Pour l’amour de Dieu chap 7
Le jeune pasteur accepte d’ĂŞtre le momocou de la tribu sauvage, il laisse Ă Macoura un jeune guerrier vigoureux le soin d’engrosser son Ă©pouse. Loin de s’en plaindre Katharina ne peut qu’exulter Ă la conclusion de la cĂ©rĂ©monie qui voit le fort la baiser et le faible la vĂ©nĂ©rer des yeux.
Proposée le 22/02/2022 par cerisemoche Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme dominéPersonnages: GroupesLieu: Forêt, campagne, natureType: Fantasme
Au fin fond de la jungle gabonaise dans une faille gĂ©ologique entourĂ© d’une tribu sauvage j’Ă©tais nu agenouillĂ© devant mon Ă©pouse et son amant. Debout Macoura la portait dos contre ses pectoraux, ses mains fermes sous les cuisses blanches il donnait des coups de reins rĂ©gulier. PliĂ© en deux Katharina les genoux touchant les Ă©paules se retenait d’un bras autour du cou de son amant en gĂ©missant son bonheur. Ă€ un Ă©nième vas et viens Macoura sorti entièrement sa queue couleur Ă©bène, contre la vulve de mon Ă©pouse elle perlait de sa mouille. J’avais envie de faire plaisir Ă Katharina, un peu Ă son amant, partager leur plaisir. Sans mĂŞme ĂŞtre guidĂ© ou commandĂ© si ce n’est pas mes pulsions je pris l’engin palpitant en main. Ma nature de soumis s’exprima sans plus de retenu, courant mes doigts sur ce manche veineux je me penchais pour passer ma langue sur le gland massif. Je roulais ma langue sous la jointure en m’enivrant du goĂ»t intime de mon Ă©pouse. Cette colonne de chair me troublait de plus en plus, avalant tout le gland je sentais sous ma langue pulser la puissant don parlait mes tourmenteuses. Mon Ă©pouse agrĂ©ablement surprise de mon initiative me caressa les cheveux. « Je t’aime mon lapin. » J’avais la bite de son amant dans la bouche, je devais avoir sombrĂ© dans la folie pour entendre ces mots. « Remets la moi maintenant. » J’obĂ©issais, Macoura d’un mouvement de rein en fonça son sexe dans le vagin de mon Ă©pouse. Aux rythmes des coups de butoir Katharina poussait des gĂ©missements qui se mĂŞlaient aux tam-tams. Attrapant un de ses pieds ballant je lui suçais les orteils avec ferveur, je voulais la voir exulter, l’entendre crier son bonheur, qu’elle me face un bâtard si c’Ă©tait le prix Ă payer pour ça. AgenouillĂ© Ă mes cĂ´tĂ© Rofili après avoir trempĂ© sa main dans le bol d’huile me pĂ©nĂ©tra de quatre doigts, je poussais un soupir Ă©touffĂ© par deux orteils sous ma langue. Je continuais de les sucer pendant que Rofili m’Ă©cartait l’anus comme jamais, je sentis son pouce essayĂ© de rejoindre les doigts dans mon rectum. J’Ă©tais Ă la limite de la douleur nĂ©anmoins de plaisir enflait aussi, recrachant les orteils de mon Ă©pouse je poussait un expiration de soulagement quand le pouce passant mon anus se serra aussitĂ´t sur un fin poignet. Rofili enfonça entièrement sa main dans mon rectum, ma queue palpita violemment. J’Ă©tais Ă un cheveux de jouir, levant la croupe au mouvement de piston j’accompagnais les gĂ©missements de mon Ă©pouse des miens. La bave aux lèvres, la tĂŞte appuyĂ© contre l’Ă©paule de Rofili qui me sodomisait lentement, j’oscillais entre tension insoutenable et extrĂŞme fatigue. Je regardais l’Ă©paisse et longue queue aller et venir plus rapidement dans le vagin de mon Ă©pouse, les couilles velue qui se balançaient sous mon nez m’envoyaient des goĂ»tes de cyprine et de liquide prĂ©-sĂ©minal. « C’est bien pasteur soumets toi Ă la tribu, me souffla Marie agenouillĂ© de mon autre cĂ´tĂ©. Abandonnes tout ce qui fait de toi un homme, ton honneur, ton Ă©pouse, ton droit de te reproduire. » Encore une fois elle enserra mes couilles Ă m’en faire mal avant de relâcher lĂ©gèrement la pression, elle me voulait attentif Ă la suite. « Tu ne pourras plus jamais baiser car ta faible semence est indigne d’une femme. NĂ©anmoins si tu dĂ©cides de passer les cĂ©rĂ©monies des six autres tribus tu serras livrer Ă notre shaman. Après avoir neutralisĂ© ta semence jugĂ© sept fois indigne elle te permettra alors de retrouver le sacrĂ© de ton Ă©pouse, de toutes femmes des sept tribus. Tu nous baiseras pendant que nos amants te baiserons, tu serras un parfait momocou. Tu as envie de devenir un parfait momocou ? » Les tam-tams raisonnaient dans la faille gĂ©ologique, la tribu dansait autour de nous en poussant des cris de joie sporadique, la main de Rofili irradiait mon rectum de plaisir, mon Ă©pouse poussait des gĂ©missements bestiale, son amant l’accompagnait de râles pendant que leurs sexes fusionnaient sous mon nez. Marie croyait vraiment que j’Ă©tais en Ă©tat de rĂ©pondre dans ces conditions. Je poussais une plainte qui pouvais tout dire, une petite partie de moi Ă©tait sĂ©duit par cette perspective une autre s’en indigna mais la plus grande partie Ă©tait extrĂŞmement effrayĂ© tant elle percevait le sacrifice demandĂ©. « RĂ©flĂ©chis y mon petit momocou rien ne te serra imposĂ© il faut ĂŞtre volontaire. Si tu veux toujours faire connaĂ®tre ton Dieu aux autres tribus tu devras alors accepter d’ĂŞtre livrĂ© Ă notre shaman. Elle est elle seul pourra supprimer Ă jamais ta faible semence pour que plus jamais un momocou ne se multiplie. » Ivre d’amour et d’alcool je ne voulais pas penser Ă cette horrible coutume ni mĂŞme au lendemain, en cette nuit je ne voulais que prendre et donner du plaisir. Marie me mordilla une oreille en guidant ma main entre ses cuisses, mes doigts trouvèrent une vulve aussi brĂ»lante que visqueuse. Je jouais mes doigts dessus avant de la pĂ©nĂ©trer de deux, Marie poussa une expiration de bonheur avant de reprendre d’un ton envoĂ»tant. « Depuis que j’ai eu un enfant je ne me suis plus fait baiser. Nos lois sont dure mais nĂ©cessaire, toi tu peux me libĂ©rer de ce manque. Tu peux toutes nous libĂ©rer de ce manque qui habite chacune des mères de la tribu. » De l’autre cĂ´tĂ© Rofili m’attaqua Ă son tour, guidant ma main entre ses cuisses elle me se pencha Ă mon oreille. « Toi don la semence est indigne d’une femme pourquoi ne pas l’abandonner Ă notre shamane. Tu nous as parlĂ© pendant un sermon de charitĂ©, soit le en nous comblant de ta jolie petite queue. » Dans sa fièvre mon esprit compris le but de cette coutume sauvage, la tribu avait mis en place une politique de contrĂ´le des naissances. La cĂ©rĂ©monies servait Ă Ă©prouver les hommes, ceux qui arrivaient Ă contrĂ´ler leurs pulsions le restaient les autres devenaient des momocous indigne de se reproduire. J’enfonçais mon index dans le vagin de Rofili qui poussa une expiration de contentement. Sous la chaude et douce pression je ne pus m’empĂŞcher d’imaginer ma jolie petite queue comme elle l’appelait la pĂ©nĂ©trer de la sorte. Elles avaient rĂ©ussi Ă planter une graine mon esprit affaibli qui ne rejeta pas entièrement cette perspective. En tant que momocou j’avais maintenant le droit de caresser toutes les femmes de la tribu sans pouvoir en baiser une, ce que j’avais pris pour une bĂ©nĂ©diction Ă©tait en faite des jalons pour m’attirer vers un piège. J’eus encore un Ă©clair de luciditĂ© qui me secoua jusqu’au trĂ©fonds de mon âme, le pasteur Charles-Michel Ă©tait toujours rasĂ© de près mais est-ce du vraiment Ă cela. Je n’eus pas le temps d’approfondir cette perspective dĂ©mentiel, Marie sorti la queue de Macoura pour la rabattre derrière les fesses de mon Ă©pouse. La vulve de Katharina reprit aussitĂ´t sa forme originelle, luisante de nectar don l’odeur m’enivrait, je me penchais pour passer ma langue entre les lèvres intimes malmenĂ©es. Le souffle court Katharina passa une main dans mes cheveux collĂ© de sueur, Marie aussi noire que pervers lui adressa la parole pour mieux me tourmenter. « Katharina tu as envie que ton Ă©poux passe les cĂ©rĂ©monies des six autres tribus pour devenir un parfait momocou? » AccrochĂ© au cou de son amant elle me regarda du haut de son perchoir couleur Ă©bène. Je lus dans ses yeux qu’elle avait compris Ă quoi me conduirait la septième et dernière cĂ©rĂ©monies. « Pour moi mon momocou d’Ă©poux a toujours Ă©tĂ© parfait, rĂ©pondit-elle en me souriant. » Je poussais un soupir Ă ces mots qui me touchaient le cĹ“ur, enfonçant ma langue dans son vagin emplissant ma bouche de son nectar. « Il a dĂ©jĂ tant fait pour vous faire connaĂ®tre la Bonne Nouvelle, reprit-elle après un soupir. Personne ne pourra lui reprocher de ne pas aller plus loin, nĂ©anmoins je pense que privĂ© de sa semence mon Ă©poux n’en aimera que plus nos enfants. » StupĂ©fait je quittĂ© sa vulve, Katharina appuya sur l’arrière ma tĂŞte pour que je continue Ă la lĂ©cher comme mes deux tourmenteuses poussèrent des expirations de mĂ©contentement pour que je continue Ă jouer mes doigts dans leurs vagins. « Ton Ă©pouse est une femme avisĂ©, me dit Marie. » Enserrant mes couilles comme un sac de billes elle reprit Ă l’attention de mon Ă©pouse. « Tant qu’il aura la possibilitĂ© de se multiplier son cĹ“ur restera tiède pour vos enfants. Mais ne t’inquiète pas lors d’une grande cĂ©rĂ©monie oĂą toutes les tribus rĂ©unissent leurs momocous encore imparfait ils finissent tous par demander Ă notre shamane de les transformer. Tu n’auras cas convaincre ton Ă©poux de faire connaĂ®tre son Dieu Ă toutes les tribus.» Ne prenant nullement ma dĂ©fense mon Ă©pouse me plaqua contre sa vulve pour que je continus d’enfoncer ma langue dans son vagin, je ne pus que pousser une petite plainte. «Tu es le cadeau de ton Dieu Ă nos esprits, me dit Rofili. Tu vas donner beaucoup de bonheur Ă notre tribu. » Respirant avec peine je bougeais mon basin aux rythmes de sa main qui coulissait dans mon cul, le besoin de jouir après cette longue nuit m’Ă©tait devenu vital. « Plus vite, lui soufflais-je. » Mon Ă©pouse eut tĂ´t fait de me plaquer la bouche sur sa chatte. Je passais avec grand plaisir ma langue dans les replies de son intimitĂ© brĂ»lante et visqueuse tout en rĂ©itĂ©rant ma demande d’un gĂ©missement. « Pasteur cette nuit n’est qu’un petit aperçu de tout le bonheur qui t’attend, me rĂ©pondit Rofili. Quand tu auras offert ta virilitĂ© Ă notre shamane alors chaque nuit tu baiseras une femme diffĂ©rente pendant que leurs hommes te baiseront. Crois moi qu’une queue est bien meilleur que ma main. » Je poussais une plainte Ă cette perspective pourtant mon esprit visualisa l’Ă©paisse et longue queue de Macoura. Cette acte qui conduisait en enfer inscrit dans l’ancien et le nouveau testament aurait du me calmer nĂ©anmoins en cette instant brĂ»lant de fièvre je ne pus complètement rejeter cette abomination comme le nome les Juifs. Continuant Ă lĂ©cher mon Ă©pouse en doigtant les deux jeunes femmes qui m’encadraient je bougeais du bassin sans plus de retenue. Ă€ la limite de la jouissance mes fesses Ă©taient prises de tremblement, ma queue palpita. J’Ă©tais si Ă©puisĂ© que ma vision se troubla, j’avais envie de m’allonger pour laisser mes tourmenteuses achever leur Ĺ“uvre mais mon Ă©pouse qui me caressait la tĂŞte m’obligea par ses gĂ©missements Ă continuer passer ma langue entre ses lèvres intimes. Infatigable la tribu autour ne nous criait, sautait, dansait, tapait des mains. Derrière eux les tam-tams continuaient Ă faire rĂ©sonner dans la faille gĂ©ologique des percutions endiablĂ©. Macoura allongea mon Ă©pouse de profil devant moi, je la contemplais Ă©tendu sur le dos au milieu de la jungle. Haletante les flammes illuminaient son corps voluptueux ruisselant de sueur, ses mamelons Ă©taient fièrement dressĂ©s, ses lourds seins poussaient vers les extĂ©rieurs, sa toison rousse encadrait une vulve gonflĂ©e de plaisir. Ouvrant ses jambes galbes Ă son amant qui vint s’agenouiller entre Katharina tourna la tĂŞte vers moi, pour me regarder avec complicitĂ© comme si c’Ă©tait moi qui allait encore la baiser. « Guide sa queue mon lapin. » J’avais les deux mains prise qui doigtaient mes tourmenteuses, Macoura posa sa main sur ma nuque pour me faire comprendre ce que mon Ă©pouse attendait. Me voĂ»tant je poussais de mes lèvres la queue couleur d’Ă©bène pour la pousser Ă l’horizontal, Macoura d’un coup de rein la fit disparaĂ®tre dans le vagin de mon Ă©pouse. Il me maintien la tĂŞte contre le ventre de Katharina pour que je sente son engin aller et venir en elle. Rofili et Marie telle des guĂŞpes revinrent piquer mon esprit dĂ©jĂ tourmentĂ©. « Mon petit momocou, me dit la première en jouant sa main dans mon rectum. Macoura va bientĂ´t engrosser ton Ă©pouse, tu es contant pas vrai. » « Tu dois en remercier ton Dieu, me dit la seconde en malaxant mes couilles. C’est sa volontĂ© d’empĂŞcher ta faible semence de se transmettre, remercie Le. » Marie pourtant baptisĂ© allait beaucoup trop loin, Dieu n’y Ă©tait pour rien le pasteur en moi s’en insurgea. « J’ai Ă©tĂ© faible, le seul fautif c’est moi. » Les jambes de mon Ă©pouse Ă demi pliĂ© de chaque cĂ´tĂ© de ses hanches Macoura l’agrippa par les hanches pour amorcer de violent coup de butoir. Son engin sortait presque entièrement avant de revenir taper l’utĂ©rus de mon Ă©pouse qui gĂ©missait Ă la hauteur de son plaisir. Marie me malaxait les couilles, Rofili coulissait sa main dans mon rectum, sous mes doigts elles poussaient des gĂ©missements plus tĂ©nus. Je commençais Ă prendre le coup de main en me guidant Ă leurs voix, bien vite de senti des contractions vaginal. « Tu es douĂ© pasteur, me dit Marie. » « Continus vas-y ça vient, me dit Rofili. » Les mains trempĂ©es de cyprine je continuais Ă faire jouer mes doigts en regardant Macoura baiser mon Ă©pouse. Katharina croisa ses jambes derrières les reins de son amant, elle haletait sous les coups de butoir en courant ses mains blanches sur les tors noir. Macoura se baissa pour trouver ses lèvres, ils s’embrassèrent fougueusement sous mon nez un bon moment. Sous le rythme entĂŞtant des tam-tams la tribu surexcitĂ© dansait autour de nous en poussant la mĂŞme phrase qui m’Ă©tait incomprĂ©hensible. « Ils demandent Ă nos esprits protecteurs de bĂ©nir la semence de Macoura, me souffla Marie. Ton Ă©pouse va bientĂ´t ĂŞtre fĂ©condĂ© tant tout son ĂŞtre ne demande que ça. » Ruisselante de sueur Katharina exsangue levait lĂ©gèrement le bassin Ă chaque coup de butoir, ses gĂ©missements n’Ă©taient plus qu’une supplique Ă ce que son amant se dĂ©charge en elle. « Supplies Macoura comme un bon momocou d’engrosser ton Ă©pouse, me dit Rofili en immobilisant sa main dans mon rectum. » Je n’Ă©tais plus un homme, esclave de mes pulsions je ne me soumettais aussitĂ´t. « Macoura je t’en supplie engrosse mon Ă©pouse. » Il souleva Katharina la tourna dos Ă lui avant de s’asseoir en face de moi. Katharina contre son dos retrouva mes yeux, toujours empalĂ© elle Ă©carta les cuisses pour venir se mettre accroupi. « Supplies encore, me dit-elle en souriant. Je veux que tu te rappelle que c’est toi qui m’a jeter dans la gueule du loup. » Je levais la tĂŞte vers Macoura au-dessus d’elle, il afficha un sourire victorieux en cette terrible cĂ©rĂ©monie je perdais tout. « Macoura je t’en supplie engrosse mon Ă©pouse. » « Tu veux que je remplace ta faible race de la mienne ? » « Oui je le veux. » Macoura passa ses mains sous les fesses de mon Ă©pouse, doucement il commença Ă donner coups de reins. Son Ă©paisse et longue queue couleur Ă©bène Ă©tirait les lèvres intimes de mon Ă©pouse, ses couilles Ă©taient luisante de nectar. Katherina me guida vers son clitoris, je le susurrais avec joie en sentant l’engin aller et venir en elle. Marie et Rofili continuaient Ă me caresser, je poussais des gĂ©missements Ă©touffĂ© en sentant que mon dĂ©licieux calvaire allait toucher Ă sa fin. Toute la tribu continuait Ă danser en priant leurs esprits d’une voix unie qui rĂ©sonna dans la faille gĂ©ologique. Mon Ă©pouse me repoussa, elle voulait que je ne loupe rien de son bonheur. Le rythme des coups de reins s’accĂ©lĂ©ra, Katharina ondulait du bassin en gĂ©missant de plus belle, les couilles de son amant commencèrent Ă se balancer violemment. Marie et Rofili me soufflèrent aux oreilles la mĂŞme prière que le reste de la tribu, haletant sous leur caresse je regardais les sexes unis luisant de liquide prĂ©-sĂ©minal don l’odeur me faisait tourner la tĂŞte. Macoura poussa des râles de plus en plus rapprochĂ© mon Ă©pouse l’accompagna de mouvement de bassin saccadĂ©, Ă un Ă©nième va et viens ils poussèrent de concert un cris de jouissance. Je pouvais voir la base de l’Ă©paisse et longue queue prise de violent spasme, Katharina bascula sa tĂŞte en arrière en gĂ©missant une dernière fois au ciel Ă©toilĂ©. Ils restèrent immobile un instant en reprenant leur souffle, je restais fixĂ© sur leurs sexes imbriquĂ© qui venaient de me faire un bastard. Je n’arrivais mĂŞme pas Ă ĂŞtre en colère, mon Ă©pouse avait raison c’Ă©tait moi qui l’avait conduite dans la gueule du loup. Quoi que l’avenir me rĂ©serve j’en assumerais les consĂ©quences. © Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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