Tout d’abord, je tiens Ă me prĂ©senter : je m’appelle Claude, j’ai 38 ans, je suis mariĂ© Ă Morgane, 37 ans, belle brune aux yeux bleus, qui me rend toujours fou d’amour. Nous sommes mariĂ©s depuis 2001 et avons deux magnifiques enfants de neuf et six ans.Notre vie est plutĂ´t banale, entre boulot, vie de famille et quelques sorties avec les copains. Au niveau sexuel, c’est très classique, et, comme dans de nombreux couples, pour moi ce n’est pas assez frĂ©quent alors que pour mon Ă©pouse une fois de temps en temps, c’est largement suffisant. Nous sommes exclusivement monogames et contre toute forme de partage ou de mĂ©langisme. Ma femme est très pudique, il est hors de question pour elle de faire du seins nus Ă la plage ou d’exhiber son corps Ă d’autres personnes que moi.Toute cette histoire avait dĂ©marrĂ© par une invitation Ă un week-end pour l’inauguration de gĂ®tes, que venaient de terminer un couple d’amis. Pour l’occasion, ils avaient ouvert les quatre gĂ®tes et tout le monde pouvait aller et venir entre les diffĂ©rents logements.Nous Ă©tions plus de quatre-vingts invitĂ©s. Ils avaient prĂ©vu plusieurs cochons grillĂ©s et un bar monstrueux, avec boissons Ă volontĂ©. De notre cĂ´tĂ©, nous avions prĂ©vu de rester dormir chez nos hĂ´tes et nous pouvions en profiter pour nous laisser un peu aller. MĂŞme Morgane, pourtant peu habituĂ©e Ă consommer de l’alcool, avait rarement un verre vide Ă la main.Je ne l’avais plus vue depuis une petite heure, je l’avais vue entrer dans le gĂ®te le plus Ă©loignĂ© avec Marc et quatre des amis de son club de poker. Je dĂ©cidai de les rejoindre, un peu inquiet et jaloux de son absence. ArrivĂ© sur place, je la vis : elle Ă©tait attablĂ©e avec les cinq hommes et ils avaient dĂ©marrĂ© une partie de poker. Fred et deux autres collègues Ă©taient debout et assistaient Ă la partie. Je m’approchai et ma première rĂ©action fut de surprise : en effet deux des hommes qui Ă©taient Ă table Ă©taient torse nu !J’interrogeai Fred, qui m’annonça calmement que Morgane s’était laissĂ© entraĂ®ner dans une partie de strip-poker. Je n’en revenais pas ! Elle, si pudique et rĂ©servĂ©e, jouait contre cinq hommes Ă un strip-poker ! Dans le gĂ®te, elle Ă©tait d’ailleurs la seule femme. Je dĂ©cidai de ne pas intervenir, sachant que, de toute façon, mĂŞme avec l’alcool, elle Ă©tait bien trop pudique pour aller trop loin, d’autant plus que – pour le moment – elle gĂ©rait plutĂ´t bien la partie.Les parties et les verres s’enchaĂ®nant, ma douce et tendre avait de plus en plus de mal Ă se concentrer et venait de perdre son premier vĂŞtement. Elle avait Ă´tĂ© son petit gilet, il lui restait encore son chemisier, son jean, et ses sous-vĂŞtements. Tandis que du cĂ´tĂ© des hommes, deux d’entre eux n’avaient plus que leur caleçon, Marc Ă©tait torse nu avec son jean, et les deux autres Ă©taient, l’un en t-shirt mais sans pantalon, alors que l’autre – un grand chauve très baraquĂ© – n’avait perdu aucun vĂŞtement.La partie suivante fut dĂ©cisive pour l’un des voisins de ma femme : il perdit son dernier vĂŞtement. Tout le monde attendait pour savoir s’il irait jusqu’au bout. Sans se dĂ©gonfler, en restant assis, il Ă´ta son dernier habit et le posa au centre de la table. Ma femme Ă©tait plus rouge et plus gĂŞnĂ©e que lui. Je la voyais qui regardait discrètement ce sexe lĂ©gèrement gonflĂ©, juste Ă portĂ©e de main…La partie reprit et ma femme perdit son pantalon. Au tour suivant, Marc perdit son jean. Les verres continuant Ă se remplir, les joueurs commençaient Ă avoir du mal Ă garder leur concentration. Le grand baraquĂ© perdit pour la première fois et retira sa chemise. Sans elle, il Ă©tait encore plus impressionnant, sculptĂ© comme un champion de body-building !Ă€ la partie suivante, l’autre voisin de mon Ă©pouse perdit et se leva pour Ă´ter son caleçon. Il faisait un peu le fanfaron, il monta sur sa chaise et mima une petite danse sexy avant de baisser son caleçon sur ses chevilles. Son sexe, au repos, se balançait au rythme de ses gesticulations et tout le monde rit de bon cĹ“ur. Les deux voisins de ma femme Ă©taient Ă prĂ©sent entièrement nus.Sans doute distraite, Morgane perdit la partie suivante. Elle retira son chemisier, se retrouva en dessous, et ses voisins ne se privèrent pas pour admirer ses courbes magnifiques. Et la partie suivante vit le grand baraquĂ© perdre son pantalon.La mène qui dĂ©marrait allait ĂŞtre capitale : soit mon Ă©pouse perdait son soutien-gorge, soit l’un des deux derniers mâles allait nous exhiber son membre. Ce fut l’un des voisins de mon Ă©pouse qui perdit ! Après concertation, il fut dĂ©cidĂ© qu’il aurait un petit gage : il devrait se lever et faire le tour de la table pour remplir tous les verres. Il s’exĂ©cuta et tout le monde put constater que son sexe avait pris du volume depuis que ma femme s’était retrouvĂ©e en sous-vĂŞtements.Ă€ la partie suivante, ma femme perdit de nouveau. Je me demandais comment elle allait rĂ©agir, je m’attendais Ă ce qu’elle refuse de montrer sa poitrine et se retire du jeu. Mais, soit je ne connaissais pas mon Ă©pouse, soit l’alcool l’avait totalement dĂ©sinhibĂ©e. En effet, sans aucune hĂ©sitation, elle passa les mains dans son dos, dĂ©grafa son soutien-gorge et s’exhiba aux regards des joueurs et des quelques spectateurs prĂ©sents dans la pièce.Les hommes avaient l’air d’apprĂ©cier et semblaient Ă©galement vouloir en voir plus, car, Ă la partie suivante, ils semblaient s’être liguĂ©s pour faire perdre mon Ă©pouse. Celle-ci avait rĂ©alisĂ© dans quel piège elle venait de tomber, et refusa de retirer son dernier rempart. Les autres joueurs insistèrent un peu, sans s’énerver. Aussi, pour que l’ambiance ne tombe pas totalement, Marc lui proposa de se lever, et, au lieu de retirer son petit tanga, de faire le tour de la table pour servir tout le monde. Elle accepta et passa entre les chaises pour remplir tous les verres. Tous les joueurs en profitèrent pour admirer ses seins de près et mater ses jolies fesses.Ils dĂ©cidèrent de reprendre la partie. Au premier tour, Marc perdit, et, sans hĂ©sitation, se leva pour retirer son boxer. Son sexe Ă©tait totalement bandĂ©, et, Ă peine libĂ©rĂ©, vint se plaquer sur son ventre. Il s’excusa auprès de Morgane, en lui prĂ©cisant qu’elle Ă©tait la principale cause de son trouble !Au tour suivant, Morgane perdit de nouveau, mais elle refusait toujours d’ôter son dernier vĂŞtement et proposa de se lever Ă nouveau pour effectuer le service. Marc et ceux qui Ă©taient entièrement nus objectèrent qu’eux avaient jouĂ© le jeu, et qu’ils exigeaient son vĂŞtement sur la table… L’ambiance avait changĂ© et Ă©tait un peu plus lourde, je pensais que mon Ă©pouse devait se retirer, mais je n’intervins pas, un peu excitĂ© et curieux de voir jusqu’oĂą elle irait.Le grand costaud proposa Ă mon Ă©pouse de refaire une partie Ă quitte ou double. Tout le monde attendait de savoir ce qu’il voulait. Il lui proposa, soit de se dĂ©shabiller immĂ©diatement, soit de faire une dernière mène. Si elle gagnait elle gardait son tanga, si par contre elle perdait, elle devrait caresser tous les sexes, c’est-Ă -dire les masturber tous les cinq. Je m’attendais Ă ce qu’elle pose son vĂŞtement sur la table pour mettre fin Ă la partie. Encore une fois elle me surprit et demanda les cartes. La tension Ă©tait palpable, tout le monde posa ses cartes et il fallut se rendre Ă l’évidence, Morgane avait perdu !Elle ne bougeait pas, personne ne disait rien. Ce fut l’un des voisins de Morgane qui se leva le premier. Il se tourna vers elle, en flattant doucement son sexe avec sa main, et attendit. Elle le regarda, son regard passant de son visage Ă son sexe. Tout cela me semblait irrĂ©el, mais je ne voulais pas intervenir. Au bout de quelques longues secondes il lui prit la main et la posa sur son membre. Elle le laissa faire, mais restait passive, c’était davantage lui qui se masturbait avec la main de mon Ă©pouse, qu’elle ne le caressait. Son autre voisin se leva Ă son tour, prit l’autre main de Morgane, et la posa sur son sexe gonflĂ© et dur. Je vis Morgane commencer une lente masturbation. L’homme accĂ©lĂ©rait les caresses de Morgane, soudain il se crispa, lâcha la main de mon Ă©pouse qui continua sa caresse jusqu’à ce qu’il Ă©jacule. Alors il s’effaça, pour que Marc vienne prendre sa place.Morgane saisit son sexe et dĂ©buta sa caresse. Marc posa sa main sur le sein de mon Ă©pouse et essaya de la caresser. Elle lâcha le pĂ©nis pour Ă©carter sa main, car il n’était pas convenu qu’elle se laisse peloter. Quelques instants plus tard, il tenta une nouvelle approche sur sa poitrine, avec le mĂŞme rĂ©sultat. Mais Ă la troisième tentative, elle le laissa faire, et son compère s’occupa de l’autre sein. Mon Ă©pouse cessa ses mouvements sur les deux membres qu’elle avait en mains. Inutile de continuer Ă chauffer Ă nouveau leurs propriĂ©taires, puisqu’ils s’excitaient davantage en lui caressant la poitrine. Ainsi son supplice finirait plus rapidement…Cependant, je voyais son attitude Ă©voluer, elle semblait commencer Ă prendre du plaisir sous les caresses. Les deux acolytes semblaient Ă©galement apprĂ©cier ses mains douces sur leurs sexes, et c’est assez rapidement qu’ils jouirent de concert sous ses doigts. Marc Ă©jacula vigoureusement, les premiers jets de sperme atterrirent sur le visage de Morgane, Ă la commissure des lèvres. Il posa son index sur son visage, Ă©tala lĂ©gèrement sa semence, puis prĂ©senta son doigt Ă la bouche de mon Ă©pouse. Il força lĂ©gèrement le passage, et Morgane ouvrit les lèvres pour lui lĂ©cher doucement le doigt et gouter sa semence.Les deux derniers joueurs s’approchèrent Ă leur tour, pour profiter des caresses de mon Ă©pouse. Le grand costaud retira son slip et dĂ©voila un sexe de taille peu commune. Il ne bandait pas encore mais son braquemart Ă©tait dĂ©jĂ beaucoup plus volumineux que la moyenne. Ils s’approchèrent et elle prit leurs sexes en main. Le pĂ©nis du grand costaud la troublait, elle ne le quittait pas des yeux. L’autre joueur haletait. Elle avait Ă peine dĂ©butĂ© sa caresse, qu’il vint entre ses doigts. Le grand baraquĂ© fit pivoter Morgane vers lui et prit ses seins dans ses mains. Il lui malaxait la poitrine et de temps en temps prenait ses tĂ©tons entre les doigts en les tournant dĂ©licatement. Elle semblait commencer Ă Ă©prouver du plaisir sous ces caresses. Doucement, le grand balèze appuya ses mains derrière la tĂŞte de Morgane, et rapprocha son visage de son membre, maintenant bien dur. Elle tourna la tĂŞte au dernier moment, maintenant il frottait son gland contre sa joue. Elle continuait de le masturber mais refusait de le prendre en bouche. Lui, avait posĂ© sa main droite sur la cuisse de Morgane et l’approchait petit Ă petit de son entrejambe. Elle ne rĂ©sista pas, au contraire, elle ouvrit lĂ©gèrement les jambes pour lui faciliter le passage. Il ne se fit pas prier et passa ses doigts sous le fin tissu. Mon Ă©pouse semblait apprĂ©cier cette caresse et gĂ©missait doucement. Elle avait maintenant tournĂ© la tĂŞte vers le dard qui se prĂ©sentait et tout en le masturbant, elle le touchait du bout des lèvres.Le Tarzan, de son cĂ´tĂ©, ne restait pas inactif. MalgrĂ© la prĂ©sence du tanga, il avait rĂ©ussi Ă glisser ses doigts entre les lèvres intimes de Morgane, et les faisait aller au rythme de ses caresses. Elle n’était pas loin de la jouissance. Voyant cela, il en profita pour enfoncer un peu plus sa queue, elle se laissa faire et ouvrit un peu plus la bouche pour l’accueillir. Il allait et venait dans sa bouche, de temps en temps il sortait son sexe et elle le lĂ©chait sur toute sa longueur. Brusquement, elle se cabra : elle venait de jouir sous ses caresses. Elle continua sa fellation encore quelques instants et il se crispa Ă son tour. Elle voulut le retirer de sa bouche, mais il l’y maintint avec sa main, avant de jouir en elle. Elle ne dit rien et lorsqu’il retira son sexe, elle sortit la langue pour le nettoyer.Enfin elle se leva, prit ses vĂŞtements avant de se diriger vers la salle de bains, sans un mot ni un regard pour moi.