Collé serréJe situerai mon récit aux alentours de l’année 1985. Nous étions alors un couple toujours très uni, amoureux l’un de l’autre comme aux premiers jours malgré plusieurs années de vie commune. Notre vie sexuelle était plutôt épanouie et nous étions ouverts à de nouvelles expériences, pourvu qu’elles se limitent à nous deux. Nous avions bien eu quelques appels du pied de couples parmi nos relations qui auraient aimé pratiquer l’échangisme, mais nous n’y avions pas répondu ni l’un ni l’autre, n’étant pas tentés par les expériences pluralistes. Nous avions alors tous deux entre 30 et 40 ans et habitions la Guadeloupe depuis plusieurs années. Une vie de couple tout ce qu’il y a de plus normale jusqu’à cette soirée folle, totalement imprévue, inoubliable, qui reste gravée à jamais dans ma mémoire dans les moindres détails et dont voici le récit :Nous sommes invités chez un couple d’amis qui ont organisé une fête dans leur grande villa avec piscine. Il y a beaucoup d’invités qui, pour la plupart, se pressent les uns contre les autres dans des zouks endiablés sur la piste de danse, aménagée pour l’occasion dans leur grand salon ouvert sur l’extérieur et dans lequel on a repoussé les meubles. Quelques autres (comme moi) boivent un verre en discutant autour du bar ou au bord de la piscine. Les tenues sont décontractées, la température nocturne est tiède, comme d’habitude aux Antilles, et après quelques punchs ou verres de champagne on est tous plus ou moins éméchés. Bref, l’ambiance est assez « chaude », comme souvent en Guadeloupe dans ce genre de soirée. Ici, on aime danser et le « collé serré » est une véritable institution. Hélas, à ton grand désespoir, je suis personnellement un piètre danseur. Comme d’habitude, j’ai fait ma BA en dansant un ou deux rocks et quelques slows langoureux avec toi ou en m’agitant dans quelques déhanchements collectifs au cours desquels je me trouve complètement ridicule et dont je m’éclipse toujours assez rapidement. Pendant que les couples enlacés s’expriment aux rythmes des biguines, mazurkas, salsas, zouks et autres, je préfère passer mon temps à discuter et à plaisanter à droite et à gauche en buvant un verre avec nos amis. Il en va tout autrement pour toi qui ne manques pas une danse, d’autant plus que ton sens du rythme, tes formes arrondies et ton caractère enjoué sont appréciés des Guadeloupéens qui ne te laissent pas souffler, venant t’inviter l’un après l’autre. Ce soir-là tu portes une robe légère assez décolletée, boutonnée sur le devant de haut en bas ; en femme libérée que tu es, comme souvent, tu ne portes pas de soutien-gorge et, ce soir, je te trouve particulièrement épanouie et attirante ; nous sommes toujours très amoureux et la confiance règne entre nous, aussi, c’est sans aucune jalousie que je te laisse danser avec d’autres hommes. Entre deux morceaux, tu viens parfois me voir pour me faire un petit bisou, vérifier que je ne m’ennuie pas trop et me dire que (contrairement à moi) tu adores danser et que tu apprécies particulièrement ton dernier cavalier car il a un sacré sens du rythme qui s’accorde parfaitement bien avec toi. Rob (c’est son prénom) est un beau métis à l’allure sportive, il est élancé, bien bâti, sympathique, plein d’humour et surtout très sûr de son charme… D’ailleurs, il se rapproche de nous et vient de nouveau t’inviter à danser, me demandant poliment l’autorisation, je la lui accorde sans hésitation ; il semble lui aussi apprécier tes talents de danseuse…Afin de vérifier tes dires, je vous suis des yeux : bien que n’étant pas un spécialiste, j’admire (un peu envieux) vos déhanchements, vos pirouettes et cette façon harmonieuse de faire bouger vos corps au rythme de la musique. Au début, trente bons centimètres vous séparent et vous dansez de façon très « académique » mais aussi très harmonieuse en ondulant simultanément tout en respectant parfaitement la cadence. C’est lors du passage à un morceau plus lent et plus langoureux que vos corps se rapprochent dans une position plus conforme aux coutumes locales : ses mains sont passées dans ton dos, une dans le creux de tes reins et l’autre entre tes omoplates afin de te serrer d’un peu plus près, les tiennes s’accrochent à ses épaules. Son ventre est maintenant contre le tien et une de ses jambes étant passées entre les tiennes, on est dans le collé-serré traditionnel : vos bustes se sont eux aussi rapprochés et ainsi, tes seins, assez volumineux, viennent naturellement en contact avec son torse. Sa chemise étant largement ouverte, vu la température, seul le tissu de ta robe constitue un mince rempart entre le haut de vos corps. Ayant remarqué que je vous observe, volontairement ou pas, il me semble que tout en dansant il tente de t’entraîner vers le fond de la salle, un peu plus loin de moi, comme pour échapper à ma vue, ce qui a pour effet d’attiser ma curiosité, je change donc de place pour continuer à vous observer.D’habitude, dans ce genre de soirée, je ne prête pas attention avec qui tu danses car ma confiance en toi est totale, mais là, curieusement, quelque chose me pousse à continuer de vous observer ; ainsi, après quelques minutes de cette danse très « rapprochée », je remarque qu’une belle érection déforme le pantalon de ton cavalier. Votre façon de danser me laisse penser que tu as dû forcément t’en rendre compte mais comme tu n’as rien fait pour t’écarter de lui il ne fait rien de son côté pour dissimuler son état. Bien au contraire, au bout d’un moment, il laisse sa main descendre un peu plus bas au niveau de tes reins et te resserre encore un peu plus contre lui de telle sorte que tu ne puisses pas faire autrement que ressentir son sexe dressé contre ton ventre, sûrement dans le but de te faire sentir l’effet que tu as sur lui. Devant ce geste provocant, j’aurais pu m’attendre à ce que tu essaies de t’écarter un peu… mais non, tu joues pleinement le jeu et continues à te frotter contre lui en ondulant des hanches. Les hauts de vos corps ne sont pas de reste : vous faites du joue-à-joue tandis que tes seins sont collés contre son torse. Cette façon de danser t’avait choquée au début de notre séjour surtout lorsque pour la première fois tu avais senti ton partenaire frotter son sexe en érection contre toi, mais nos amis antillais t’ayant expliquée qu’ici on considère ça comme tout à fait naturel, aujourd’hui cela ne semble plus te poser de problèmes et c’est apparemment sans arrière-pensées que tu te prêtes à cette façon de faire plutôt érotique. En revanche, en vous observant, j’ai le sentiment que Rob n’est peut-être pas sur la même longueur d’onde, il me laisse penser que ses intentions sont d’une autre nature que ce seul plaisir partagé par les danseurs de zouk… J’ai rapidement la quasi-certitude qu’il teste son pouvoir de séduction sur une « métro » décomplexée qui lui semble bien chaude, et cherche probablement à vérifier si l’attirance qu’ont les blanches pour les Antillais – ainsi que le fantasme qu’elles peuvent avoir concernant la taille de leur sexe – est bien une réalité. À mes yeux, tu n’es plus seulement sa partenaire de danse mais tu es en train de devenir sa proie !De mon côté, cette vision devrait titiller mon ego et, normalement, je devrais me sentir bafoué et intervenir pour que cesse ce petit jeu de séduction, mais, au contraire, je me rends compte que votre danse sensuelle et les travaux d’approche de Rob, au lieu de déclencher ma jalousie, provoquent en moi une sensation inconnue jusqu’alors et que, tout compte fait, j’ai très envie de continuer à vous observer pour voir la suite. D’ailleurs, je me rends compte que, gagné par une curieuse excitation, je commence à bander en vous observant… Je dois me rendre à l’évidence, te voir serrée de près par cet homme en érection, frottant ostensiblement son sexe contre toi, provoque chez moi un étrange sentiment, mélange de voyeurisme et de curiosité. Je réalise alors avec perplexité que je n’ai nullement envie que ça s’arrête mais, qu’au contraire, je me mets à fantasmer sur la façon dont pourrait se poursuivre cette soirée si les avances de ton partenaire doivent aller au-delà de cette danse érotique. En fait, ma seule crainte à ce moment-là est de te voir le repousser ! C’est ainsi que ce soir, bien inconsciemment, tu as bien malgré toi fait naître en moi le fantasme du mari cocu et voyeur qui aimerait voir sa femme possédée par un autre sous ses yeux. Sur le coup, j’essaie de repousser cette idée perverse mais mon érection vient confirmer malgré moi cette envie, et même si je n’en suis pas particulièrement fier je décide de ne rien faire pour empêcher que ça aille plus loin… bien au contraire !Le dérapageJ’ai pris place sur un canapé. Un verre à la main, je continue à vous observer. La musique s’étant provisoirement arrêtée, vous vous écartez l’un de l’autre pour reprendre votre souffle car il fait très chaud et le dernier morceau était très rythmé. J’observe que ton cavalier laisse sa main sur le bas de ton dos et que la tienne s’attarde sur sa hanche tandis que vous échangez quelques mots que je n’entends pas, mais je vous vois sourire. Serait-ce un début de complicité ? Tout en te parlant, je remarque qu’il te « déshabille » du regard sans aucun complexe, s’attardant plus particulièrement sur ton décolleté dont un bouton supplémentaire s’est ouvert dans le feu de l’action et lui laisse une belle vue sur tes seins qui se soulèvent sous l’effet de l’essoufflement… Ça ne le laisse apparemment pas indifférent. Tu sembles un peu troublée par son attitude et d’un regard circulaire tu cherches où je suis ; c’est ton partenaire qui, ne m’ayant lui jamais perdu de vue, t’indique où je me trouve. Tu viens me rejoindre sur le canapé et tu déposes un tendre baiser sur mes lèvres. Tu es rouge, encore un peu essoufflée et suante. Tu t’assois près de moi. La chaleur ambiante t’a amené à relever le bas de ta robe juste au-dessus des genoux et tu l’agites pour t’aérer avec les cuisses légèrement entrouvertes afin de te procurer un peu de fraîcheur dans cette moiteur tropicale. Inconsciemment, tu as ainsi une position assez provocante, elle n’a pas échappé à Rob qui, du coin de l’œil, ne cesse de t’observer à distance tout en échangeant avec un ami. Ayant remarqué son petit manège et ses regards furtifs, je te fais remarquer en souriant que tu as « fais une touche », ce qui ne te semble pas si évident qu’à moi. Te faisant remarquer que j’avais constaté que votre façon de danser très « collée-serrée » avait eu de l’effet sur lui, tu me répliques, un peu sur la défensive, que c’est ainsi qu’on danse ici, et tu ajoutes un peu sèchement que si je faisais un peu plus d’efforts elle n’aurait pas besoin de danser avec un autre. Tu me répètes que Rob est vraiment un très bon danseur, que c’est assez rare de s’accorder aussi bien et que vous y avez pris tous deux beaucoup de plaisir. Je te rassure en te disant que ma remarque n’était pas du tout un reproche. Je t’avoue, au contraire, que votre façon de danser avait fait naître en moi un sentiment bizarre, te confirmant que le fait de voir Rob frotter son sexe en érection contre ton ventre m’avait moi-même fais bander. Tu me regardes stupéfaite et incrédule, mon aveu te laissant sans voix pendant quelques instants. Alors que tu parviens à me dire que tu es désolée de voir que de danser un peu serré m’a mis dans un tel état, Rob s’est rapproché de nous et ne te laisse pas le temps de continuer à commenter. J’ai juste le temps de te dire de ne pas prendre mal ma confidence lorsqu’il nous demande l’autorisation de se joindre à nous, ce que je m’empresse d’accepter malgré ton regard de désapprobation, visiblement encore sous le choc de ma révélation. Je me décale volontairement en te tirant vers moi par le bras afin de lui faire une place à côté de toi. Te voici entre nous deux un peu gênée. Vous êtes tous deux encore suants, aussi, je prends ce prétexte pour aller vous chercher à boire afin de vous laisser tous les deux. Tu me jettes un regard étonné dans lequel je lis : « Chéri, à quoi joues-tu ? ». Je fais volontairement traîner un peu en restant blaguer avec des amis dans la cuisine où je sers les deux verres, et après quelques minutes, je reviens vers vous. Vous semblez vous être lancés dans une conversation plutôt sérieuse, assez proche l’un de l’autre probablement à cause du bruit. Lui aurais-tu répété mon aveu ? Le canapé est placé tout près d’un claustra qui le sépare du jardin qui n’est pas éclairé ; avant de ramener vos verres, poussé par la curiosité, j’ai l’idée de m’y camoufler discrètement afin de vous entendre. Lorsque je me suis suffisamment rapproché, je peux observer qu’il a posé une main sur ton genou, ce qui me confirme qu’il n’est pas intéressé que par la danse, et je constate, un peu surpris, que tu ne la repousses pas… Ainsi placé, je l’entends te dire tout le plaisir qu’il prend à danser avec toi et tu lui réponds que c’est réciproque, qu’il est un excellent danseur, que tu adores danser mais que ton mari, hélas, n’aime pas ça, qu’il n’a aucun sens du rythme, mais qu’en revanche il accepte volontiers de te voir danser avec un autre homme. Tu reconnais à quel point tu apprécies avoir un mari qui non seulement n’ait pas jaloux, mais te pousse même à danser avec d’autres hommes… Ce dernier aveu ne semble pas tomber dans l’oreille d’un sourd et je vois le visage de Rob s’éclairer d’un sourire malicieux qui en dit long sur ses intentions. Tu ajoutes avec un sourire narquois que tu avais bien ressenti « physiquement » le plaisir qu’il éprouvait en dansant. Il feint de ne pas comprendre et, avec ta candeur habituelle, tu lui demandes, sans détour, s’il a une érection à chaque fois qu’il danse. Un peu surpris par ta question très directe, il bafouille un peu et répond que non, mais que tu l’as particulièrement excité en te collant et en te frottant à lui. Tu lui répliques que c’était difficile de faire autrement vu la façon dont il a empoigné vigoureusement le bas de ton dos pour t’attirer contre lui ; il poursuit en disant qu’il ne t’aurait pas forcée s’il avait senti la moindre réticence de ta part, mais qu’au contraire, tu semblais très consentante en faisant onduler ton bassin contre son ventre et en collant tes seins contre son torse. Il ajoute que tu aurais ainsi provoqué l’érection de n’importe quel homme normalement constitué. Tu lui dis qu’avec ta longue expérience des soirées antillaises tu sais que c’est de cette façon qu’on danse ici et que tu l’as fait sans aucune arrière-pensée à caractère sexuel. Tu poursuis en précisant cependant qu’après avoir été d’abord surprise de sentir son sexe grossir contre toi et avoir failli reprendre tes distances, cela t’a amusé de sentir son excitation grandir, mesurant ainsi le pouvoir que les femmes peuvent exercer sur les hommes. Tu t’empresses d’ajouter que c’était tout de même la première fois que tu acceptais de danser de façon aussi intime avec un autre homme que ton mari, lui révélant ainsi qu’à toi aussi cela t’a procuré du plaisir. Scrutant les réactions de Rob, ton regard s’arrête sur son entrejambe, ce qui te permet de constater qu’il bande toujours, et tu ne te gênes pas pour le lui faire remarquer. Il répond que c’est la nature de cette conversation sulfureuse ainsi que la vue sur tes seins et de tes cuisses entrouvertes sous ta robe relevée qui le met dans cet état. Prenant – un peu honteuse – conscience de ta tenue, tu reboutonnes rapidement ton décolleté, resserres tes jambes et rabats le bas de ta robe, puis il s’en suit un silence gêné entre vous deux. Le DJ change alors de disque ; craignant de t’avoir vexée et profitant de cet événement pour rompre le silence, Rob se lève et te tend la main pour t’inviter à partager un Zouk-love du genre très sensuel ; restant assise, le fixant dans les yeux, tu hésites un moment, lui demandant si c’est bien raisonnable, ce à quoi il répond avec un sourire narquois que ce n’est qu’une danse ! Tu acceptes finalement de te lever, saisissant sa main tendue. C’est le moment où je décide de réapparaître pour faire en sorte de vous croiser, alors que, main dans la main, vous vous dirigez vers la piste ; surpris de me retrouver là, vous vous lâchez la main dans un geste un peu coupable, ce qui me fait sourire intérieurement. Je vous dis que je pose vos verres sur la table près du canapé et que je vais m’allonger sur un transat au bord de la piscine pour prendre l’air, tout en vous encourageant à bien profiter de votre passion commune, confirmant que ce n’est vraiment pas mon truc à moi et que vous voir si bien danser me donne encore plus de complexes. Je vous suis du regard et remarque que Rob t’entraîne vers le fond de la pièce, dans un endroit un peu à l’écart, moins éclairé et à proximité d’une baie ouverte sur le jardin… Peut-être dans le but d’avoir moins chaud ? Bien entendu, je ne vais pas vers la piscine, espérant que, grâce à mon stratagème, Rob me croyant à l’écart se sente plus libre de ses gestes. En fait, j’ai repéré une haie dans l’obscurité à proximité de la baie ouverte près de laquelle vous vous êtes dirigés et d’où je pourrai vous voir sans être vu. Contournant la maison, je rejoins discrètement mon « poste d’observation » après quelques minutes, et là, je vous retrouve de nouveau l’un contre l’autre : cette foi, ses deux mains sont posées sur le haut de tes fesses et lui permettent de constater que, sous ta robe, tu portes une culotte plutôt mini, ce qui doit l’encourager à aller plus loin se disant qu’une blanche qui vient en soirée sans soutien-gorge et avec juste une petite culotte pour tout sous-vêtement doit être très libre sexuellement.Ainsi placées, ses mains lui permettent de t’attirer fermement contre lui. De ton côté, tu as passé tes bras autour de son cou, ce qui a pour effet de relever tes seins, les mettant encore plus en valeur. Le regard de Rob se pose sur ces deux globes qui viennent tendre le tissu du décolleté. Une de ses mains remonte le long de ton dos et t’attire à lui, tes seins venant s’écraser sur son torse. Vous ne formez plus qu’un ! Les paroles sensuelles du zouk-love rajoutent à l’érotisme de la situation ; la danse n’est plus qu’un prétexte au contact de vos corps. Il laisse maintenant ses mains descendre au bas de tes fesses, sur la partie la plus charnue, qu’il finit par enserrer de ses doigts, en profitant pour te soulever légèrement, t’obligeant à écarter les jambes, ce qui lui permet de caler son bas ventre contre le tien afin que tu sentes son membre dressé au plus proche de ton intimité ; étant plus grand que toi, seules les pointes de tes pieds touchent le sol et tu dois t’accrocher à son cou ; tu sembles comme portée par lui et sous sa complète domination. Vous vous frottez très sensuellement l’un contre l’autre. L’air de rien, il t’entraîne doucement encore plus près de la sortie sur le jardin où les autres ne peuvent pratiquement plus vous voir (sauf moi !). Là, soudainement, il décide de te retourner et je peux lire la surprise dans tes yeux. Il se positionne ainsi derrière toi, passe ses mains autour de ta taille, les croise sur ton ventre et t’attire vers lui, venant coller son sexe contre tes fesses. Vous poursuivez votre danse dans cette position ; toujours en suivant le rythme du morceau il effectue des mouvements de droite à gauche puis de bas en haut avec son bassin, faisant aller et venir son sexe bandé dans le sillon entre tes fesses, mimant l’amour de façon très provocante. Ne cherchant nullement à te dégager, tu joues le jeu, tu te cambres et remues tes fesses comme pour mieux le sentir. Tu souris, visiblement amusée par cette façon de danser. Je n’en reviens pas ! Toujours collé derrière toi et continuant à onduler contre tes fesses, il a, progressivement, remonté une main vers ta poitrine au niveau du plexus tandis que l’autre est posée sur le bas de ton ventre, maintenant ainsi son pénis en érection contre tes fesses. Tout en continuant à danser, l’air de rien je le vois remonter sa main droite encore plus haut afin de défaire un bouton de ta robe ; tu sembles n’avoir rien senti et ne réagis pas, aussi il s’enhardit et en défait un deuxième. Ta robe est ouverte jusqu’au bas de ta poitrine et il en profite pour glisser sa main dans l’échancrure établissant ainsi un premier contact direct avec ta peau, juste en dessous de tes seins, tandis que son autre main continue à descendre lentement vers ton bas-ventre. Au bout d’un moment, il s’enhardit encore un peu plus et commence à caresser un de tes seins tandis que son autre main est plaquée sur ton pubis à travers le tissu. Ces derniers gestes te font (enfin !) réagir et je t’entends lui demander de se calmer, lui dire que cela va trop loin et qu’on pourrait vous voir. Tandis que tu retires sa main de ton décolleté et tentes de refermer le haut de ta robe en espérant qu’il va s’arrêter, il s’en saisit, t’empêchant de te reboutonner, la glisse doucement derrière ton dos entre vos deux corps et vient la poser sur son sexe en érection. Dans un premier temps, tu tentes de la retirer, mais il la maintient fermement tout en murmurant à ton oreille des paroles que je n’entends pas, mais sûrement très persuasives car je te vois refermer ta main autour de son sexe durci. Vous continuez à danser ainsi jusqu’à ce que, n’ayant plus besoin de maintenir ta main, il repasse maintenant les deux siennes sous ta robe toujours ouverte, englobant tes seins, et il te dit à l’oreille des mots que je n’entends pas, te mordille et t’embrasse dans le cou. Effectuant des mouvements de bas en haut avec son bassin, il entame à travers le tissu du pantalon une masturbation dans ta main resserrée autour de son sexe. Tout a basculé en quelques minutes et la situation semble complètement t’échapper ; je lis dans tes yeux un mélange de panique et de désir incontrôlable, ton visage est écarlate. Dès que le morceau s’arrête, il ne te laisse pas le temps de reprendre tes esprits et, te prenant par le bras, il t’attire hors de la pièce à l’abri des regards dans un petit espace peu éclairé entre le mur de la maison et la haie derrière laquelle je suis caché. L’espace de quelques secondes, prenant conscience de ta tenue débraillée et de la tournure que prennent les événements, tu lui demandes de nouveau d’arrêter, disant que ça va trop loin. Aussi, lorsqu’il tente de t’embrasser, tu tentes d’abord de le repousser en détournant la tête dans un ultime geste de résistance, mais il saisit ton visage entre ses mains, te regarde droit dans les yeux, te sourit, te suggère de te laisser aller à ton plaisir, et vient poser ses lèvres sur les tiennes en guise de bâillon. Pendant quelques instants, tu gardes les lèvres serrées en grommelant quelques paroles incompréhensibles, puis tu finis par ouvrir la bouche, laissant sa langue y pénétrer et se mêler à la tienne. Tes mains qui le repoussaient il y a quelques instants ont abandonné toute résistance, tu fermes les yeux et c’est le désir qui prend le dessus. Pendant ce long baiser à en perdre le souffle, il profite de ton trouble et, ses mains ne restant pas inactives, il continue à déboutonner ta robe jusqu’à ton nombril. Interrompant son baiser, il prend un peu de recul, se saisit des bretelles qu’il écarte pour les faire glisser sur tes épaules. Plus rien ne retenant le haut de ta robe, elle tombe sur tes hanches, libérant tes beaux seins volumineux qu’il regarde avidement. Le long du mur se trouve une table placée là pour débarrasser le salon, Rob te soulève afin de te forcer à t’asseoir dessus. Tu prends appui sur tes bras, ce qui met tes seins en valeur… Rob les englobe de ses mains, les caresse, puis approche sa bouche pour les embrasser. Il les rapproche pour passer sa langue dans le sillon ainsi formé puis suce tes tétons dressés par l’excitation. Abandonnant toute résistance, tu as rejeté ta tête en arrière, tu fermes les yeux et le laisses te caresser. Il finit de déboutonner ta robe qui glisse sur la table, n’ayant plus que ta petite culotte comme ultime rempart il te fait redescendre de la table, ouvre sa chemise, dévoilant un torse musclé, te fait te retourner et vient se coller tout contre toi, introduisant un genou entre tes cuisses pour t’obliger à les écarter, et recommence à danser, se frottant contre ton corps dénudé. Il t’embrasse goulûment tout en malaxant tes fesses sous ta culotte dans laquelle il a glissé ses mains, puis il s’arrête, te retourne, te rapproche de la table sur laquelle tu prends appui et se colle à toi par-derrière. La paume de sa main droite se pose directement sur ton bas ventre, ses doigts écartent l’élastique de ta culotte, s’y introduisent et fouillent, recherchant l’entrée de ton sexe à travers ta toison. Tandis qu’un de ses doigts écarte tes lèvres et titille ton clitoris, sa bouche s’est posée sur ton cou qu’il mordille avec fougue. Il se rend compte que tu mouilles abondamment, ce qui doit l’encourager à continuer ; ressortant sa main, il se saisit de ta culotte pour la faire brusquement descendre jusqu’à mi-cuisses, puis il t’oblige à te cambrer pour faire remonter tes fesses. Il baisse alors sa braguette et sort son sexe que je ne vois pas car il me tourne le dos. Te saisissant par la taille, il plie les jambes pour venir se positionner entre tes cuisses. Comme vous me tournez tous les deux le dos, je me dégage pour mieux vous observer. Le contact de sa verge dressée tout contre ton intimité te fait réagir et tu te retournes en lui disant que non, que tu ne veux pas faire cela. Lui me tourne toujours le dos, mais toi, au moment où tu te retournes, tu m’aperçois. Je lis l’affolement sur ton visage car, soudain, tu réalises que, ayant perdu tout contrôle sur toi-même, tu es là devant ton mari, dénudée, la culotte descendue sur les cuisses en train de te faire caresser et à deux doigts de te faire prendre par un homme encore inconnu il y a encore quelques heures ! Tu culpabilises, mais tout est allé tellement vite… ! Je te souris et, un doigt posé sur la bouche, je te fais signe de ne rien dire, de ne pas t’affoler, et au contraire je t’incite à continuer. Je peux maintenant vous voir de profil. Rob s’est un peu reculé et, tout en portant un regard envieux sur tes formes, il te fixe droit dans les yeux avec avidité. Sa verge longue et dure se dresse vers le ciel, il te fait remarquer l’état dans lequel il se trouve et te dit que puisque tu ne veux pas baiser avec lui tu pourrais, au moins, le soulager : il prend alors ta main pour l’approcher de son sexe. Après un regard dans ma direction et mon approbation de la tête, tu défais le bouton du haut et fais descendre son jean jusqu’aux genoux, puis, après un moment d’hésitation, tu baisses son slip, libérant entièrement son sexe durci par l’excitation ; tu le saisis timidement au début, puis, faisant glisser la peau le long du membre, tu fais pointer un beau gland luisant et commences lentement à le masturber.Sentant monter l’excitation, au bout d’un moment, il te demande alors de bien vouloir le sucer et, joignant le geste à la parole, il pose alors les mains sur ta tête en appuyant vers le bas, te suggérant de t’agenouiller devant lui. Tu résistes en me questionnant de nouveau du regard et, devant mon nouveau geste d’approbation, tu acceptes de te mettre à genoux, le visage à hauteur de son sexe. Il a toujours une main sur ta tête, l’autre ayant empoigné son sexe, il approche son gland décalotté de ta bouche et le pose sur tes lèvres ; ta bouche reste close un instant mais il te persuade en te disant d’un ton humoristique que « sucer n’est pas tromper » et qu’après l’avoir autant excité tu ne pouvais pas le laisser ainsi. Tu ouvres alors la bouche où il engouffre sa bite, t’attirant à lui avec sa main posée sur ta nuque. Le gland qui vient toucher le fond de ta gorge te provoque un haut-le-cœur, aussi tu préfères prendre l’initiative et, saisissant son sexe, tu le fais monter et descendre lentement entre tes lèvres, puis tu intensifies les va-et-vient sur sa verge en même temps que tu l’enfonces de plus en plus profondément dans ta bouche. Accroupi derrière ma haie, j’ai sorti mon sexe et me masturbe devant le spectacle. Tu t’es vraiment prise au jeu : j’entends les bruits de succion, vois tes joues se creuser et tes seins se balançaient en rythme. De temps en temps, tu ressors sa bite de ta bouche pour lécher son gland, tu lui caresses les couilles. Il gémit de plaisir. Au comble de l’excitation, tout en me masturbant, je perds l’équilibre et, m’accrochant dans les branches de la haie, j’éveille l’attention de Rob qui se retourne et me découvre. Affolé, il te repousse, il relève rapidement son pantalon et commence à se confondre en excuses bidons, évoquant l’effet de l’alcool tout en constatant, très étonné, que j’ai moi-même le pantalon baissé et que le sexe en érection. Il s’apprête à partir mais à sa grande surprise je le retiens et lui dis que je n’ai pas l’intention de faire un scandale et, qu’au contraire, je souhaite vous voir continuer, ma seule condition étant d’assister à vos ébats. Vous êtes, l’un comme l’autre, à la foi gênés et abasourdis par ma proposition et ne trouvez rien à dire. Il est vrai qu’on aurait pu en rester là, mais l’envie d’en voir plus dépasse ma raison alors je vous demande de vous rhabiller correctement et de m’attendre sur le canapé en buvant les verres qui vous y attendent toujours. Après vous avoir laissés seuls pendant quelques minutes, je vous retrouve intimidés, inquiets, penauds, les regards coupables, assis l’un à côté de l’autre sans échanger un mot. Devant votre incrédulité je vous demande de vous détendre et vous dis qu’on finira très agréablement la soirée à la maison. Je décide de partir seul devant et je te propose de partir avec Rob un petit quart d’heure plus tard pour lui montrer la route. Tu essaies de me parler, partagée entre ta culpabilité et l’étonnement devant mon attitude mais je t’interromps et te demande, à partir de cet instant, de m’obéir sans poser de questions et de ne penser qu’à ton plaisir. Je vous demande de continuer à vous « chauffer » en cours de route afin d’être bien excités à votre arrivée, mais avec l’interdiction de vous arrêter pour baiser avant d’être à la maison…Fin de soirée torrideLorsque vous me rejoignez, je vous attends dans le salon : sur la table basse, j’ai préparé un seau à glace avec une bouteille de champagne et trois flûtes. Vous entrez en vous tenant par les hanches l’un contre l’autre, ta robe est déboutonnée jusqu’à ton nombril et tu es ébouriffée, la ceinture de Rob est ouverte ; manifestement, vous avez suivi mes consignes. Je suis installé dans le fauteuil et vous invite à vous asseoir côte à côte sur le canapé en face de moi. Vous semblez encore un peu gênés. J’ouvre le champagne, je remplis les coupes et vous les apporte en vous redemandant de vous détendre. Je mets de la musique : je choisis des slows langoureux et, pour détendre l’atmosphère, je vous demande de me décrire ce que vous avez fait en cours de route. Après un moment d’hésitation, tu prends la parole et me racontes que dès que vous vous êtes assis dans la voiture, Rob t’a demandé de remonter ta robe, de retirer ta culotte, et de poser les pieds sur le tableau de bord. Après avoir refusé dans un premier temps, tu as finalement accepté, Rob te rappelant mes exigences. Il t’a ensuite demandé d’ouvrir sa braguette, de sortir son sexe, puis de défaire le haut de ta robe, d’exhiber tes seins, d’écarter les cuisses et de te caresser tout au long du trajet. Pendant qu’il conduisait lentement, avec une main sur le volant, il se masturbait avec l’autre alors que tu en faisais autant à ses côtés. Rob confirme que tu lui avais obéi sans rechigner et que vous étiez tous deux prêts à jouir lorsque vous êtes arrivé devant la maison, vous vous êtes longuement embrassés et caressés avant de me rejoindre. Je resserre du champagne et je vous explique que vous ne devez pas culpabiliser, je vous demande de ne penser désormais qu’à votre plaisir. Lorsque la bouteille et les verres sont vides, voyant qu’aucun d’entre vous ne se décide à passer à l’action, je demande à Rob de t’inviter à danser. J’éteins les lumières sauf une lampe dont je recouvre l’abat-jour pour créer une lumière tamisée. Le champagne aidant, après une courte hésitation, vous vous collez à nouveau l’un contre l’autre et Rob ne tarde pas à faire descendre ses mains le long de tes hanches pour retrouver tes fesses charnues, qu’il commence à caresser, puis à pétrir à pleines mains.À partir de ce moment, je vous demande de faire comme si je n’étais pas là.Rob recommence à t’embrasser et vous échangez un long baiser langoureux. Sans aucune retenue, tu poses ta main sur son sexe pour vérifier qu’il bande de nouveau. Rob enlève sa chemise et commence à déboutonner ta robe, il fait sortir tes seins puis vous continuez à danser l’un contre l’autre dans cette tenue.Rob relève l’arrière de ta robe et part à la recherche de ton cul, ta culotte est restée dans la voiture, il te pétrit les fesses et je le vois introduire ses doigts dans le sillon ; te voir ainsi dans la pénombre, tes seins collés à son torse dénudé et ses mains fouillant entre tes fesses, me fait prendre conscience de mon esprit vicieux, mais j’ai trop envie de continuer, aussi je te demande de sortir la bite de ton partenaire et de le branler tout en continuant à danser. Tout en me regardant avec un air de défi, tu ouvres la braguette, y plonges ta main et en extrais son sexe de nouveau bien dressé. Tu te retrouves ainsi dans une tenue extrêmement indécente, fesses et seins à l’air, avec la bite de Rob dans la main.Le champagne faisant son effet, complètement désinhibée, tu te lâches et fais glisser son slip, découvrant des fesses bien fermes que tu caresses. Ta main s’active de bas en haut le long de sa longue tige couleur ébène. Il est lui aussi très excité et, sans retenue, tandis que tu t’occupes toujours de flatter sa virilité dressée, il t’embrasse les seins et t’attire à lui après avoir remis ses doigts dans le sillon entre tes fesses à la recherche de ton petit trou. Sentant qu’il est au bord de l’explosion il s’arrête de danser, te tourne face à moi pour me faire profiter du spectacle, se place derrière toi et finit de te déshabiller très lentement, bouton par bouton, tout en te caressant. Il libère ainsi complètement tes seins dont je remarque les tétons dressés par l’excitation, puis il fait glisser ta robe sur tes chevilles. Tu es entièrement nue et très excitante dans la pénombre. Il saisit tes tétons et les fait rouler entre ses doigts. Tout en restant derrière toi, il caresse ton sexe de bas en haut. Tu lui facilites la tâche en écartant légèrement les jambes. Durant sa caresse, je le vois introduire un doigt entre les poils à la recherche de ta fente, te faisant pousser un gémissement. Je suis béat devant cette vision de ton corps dénudé, caressé, pénétré par les doigts de Rob tandis que son sexe est dressé dans le sillon de tes fesses. Tes regards désespérés vers moi me font comprendre que tu ne maîtrises plus rien et que tu es prête à t’abandonner devant moi dans les bras d’un autre. Je vous demande de reprendre où vous en étiez avant de me surprendre, et de sucer Rob ; tu te mets aussitôt à genou devant lui, d’une main tu saisis son membre pour le placer dans ta bouche, ton autre main malaxant tendrement ses testicules. Tu passes plusieurs fois en remontant le plat de ta langue tout le long de la hampe avant de prendre son gland entre tes lèvres pour aspirer en creusant tes joues, puis tu engloutis sa verge presque entièrement et entames des va-et-vient plus ou moins rapides accompagnés de bruits de succion obscènes. Rob saisit tes cheveux et appuie sur ta tête pour mieux s’enfoncer au fond de ta gorge, jusqu’à te provoquer des renvois faisant couler la bave sur tes seins. Je me déshabille à mon tour et, sentant Rob au bord de l’explosion, je vous demande de rejoindre le canapé et te dis de t’allonger sur le dos. Rob finit rapidement de se déshabiller tandis que tu es déjà allongée et te caresses en le regardant. Il vient se placer à califourchon au-dessus de toi, plaçant sa bite entre tes seins que tu resserres pour l’emprisonner. Je me rapproche pour mieux voir la bite de Rob aller et venir entre tes seins où elle glisse sans difficulté avec la sueur et ta salive. Grâce à sa longueur très respectable, sa bite remonte parfois jusqu’à ta bouche et tu en profites pour lécher son gland au passage. Je sens que toutes les digues se rompent en toi, que tu m’oublies et ne prêtes plus attention à moi, uniquement concentrée sur ton plaisir : je te vois devenir chienne et j’aime ça. Vous vous placez ensuite en position de 69… c’est toi qui es au-dessus de Rob. Tu en profites pour reprendre son sexe dans ta bouche tandis qu’il fouille entre les poils de ta toison à la recherche de ta grotte dont il écarte les lèvres avant d’y introduire un doigt, puis un deuxième, entamant une lente masturbation tout en posant sa bouche sur ton petit bouton qu’il suce délicatement, te provoquant de longs gémissements et te faisant mouiller abondamment. Venant plaquer sa bouche contre ta chatte, il écarte tes lèvres avec sa langue avant de l’introduire dans ta grotte. Tu es encore assez lucide pour prendre le contrôle de sa longue bite et de tes doigts délicats, je te vois de nouveau la caresser, la lécher, l’avaler. Comme dans un rêve, je m’entends lui dire :— Assez de préliminaires, maintenant, je veux que tu la baises, que tu la prennes là, maintenant, devant moi. Vous changez de position et il te retourne sur le dos. Dans un ultime geste de lucidité avant de passer à l’acte, tu gardes tes genoux repliés et resserrés contre toi tout en me regardant, je t’invite à te laisser aller et à prendre ton pied sans scrupule, car j’ai très envie de te voir jouir devant moi pendant que tu te fais prendre par cette belle queue. Rob te regarde alors droit dans les yeux, pose les mains sur tes genoux et les écarte, tu abandonnes toute résistance et tu ouvres largement tes cuisses ; son regard avide se pose sur ta chatte. D’une main, tu écartes tes nymphes et de l’autre tu saisis son pénis pour le diriger vers ton intimité. Il passe délicatement son gland le long de tes lèvres de bas en haut puis s’arrête, se cambre, et d’une poussée te pénètre. Je vois son gland disparaître puis son sexe, bien plus long que le mien, s’enfoncer doucement dans tes chairs sans aucune peine. Il reste un instant sans bouger, sa bite plantée au fond de ton vagin dont il semble apprécier la douce chaleur, puis il la ressort doucement, à l’exception du gland, avant de replonger lentement, tout en douceur. Il pose ses mains sur tes seins qu’il commence à pétrir, tu gémis en fermant les yeux et te mords les lèvres tandis que je te prends par la main comme pour te rassurer. Rob entame des allers-retours d’abord très lents, puis peu à peu il accélère, vous respirez de plus en plus fort. Tu replies tes jambes derrière ses fesses afin de l’attirer au plus profond de toi. Je te tiens toujours la main, je t’embrasse, je suis aux anges ! Il passe ses bras sous tes jambes, les soulève, les fait passer devant ses épaules et les écarte au maximum en ramenant tes genoux de part et d’autre de tes épaules. Tu ne peux pas avoir les cuisses plus ouvertes et c’est dans cette position qui permet une pénétration maximale qu’il reprend son pilonnage. Je repasse derrière Rob pour me régaler du spectacle de sa longue bite noire entrant et sortant de ta chatte béante tandis que ses couilles viennent battre contre tes fesses, tes mains ont saisi ses fesses, tes ongles s’y enfoncent et tu l’attires en toi tout en poussant des cris de plaisir. Ça y est ! Un autre homme est en train de te posséder, là, sous mes yeux. Je n’aurais jamais imaginé que te voir ainsi prise, par un autre, puisse me procurer tant de plaisir. Tu as ton premier orgasme et je sens qu’il ne va pas tarder à jouir, mais je n’ai pas envie que ça se termine déjà alors je lui demande de se retirer et de te prendre par-derrière. Il ressort de ta chatte, tu sembles frustrée, aussi tu te retournes rapidement et te places à quatre pattes en appui sur l’accoudoir du canapé, tu cambres les reins, ce qui a pour effet de redresser tes fesses pour mieux t’offrir à lui. Je t’ai rarement vue aussi excitée et je t’entends lui dire :— Allez, dépêche-toi, remets vite ta queue dans ma chatte !Alors il passe derrière toi et vient positionner sa bite, puis, te saisissant les hanches, il s’enfonce d’un vigoureux coup de reins qui t’arrache un cri. Il n’est plus question de douceur maintenant, il a empoigné tes fesses à pleines mains et te pénètre profondément, pilonnant le fond de ta chatte, ce qui t’arrache des cris tandis que tes seins se balancent au rythme de ses coups de boutoir. J’ai l’impression de voir un film porno dont tu serais l’actrice et moi le metteur en scène ! Au bout d’un moment, il appuie sur ton dos et tu t’affales. Il glisse un gros coussin du canapé sous ton ventre pour relever tes fesses et continue à te baiser après avoir écarté tes cuisses pour mieux te pénétrer. Il a glissé sa main entre tes fesses et son pouce vient caresser ton petit trou. Il s’y introduit, te provoquant un cri de douleur dont il ne tient pas compte, accélérant ses coups de reins tout en gardant son pouce dans ton cul. J’ai maintenant envie de te voir sur lui, alors vous changez à nouveau de position et il s’allonge sur le dos, son sexe dressé verticalement comme un pieu. Tu te positionnes, saisis sa bite, la présentes à l’entrée de ta chatte et viens t’y empaler d’un seul coup, l’enfonçant en toi jusqu’à la garde, vos toisons venant se mêler. Tu entames alors des mouvements tantôt de bas en haut, tantôt d’avant en arrière, te permettant de mieux sentir son sexe te pénétrer. Ses coups de reins amplifient la pénétration. Je vois onduler ton bassin autour de ce membre planté en toi. Il s’est saisi de tes seins qu’il malaxe sans ménagement. Le rythme s’accélère, la jouissance vous fait haleter et vous prononcez des mots crus pour exprimer votre jouissance. Rob : — Oh ouiii ! Qu’est-ce qu’elle est bonne ta femme, une vraie salope en chaleur !Toi : — Ouiii, vas-y… baise-moi à fond… défonce-moi la chatte avec ta grosse bite… fait-moi jouir ! Etc. Je ne perds rien du spectacle que vous m’offrez et, tout en te regardant jouir en chevauchant Rob, je me masturbe. Je me régale de voir sa bite coulisser, ressortir luisante de ton nectar et repartir à l’assaut de ton corps. J’ai une soudaine envie de participer, aussi je me place debout face à toi et présente mon sexe bandé devant ton visage. Tu ouvres aussitôt la bouche, le saisis et te mets à le sucer tout en continuant à te déhancher sur le pieu de Rob. Tu engloutis mon sexe jusqu’à manquer de t’étouffer lorsqu’une idée folle me traverse l’esprit : je me retire de ta bouche baveuse et passe derrière toi. J’appuie sur tes épaules pour que ta poitrine vienne contre celle de Rob ; je pose mes deux mains sur tes fesses que j’écarte pour apercevoir ton petit trou encore bien fermé malgré le passage du pouce de Rob. J’enduis mon majeur de salive et l’approche de ton anus. En sentant mes doigts s’introduire entre tes fesses, un peu effrayée par ce qui t’attend, tu as d’abord un mouvement de refus en les resserrant et en te redressant, mais Rob ayant compris ma manœuvre te maintient fermement et écarte tes fesses de ses deux mains pour me faciliter la tâche. Alors, abandonnant toute résistance, tu montres ton acceptation en te cambrant. Tu réalises que pour la première fois tu vas être pénétrée par deux bites ce qui t’excite et t’affole à la fois. Je pose mon majeur sur ta petite rondelle que je masse en décrivant des petits cercles avant de l’introduire très doucement, phalange par phalange, puis d’effectuer des mouvements de va-et-vient. Après avoir doucement agrandi et assoupli le passage, je retire mon doigt et glisse mon sexe tendu entre tes fesses lubrifiées par la sueur, entre lesquelles j’effectue quelques allers-retours. Puis, la dirigeant avec ma main, je viens placer l’extrémité de ma verge sur ta rondelle et pousse, tu te contractes et je bute d’abord un peu, puis ton petit trou s’élargit et je réussis à entrer les quelques centimètres de mon gland, la sensation est délicieuse. Tu cesses de bouger sur la bite de Rob pour me permettre de te pénétrer complètement en m’encourageant à continuer :— Vas-y, mon chéri, encule-moi à fond ! Le reste de mon pénis s’introduit sur toute sa longueur sans difficulté et je sens tes sphincters se resserrer autour. Dans des mouvements bien coordonnés, Rob et moi allons et venons à tour de rôle dans ta chatte et dans ton cul, lentement d’abord, puis en accélérant le rythme et en t’arrachant des gémissements de plus en plus forts. Je ne te reconnais plus, quand, au milieu de tes halètements de plaisir, tu parviens à bafouiller :— Oh oui, c’est bon ! Allez-y, mes salauds, prenez-moi comme une chienne ! Au bout de quelques instants, Rob dit qu’il ne va plus pouvoir se retenir, mais dans cette position, il ne peut pas se retirer. À travers la fine paroi qui sépare nos deux bites, je sens celle de Rob se gonfler contre la mienne juste avant qu’il pousse un rugissement de jouissance alors qu’il déverse au fond de tes chaires de puissantes giclées de sa semence. Ton corps est parcouru de spasmes, tu trembles de plaisir, poussant un hurlement de jouissance. Au comble de l’excitation, je continue à te sodomiser vigoureusement et, n’y tenant plus, je jouis à mon tour, et un deuxième jet chaud vient emplir ton cul, t’arrachant une sorte de grognement presque bestial. En tout, tu as dû avoir trois ou quatre orgasmes et tu t’effondres, haletante, sur le corps de Rob tandis que je finis de me déverser en toi. Nous restons ainsi un bon moment avec nos sexes encore palpitants dans tes entrailles. Au bout de quelques instants, nous reprenons notre souffle et nos corps se désunissent. Je remercie Rob puis lui demande de se lever, de se rhabiller rapidement, de partir sans poser de questions et de ne pas chercher à te revoir. Tu te redresses pour lui permettre de se dégager, il se lève, il ne bande plus et son sexe luisant pend entre ses jambes musclées, il se rhabille sans un mot, vos regards se croisent et – non sans humour – il lance un « merci pour cette danse ! » juste avant de partir. Je m’approche de toi, tu es allongée sur le dos, une jambe posée sur un accoudoir, tu retrouves peu à peu ton souffle. Tes cuisses sont encore suffisamment écartées pour que j’aperçoive ta chatte et ton cul maculés de sperme. Je t’aide à te relever, tu es tout ébouriffée, les joues rouges, tu chancelles un peu, le sperme dégouline le long de tes cuisses et tu es encore sous le choc de cette incroyable expérience. Sans un mot, je t’entraîne vers la salle de bain. Je fais couler le jet tiède de la douche sur ton corps, je passe ma main dans ton entrejambe et introduis doucement mes doigts dans ta chatte et ton cul pour te débarrasser de nos souillures, puis nous nous savonnons l’un l’autre entièrement tout en nous caressant et en échangeant des baisers tendres avant de rejoindre la chambre. Nous n’avons échangé aucun mot, comme hébétés par ce que nous venons de vivre. Après ce retour à la réalité, je crains ta réaction mais tu viens vite te blottir dans mes bras et tu me remercies de ce cadeau imprévu qui t’a permis de jouir comme jamais et de faire des choses dont tu ne te serais jamais cru capable. Tu réalises que tu viens de baiser avec un autre homme devant ton mari dont les encouragements t’ont permis de déculpabiliser, et ainsi tu n’as jamais eu le sentiment de me tromper, te permettant d’apprécier pleinement cette expérience sexuelle exceptionnelle totalement imprévue et terriblement excitante au point de perdre complètement le contrôle de toi-même comme ça ne t’était jamais arrivé auparavant. Tu me rassures en disant que tu n’avais ressenti aucun sentiment amoureux pour Rob, qu’il ne s’agissait que d’un coup de folie passionnel, incontrôlable, poussé par un désir charnel violent, et que tu n’es pas prête d’oublier comment cet inconnu a pu te faire « dégoupiller » à partir d’une danse a priori anodine. Tu n’en reviens pas d’avoir pu te comporter ainsi comme une vraie nymphomane ! Ma présence qui dans un premier temps t’a culpabilisé a finalement été l’élément qui t’a incité à totalement te désinhiber. Je te serre dans mes bras tendrement, je t’embrasse, te caresse et te remercie à mon tour pour le spectacle de ta jouissance que tu m’as offert, je te rassure aussi sur l’absence de toute jalousie mais t’avoue que ce voyeurisme pervers que je viens de découvrir me fait tout de même culpabiliser. Je pense qu’après cette incroyable séance nous allons nous endormir mais c’est toi qui, loin d’être rassasiée, reprends l’initiative en saisissant mon sexe et en commençant à le masturber pour lui redonner de la vigueur… Nous voilà repartis dans une folle séance de baise, dans toutes les positions, qui nous amène jusqu’au petit matin où, épuisés, nous nous endormons enfin dans les bras l’un de l’autre plus amoureux que jamais…