Par une belle matinée de juillet, je – quinqua naturiste – suis allongé sur le sable de la plage des Saumonards avec une vue magnifique à 360 degrés : derrière, la foret, puis en regardant sur la droite de la plage le désormais très célèbre fort Boyard et droit en face, au loin, La Rochelle où on devine le pont de l’île de Ré.À cette heure, plus on marche et plus on s’éloigne du parking moins il y a de monde sur la plage : juste le bruit des vagues pour rompre le silence. Adepte de la plage du matin, sans la foule et sans la chaleur accablante de l’après-midi, je savoure le bonheur de me trouver là !Quelques couples de retraités, très discrets, profitent de la baignade et du soleil et ont toujours un petit hochement de tête sympathique ou un «bonjour» quand on se croise au bord de l’eau pour aller se baigner.Après un bain vivifiant (l’eau n’est qu’à 19 degrés), je sèche au soleil, allongé sur le dos, avec cette vue magnifique quand je vois passer devant moi une femme mince, bronzée, blonde avec une coupe au carré, vêtue d’une robe claire : une dizaine de mètres plus loin, elle pose son panier, étale sa serviette, installe un petit repose-tête dans le bas de la serviette, descend la bretelle de sa robe d’un côté puis de l’autre laissant apparaître deux jolis seins ronds et bronzés, la robe passe les hanches dévoilant de jolies fesses bronzées. Aucun sous-vêtement, Madame est une habituée des plages naturistes.De profil, je n’en vois pas plus. Elle se pose sur sa serviette, tournant le dos à la mer, mais face au soleil, la tête vers le bas, juste rehaussée par le petit repose-tête de plage. Elle sort son flacon de produit solaire et commence à s’enduire méticuleusement, lentement, aucun centimètre carré de peau ne doit échapper à ce rituel : les épaules, les bras, le thorax, les seins (beaucoup de temps à les malaxer me semble-t-il !), le ventre, l’intérieur des cuisses ce qui nécessite de les écarter un peu plus : j’ai la confirmation de ce que je pensais, à savoir aucun poil, une chatte lisse et bronzée comme le reste du corps, puis elle continue par le devant des cuisses, les genoux et les jambes avant de s’allonger. Elle est à ma gauche et dans le sens opposé, je vois donc sa main gauche posée sur la serviette et j’aperçois une alliance à l’annulaire : quel homme peut prendre de tels risques ? Je vais être obligé d’aller me baigner ou me tourner sur le ventre pour cacher mon début d’érection. Comme il y a toujours peu de monde sur la plage, je choisis l’option 1 et je me lève, mon déplacement n’échappe pas à ma voisine qui jette un regard rapide dans ma direction, ce qui a pour but de me presser à rejoindre le bord de l’eau, étant quelque peu gêné. Je rentre doucement dans l’eau un peu fraîche, je nage un bon moment en me disant que je serai plus présentable en sortant !En me rapprochant du rivage, j’aperçois ma voisine de serviette, les pieds dans l’eau en train de discuter avec un couple de retraités ou tout au moins en âge d’y être. Je reste éloigné en continuant à nager. Elle avance doucement dans l’eau comme pour se dégager poliment d’une discussion qui s’éternise, si c’est le cas cette femme a décidément beaucoup de classe ! Le couple s’éclipse, elle a de l’eau à mi-cuisse au moment où nous nous croisons, je me lance :— Bonjour.— Bonjour, répondit-elle.— Elle est fraîche, mais vous verrez, on s’y habitue bien. Le plus dur, c’est d’y entrer.— Oui, je sais, j’y viens tous les matins. C’est plus tranquille le matin et le soleil brûle moins la peau, c’est tonique et ça oblige à nager pour se réchauffer.À moins de trois mètres d’elle, j’ai un regard à l’horizontale ce qui ne m’empêche nullement de voir ses jolis seins dont les tétons pointent fièrement, sans doute par la fraîcheur de l’eau.— Vous connaissez donc bien cette plage et, a priori, certaines personnes vous connaissent ?— Oui, ça fait plus de soixante ans que j’y viens, je suis née sur l’île et j’avais encore des couches quand je suis venue sur cette plage les premières fois. Tout à l’heure, je discutais avec Monique et son mari, j’étais à l’école maternelle et primaire avec elle.— On ne dirait pas que vous êtes du même âge !— Eh si pourtant, soixante-quatre ans au compteur, mais elle a laissé les kilos s’installer.— Je vous aurais donné dix de moins !— Merci, mais c’est du boulot : gym, aquagym, marche, et quelques petits coups de bistouri, il ne faut pas s’en cacher !— Le résultat est à la hauteur de vos efforts ! Je me disais tout à l’heure que votre mari était bien imprudent de vous laisser seule à la plage.— C’est toujours agréable pour une femme de rester séduisante. D’ailleurs, tout à l’heure, juste avant de vous baigner, je me demandais si c’était moi… comment dire… la cause de votre embarras.— Euh ! euh ! Qui d’autre ?— Monique !Éclats de rire réciproques, la pauvre Monique, si elle savait qu’on se moque d’elle.La conversation prenant une tournure coquine, je me risque à baisser les yeux et à jeter un coup d’œil à sa chatte très jolie, bien dessinée et bien fermée ce qui ne lui a pas échappé.— Ça surprend, une vieille comme moi avec aucun poil et qui n’a pas les lèvres apparentes.— Euh oui, un peu.— C’est simple : épilation au laser et labioplastie.— … ?— Oui, c’est une chirurgie pour réduire les lèvres chez la femme quand ça devient disgracieux. Je vous raconterai, c’est une opération à la mode !— Jamais entendu parler.— Et vous avez toujours le sexe épilé ? C’est moins fréquent chez un homme.— Oui.— Les hommes demandent souvent aux femmes de s’épiler, mais eux c’est moins fréquent, quoique c’est un peu en train de changer. On en voit de plus en plus, surtout sur les plages naturistes, j’ai imposé à mon mari l’épilation depuis déjà longtemps.— Il n’a donc pas eu le choix.— Non. Allez, on nage, il ne va pas tarder. Il faisait quelques courses et conduisait ma mère chez le dentiste.Après quelques longueurs dans une mer d’huile, je la vois agiter les bras en direction de la plage.— C’est Pierre, mon mari, et Nicole, ma mère.— De loin, on croirait un couple. Ils paraissent avoir le même âge.— Ma mère est tombée enceinte à seize ans et demi et mon mari a dix ans de plus que moi. Ils n’ont que sept ans d’écart, moins qu’entre mon mari et moi !— Nicole ne fait pas son âge. Elle a une silhouette et une démarche jeune.— Oui, tout le monde lui donne dix à quinze ans de moins. Aussi, elle était prof de sport, ça aide bien ! Et elle continue à faire des randos, du vélo, de la gym et beaucoup de natation.— Je vais vous laisser en famille.— Non, pas du tout. Vous allez faire connaissance.En moins de temps qu’il n’en faut pour le dire, les nouveaux arrivants sont nus. Nicole s’est débarrassée de sa robe de plage ample en un éclair, elle ne portait rien dessous. Pierre a baissé son short sans rien dessous non plus et enlevé son polo, Michèle ne m’avait pas menti, il a le sexe intégralement épilé. Ils arrivent à notre rencontre au bord de l’eau, Nicole, qui a quelques mètres d’avance, est une jolie femme plantureuse avec des seins fermes et volumineux, je me risquerais à un 95D ; juste le fait d’avancer dans l’eau fraîche, et les deux tétons se mettent à pointer. Elles se font la bise, on les prendrait bien pour deux sœurs et non pour mère/fille.— On ne s’est pas vues ce matin.— Non. Ça s’est bien passé, ton rendez-vous chez le dentiste ?— Oui, il m’a prise à l’heure. On est repassé par la maison, Pierre a posé les courses et moi je me suis changée, j’avais déjà chaud.Je m’avance en lui tendant la main et je me présente :— Arnaud, je barbote et papote avec votre fille.— Moi, c’est Nicole, mais on se fait la bise et on se dit tu. On n’est pas là pour faire du chichi, on est tous à poil (à poil, oui si on veut, sauf qu’il y a trois sexes sur quatre épilés ! la chatte de Nicole est un mélange de gris et de blanc, des poils qui semblent assez longs, mais bouclés et assez peu dense).— Comme vous… euh… tu veux.Elle s’avance franchement, me fait quatre bises en me posant la main sur l’épaule, ses tétons frottant sur ma poitrine. Un peu gêné, je me demande si c’est naturel ou intentionnel de sa part.Pierre s’avance à son tour :— Bonjour, moi c’est Arnaud.— Bonjour. Pierre, le mari de Michèle et donc le gendre de Nicole.— Enchanté, prêt pour la baignade ?— Allez, on y va, on se motive. Nicole est déjà en train de nager.— Je vais remonter, il y a déjà un bon moment que je me baigne.Michèle et moi remontons vers nos serviettes, laissant à Nicole et Pierre les bienfaits du bain de mer du matin.À côté de la serviette de Michèle, un trentenaire s’est installé, ce qui semble habituel :— Bonjour, Jonathan, il y a longtemps que tu es là ?— Bonjour Michèle. Non, je viens juste d’arriver.Et les deux se font la biseNous sommes maintenant cinq. À gauche de Michèle, Jonathan, à sa droite, Pierre, à la droite de Pierre, Nicole et je me retrouve à droite de Nicole.Le soleil se fait plus chaud en cette fin de matinée, et nous sommes rapidement secs. Michèle se lève, ramasse sa serviette, prend une petite pochette dans son panier de plage et s’adresse à moi :— On va faire un tour avec Jonathan. Tu diras à Pierre de nous rejoindre, il sait où nous allons.— OK, pas de problème, je lui dis.Michèle balance sa serviette sur l’épaule et part avec Jonathan vers le haut de la plage. Pierre et Nicole reviennent de leur bain et je m’empresse de dire :— Michèle et Jonathan sont partis faire un tour, ils m’ont chargé de te dire de les rejoindre, tu dois savoir où.— Merci, Arnaud, je vais sécher en marchant.Nicole est debout devant moi avant de s’allonger sur sa serviette. Ses poils mouillés sont lisses et ne cachent plus rien des contours de sa chatte : ses lèvres sont assez longues et pendent légèrement, les petites lèvres bien visibles. J’essaie de ne plus trop y penser afin de ne pas me retrouver dans une situation embarrassante ! Elle s’allonge sur le dos pour sécher.Pierre est maintenant parti et Nicole me dit :— Michèle est partie baiser avec Jonathan et Pierre va les regarder et sans doute participer.— Pardon ?— Oui, tu as bien entendu : Jonathan vient un peu à la plage le matin. Il est marié et sa femme n’aime pas du tout la plage, il repart à 13 h, il a une trentaine d’années avec une queue bien dure. Moi aussi, j’en ai profité, pas plus tard qu’avant-hier.— J’étais loin de me douter !— Pourquoi ? Tu crois qu’à mon âge, je n’ai plus de libido ? Dès que j’ai vu ta petite queue toute lisse dans l’eau froide tout à l’heure, j’ai eu envie de la sucer pour lui redonner fière allure !— Je ne suis pas contre !— Et ça ne te gêne pas de partager Jonathan avec ta fille ?— Pas du tout, ça fait une vingtaine d’années que nous nous partageons Pierre, depuis que je suis veuve.— J’en découvre de plus en plus !— Tu sais, je suis tombée veuve un peu avant la retraite. Quand j’étais en activité, je faisais des rencontres, j’étais bien foutue, ce n’était pas trop difficile, mais à la retraite tu te coupes de tout et ici c’est vraiment mort à part les deux mois d’été. Pendant leurs vacances Pierre et Michèle étaient invités pour la journée sur un bateau d’un couple d’amis, ils sont partis au port à vélo, mais le moteur du bateau n’a pas démarré, si bien qu’une heure après, ils étaient de retour et je ne les ai pas entendus revenir. J’étais dans leur chambre avec le tiroir de la table de nuit de Michèle ouvert et je m’étais servie : allongée sur le dos, j’avais un plug dans l’anus et un autre gode dans la chatte. De ma main gauche, je tenais une photo de Pierre, nu à la plage, et de la droite, je caressais mon petit bouton où je faisais un va-et-vient avec mes petits jouets. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, je me faisais tellement plaisir que je ne voyais pas le temps passer, j’avais l’esprit ailleurs, en pleine béatitude, si bien que je n’ai même pas été surprise quand Pierre et Michèle sont entrés dans leur chambre, nus tous les deux, le sexe de Pierre en érection. Ils n’ont pas dit un mot. Pierre s’est approché de moi, a pris la photo et m’a dit avec un sourire « l’original est mieux que la photo ». Sa queue qui me faisait tellement fantasmer n’était qu’à quelques centimètres de ma bouche. Je m’en suis approché doucement, elle était luisante, sans doute qu’ils étaient derrière la porte depuis un moment et terriblement excités par le spectacle que je leur offrais bien involontairement. Elle avait sans doute été sucée puis avait certainement pénétré Michèle, peu importe, elle était là, belle, longue, dure. Je l’ai engloutie dans ma bouche, j’ai tourné la langue autour du gland, je l’ai enfoncée au fond de ma bouche, j’étais dans un état second. Pendant ce temps-là, Pierre caressait ma chatte trempée, jouait avec mon clito, il sortit le gode de ma chatte et je vis le mettre dans la chatte de Michèle allongée à côté de nous sur le dos. À la façon dont le gode rentrait, elle avait dû être déjà pénétrée avant. Pierre remplaçait ce gode par plusieurs doigts qui allaient et venaient dans ma chatte. Pierre retira sa queue de ma bouche, me fit mettre en levrette et me pénétra, je me sentais défaillir. Il faut dire que ça faisait plus d’un an que je n’avais pas eu de queue, juste des godes, ça aide, mais ça ne remplace pas. Pierre allait et venait en moi. Dans cette position, il avait une vue imprenable sur le plug planté entre mes fesses, il jouait avec, le faisant entrer et sortir, puis il l’a sorti complètement et sa queue en même temps, ça m’a laissé un grand vide, juste quelques secondes. Il a posé sa queue sur mon petit trou bien dilaté et est entré sans difficulté, il a commencé un va-et-vient lent puis a accéléré. Je sentais bien sa queue au fond de moi, je le sentais prêt à jouir et ce ne fut pas long, un grand coup de reins après, il m’éjacula bien au fond, mais tu bandes ?— Tu te rends compte de ce que tu me décris ?— Oui et depuis une vingtaine d’années, quand ils sont là, Pierre est un amant merveilleux, sauf que depuis deux ans il a été malade, a été opéré et maintenant il ne bande plus, mais on s’amuse quand même, il y a des jeux avec les godes. Tu ne veux pas me passer de l’huile sur le dos ?— Si, bien sûr !Elle me tend l’huile solaire, je commence méthodiquement par les épaules, la nuque, elle semble ronronner, je descends vers le dos et le bas des reins, et je m’arrête.— Tu peux continuer sur les fesses.— Tu m’as dit, le dos.— Oui, enfin, c’est une façon de parler.Je m’exécute, je prends plaisir à lui malaxer les fesses. Je lui écarte ses deux lobes pour apercevoir son œillet, c’est impressionnant comme ses fesses sont musclées !— Tu es contractée ?— Non, au contraire, toute détendue, pourquoi ?— Tu as les fesses comme du béton !— J’ai été prof de sport toute ma vie, sportive aussi, en plus de mon boulot et je continue, mais là en ce moment, je suis tout excitée et toute mouillée. Vas-y, tu peux t’en rendre compte par toi-même.Je descends ma main entre ses cuisses, j’écarte un peu les grandes lèvres, mon doigt descend et remonte le long de ses petites lèvres qui sont effectivement trempées— Tu croyais quoi ? qu’à mon âge je ne mouillais plus, mets plutôt de l’huile dans ma raie des fesses, et j’adore qu’on me masse l’anus et qu’on y rentre les doigts.Je reprends le flacon, fais couler un peu d’huile en haut de sa raie, je laisse l’huile descendre jusqu’à son anus, je l’arrête et la fait remonter, je fais un mouvement circulaire avec mon majeur pour bien étaler l’huile. Je sens Nicole haletante, elle ne parle plus. Je fais tourner mon majeur sur lui-même, il est comme aspiré, je fais quelques mouvements circulaires et d’avant en arrière. Avec ma main libre, je remets un peu d’huile directement entre mon doigt et son anus, j’en profite pour y glisser mon index, et là, la main de Nicole attrape mon poignet et tire ma main en arrière.— Tu vas me faire jouir sur la plage, petit cochon. Viens, on va rejoindre les autres.— Je croyais que c’était ce que tu voulais.— Non, pas ici.Je me lève et vais me rincer les mains pleines d’huile au bord de l’eau. Nicole prend sa serviette et nous nous dirigeons vers le haut de la plage en bordure de la forêt, et retrouvons les trois coquins dans une petite cavité de sable, invisible de la forêt et de la plage. Le spectacle est excitant : Michèle en levrette, la queue de Jonathan recouverte d’un préservatif allant et venant dans la chatte bien dilatée de Michèle.Pierre, sous sa femme en 69, est en train de lui lécher le clito et accessoirement les couilles de Jonathan à chaque fois qu’il vient taper au fond de la chatte de sa femme. Michèle suce la queue de Pierre et lui lèche les couilles de bas en haut, et avec ses doigts, elle met du gel lubrifiant dans l’anus de Pierre. Je vois enfin ce qu’il y avait dans la petite pochette prise par Michèle quand elle est partie : des préservatifs et un gel lubrifiant.Pendant ce temps-là, Nicole a étendu sa serviette à côté des protagonistes, me fait signe de m’allonger sur le dos, et vient se positionner en 69 au-dessus de moi. J’écarte les grandes lèvres et les poils pour ne pas les avoir dans la bouche et commence à la lécher. De son côté, elle prend ma queue en bouche et commence à monter et descendre dessus, la fait ressortir complètement pour la gratifier de coups de langue et la gober à nouveau : quelle suceuse expérimentée ! Après cette mise en bouche délicieuse, elle prend un préservatif dans la pochette posée à côté de Michèle, le déroule sur ma queue, vient me faire face (je suis toujours sur le dos) et s’empale sans aucune difficulté, vu comment sa chatte est trempée.Du côté du trio, Jonathan sort de Michèle et c’est maintenant Pierre qui prend sa place en levrette. Michèle écarte bien les fesses de Pierre, elle caresse la queue de Jonathan et la guide vers l’anus de Pierre et disparaît avec le préservatif dans ses fesses.Nicole, empalée comme il se doit, monte et descend comme une jeunette (j’oserais dire). Je lui caresse les seins, lui tire sur les tétons, et suis interrompu par Michèle qui met un genou de chaque côté de ma tête et descend sa chatte sur ma bouche, le message est clair, elle veut se faire lécher la chatte, si bien que je ne vois plus Nicole, mais je la sens bien. De très près, la chatte de Michèle est très jolie, des petites lèvres délicates, je commence à lécher en me délectant. De ses doigts, elle tire sur le capuchon de son clito comme si j’allais oublier de le lui lécher ! Le plaisir se lit sur son visage, sa mouille inonde le mien, je fais rouler ses tétons dressés entre mes deux doigts.Je sens Nicole se lever et sortir ma queue de sa chatte. D’une main, elle saisit l’embase de ma queue et la présente devant son petit trou bien huilé, elle descend dessus une première fois, remonte, puis redescend franchement en lâchant un petit « ah ! » Quelles dépravées ! Nicole continue son mouvement et Michèle bouge son bassin d’avant en arrière de sorte que je n’ai même plus besoin de bouger la bouche pour la lécher, c’est elle qui imprime le mouvement. Elle accélère, quelques « ah ! ah ! ah ! oui ! » sortent de sa bouche. Elle jouit et s’effondre repue, le visage détendu. Excité comme je suis, je lève plusieurs fois mon bassin pour aller bien au fond de Nicole qui, au contraire, appuie tout son corps vers le bas, pour s’enfoncer encore plus comme si c’était possible ! Je sens Nicole qui se contracte pour serrer ma queue, n’y tenant plus j’éjacule. Que c’est bon !Nicole se lève, enlève le préservatif, caresse ma queue, y approche sa bouche et passe sa langue comme pour lui faire une toilette. Occupé comme je le suis, je ne fais pas attention à Pierre et Jonathan qui viennent certainement de jouir, ils sont maintenant l’un à côté de l’autre, c’est Michèle qui nous sort de notre douce léthargie :— Il est déjà plus de 13 heures, on va aller déjeuner. Je suppose que tu vas rejoindre ta femme, Jonathan ! Et toi Arnaud, si tu veux venir à la maison, ce sera barbecue, ça te dit ?— Oui, bien sûr, mais je ne veux pas déranger.— Tu ne déranges pas, c’est avec plaisir. Et je trouve que Nicole t’a un peu trop accaparé ce matin, je compte bien profiter aussi de ta queue.Sur ces bonnes paroles, le petit groupe ramasse ses affaires et se dirige vers le parking.À suivre…