi, un peu gênée devant moi et n’osant pas trop répondre, me demanda un peu timidement si cela ne me dérangeait pas que l’on parle de ça.Je pris deux secondes de réflexion avant de lui répondre très laconiquement: »Mais non Mimi, tu sais, ce sont des choses de la vie, alors vraiment, ne te gênes pas pour moi et puis cela me plaît bien de vous écouter parler de vos histoires de cœur, vraiment… »Un peu hypocrite je le reconnais, c’était plutôt leurs histoires de cul qui m’intéressaient…Mais à peine ai-je répondu cela que la jolie Mimi se sentit bien plus à l’aise et répondit du tac au tac aux questions de Pina.Je décidais de les écouter en buvant tranquillement mon Château Ferrande. J’appris que Mimi en était à son troisième petit ami et c’était bien avec lui qu’elle faisait le mieux l’amour comme elle l’expliqua avec quelques détails à Pina. » Est-ce que tu l’as sucé?  » lui demanda Pina.La question me fît un effet bizarre… » Non, il me l’a demandé mais je n’aime pas ça. Je trouve que c’est un peu sale de sucer le sexe d’un homme… » » Mais non, arrête!! Tu ne sais pas ce que tu perds!! Fred lui, il adore quand je le suce, comme tous les blancs d’ailleurs. Ce n’est pas vrai Fred? «  » Euh oui, c’est vrai oui. Mais je crois que tous les hommes aiment cela, mais si Mimi n’aime pas ça, peut-être que c’est vrai pour l’instant, mais peut-être que ça changera avec le temps non Mimi? Qu’est-ce que tu en penses ? » » Allez Mimi, je suis sûr que si quelqu’un te montrait comment on fait, comme moi par exemple, cela te donnerait sûrement envie de le faire…Et puis je t’assure, c’est tellement bon de sucer, moi j’adore ça… » » Peut-être oui, mais seulement si c’est toi qui me montre comment tu fais alors… »Ah les deux cousines! Finalement, elles savaient très bien ce qu’elles disaient et je suis sûr qu’elles avaient décidé bien avant d’arriver chez moi de parler de tout cela. J’en étais à un point où je commençais de plus en plus à fantasmer sur l’idée de prendre Pina et sa cousine en même temps. »Ok, on débarrasse la table, on va prendre une bonne douche, puis on va se mettre à l’aise et je vais te montrer comment moi, ta cousine plus âgée que toi, je suce mon chéri. Ok Fred ? «  » Ok Pina!  » Répondis-je avec la voix très enrouée…Seigneur! Le vin me montait doucement à la tête, m’engourdissant légèrement l’esprit et surtout, mon sexe n’en pouvait plus de durcir. Je bandais sévère dans la culotte!Elles sont allées dans la salle de bains, refermant derrière elles la porte. Je me suis empressé de courir m’agenouiller derrière la porte et de regarder par le trou de la serrure. Les deux belles maliennes étaient nues comme au premier jour de la création. Deux belles filles noires qui maintenant se savonnaient mutuellement le dos et les nichons et la blancheur du savon n’en rendait que plus sexy encore la divine couleur de leur peau. N’en tenant plus, je m’astiquais légèrement le bout de la queue, suant comme un écolier qui verrait pour la première fois les fesses de sa copine.Au bout de 10 minutes de douche où j’essayais de les observer sous tous les angles, je retournais rapidement à ma place comme si je n’en avais pas bougé.Elles arrivèrent toutes les deux comme je les avais vues sous la douche, totalement nues. Pina avait une bonne poitrine, très légèrement tombante, ce qui leurs donnait une longueur assez impressionnante. Sa poitrine ressortait d’avantage à cause de la finesse de sa taille. Sa chatte était taillée parfaitement en triangle et ses poils bien frisés me donnaient tout de suite envie de la doigter. Quant à Mimi, c’était tout simplement l’opulence des formes, l’Africaine pleine, rebondie de partout, avec des fesses amples et dodues, mais bien évidemment, le morceau de choix, c’était ses magnifiques seins, larges, deux grosses poires que mes deux mains rêvaient de palper. Ses tétons étaient de véritables tétasses prêtes à se faire sucer, aspirer, n’y manquait plus que le lait pour que j’explose littéralement!J’étais sur le canapé, j’avais éteint le téléviseur. Je n’entendais plus rien, si ce n’était ma respiration et les gloussements des deux cousines qui avaient vu la bosse que produisait l’érection de mon sexe dans ce large pantalon africain qui ne dissimulait plus rien.Pina vint se mettre à genoux entre mes jambes. Elle était par terre et me regardait dans les yeux, me faisant un clin d’œil qui m’annonçait le plaisir que j’allais avoir. Elle demanda à Mimi de venir s’agenouiller à ses côtés, ce qu’elle vint faire aussitôt. Quel bonheur que d’avoir ces si jolies négresses, un mot qui roulait dans ma bouche quand je les regardais, agenouillées toutes les deux autour de mon sexe.Pina sorti ma verge, commença à la masturber doucement, en la regardant avec affection, comme si elle tenait dans ses mains noires une poupée blanche avec laquelle elle avait tout le temps de jouer. Elle demanda à Mimi de se rapprocher encore plus prêt d’elle, puis elle colla doucement sa bouche contre celle de sa cousine. Elles s’embrassèrent toutes les deux doucement, lentement, se mélangeant les langues, la salive, tandis que Pina me masturbait toujours très lentement. Puis elle descendit sa tête sur mon sexe, commençant par lui faire de petits bisous, y passa la langue en descendant sa main sur mes testicules. Mimi la regardait faire, me lançait quelques œillades, tout en se palpant les seins. Pina, maintenant, me suçait totalement, faisant coulisser sa belle bouche de fille noire aux lèvres voluptueuses sur toute la longueur de ma verge. Elle crachait doucement sur mon sexe, sachant que j’adorais cela, puis revenait sur la bouche de Mimi, lui mélangeant sa salive et le goût de ma queue. Puis elle dit à Mimi de venir me sucer, qu’elle voulait lui apprendre à faire une bonne pipe. Mimi engouffra aussitôt sa bouche sur ma queue, comme une folle, comme si elle attendait ce moment depuis des semaines. Elle suçait fort, faisant de gros bruit de succions. Pina monta à hauteur de mon visage et vint me lécher la bouche. Elle avait le goût de ma pine. Sa bouche était pleine de salive qu’elle fît couler sur mon menton. »Alors mon chéri? Tu aimes ça hein! De te faire sucer par tes deux négresses, tes deux chiennes qui te sucent ta queue blanche? Ca t’excite hein! Mon salop? »Et elle m’embrassait de plus belle, descendant sa main sur ma queue que gobait littéralement Mimi. »Attends Mimi, laisse moi branler sa queue de salop dans ta bouche, tu veux ça Mimi? » »Oui! » répondit-elle la bouche pleine. »Alors ouvre ta bouche chienne! Que je branle mon chéri dans ta bouche d’africaine! Je sais qu’il aime ça le salop! Quand il me baise, il me parle de toi et il me dit qu’il rêve que je le branle dans ta bouche, alors c’est mon cadeau que je lui fais ce soir, hein! Mon chéri? »Je ne pouvais rien dire, si ce n’est que j’avais l’impression d’avoir vraiment deux chiennes à mes pieds qui n’étaient là que pour m’offrir leurs bouches, que je puisse me vider totalement dedans et sur leur visage.Puis Pina descendit à son tour sur ma queue qu’elle voulait maintenant partager avec sa cousine.Je n’en pouvais plus. Leurs deux bouches étaient collées contre ma verge. Elles me suçaient tantôt ensemble, tantôt à tour de rôle. Pina crachait sur ma queue en faisant le plus de bruit possible et Mimi aussitôt venait lécher sa salive sur ma queue, puis elle se mit elle aussi à cracher sur ma queue, puis elles crachèrent ensemble, comme des chiennes excitées et folles. Elles décidèrent de mettre leurs seins lourds et pleins sur ma queue et commencèrent à me branler avec, tout en se léchant mutuellement le visage. »Pina, Mimi, vous me rendez fou! Pina, crache sur ta cousine, crache sur ta chienne de cousine, lèche sa bouche, insulte-là !! »J’en étais là , tellement excité que je ne voyais plus que deux grosses chiennes pleines de salives, suantes, transpirant, avec des langues roses, des jus de partout, comme si je perdais le contrôle de moi-même…Pina cracha sur le visage de Mimi, la traita de pute, de putain des rues, lui dit que c’était une bonne chienne qui savait comment sucer une bite. Mimi ne répondait pas, mais elle était visiblement très excitée de se faire insulter et cracher dessus par sa cousine. N’y tenant plus, je pris leur tête afin de les embrasser toutes les deux en même temps, de me mélanger à leur bouche, de frotter mon visage qui se retrouva plein de salive, de ce goût particulier de sel et de coups de langues mélangés.Puis je rappuyais leur tête sur ma verge et leur ordonnais à nouveau de me sucer en disant à Pina que Mimi allait enfin prendre du sperme dans la bouche si elle continuait ainsi. Pina me répondit qu’elle aussi voudrait sa dose de foutre, je lui avais appris ce mot qu’elle ne connaissait pas et qu’elle répétait maintenant avec gourmandise, mais qu’en aucun cas, elle allait laisser Mimi tout prendre pour elle.Elles continuèrent donc à me sucer, m’avaler, me pomper le gland. Mimi et Pina passant chacune à mes couilles, jusqu’à ce que Mimi décide de me lécher le cul. Je faisais de gros effort pour ne pas cracher tout de suite mon sperme. Puis je sentis que j’avais envie de pisser tout ce vin que j’avais bu. Je le dis à Pina. »Oh Pina, je vais devoir arrêter deux minutes, il faut que j’aille pisser! »Mimi se retira aussitôt, mais Pina me répondit: »Pourquoi Fred? Tu sais que ma bouche de chienne est à toi, tu en fais ce que tu veux, tu peux pisser dedans, j’en ai envie et je sais que Mimi, si je lui demande, elle va accepter aussi, hein! Mimi? »Mimi regarda Pina, visiblement très surprise. Elle fît un peu la moue, mais Pina insista, lui embrassa de nouveau la bouche et lui dit: »Oh! Mimi, tu vas voir, Fred va pisser doucement dans nos bouches, ça va te plaire tu vas voir, ça va être tout chaud et rappelle toi ce que je t’ai dit, je veux qu’on le vide mon chéri, qu’il soit heureux de ce qu’on va lui faire… »Elles redescendirent sur ma queue, gonflée de foutre et d’urine prête à sortir. Je contractais mon sexe afin de libérer aussi doucement que possible la pisse qui bouillonnait dans ma verge.Un premier jet léger sortit doucement. Elles continuèrent à lécher le sexe sans s’arrêter, puis la fontaine jaillit sans que je n’y puisse faire quoique ce soit. L’urine chaude coulait sur les deux visages, allant sur les nez, les bouches, les mentons des deux vicieuses complètement folles. Pina crachait en même temps sur ma queue, Mimi léchait, puis vint carrément engloutir mon sexe pendant que je continuais à libérer de la pisse. Celle-ci dégorgeait de la bouche de Mimi. Elle releva un peu la tête et vint embrasser à pleine bouche Pina. Je voyais ma pisse mélangée à la salive des deux filles ruisseler de leur bouche. Je demandai à pina de me branler très fort, puis je pris leur tête que je collai sur le bout de mon gland. Pina branlait ma queue comme la dernière des salopes, crachant sur Mimi, leurs deux visages totalement trempés par la salive et le bon demi-litre de pisse que j’avais lâché.Alors je ressentis une douleur au niveau du bas-ventre, comme une ébullition qui me brûlait de partout, jusqu’à ce que mes yeux se brouillent et d’un seul coup, l’explosion littéral, presque atomique de mon sexe!! Je répandis trois ou quatre gros jet de foutre épais que léchèrent les deux cousines, s’en badigeonnant le visage, l’intérieur de la bouche, bref, une apothéose de sucs en tout genre, dans une odeur de stupre et de sueur. Je râlais en les traitant de chiennes, de putes à foutre, me laissant faire par les soubresauts qui agitaient mon corps. Elles me branlèrent jusqu’à la dernière goutte, léchant tout le liquide épais qui restait sur ma queue.Au bout de deux bonnes minutes de râles communs, nous nous retrouvâmes tous les trois dans la salle de bain. J’étais défait, vidé, mais terriblement heureux d’une telle expérience. Mimi et Pina rigolaient, redevenues totalement insouciantes, elles décidèrent de m’offrir tranquillement rien que pour moi, une séance de douche où les deux filles commencèrent à se caresser le minou, les fesses et tutie quanti.