Pour l’amour de Dieu
Un jeune pasteur Français part avec son épouse au Congo pour évangéliser sept tribus isolé dans la jungle. Le pasteur et son épouse devront passer une épreuve pour être accepté par ces peuplades sauvage sans savoir que cela va changer leurs vies à tout jamais.
Proposée le 21/11/2021 par cerisemoche Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: Forêt, campagne, natureType: Fantasme
L’Ă©vangĂ©lisation est le fait d’annoncer la Bonne Nouvelle de JĂ©sus-Christ et donc de faire connaĂ®tre la foi chrĂ©tienne en la rĂ©surrection, celle du Fils de Dieu puis des hommes. En tant que nouveau pasteur de vingt et un ans tout juste sorti de l’institut protestant de thĂ©ologie de Montpellier c’Ă©tait la mission que j’avais Ă cĹ“ur d’entreprendre. Finir de rĂ©pandre la parole de JĂ©sus aux peuples encore dans les tĂ©nèbres me paraissait ĂŞtre un devoir sacrĂ©, contrairement Ă d’autre pasteurs et amis je n’avais pas envie de passer ma vie en France Ă dĂ©montrer aux catholiques que vĂ©nĂ©rer le pape les Ă©loignaient de JĂ©sus. Non moi je ne voulais pas perdre mon temps avec des idolâtres qui avaient toute les connaissances de JĂ©sus-Christ en mains pour savoir pĂ©cher alors que des hommes honnĂŞtes dans des contrĂ©s reculĂ©s mouraient sans avoir eu la chance d’entendre la Bonne Nouvelle et donc de rejoindre le paradis. Au dĂ©but de mes Ă©tudes un ami de classe me prĂ©senta sa sĹ“ur aĂ®nĂ©e qui tardait Ă trouver mari Ă son pied. Protestante de famille protestante son prĂ©nom ne m’étonna pas, Katharina orthographiĂ© pareillement que la femme de Martin Luther. Je me rappellerais toute ma vie la première foi que je l’aperçus dans le salon de ses parents entrain de lire dans un fauteuil club. Je dĂ©couvris alors une sublime femme de vingt cinq ans soit Ă cette Ă©poque sept ans de plus que moi qui allais sur mes dix neuf ans. Les derniers rayons du crĂ©puscule qui filtrait Ă travers une grande porte fenĂŞtre faisaient luire ses cheveux de feux, je n’avais encore jamais vu une telle rousseur de ma vie ayant des nuances de lave volcanique. Ses longs cheveux de feux Ă©taient tressĂ© en deux nattes qui s’enroulaient de chaque cĂ´tĂ© de son crane pour se joindre dans son dos dĂ©gageant un visage de toute beautĂ©. Sous des sourcils qui ne dĂ©pareillaient de la couleur dominante de grands yeux vert se levaient alors de son livre pour plonger avec assurance dans les miens. Elle avait un nez fin lĂ©gèrement retroussĂ© des pommettes hautes le tout parsemĂ© de taches de rousseur qui loin de l’enlaidir rajoutaient Ă son charme. Des lèvres pleine une mâchoire bien dessinĂ© un gracieux cou, dans une robe verte foncĂ© je ne pouvais que voir les formes gĂ©nĂ©reuses de ses seins les belles lignes de ses hanches. Je devinait sous le tissus de longues jambes galbes tant Dieu ne pouvait avoir magnifiĂ© le haut pour enlaidir le bas. J’avais dĂ©jĂ eu quelques Ă©mois au lycĂ©e mais lĂ devant elle j’Ă©tais comme frappĂ© par un train Ă grande vitesse. Elle me dit bonsoir en me faisant la bise, le cĹ“ur Ă tout rompre je rĂ©pĂ©tais le mot comme un perroquet en sentant mes joues me brĂ»ler. Perdant mes moyens ne pouvant soutenir une conversation mĂŞme sur le temps qu’il faisait je repartais sur que Katharina ne voudrait plus jamais me revoir. Il n’en Ă©tait rien le coup de foudre qui m’avait frappĂ© avait aussi touchĂ© Katharina, je ne pouvais que penser que c’Ă©tait Dieu qui nous avait rĂ©uni. Deux ans plus tard devant toute notre communautĂ© on se mariait pour le meilleur et pour le pire, j’allais dĂ©couvrir plus tard que meilleur et pire peuvent se mĂ©langer. Mon Ă©pouse me soutenait dans mon projet d’Ă©vangĂ©liser ceux qui ne connaissaient pas la Bonne Nouvelle, pour ne pas mettre en pĂ©ril mon projet nous nous abstenions de rapport charnel. Elle quoi moi refusions les moyens de contraception, Dieu ne nous avait pas crĂ©Ă© ainsi pour que nous dĂ©tournions notre nature. Sachant cas notre Ă©poque nous avions le temps d’avoir des enfants on avait dĂ©cidĂ© d’attendre quelques annĂ©es pour que je puisses me concentrer sur ma la mission que je m’Ă©tais fixĂ©. Beaucoup de pasteurs par le monde demandaient de l’aide pour Ă©vangĂ©liser des autochtones, je laissais ma femme m’aider Ă choisir l’endroit oĂą je pourrais ĂŞtre le plus utile. Après plusieurs contactes international avec des pasteurs du monde entier suivent les conseilles de mon Ă©pouse et avec l’accord de ma congrĂ©gation j’acceptais de prĂŞter main forte Ă un pasteur Belge nommĂ© Charles-Michel installĂ© depuis plus de quarante ans en rĂ©publique dĂ©mocratique du Congo. Il nous rassura moi et mon Ă©pouse sur la sĂ©curitĂ© du pays qui en plus de s’ĂŞtre grandement amĂ©liorĂ© avait Ă©pargnĂ© de la guerre certaine rĂ©gion don la sienne. Dans l’avions qui survolait la mĂ©diterranĂ© j’Ă©tais Ă la fois excitĂ© et en anxieux, j’avais très envie de faire renter JĂ©sus dans le cĹ“ur des hommes mais j’avais aussi très peur de ne pas ĂŞtre Ă la hauteur. Il n’Ă©tait pas si facile de faire abandonner une fausse religion Ă ceux qui n’avait connu que celle ci toute leur vie, de plus bien des traditions ancestrales allaient Ă l’encontre du chemin vers le paradis. Mon Ă©pouse Ă mes cĂ´tĂ© tĂŞte reposĂ© sur mon Ă©paule me rassura, avec son amour je me sentais prĂŞt Ă gravir des montagnes. Le long vol fut une partie de plaisir Ă cĂ´tĂ© du pĂ©riple qui nous attendait une fois sur le tarmac de Kinshasa, le pays Ă©tait pas loin de quatre fois la France recouvert en grande partie d’une forĂŞt luxuriante. Je n’avais jamais connue une telle chaleur Ă©touffant et humide alors mĂŞme que notre destination Ă©tait bien plus au nord quasi au niveau de l’Équateur. On changea plusieurs fois de vĂ©hicules, voiture, 4×4, bus, et mĂŞme un gros camion chargĂ© de passagers. Sur des routes de terre cabossĂ©s notre avançait fut lente et chaotique, les moustiques et autre mouches suceuses de sang vinrent s’ajouter Ă notre calvaire. Je m’en voulais d’infliger ça Ă mon Ă©pouse mais curieuse de tout Katharina ne se plain pas une seul fois, elle tombait sous le charme de cette Ă©trange pays qui regorgeait de peuples, de faunes et de flores. EnfoncĂ© dans une forĂŞt qui nous protĂ©geait d’un mordant soleil après deux semaines de voyage on arrivait Ă destination Ă pieds, dĂ©posĂ© dix kilomètre plutĂ´t par un chauffeur qui ne voulait pas aller plus loin. De l’autre cĂ´tĂ© d’une rivière je vis une maison au toit en tĂ´le de fer qui rouillĂ© par endroit, sur pilotis sans Ă©tage une silhouette nous fit signe de la main de la terrasse. C’est une des filles du pasteur Charles-Michel absent qui nous accueillit dans sa maison perdu au bout du monde. MĂ©tisse du haut de ses dix huit ans ThĂ©rèse Ă©tait plutĂ´t grande et svelte. Sous une boule de cheveux crĂ©pus son visage harmonieux allait la beautĂ© des deux races si c’est encore possible de nos jours d’employer ce terme. Des yeux marrons clair comme sa peau, un nez Ă©patĂ© plutĂ´t fin, des lèvres pleines jamais avar de sourires. Sous son chemisier blanc trempĂ© de sueur mes yeux s’arrĂŞtèrent un instant sur sa poitrine moyenne don les mamelons Ă©pousaient le tissu. Elle portait un short qui dĂ©voilait de longue jambes galbes, ThĂ©rèse avait les atours de ce que je me faisais des mannequins. Après avoir fait connaissance ThĂ©rèse nous conduit Ă notre chambre qui donnait sur l’arrière de la maison. ExtĂ©nuĂ© je me serrais bien jetĂ© sur le lit en baldaquin fermĂ© de moustiquaires mais je macĂ©rais dans ma sueur depuis trop longtemps puis Katharina ne me laissa pas le choix. ThĂ©rèse nous donna un pain de savon et des serviettes en nous indiquant un petit chemin Ă prendre sur une vingtaine de mètres pour trouver une salle d’eau en plein air. Une cascade se jetait dans un point d’eau bordĂ© d’une clĂ´ture de bois, des pierres plates et polis servaient de carrelage. Je n’Ă©tais pas très alaise de me dĂ©shabiller en plein air d’autant que la clĂ´ture n’arrivait mĂŞme pas Ă mes Ă©paules, elle devait servir simplement Ă Ă©loigner les bĂŞtes sauvages. Sans pudeur aucune Katharina passa par dessous tĂŞte son tee-shirt, tomba son soutien-gorge, baissa pantalon et culotte. Puis sans attendre passe sous la cascade en poussant un cris de joie. Ses cheveux roux coiffĂ© en une longue tresse Ă©pousait comme un serpent un des lourds seins, mes yeux ne purent que suivre sa direction vers une toison au nuance plus sombre. Je pouvais distinguer les contours de son intimitĂ©, il y avait pas cinq minutes je tombais de sommeil maintenant j’Ă©tais plus que rĂ©veillĂ©. Je dois avouĂ© que le sexe m’avait toujours mis mal alaise, on Ă©tait Ă l’image de Dieu nĂ©anmoins les rapports charnel nous rapprochaient bien plus des bĂŞtes que du divin. Mon Ă©pouse sous les rayons qui filtraient des grands arbres Ă©tait de toute beautĂ©, elle posa ses yeux verts sur moi en esquissant un sourire coquin. « Ne soit pas timide nous sommes mari et femme, me dit-elle. Viens approches je vais te frotter le dos. » Je l’avais dĂ©jĂ reprise sur sa façon de me parler par moment mais en cette instant je ne pouvais qu’obĂ©ir Ă mon aĂ®nĂ©e de femme. Cachant d’une main mon Ă©rection je glissais sous la cascade d’eau fraĂ®che. Le savon n’Ă©tait qu’un prĂ©texte je le savais, Katharina Ă©tait d’accord avec moi pour ne pas concevoir dans les premiers annĂ©es de ma mission nĂ©anmoins elle me harcelait rĂ©gulièrement pour que je la contente de caresses. Dans mon esprit de pasteur ça n’avait pas de sens mais pour mon corps ça en devenait presque vital, face Ă ma sublime Ă©pouse nue je laissais toujours le dernier l’emporter. Je posais mes mains sur ses hanches, elle passa ses bras autour de mon cou, nos bouches se trouvèrent avec bonheur. Depuis notre dĂ©part nous n’avions pas eu un moment d’intimitĂ© aussi je la sentis plus empressĂ© cas l’accoutumĂ©, sa langue passa rapidement mes lèvres. L’eau ruisselante alliĂ© Ă mon Ă©pouse entreprenante me fit un bien fou, je rendais le baisĂ© avec fougue en glissant mes mains sur les fesses rondes. Mon Ă©pouse qui dĂ©jĂ pressait ses seins contre mon tors appuya son pubis contre ma queue tendu, sous la canopĂ©e raisonnant de mille bruits d’oiseaux j’avais l’impression d’ĂŞtre dans le jardin d’Éden. Je poussais ma langue contre la sienne en malaxant les fesses rondes depuis un moment quand Katharina me poussa Ă descendre. L’Ă©puisement physique avait aussi affaibli mon esprit, j’avais toujours refusĂ© de lui sucer les seins chose destinĂ© Ă nos futur enfant pourtant en ce jour sans rĂ©sister je flĂ©chis les jambes. Suçant son cou palpitant j’entendais Ă travers le bruit d’eau ses soupirs m’encourageaient Ă continuer, lĂ©chant une fine clavicule je passais sur la naissance des seins. Les doigts de mon Ă©pouse passèrent dans mes cheveux pour me guidant sur un sein, je les avais caressĂ© mainte fois mais ce fut rien Ă cĂ´tĂ© de poser ma bouche sur un mamelon quasi plat. Une bouffĂ© de chaleur m’envahit je ne comprenais pas que de simple attribues destinĂ© Ă l’allaitement me trouble autant. Trouvant une petite Ă©minence Ă sucer je la pressais entre mes lèvres, mon Ă©pouse se crispa en soupirant de plus belle, sous ma langue je sentis le mamelon pointer en durcissant. « Caresses moi la chatte en mĂŞme temps, me souffla-t-elle. » Lâchant une fesse je glissais ma main contre sa vulve, malgrĂ© l’eau fraĂ®che qui y ruisselait je sentis bien sa chaleur accompagnĂ© d’une viscositĂ© que j’avais dĂ©couvert Ă notre nuit de noce. Elle m’avait appris Ă la caresser aussi je passais doucement mes doigts contre sa fente, elle leva le bassin en Ă©cartant les jambes. « Continues mon lapin c’est bon. » J’avais en horreur ce surnom mais ne trouvais pas la force de lui en faire encore part tant tout me tirait Ă la contenter. Suçant le deuxième mamelon je la pĂ©nĂ©trais d’un doigt. Elle recula pour s’adosser Ă un rochet polis, la cascade dans notre dos faisait un rideau d’eau cella m’incita Ă me dĂ©tendre. Je passais un deuxième doigts dans son vagin qui dĂ©clencha un mouvement de bassin, suçant un mamelon je suivais le mouvement de la main. Mon Ă©pouse poussait des gĂ©missements rĂ©gulier en me caressant la tĂŞte d’une main, j’avais l’impression d’ĂŞtre Ă son service ça me plaisais Ă©normĂ©ment. Poussant Ă mon tour une expiration de bonheur je me laissais porter par mes envies, mordillant le mamelon je roulais ma langue dessus avant de reprendre la succion, mon Ă©pouse gĂ©mit de plus belle. Par Ă -coup je sentais le vagin presser mes doigts, mon Ă©pouse n’allait pas tarder Ă jouir. « Un peu plus vite mon lapin, oui comme ça continue. » Suçant le mamelon fougueusement je faisais aller et venir mes deux doigts rapidement dans son vagin, elle haleta en ondulant du plus belle. Je pensais que mon Ă©pouse voulais jouir mais elle m’arrĂŞta en m’agrippant le poignet. Reprenant son souffle le visage rougie Katharina me couva d’un regard brillant de dĂ©sir, sans un mot elle guida ma main poisseuse de son nectar vers ma bouche. J’avais le cĹ“ur Ă tout rompre par ce qu’elle me demandait tacitement, je sentis l’odeur entĂŞtante de son intimitĂ©. J’aurais du lui dire qu’elle exagĂ©rait que ça ne se faisait pas mais dĂ©jĂ je suçais mon majeur, cella m’enflamma j’avais l’impression de commettre un pĂ©chĂ© mais ne pu m’empĂŞcher de sucer le nectar odorant sur mes autres doigts. « Alors mon lapin tu aimes mon jus d’amour. » « Non, menti-je en me redressant. Je n’aurais pas du me laisser aller de la sorte. » Elle ne me laissa pas le temps de reprendre mon rĂ´le de pasteur, ses lèvres trouvèrent les miennes sa main mes couilles. La frustration du voyage avait fait surgir une partie d’elle que je ne lui connaissais pas, mon Ă©pouse Ă©tait bien plus entreprenante. Sous sa langue intrusive Katharina malaxa rudement mes testicules, son autre main plaquĂ© sur ma nuque me dĂ©fendit de bouger. Je poussais une petite plainte qui la calma quelque peu, je me laissais allĂ© Ă ces caresses un peu rude en retrouvant avec bonheur les plus belles fesses de France. Elle me dĂ©routa en finissant par sucer ma langue, dĂ©cidĂ©ment ce nouvel horizon lui donnait des ailes. MalgrĂ© la cascade qui Ă©claboussait en permanence mon dos je commençais Ă avoir chaud, les nouvelles caresses que me prodiguait mon Ă©pouse m’Ă©chauffait de plus en plus. Je poussais mon bassin pour lui faire comprendre de me masturber, Katharina n’en fit rien ses doigts continuèrent Ă enserrer mes couilles, sa bouche Ă sucer ma langue. Elle me dominait, j’en pris conscience mais la chaleur qui en dĂ©coulait m’empĂŞcha d’y mettre un terme. Mon Ă©pouse du sentir ma faiblesse me tirant les cheveux en arrière elle plongea son regard brillant dans le mien. « Mon lapin ça me faire vraiment plaisir que tu me lèches la chatte. » J’avais encore en tĂŞte le goĂ»t de son intimitĂ© ma langue brĂ»lait de dĂ©couvrir la source, ma profession de pasteur me retint. « Nous ne devons pas pervertir l’acte de la procrĂ©ation, soufflais-je. » « Alors baise moi. » « Si tu tombes enceinte je devrais repartir avec toi. » « Tu vois mon lapin que ta langue est encore la meilleur des solutions. » AdossĂ© contre le rochet le visage rougie faisant presque disparaĂ®tre ses tâches de rousseur Katharina dĂ©voila d’un sourire ses dents blanches, elle avait gagnait et le savait. « Mets toi Ă genoux mon lapin remercies comme il se doit ton Ă©pouse qui t’a accompagnĂ© et soutenu dans ta divine mission. » Elle dĂ©gageait dans ces moments une telle Ă©nergie sexuel qui me laissait dĂ©sarmĂ© incapable de raison. Ses mains sur ma tĂŞte ses yeux brillant dans les miens suffit Ă me faire flĂ©chir les jambes, haletant je regardais ce que l’ancien testament interdisait formellement. Des poils drus roux foncĂ©s encadraient une fente d’une rose chair don les petites lèvres dĂ©passait Ă peine. L’odeur entĂŞtante bien plus que la pression de mon Ă©pouse me fit poser la bouche sur la vulve brĂ»lante. J’eus la poitrine compressĂ© d’une violente boule de chaleur, fĂ©brilement je passais ma langue contre les lèvres intimes, mon Ă©pouse poussa une expiration de libĂ©ration. Elle releva le bassin pour que j’enfonce encore plus franchement ma langue dans l’extrĂŞme douceur de sa fente emplissant ma bouche de nectar, je n’avais jamais connue un telle plaisir d’en donner. M’agrippant aux cuisses de mon Ă©pouse je ne la quittais plus des yeux en dĂ©couvrant de la langue sa vulve qui me faisait tourner la tĂŞte. On Ă©tait en plein jour ThĂ©rèse pouvait nous surprendre Ă tout moment, au lieux de me calmer cella m’excita de plus belle. Mon Ă©pouse ne s’en inquiĂ©ta pas le moins du monde ses gĂ©missements rĂ©guliers accompagnaient le bruit de la cascade. Une main toujours dans mes cheveux elle commença de l’autre Ă ce malaxer un sein. « Tu aimes me lĂ©cher la chatte mon lapin ? » Un sourire malicieux aux lèvres elle me tira la tĂŞte en arrière pour que je rĂ©pondes, reprenant ma respiration ne pouvant nier l’Ă©vidence j’avouais. « Oui j’aime beaucoup ça. » Sans me lâcher du regard elle descendit sa main sur son pubis, ses doigts firent ressortir au sommet de sa fente une petite boule rose pointant entre des poils. D’une pression de son autre main elle me fit poser ma bouche dessus. « Suces dĂ©licatement mon clitoris. » En feux j’obĂ©issais avec joie, passant ce tout petit bout de chair entre mes lèvres je le suçais doucement en laissant Ă©chapper un soupir qui me fit honte. Dieu et ses commandements s’Ă©loignaient de mon cĹ“ur, mon Ă©pouse Le remplaçais, agenouillĂ© entre ses cuisses je n’avais cas cĹ“ur que de lui plaire. La bouche entre ouverte poussant des gĂ©missements crescendo Katharina amorça un petit mouvement de bassin. PlongĂ© dans ses beaux yeux vert qui avaient perdu toute innocence je susurrais l’Ă©minence puis le titillais de la langue. « Petit coquin tu cachais bien ton jeux, me dit-elle d’une voix suave. Sous tes airs de pasteur doctrinaire tu as une nature libidineuse. » J’Ă©coutais Ă peine ses provocations tout mon ĂŞtre voulait la faire jouir, je glissais deux doigts dans son vagin qui la fit taire. S’arquant Katharina se mordit la lèvre en m’agrippant les cheveux des deux mains, elle Ă©tait dĂ©chaĂ®nĂ©. Ses mouvements de basin devinrent saccadĂ©, j’avais du mal Ă rester sur son clitoris, mes doigts se faisaient presser par son vagin. « Si tu t’arrĂŞtes je te tue, me cria-t-elle avant de pousser un gĂ©missement. » J’accĂ©lĂ©rais mon doigtage, je sentais le nectar coulait sur mon avant bras, sous ma langue le clitoris en durcissant avait pris un tel volume que ça m’effraya autant que ça m’excita. J’avais l’impression de sucer un micro pĂ©nis, guidĂ© par les soupir de mon Ă©pouse je roulais ma langue dessus le titillais avec plus de fougue. « Je vais venir c’est bon mon lapin vas-y encore un peu. » Plaquant mon visage sur sa vulve mon Ă©pouse poussa de bruyants gĂ©missements en ondulant de manière saccadĂ©. Fermant les yeux tournant la tĂŞte d’un cĂ´tĂ© je vis l’orgasme emporter mon Ă©pouse. Son visage Ă©tait rouge jusqu’aux oreilles, ses lourds seins perlĂ© de sueur se soulevaient Ă grande vitesse, son bassin Ă©tait pris de tremblement, je n’avais jamais vu mon Ă©pouse dans un telle Ă©tat de bĂ©atitude. Reprenant sa respiration en me relâchant ses yeux brillants de gratitude s’ouvrirent sur moi, toujours agenouillĂ© je fus Ă cette instant le plus heureux des hommes. « J’aurais du t’amener bien plus tĂ´t Ă me bouffer la chatte, me dit-elle sans pudeur. » Son pied se posa sur ma queue tendu, je laissais Ă©chappĂ© un honteux soupir, elle poussa son ascendance sur moi en amorçant un mouvement de vas et vient. « On ne devrait pas faire ça, dis-je sans conviction. » Contre la paroi de roche Katharina avec l’assurance d’une reine me contempla de toute sa hauteur, son gros orteil et son voisin enserra ma verges. « Ça n’a pas l’air de te dĂ©plaire, me dit-elle narquoise. Tiens toi les mains dans le dos laisse moi faire ou j’arrĂŞte immĂ©diatement.» Le besoin de jouir Ă©tait si fort que j’obĂ©issais en baissant les yeux de honte. Les mains dans le dos le souffle court je posais mon visage contre la jambe encrĂ© au sol en retenant mes soupirs Ă l’autre qui s’activait sur ma queue. J’avais l’impression ĂŞtre l’esclave de mon Ă©pouse autant que de mes pulsions. Ma raison et ma foi Ă©tait Ă©touffĂ© par mes bas instincts. Les deux orteils qui prenaient ma queue en Ă©tau m’approchaient toujours plus de la jouissance tant dĂ©sirĂ©. J’Ă©touffais mes soupirs si peu viril sous la cuisse de mon Ă©pouse. « Je veux te voir jouir mon lapin, montre moi ton visage, fais moi entendre ta jolie voix. » Honte et excitation se mĂ©langeaient en moi comme deux violents courants qui manquaient de me rendre fou. J’aurais voulu ĂŞtre assez fort pour arrĂŞter le jeux pervers de mon Ă©pouse. Non contant de ne pas y arriver je laissais Ă©chappĂ© un soupir en croisant son regard amusĂ© de ma situation. « Tu aimes ça ĂŞtre soumis Ă mon bon vouloir. » « Non, mentis-je. » « Mon lapin ton corps est bien plus honnĂŞte, je sens ta queue palpiter. » « Ça va trop loin. » « Tu veux que j’arrĂŞte ? » « Non. » « Bien dit le alors. » « Continues, fais moi jouir. » « Voila qui est mieux. » Les deux orteils enserrant la queue prirent un rythme rĂ©gulier, remontant sur mon gland avant descendre jusqu’Ă mes couilles. Perdu dans les yeux d’une dĂ©esse je ne retenais plus mes petits bruits obscène Ă ses caresses indigne pour un pasteur. Je ne pus retenir bien longtemps mon bassin d’aller en contre sens des mouvements des orteils. AgenouillĂ© aux pieds de mon Ă©pouse les mains dans le dos je gĂ©mis de plus belle en perdant toute retenu, je pĂ©chais mais n’y pouvais rien. Ma queue fut prise de palpitation, mon Ă©pouse accĂ©lĂ©ra en me souriant. D’un Ă©nième mouvement elle me dĂ©clencha une puissante dĂ©charge de plaisir qui partie du bout de mes pieds pour travers tout mon corps. Je poussais un gĂ©missement de libĂ©ration pendant que ma queue dĂ©chargeait en de grand jet de foutre toute ma frustration. Mon Ă©pouse continua un instant avant de me relever pour me donner un tendre baisĂ©. Contre son corps chaud j’Ă©tais mortifiĂ© tant l’excitation comblĂ© ma honte reflua avec force. J’avais pĂ©chĂ©, je m’Ă©tais perverti, je m’Ă©tais conduit comme un dĂ©pravĂ©. Dieu qui voit tout devait me juger doublement coupable moi qui Ă©tait son messager sur terre, Ă©treignant mon Ă©pouse je jurais intĂ©rieurement de ne plus me laisser aller. Ma mission sacrĂ© en tĂŞte j’expirais mes fautes en faisant renter JĂ©sus dans le cĹ“ur d’hommes restĂ© dans les tĂ©nèbres, j’ignorais encore que l’inverse pouvait arriver. © Copyright : Ce rĂ©cit comme tous les autres sont protĂ©gĂ©s par le Code de PropriĂ©tĂ© Intellectuelle.
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