Premier doigté par ma femme
Ceci est une histoire vraie.
Ma femme m’a doigté pour le première fois… et moi j’ai adoré
Proposée le 2/11/2015 par zila51 Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passionPersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
Bonjour, J’ai 41 ans et jusqu’alors avec ma femme on peut dire que nos relations sexuelles étaient sympas mais sans plus. Nous étions un peu coincés ou plutôt sur la réserve. Un soir, alors nous avions laissé nos enfants en vacances chez Papy et Mamie. Nous voilà en fin de repas dans la cuisine à discuter de sexe, chose impensable auparavant. Elle en vient à me dire. – Tu sais la dernière, je t’ai un peu caressé le cul à un moment. t’as aimé. – Ben en fait, Oui ! j’avoue qu’avoir ma queue dans ta bouche et sentir ton doigt effleuré on trou, cela m’a bien excité. – Ca me rassure, j’avais un doute. J’ai eu peur d’avoir été trop loin. – A mon tour ça fait quoi d’être pénétrer ? c’est agréable ? – Waow, nous voilà à parler cul sans retenue. J’aime bien. Ben pour répondre c’est bon quand c’est bien fait. – Et moi je le fais bien ? – Au début, tu étais nul, mais maintenant t’es doué, tu as su évoluer être plus à l’écoute de mon corps. Se rapprochant elle m’embrasse tendrement. Puis nos langues s’entremêle et nous levant doucement nous rejoignons le salon. Seul à la maison, nous n’avions qu’une idée en tête. Je m’apprêtais à la basculer dans le canapé lorsqu’elle m’arrêta et me dit. – Non pas le canap’ ! On a passer un cap là, donc a partir de maintenant plus de tabou ok ? – Euh ok mais tu proposes quoi alors ? – Je veux qu’on baise ce soir, que tu me sautes comme si j’étais ta maîtresse et pas ta femme !Elle s’accroche à moi et m’embrasse fougueusement. En deux temps trois mouvement nous voilà presque nu. Il me reste mon caleçon, alors délicatement elle s’agenouille, retire le morceau de tissu. Mon sexe est au garde à vous, je vois sa bouche s’ouvrir puis descendre, descendre pour presque tout avaler. Je pousse un râle de plaisirs. Sa langue tourne autour de mon gland et ses mains caressent doucement ma verge. Elle se relève et s’assois sur la table. Je relève ses jambes et à mon tour m’agenouille et goutte à son clitoris. Je le lèche, le suce l’aspire. Elle pousse de petit cri de bonheur. Je me lève, la recule vers le centre et monte à mon tour sur la table. Je lui caresse langoureusement sa chatte humide, je sens un liquide chaud s’échapper et je l’entends me dire. – Oui Vas-y c’est bon continue mais viens donne moi ta queue. Faisant demi tour, nous voici en 69. Je sens sa langue, sa main enserre ma tige. Doucement elle me branle en bouche. Puis je sens un doigt légèrement humide se posé sur mon cul et faire de petit cercle, incroyablement j’aime ça. – Tu en veux plus ? me demande-t-elle – Oui vas y rentre ton doigt- D’accord, regarde sur le meuble à droite. Je regarde et vois un petit tube de lubrifiant! Elle avait tout prévu. J’adore ça, et je l’adore. Son doigt disparaît alors quelques instants . Puis Je le sens revenir tourner sur mon trou. Elle m’immisce alors de quelques millimètre en moi. Je souffle de bonheur. Voyant cela ma femme entre plus encore, 1 ou 2 centimètre. Je me lâche: – Vas y entre en moi, montre moi ce que c’est que d’être pris. – Tu veux plus loin, tu veux tous mon doigt mon cochon ? – Oui !!! Vas-y encule moi. Ce soir je suis ta pute. ta petite chienne. Encule moi !!!Alors elle entame un va et vient de ton la longueur de son doigt. Elle s’arrête un moment au fond pour caresser ma prostate. Je me cambre de bonheur, puis elle reprend ses va et vient. de mon coté je branle son clito frénétiquement, elle hurle le plaisir. je sens qu’elle joui à nouveau. – Elle remet ma queue dans sa bouche et me suce durement. Son doigt me fouille doucement Elle retire ma queue et me dit. – Mon beau, je savais que tu aimerais ça, ta queue gonfle encore. T’aime que je te fourre- OUI encore un peu mon amour, je vais jouir. effectivement quelque minutes plus tard je déverse sur ses seins mon foutre chaud. Puis nous nous sommes endormis à même la table. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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