RĂ©sumĂ© des Ă©pisodes prĂ©cĂ©dents :Au dĂ©but de ce « cadavre exquis », le hasard d’un shopping amène Chantal et Sophie Ă se dĂ©couvrir des affinitĂ©s rĂ©ciproques. Ayant approfondi leur connaissance mutuelle et partagĂ© diverses fantaisies Ă©rotiques, elles se rendent chez Chantal qui prĂ©sente Ă sa charmante vendeuse les jeunes filles qu’elle hĂ©berge. La rencontre avec Babette et Marion s’ouvre sur un concours de masturbation. Marion gagne, Sophie perd. Avant l’exĂ©cution des gages mĂ©ritĂ©s, les quatre complices s’octroient une lĂ©gère collation, aussi gourmande que coquine, dont les dĂ©bordements doivent ĂŞtre assumĂ©s.SophieOui, j’étais inquiète quand tu m’as assignĂ© la vĂ©rification de la tempĂ©rature du thĂ©. Des images furtives de gouttes de cire sur un tĂ©ton m’ont fait frĂ©mir. Mais l’expĂ©rience s’est avĂ©rĂ©e plus douce qu’éprouvante. Les lèvres et la langue de Babette ont rĂ©veillĂ© les frĂ©missements de mes mamelons. En tĂ©tant le liquide qui les recouvrait, elle a mis fin Ă mes craintes.— Donc, tu veux que je te fasse une douche vaginale, Ă l’anglaise, dis-tu. C’est bien ça, Chantal ?Pas la peine de me rĂ©pondre, la façon dont tu te tiens est une confirmation Ă©vidente ! Ta pose Ă©rotique tourne Ă l’obscĂ©nitĂ©. Je suis sĂ»re que c’est exprès, pour m’exciter encore plus. Tu me dĂ©fies. Tu veux me montrer jusqu’oĂą tu es capable d’entraĂ®ner tes protĂ©gĂ©es dans la luxure. Eh bien, je vais la remplir de thĂ©, ta grosse chatte ! Je vais la remplir jusqu’à ce qu’elle dĂ©borde. Ça la nettoiera pour de bon.J’ai cependant une hĂ©sitation en versant la thĂ©ière. Quel effet va avoir le liquide sur tes muqueuses internes ? Je suis rassurĂ©e par ta rĂ©action satisfaite. Trop satisfaite, mĂŞme !Du coup, j’ai la tentation de fourrer ma main dans cette cramouille grande ouverte. Un bon fistage qui ferait tout sortir. Mais il faudrait tout recommencer, et il n’y aurait plus assez de thĂ©. Par contre, je peux m’en servir comme d’une tasse, de ta chatte. C’est bien à ça que vous devez penser, toutes les trois, vilaines cochonnes. Je le vois Ă vos yeux. Bon ! Eh bien, pas la peine non plus de me montrer, je crois que je sais comment faire.Je colle ma bouche Ă ton con, le menton dans ton cul. Je tire la langue pour laper le mĂ©lange, mais ce n’est pas pratique. Elle n’est pas assez longue. Je ne suis pas une chienne. (Enfin, si, Ă©ventuellement, mais pas pour ça.) Tes hanches me serviront d’anses. Je les prends Ă deux mains et je te force Ă basculer le bassin vers moi. LĂ , c’est bon, je peux boire Ă mĂŞme ton vagin.DrĂ´le de goĂ»t, drĂ´le de consistance, l’âcretĂ© du thĂ© se marie au douceâtre de la mouille. Les arĂ´mes des deux se mĂŞlent Ă©tonnamment bien. Il y a peut-ĂŞtre une mode Ă lancer. Tout en buvant j’imagine un dialogue dans un bistro branchĂ©, au Bar des Chattes disons : « qu’est-ce que je vous sers, Madame ? », « un thĂ© cyprine, Mademoiselle ». L’idĂ©e me fait rire et je manque m’étrangler. Je l’évite, heureusement, et j’avale tout jusqu’à la dernière goutte de ce nectar nouvelle recette.J’ai le bas du visage tout barbouillĂ© de CyprinoLipton quand je repose ma tasse vide. Je veux dire quand je remets ta chatte Ă l’horizontale. Elle n’est pas si bien nettoyĂ©e, après tout : je vois des filets gluants qui tapissent encore les petites lèvres. Je reprends la thĂ©ière pour vider le reste dessus, et je les lèche soigneusement ensuite, histoire d’être certaine de leur propretĂ©.— VoilĂ , ma chĂ©rie, te dis-je. Es-tu satisfaite de ta plongeuse ?ChantalJ’ai envie de te rĂ©pondre qu’il ne faut pas confondre mon cul avec de la vaisselle sale, mais non.— C’est très bien, Mademoiselle, vous feriez une excellente soubrette, te dis-je pour plaisanter.Ce n’est pas vraiment vrai car, en me levant, je sens du liquide qui me coule entre les cuisses. Comme je ne suis pas une femme fontaine, que je sache, et que je suis sĂ»re de ne pas avoir laissĂ© Ă©chapper un pipi involontaire, c’est donc parce que tu n’as pas vidĂ© complètement ta tasse, comme tu dis. Ce n’est pas grave, je ne te punirai pas pour ça. Quoique…J’avoue que l’idĂ©e m’en est venue, et que si nous n’avions pas Ă nous occuper de ton gage et de celui de Marion, j’aurais eu probablement envie de te donner une fessĂ©e. Ou plus, si la chose t’avait plu. Je me contente d’une petite tape, un peu appuyĂ©e c’est vrai, sur tes jolies fesses, en te lĂ©chant les lèvres et le menton pour rĂ©cupĂ©rer Ă mon usage les gouttes de thĂ©-cyprine qui s’y sont Ă©garĂ©es.(NB – hors scĂ©nario : bonne idĂ©e, au fait, de crĂ©er une marque. Je ne sais pas si les gens de Lipton accepteraient l’appellation « CyprinoLipton », mais un Ă©tablissement branchĂ© très spĂ©cialisĂ©, ton Bar des Chattes, avec une collection de demoiselles et de dames, d’âges divers, comme serveuses, pourquoi pas ? Les clientes pourraient choisir en commandant leur thĂ©-cyprine : aromatisĂ© Ă la blonde, Ă la brune, Ă la rousse… On pourrait mĂŞme organiser des soirĂ©es dĂ©gustations, pour gourmandes averties !)Bon, revenons Ă notre prĂ©occupation du moment. Pendant que les filles dĂ©barrassent le lit des tasses, thĂ©ière et plateau, j’étale l’éventail de godemichĂ©s parmi lesquels Marion choisira celui qui te sera destinĂ©. Je n’oublie pas d’y joindre le gel qui traĂ®nait dans le tiroir – tu vois que je pense Ă ton confort – et j’ajoute sans crier gare l’énorme gode noir que je t’avais prĂ©sentĂ© tout Ă l’heure. Celui qui t’avait tant inquiĂ©tĂ©e.Je vois tes sourcils qui s’arrondissent d’une nouvelle surprise angoissĂ©e que je fais mine d’ignorer en manipulant avec attention cet instrument de terreur. Quand j’enclenche le bouton que je cherchais, la partie supĂ©rieure, le gland pour ĂŞtre prĂ©cise, se met Ă tourner en ronronnant et c’est ta bouche qui s’ouvre comme un O d’anxiĂ©tĂ© muette. Je te laisse languir un moment entre Ă©tonnement et crainte avant de pousser le second bouton qui allume la guirlande de lumières multicolores entourant la tĂŞte d’éclats successifs.Ton soupir de soulagement est plus que perceptible, mais il se transforme en rire lorsque tu vois le faux mĂ©at lancer des flashs par intermittences.— Eh oui, commente Babette un rien dĂ©sabusĂ©e, nous aussi on a Ă©tĂ© surprises quand marraine a ramenĂ© ça…— Je l’ai trouvĂ© Ă Bruxelles. Un artisan dont le père fabriquait des phares pour touristes en Bretagne. Lui, il s’est reconverti. J’aime bien : ça fait lampe d’ambiance. Pour Ă©clairer le choix de Marion, c’est parfait, non ?— Tant qu’il ne sert que pour l’ambiance, je veux bien, me rĂ©ponds-tu en lorgnant sur la collection de godes.Marion hĂ©site pour sĂ©lectionner celui qu’elle te destine. Elle m’observe du coin de l’œil en les manipulant un Ă un, dans l’espoir que je la conseille, du regard au moins. De mon cĂ´tĂ©, je surveille tes rĂ©actions chaque fois qu’elle joue avec un des modèles pour essayer de deviner celui qui te conviendrait.SophieJe m’étais promis de rester stoĂŻque et courageuse, quel que soit le choix de Marion. Pourtant, je ne peux empĂŞcher mon visage de tressaillir lorsqu’une circonfĂ©rence ou une forme me paraĂ®t difficile Ă recevoir dans mon petit trou. Heureusement, elle arrĂŞte sa dĂ©cision sur un gode nacrĂ© d’une douzaine de centimètres. Son diamètre est raisonnable : environ deux doigts. Je te remercie d’un battement de cils reconnaissant.— Très bon choix, Marion, approuves-tu comme si de rien n’était. C’est celui que j’utilise moi-mĂŞme Ă l’occasion.— D’accord, acquiesçai-je, va pour celui-lĂ . Ă€ moi de choisir le sien, c’est ça ?Ă€ mon tour, je fourrage dans le reste de ta collection. Il y en a un superbe, gros, courbe et couvert d’aspĂ©ritĂ©s arrondies. Je le mettrais bien tout de suite dans ma chatte, Ă dĂ©faut d’autre poche sur moi. J’y pense avec regret en l’inspectant, mais le regard affolĂ© de Marion me venge de ma frustration. En le reposant, je repère un petit gode rose de dix centimètres et pas plus gros qu’un pouce.— C’est celui-lĂ que je retiens, dis-je en te le tendant.— Oh ! J’ai dĂ©butĂ© avec lui, t’exclames-tu. Marion ne pouvait pas espĂ©rer mieux pour son initiation. Parfait ! Maintenant, mesdemoiselles, allez vous prĂ©parer. Vous trouverez un flacon d’eau de rose dans la salle de bain.Tu nous prĂ©sentes Ă chacune une poire Ă lavement dont Marion ne semble pas savoir que faire. Je la prends par la main.— Viens, ma chĂ©rie, montre-moi la salle de bain, je te montrerai Ă quoi ça sert.— Oh, ça va, je crois que j’ai deviné ! Je peux me dĂ©brouiller seule, ronchonne-t-elle.— Oui, ma puce, mais Ă deux c’est mieux, plus amusant, tu verras.Il nous faut moins de temps pour arriver Ă la salle de bain que pour trouver le fameux flacon. C’est Marion qui le repère, derrière une boĂ®te de tampons. Après tout, c’est logique. Il y a un dosage de prĂ©vu, que je respecte plus ou moins en estimant les volumes. (Que ne me fais-tu pas faire !) J’équilibre les proportions au mieux pour chaque poire et par souci d’équitĂ©, je laisse Marion choisir la sienne. Ensuite, j’improvise.— Appuie-toi sur le bidet, la tĂŞte en bas et les reins cambrĂ©s. Montre-moi tes jolies fesses.— Tu veux encore te rincer l’œil, Sophie ? Tu n’as pas assez vu ma chatte ?— Je ne m’en lasse pas, sois tranquille, mais lĂ , c’est ton petit trou qui m’intĂ©resse, ris-je.Une savonnette parfumĂ©e convient assez bien pour graisser le bout de la canule que j’introduis dĂ©licatement dans son anus. Je commente mes gestes au fur et Ă mesure. J’espère qu’elle s’en souviendra quand ce sera mon tour…— C’est comme un thermomètre, tu comprends ? Je vais doucement pour ne pas te faire mal. VoilĂ . Ça va ? Je vais presser la poire. Tu es prĂŞte ?Un grognement d’assentiment me rĂ©pond. Je commence lentement puis je vide la poire d’un coup.— Ouch !— Pardon. C’est douloureux ?— Non, mais ça fait bizarre, s’étonne-t-elle pendant que je retire discrètement la canule.— Oui, je sais. Tu t’habitueras. Redresse-toi maintenant et serre les fesses. Ă€ moi, maintenant. Tu pourras te venger, ai-je l’erreur d’ajouter pour plaisanter.Ă€ peine suis-je en position qu’elle enfourne mon cul sans prĂ©caution. Elle a oubliĂ© de savonner l’extrĂ©mitĂ©, la coquine ! J’ai beau ĂŞtre dĂ©tendue et pas douillette, ce n’est pas agrĂ©able. Pas plus que de recevoir sans attendre la totalitĂ© du contenu dans les boyaux. J’évite de justesse la catastrophe lorsqu’elle enlève trop vite la canule. Ouf !— Dis-moi, ma puce, tu es drĂ´lement pressĂ©e, dis-je en me relevant une main aux fesses.— Ben oui, un peu. Excuse-moi si j’ai Ă©tĂ© trop brusque. J’aimerais… implore-t-elle.— Je me doute ! RĂ©siste un petit moment encore. Tu iras la première, je te promets.(PS – hors scĂ©nario : Ă propos de ta suggestion de soirĂ©es dĂ©gustation dans mon Bar des Chattes, je propose que les invitĂ©es averties dĂ©terminent la saveur particulière de chaque serveuse. Par exemple, vanille pour la brune, pĂŞche pour la blonde ; ou le contraire… L’arĂ´me de chacune serait mis sous le prĂ©nom sur l’étiquette, pour guider le choix des clientes. C’est juste une idĂ©e.)ChantalNous avons fini de remettre de l’ordre dans la chambre quand vous revenez, toutes proprettes, Marion et toi. J’ai Ă©tendu mon peignoir de bain sur le lit, Ă dĂ©faut de la grande serviette que j’avais pensĂ© utiliser. Aller la chercher dans la salle de bain aurait dĂ©rangĂ© votre intimité…C’est maintenant que tu vas devoir donner de ta personne, ma chĂ©rie. Il faut te mettre Ă quatre pattes, pour que Marion puisse bien suivre le dĂ©roulement de la prĂ©paration et de l’introduction. Mais rassure-toi, Babette s’allongera sous toi, tĂŞte-bĂŞche, et je poserai un petit coussin sous sa nuque pour qu’elle s’occupe de ta chatte sans se fatiguer. Tu auras la sienne juste Ă portĂ©e de ta bouche si l’envie te prend de la gougnotter pendant que j’enfoncerai le gode dans ton cratère Ă©panoui.— OK, mais pourquoi le peignoir, demandes-tu quand j’ai fini mes explications.— Ben… En fait, le drap est un peu froissĂ© et mouillĂ©, tu vois ?Ces raisons objectives te donnent Ă sourire et tu prends place gaiement en chantonnant Ă mi-voix s’ils sont chiffonnĂ©s, c’est de nos prouesses, en sont-ils moins beaux… Ma foi, ce vieux refrain est assez pertinent pour que Babette et Marion le croient de ton invention et s’en rĂ©jouissent. Sois tranquille, je ne les dĂ©tromperai pas ! Je prĂ©fère apprĂ©cier le joli tableau de ton derrière au-dessus de la bouche de Babette. Elle tire dĂ©jĂ la langue pour essayer de titiller ta fente, la coquine ! Je n’ai pas le cĹ“ur de l’en empĂŞcher, d’autant que je suppose sans grand risque que tu n’auras pas attendu pour cajoler son minou, non ?Ce sont tes belles fesses qui m’attirent. Avant de te beurrer la raie (passer le gel, quoi !), je les flatte du bout des doigts, caresse le sillon, les empaume, les masse. Tu ronronnes de plaisir pendant que je les couvre de petits bisous, de lĂ©chouilles, du bas des reins Ă la fossette du haut des cuisses, de l’arrondi de la hanche au bord Ă©troit de l’hĂ©misphère, au hasard d’abord, puis en cercles concentriques de plus en plus près du centre des dĂ©lices.Babette et Marion suivent les circonvolutions de ma bouche avec attention, l’une de bas en haut, l’autre la joue contre mon Ă©paule. LĂ , j’y suis ! Je fends la lune en deux, Ă parts Ă©gales, les plus Ă©loignĂ©es que je peux pour tendre la peau fine de la vallĂ©e secrète, pour Ă©tirer le cratère rose brun de ce petit trou qui palpite dĂ©jĂ . Je le laisse frĂ©mir tout son saoul, me charmant de tes grognements d’impatience. Je dĂ©sapprouve un doigt curieux qui voudrait en Ă©prouver la souplesse. Il est Ă moi, Ă moi seule !J’approche mon nez de ton coccyx, le fais glisser lentement vers l’œillet, le lui fais Ă peine effleurer, par de lĂ©gers mouvements circulaires. Mes lèvres frĂ´lent les narines de Babette qui suce consciencieusement tes nymphes. Elle les quitte pour me tendre sa langue. Je la refuse, je ne veux pas que la mienne soit troublĂ©e par ta cyprine. Je veux que mes papilles soient vierges (ne ris pas !) pour dĂ©couvrir ton goĂ»t le plus intime. C’est fait ! J’ai fichĂ© la pointe de mon appendice, roulĂ© comme une toute petite bite, au centre de la cible frissonnante.Je lèche les plis de l’étoile, les pĂ©tales de la rosette s’étalent presque aussitĂ´t… Hum… c’est bon ! C’est un peu poivrĂ©, avec un rien de… gingembre, peut-ĂŞtre. Je ne retrouve pas le souvenir de fleur d’oranger auquel je m’attendais. Par contre, ce n’est pas que ma salive qui les imprègne… Tu mouilles du cul, ma chĂ©rie ! Je n’aurai pas besoin de mon pouce pour attendrir ton anus, encore moins de l’index. C’est quasiment dommage d’y mettre du gel…J’en dĂ©pose une grosse goutte, quand mĂŞme, par sollicitude affectueuse. Je l’étale sur le pourtour de la rosace qui rĂ©vèle son centre rose, je l’y pousse d’un doigt dĂ©cidĂ©. Tu tortilles des hanches, tu es prĂŞte, si prĂŞte que tu es Ă la limite de me reprocher de te faire languir. Ton cul se rehausse, tu as replongĂ© entre les cuisses de Babette pour tromper ton attente. Le gĂ©missement qui lui Ă©chappe prouve que tu as rĂ©ussi.Je pose le bout du gode en place. Marion ouvre grand les yeux. Je joue du poignet pour imprimer de lentes rotations Ă l’objet qui pĂ©nètre peu Ă peu dans le conduit, passe en douceur le sphincter dĂ©contractĂ©, s’enfonce plus franchement. Le soupir d’aise dont tu nous gratifies m’autorise Ă poursuivre. Je retire Ă moitiĂ© la partie absorbĂ©e, la renvoie derechef, plus loin, plus profond. Je recommence, j’insiste, je rĂ©pète… Seule la base dĂ©passe de ton trou, maintenant. J’enclenche la molette, le gode vibre, tu geins.Ma main va-et-vient, guidant la direction et la profondeur des enculages, lentement, sans hâte. Je prends tout mon temps pour faire monter le plaisir, accroĂ®tre ton impatience… Là  ! Tu viens de grogner de dĂ©pit. J’accĂ©lère, mes Ă -coups sont plus rudes. Je ramone, je lime, mes doigts butent sur la corolle, s’engluent de la mousse crĂ©meuse qui la couvre. Tu noies tes plaintes dans le con de Babette. Tu le bouffes si bien pour les Ă©touffer que la bienheureuse en abandonne ta cramouille baveuse. Je l’invite Ă reprendre ses succions, je lui intime de te tĂ©ter le bouton. Je ne ralentis pas le rythme ni la vigueur de mes enfournements. Au contraire. Si vite, si fort que j’en ai mal au bras…Un gargouillis, ta tĂŞte qui se relève, un feulement, une dernière contraction de la fleur qui enserre la dernière intrusion du mandrin. Ton corps se cambre, tes reins se creusent, tes fesses se dressent, tes cuisses se tĂ©tanisent. La tĂŞte rejetĂ©e en arrière, tu glapis.Un spasme encore t’agite, ou deux, ou trois, chacun sanctionnĂ© d’un cri de jouissance… Tu t’amollis, tu retombes, tu roules sur le cĂ´tĂ©, Ă©chappant Ă mes mains, bousculant Marion, entraĂ®nant Babette toujours rivĂ©e Ă ta moule.Tu reposes sur le flanc, les yeux clos, les mains sur tes genoux ramenĂ©s sur ton ventre, les orteils parcourus de frĂ©missements. Le gode luisant sort paresseusement de ton cul et vibre dans le vide…(PS – hors scĂ©nario : ton idĂ©e de badge pour les arĂ´mes de ces dames est gĂ©niale, j’achète ! Ă€ quand l’inauguration du Bar des Chattes ?)Sophie (NB – hors scĂ©nario : quand tu veux, si on l’ouvre ensemble ! Qu’en dis-tu ? Tu pourrais assurer l’animation avec tes protĂ©gĂ©es…)Hou lala ! J’ai des frissons du bout des orteils aux lobes des oreilles. J’ai l’impression d’avoir encore les vibrations du gode dans le rectum et l’anus qui rechigne Ă se rĂ©trĂ©cir. Mon esprit est vide et mon corps ne rĂ©pond plus. Pourtant, il me semble flotter au-dessus du lit, dĂ©connectĂ©e du monde, envahie par un sentiment de plĂ©nitude sereine. C’est bien mieux que la plus coĂ»teuse sĂ©ance de sophrologie !Il me faut me secouer pour sortir de ma lĂ©thargie. Je vous vois autour de moi, chacune pensive et m’observant. Babette, satisfaite, qui passe sa langue sur ses lèvres pour ne rien perdre des liqueurs qu’elle m’a dĂ©robĂ©es. Toi, mutine, qui me regarde avec fiertĂ© en lĂ©chant le gode. Marion, les yeux Ă©moustillĂ©s, qui hâterait bien volontiers mon retour Ă la vie. Je lui souris, je sais ce qu’elle attend de moi. Mais d’abord, ma chĂ©rie, je dois te remercier.— Viens m’embrasser, Chantal ! C’est une sodomie dont je me souviendrai toujours. Quel pied ! OĂą as-tu appris ces talents de charmeuse du petit trou ?ChantalJe t’embrasse bien volontiers, mĂŞme si Marion trouve que c’est du temps perdu avant de satisfaire son impatience. D’ailleurs, je suis flattĂ©e de tes Ă©loges et j’estime avoir le droit de les apprĂ©cier ! Tu en mĂ©rites aussi, je dois le reconnaĂ®tre, mais par taquinerie, je fais mine de devoir ĂŞtre discrète.— Pour rĂ©pondre Ă ta question sur mes talents, c’est une amie qui me les a enseignĂ©s. Je te raconterai, dis-je Ă voix basse. Ravie que ça t’ait plu, poursuis-je normalement, et tu as donnĂ© un magnifique exemple Ă Marion. Regarde : elle est pressĂ©e de t’imiter !(PS – hors scĂ©nario : je vais Ă©tudier très sĂ©rieusement ta proposition. Qui sait ?) Ă€ suivre