Plaisir d’exhibition (suite)
J’aime m’exhiber et la souffrance bien orchestrĂ©e me mène Ă la jouissance. Voici la seconde partie de ce rĂ©cit
Proposée le 2/11/2015 par Crabou Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotiquePersonnages: FHLieu: Autres lieux publicsType: Fantasme
RĂ©sumĂ© de la première partie:La soirĂ©e a commencĂ© par un souper au restaurant au cours duquel, j’ai successivement enlever mon string, introduit des boules de geisha dans mon sexe puis accrochĂ© des pinces Ă mes seins et aux petites lèvres de mon sexe, reliĂ©es entre elles par une chaĂ®nette. Après cela, nous sommes allĂ©s danser la samba dans un bar spĂ©cialisĂ©. Enfin, nous venons de sortir d’un cafĂ© fĂ©tichiste oĂą mon mari m’a fait rester torse nu pendant que nous y prenions un verre. Lorsque j’ai proposĂ© de sorti pour attendre le taxi que nous avons appelĂ© pour rentrer, mon mari ne m’a pas rendu mon chemisier.Et c’est donc torse nu que je sors. Il n’y a personne dans la rue. Le taxi arrive et c’est dans la mĂŞme tenue que je monte Ă bord sous le regard Ă©bahi du chauffeur qui ne dĂ©colle quasi pas ses yeux du rĂ©troviseur pendant tout le trajet. L’un ou l’autre piĂ©ton profite Ă©galement du spectacle lors de ralentissements ou d’arrĂŞts Ă des feux rouges. Tout cela entretient mon niveau d’excitation. Je frotte mes fesses nues sur le tissu râpeux des sièges et mes cuises l’une contre l’autre pour mieux sentir les boules dans mon sexe. Je dois me faire violence pour ne pas me caresser tant j’ai envie de jouir.ArrivĂ© devant l’hĂ´tel, nous descendons et je fais le tour du taxi pour venir me mettre devant la porte du chauffeur et je prends tout mon temps pour chercher dans mon sac la monnaie pour le payer. Jean en profite pour passer une main sur mes fesses, remontant au passage ma jupe pour montrer mes fesses au chauffeur.
Pour rentrer dans l’hĂ´tel, je remets mon chemisier mais sans le boutonner, me contentant de le passer dans ma jupe. L’homme Ă la rĂ©ception a du mal Ă articuler un bonsoir audible. Une fois dans l’ascenseur, mon chemisier se retrouve Ă nouveau sur le bras de mon mari. Nous ne croisons malheureusement personne jusqu’Ă la porte de notre chambre.En entrant dans la chambre, j’abandonne mes chaussures et j’allume une grande bougie que j’avais apportĂ©e. J’ouvre la porte du balcon et vais m’accouder Ă la balustrade en fer forgĂ© qui ne me cache donc pas du tout. J’admire un moment le paysage. Notre chambre est au troisième Ă©tage. L’hĂ´tel en comporte cinq. Dans l’immeuble en face quasi aucune lumière ne brille derrière les fenĂŞtres dont certaines sont ouvertes. Il est tard mais il fait encore chaud. Je me retourne:• Jean, j’ai envie d’ĂŞtre nue. Viens me dĂ©shabillerIl s’approche, fait glisser ses mains sur mon corps et dĂ©grafe ma jupe qui tombe Ă mes pieds.• IntĂ©gralement nue !!Il pose un baiser sur mes lèvres, empoigne une des pinces de mes seins et l’enlève. Elles sont assez douces, mais vu le temps depuis lequel je les porte, le retour du sang dans mon tĂ©ton m’arrache un premier gĂ©missement. La seconde suit peu de temps après. Lorsque sa main descend vers mon sexe:
• Enlève les toutes les deux d’un coupIl comprend mon dĂ©sir et commence par tirer un peu sur les deux pinces de mes petites lèvres pour finir par les arracher d’un geste brusque. Un long feulement s’Ă©chappe de ma gorge. Ah que j’aime cette douleur brusque qui m’envahit d’un coup. Je meurs d’envie qu’il me caresse le sexe pour attĂ©nuer cette douleur mais cela me ferait jouir tout de suite et je veux attendre encore.J’entends un petit bruit au-dessus de nous et un visage de femme apparaĂ®t brièvement.
• Va chercher la bougie que j’ai allumĂ©e. Tu vas faire couler la cire sur mon corps. Lorsque la bougie sera complètement fondue, je serai Ă ton entière disposition pour le reste du week-end pour autant qu’il n’y ait pas de cire rĂ©pandue sur le sol.
Mais avant, enlève moi mes boules de geisha, je veux que rien ne puisse me distraire de la cruelle caresse de la bougie sur tout mon corps.Jean se rapproche et tend la main.
• Non pas comme. cela, avec la bouche.De m’adosse au balcon. Jean se met Ă genou entre mes cuises grandes ouvertes et ave la bouche attrape le cordon des boules de geisha qu’il fait sortir une Ă une de mon vagin, me crĂ©ant un sentiment de vide que le bougie va vite combler. Lorsque je lève la tĂŞte, je constate que c’est un homme et une femme qui m’observent cette fois sans plus trop se cacher.Jean disparaĂ®t dans la chambre et quand il revient la bougie en main, il est torse nu et pieds nus. Moi, je me suis mise Ă genou, les Ă©paules plaquĂ©es au sol et les fesses bien relevĂ©es, les cuisses lĂ©gèrement Ă©cartĂ©es.
La cire commence à courir le long de ma colonne vertébrale, me créant un délicieux frisson.
Huummm, Jean verse maintenant de la cire entre mes fesses et elle coule dans ma raie. La bougie descend un peu et la cire plus chaude encore vient napper mon anus pour mon plus grand plaisir.Jean pose la bougie sur le sol un moment pour enlever son pantalon.
A la vue de ses belles fesses mises en valeur par le string, dernier vĂŞtement qu’il porte encore, mon excitation croit encore un peu plus. Je me retourne et me couche sur le dos. AppuyĂ©e sur les coudes, je cambre ma poitrine pour faire comprendre Ă Jean que cela doit ĂŞtre sa prochaine cible. Il comprend et en me regardant droit dans les yeux, il verse d’un coup une grande quantitĂ© de cire sur le mamelon d’un de mes seins, m’arrachant un cri de plaisir et de souffrance mĂ©langĂ©s. Petit Ă petit, ma poitrine disparaĂ®t sous la bougie. Je me contorsionne pour exposer tour Ă tour chacun de mes seins pour qu’aucun n’Ă©chappe Ă son tourment. Le couple de l’Ă©tage supĂ©rieur s’est appuyĂ© Ă la balustrade de leur balcon et je peux voir qu’ils ne sont pas insensibles Ă ce qui m’arrive car ils se caressent un peu. Lorsque mon mari retire son string et que son sexe se dresse fièrement, je suis quasi en transe. Je ne peux empĂŞcher mon corps de trembler. Je n’ai plus qu’une seule envie: qu’il me pĂ©nètre de partout, que son sperme emplisse ma bouche. Cherchant Ă me pousser Ă bout, Ă me provoquer, ile passe sa queue Ă proximitĂ© de mes lèvres mais sans me laisser l’atteindre.
Je rĂ©siste et ne lui saute pas dessus mais je pose mes Ă©paules parterre et lève le plus haut possible mon pubis en Ă©cartant largement les jambes. Je me mets Ă faire littĂ©ralement l’amour Ă la bougie en une sĂ©rie de mouvements langoureux; mon sexe complètement lisse allant Ă la rencontre de la bougie pratiquement jusqu’Ă la toucher puis se recule lors qu’il ne peut plus rĂ©sister Ă la chaleur de la cire pour revenir ensuite de plus belle s’offrir Ă la langue de feu qui le dĂ©vore sans relâche.Ma voisine est maintenant nue elle aussi et son mari la masturbe ouvertement.
Lorsque la bougie arrĂŞte de couler, je suis prĂŞte Ă descendre dans la rue faire l’amour au premier passant venu ou encore au couple au-dessus de nous.• Tu n’as pas renversĂ© de cire parterre. Bien ! Très bien ! Comme promis, pour le reste du week-end, tu peux me demander ce que tu veux, m’habiller comme tu le souhaites…bref, je suis Ă toi totalement. Si tu juges que je ne respecte pas tes ordres, il y a une cravache dans ma valise pour me punir.Jean approche sa queue de ma bouche et je l’enfourne sans me faire prier car j’adore cela. Il ne tarde pas Ă jouir. Je n’avale pas tout de suite, me dĂ©lectant de son nectar. Je veux l’attirer pour qu’il me fasse jouir Ă mon tour mais il se recule un peu et me dit:
• Retourne toi
Et c’est dans mon cul qu’il entre mais faisant très rapidement crier de jouissance.Lorsque nous reprenons nos esprits, il me dit:
• Tu es Ă mes ordres pour le week-end! Alors prends le tĂ©lĂ©phone et commande une bouteille de champagne. Tu ouvriras la porte dans cette tenue et sans enlever la cire qui couvre ton corps!Ah, quel plaisir d’ĂŞtre soumise et de s’exhiber sans remord car demander par son MaĂ®tre !! Mais suis-je vraiment soumise ???© Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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