Première fois de Cléo !!
Cléo la face cachée d’Amandine va définitivement prendre la place de celle-ci dans cette première aventure dont les débuts prometteurs seront suivis par beaucoup d’autres…
Proposée le 15/05/2017 par GRONEMOU Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieusePersonnages: FHLieu: A la maison, intimeType: Histoire vraie
J’entendis à peine la sonnerie de mon téléphone, encore toute endormie, un peu étonnée de me réveiller chez moi…d’habitude le dimanche matin je refais surface ailleurs, le plus souvent nue dans un lit, aux côtés d’un homme dont je me souviens à peine du prénom, le corps et la tête endoloris des excès de la nuit, due tout autant par l’abus de Champagne que par l’abus de sexe…
« Philippe ? » !! Je ne connaissais aucun Philippe, mais apparemment j’avais donné mon N° à celui-là, je devais être drôlement dans le gaz cette nuit !! …
« Cléo ? » fit la voix que je ne connaissais pas…L’écoute de ce prénom qui n’était pas le mien fit un déclic dans ma tête et me sorti soudainement de ma torpeur, je lui avais donné aussi mon prénom de fille délurée, houlà la nuit a dû être bizarre …
« Oui ! » répondis-je mal assurée…
« Tu te souviens de moi ?, nous nous sommes vus au Liberty cette nuit et après ce que nous y avons fait dans les W.C nous avons passés un accord tu te souviens ?
Je me souvenais plus ou moins, je me rappelais avoir dansé avec des hommes, avoir bu les coupes de Champagne qu’ils m’offraient et effectivement avoir fait un séjour dans les toilettes, ou j’avais passé plus de temps assise sur la cuvette la bouche ouverte ou penchée en avant, la jupe retroussée sur les fesses et les cuisses écartées, que pour y satisfaire un besoin naturel
La suite me vint d’un coup… dans l’état d’ivresse ou j’étais, deux autres hommes étaient rentrés dans l’étroite cabine et au lieu d’un seul à satisfaire, j’avais eu trois sexes à combler, à la fin de la prestation ils étaient venus me parler, me proposant une chose que n’importe qu’elle fille honnête aurait refusé (mais déjà, une fille honnête qui se retrouve avec trois hommes dans les toilettes , cela existe-t-il ??) …mais avec la confusion et le vide qui régnait dans mon cerveau depuis quelques mois suite à l’abandon par l’homme que j’aimais comme une folle, cette proposition que les autres filles auraient jugé indécente m’attira comme un aimant .
Je n’étais pas une inconnue pour eux, ils me suivaient depuis quelques week-end dans les boites huppées que je fréquentais et avaient vu mon comportement. Je n’étais pas une fille farouche et ne quittais jamais seule l’établissement, ayant parfois satisfait un ou deux danseurs avant de partir avec un troisième passer la nuit dans son lit ou à l’hôtel….le sexe était devenu un besoin ou plutôt un refuge ou le nombre de partenaires n’avait plus aucune importance au point que je me fis appeler « Cléo » afin de bien faire la différence entre la vraie « Amandine » et la nymphomane qu’elle devenait une fois le vestiaire passé…..
« Tu aimes le sexe ! » m’avaient-ils dit. Au point d’en faire ta principale activité chaque week-end ! Serais tu prêtes à y consacrer plus de temps ? Nous te proposons de t’héberger dans un bel endroit, tous frais payés et tu auras de l’argent pour t’offrir tout ce dont tu as besoin…en contrepartie nous te demanderons juste de dire OUI ! à toutes les propositions que nous te ferons, sans réfléchir…qu’en penses-tu ? Je crois avoir réfléchi 3 secondes et avoir répondu : OUI !, me laissant entrainer sans résistance dans ce monde parallèle ou le sexe serait une priorité. Ma priorité !!
« Tu te souviens maintenant Cléo ? dit la voix sur un ton amusé…la proposition tient toujours et nous aimerions en parler davantage avec toi et te faire passer une sorte de casting en quelques sorte ! Es-tu prêtes ? »
« Laissez-moi une heure ou deux le temps de me préparer et de venir » répondis-je dans un état presque second !
« Ok ! Rendez-vous 16H00 tapante, ne sois pas en retard et ne t’habilles pas en bonne sœur, si tu vois ce que je veux dire…. »
Je voyais très bien ce qu’il voulait dire…..
16h00 !!, la villa devant laquelle je me trouvais semblait sortir d’une production Hollywoodienne, belle et grande villa avec piscine et dépendances. Un énorme chien aboyait derrière la grille. Trois voitures de luxes y étaient garées derrière, j’avais l’air ridicule avec ma Smart. Un homme vint m’ouvrir, malgré son sourire je ne le reconnu pas de suite, il me prit la main et m’accompagna devant la porte d’entrée, me faisant des compliments sur moi et ma tenue..
« Cela valait le coup d’attendre me dit-il, et si les bonnes sœurs s’habillent ainsi maintenant je rentre dans les ordres immédiatement »
Effectivement j’avais mis une jolie jupe courte plissée noire sur un chemisier blanc en dentelles fines assez transparent sous lequel je ne portais rien, laissant voir mes seins mais pas trop, de hauts talons démesurés qui me faisaient des jambes magnifiques, mes lèvres rouges écarlates par le N° 19 de chez Chanel, baignant dans les effluves du N°5 du même nom. A la fois classe et sexy…
L’intérieur de la villa était raffiné, sans aucun doute l’œuvre d’un décorateur, aucune faute de gout, dans une déclinaison de blanc et noir ou tout n’était qu’harmonie…magnifique !
Trois autres hommes étaient là, assis sur des canapés, sur la table basse trônait un seau à Champagne ou trempait dans la glace un magnum de Bollinger.
« Cléo je ne te présente pas mes amis, je pense qu’ils t’ont laissé un souvenir cette nuit dit-il l’air goguenard… Hors je ne me souvenais absolument pas d’eux, leurs sourires en coin me firent penser qu’eux me connaissaient bien, je te présente Paul, un ami de longue date et qui à hâte de te connaitre depuis que nous lui avons parlé de toi »
« As-tu réfléchis à notre proposition de cette nuit ? Es-tu toujours d’accord ? »
« Toujours d’accord » ! Dis-je sans hésiter.
Philippe s’approcha alors de moi et me chuchota à l’oreille : « Ok mon chou ! Donc si tu veux, tu emménages dès ce soir, ne t’occupes de rien nous ferons chercher tes affaires. Tu n’as pas oublié notre accord ? Voilà je t’explique : Paul est un ami, un grand ami, auquel nous ne refusons rien…il veut mieux te connaitre et tout comme nous tu ne lui refuses rien……
Voilà ! C’était parti, Cléo pris à ce moment-là tout pouvoir sur Amandine celle-ci disparaissant complètement, s’effaçant derrière Cléo la nymphomane qui maintenant n’opérerait plus les week-ends mais 24H/24H.
Après quelques verres de Champagne, mes hôtes s’éclipsèrent me laissant seul avec Paul, qui, tout au long de la discussion et le Champagne aidant ne m’avait pas quitté des yeux, moi j’avais soutenu son regard, amusée !
La cinquantaine, Il n’était pas spécialement beau, habillé sport mais avec élégance on sentait l’aisance et la prestance d’un homme fortuné. Sans être un intellectuel, sa discussion était agréable, cela lui donnait un charme certain. Il vint s’assoir à ma droite….moi encore abasourdie par mon glissement vers le côté obscur et presque charmée par le son de sa voix je ne m’aperçus de rien, ce n’est que lorsqu’il prit ma main et la dirigea vers son sexe en érection que je pris conscience de la réalité et quelle réalité !!!…
« Viens me sucer salope ! » le charme fut rompu ainsi, non seulement il dirigeait ma main vers son sexe, mais aussi ma tête en me prenant par la nuque…
Son sexe était gros, limite énorme, rien en lui ne laissait prévoir un tel organe. Il appuyait sur ma nuque me forçant presque, alors qu’il n’avait nul besoin de le faire, ma décision était prise et l’accord convenu…
« Viens gouter à ma bite, putain ! » Il a besoin de mots crus pour s’exciter pensais-je …je jouais le jeu et ouvrit ma bouche…en grand ! Il attrapa mes cheveux et m’enfonça son sexe en entier au fond de la gorge et me pilonna, prenant ma bouche pour une chatte …
« Mets-toi à genoux devant moi les mains dans le dos, cochonne ! » je m’exécutais sans ôter son sexe de ma bouche, il donnait le rythme avec ses mains qui tiraient mes cheveux, levant et baissant ma tête sur sa queue…de la salive coulait dessus facilitant le glissement, je n’étais plus qu’une bouche à pipes.
Ses doigts défirent un par un les boutons de mon chemisier et le fit glisser par-dessus mes épaules, me retrouvant seins à l’air entre ses cuisses ! Lâchant une main, il s’amusait à me retirer et me remettre son sexe dans la bouche, me tapotant sur la joue avec sa main lorsqu’il me plantait son sexe à l’intérieur, la position était humiliante mais cela m’excitait. Il se leva et me baisa la bouche de plus en plus fort, me forçant à faire des gorges profondes en me pinçant le nez, à la limite de l’étouffement….Il se retirait, me giflait la joue avec son sexe, me bifflait pour replonger entre mes lèvres. Je sentais son gland buter contre ma luette…me laissant reprendre mon souffle, il me dit : « à toi, maintenant, fais-moi voir tes talents de suceuse, il parait que tu es douée !! »
J’y mis tout mon cœur, il m’avait mis dans un état, et son sexe énorme avait dilaté ma mâchoire. Je ne le suçais plus. Je le pompais littéralement…je l’entendais gémir sous mes coups de langue, je gobais son gland, le fis rouler sur mes dents, glissais ma langue dans le méat en caressant ses boules, puis les gobant une par une pour revenir engloutir sa bite …n’y tenant plus il me releva, s’assis dans le canapé et là il fit glisser ma jupe et mon string le long de mes jambes, j’étais nue debout face à lui, soumise, mais par choix assumé. Quand un homme fait glisser ma culotte à mes chevilles en me tenant face à lui, cela me procure un effet ou je me sens prête à satisfaire le moindre de ses désirs…ce que je fis…
Il allongea ses jambes entre les miennes, me tendit un préservatif. J’encapuchonnais son sexe non sans mal. Il me fit assoir dessus, la cyprine avait coulé dans ma vulve, mais ce sexe était si gros que je sentis mon minou se dilater au passage de chaque centimètre. J’étais pleine de lui. Il commença doucement, conscient de sa taille. Chaque va et vient déclenchait en moi un petit gémissement, il accéléra, je sentis que j’allais perdre le contrôle rapidement…à chaque sursaut je ne gémissais plus mais je feulais comme une chatte en chaleur, mon ventre était brulant et je sentais des picotements, sa queue claquait sur mes grandes lèvres, je fermais les yeux, le sang battait à mes tempes à chaque coup de bite qu’il m’assenait, je le sentais aller et venir en moi de plus en plus vite, de plus en plus fort, le sentant aller loin au fond de mon ventre et si gros, je criais mon premier orgasme. Il se retira, me retourna et me mit à genoux face au canapé et vint se ficher en moi en levrette, me culbutant comme une chienne, me traitant de salope et d’autres noms d’oiseaux que je n’entendais plus tant mes oreilles bourdonnaient. Il claquait mes fesses avec sa main à chaque coup de boutoir, me faisant mal…me mettant son pouce dans l’anus et l’enfonçant loin, de plus en plus loin. Ma tête explosait, il me pilonnait, je sentais ses boules claquer sur mon sexe, mon ventre était brulant comme un volcan je prenais orgasme sur orgasme, il retira son pouce, saliva sur mon petit trou, étalant sa salive avec son doigt. Dans l’action, surexcitée je ne le sentis pas de suite s’enfoncer dans mes fesses, quand je m’en rendis compte il était trop tard, la douleur fut intense, pourtant il n’était pas le premier à venir en cet endroit, mais jamais un aussi gros. Je criais essayais de me dégager, mais il était fort, je le sentis s’enfoncer en moi, déchirer mes entrailles, en hurlant de douleur, des larmes coulèrent sur mes joues, il commença de lents vas et viens, le mal diminua doucement faisant place à un mélange curieux de gémissements et de plaintes par peur qu’il me sodomise brutalement comme lorsqu’il m’avait prise en levrette, hors il fut plus doux, sauf en parole :
« Alors salope, ça te fait quoi d’en avoir une si grosse dans le cul ? Ça c’est se faire enculer n’est-ce pas ? Tu es une vraie enculée maintenant » Il allait et venait en moi, jamais je n’avais eu aussi mal, mais en même temps curieusement j’en avais envie, mon anus dilaté l’amusait, il se retirait, regardait mon trou béant et replongeait en moi jusqu’à la garde…Ses vas et viens se firent plus rapide, je gémissais de douleurs plus que de plaisir. Son souffle s’accéléra, il se retira d’un coup, ôta son préservatif et gicla sur mes fesses en râlant de plaisir, jusque sur mon dos ou je reçu des salves de sperme, puis s’approchant de moi me colla son sexe dans la bouche en me disant : « tiens voilà ta récompense petite pute !!… » et resta ainsi fiché en moi jusqu’à ce que son sexe devienne mou …..
Je n’osais plus bouger, j’essuyais mes larmes d’un revers de main, ne voulant surtout pas lui faire voir, mis ma main sur mon anus et la porta à mon visage, une petite goutte de sang y avait coulé… « Le salaud ! il m’a déchiré » me dis–je dans ma tête ! J’avais toujours mal…
C’est alors qu’il s’approcha de moi, me pris dans ses bras tendrement, et posa sur mes lèvres un doux baiser…me disant : « ça va ma chérie ?, j’y suis allé un peu fort, mais c’est ainsi que j’aime faire l’amour ,tu m’as excité, et comme j’ai vu que tu prenais du plaisir je me suis laissé emporter ! » il me câlinait doucement, sa voix avait changé, il caressait ma joue avec sa main, comme l’aurait fait un petit ami. Docteur Jekyl et Mister Hyde….
Je remis mes vêtements, il me versa du Champagne et nous discutions comme si de rien était, mis à part la brûlure intense de mon postérieur Nos hôtes revinrent, se mêlèrent à nous. Lorsque Paul partis, je pris possession de mon nouvel appartement, une magnifique dépendance meublée avec gout. Tu es ici chez toi, me dit Philippe, voici le code de l’alarme de la villa. Merci pour ta prestation avec Paul, tu es plus qu’étonnante ma chère Cléo et nous n’en avons pas perdu une miette ! me dit-il d’un air malicieux. Notre accord commun ne fait que commencer, et nous espérons être à la hauteur de ce que tu nous offres…
Ce soir-là je basculais du côté obscur, ma vie d’avant s’arrêta. Amandine n’existait plus, Cléo la nympho prenait sa place dans son corps et dans sa tête…l’entrainant dans des aventures dont même Cléo ne soupçonnait pas qu’elle puisse les faire…mais c’est une autre histoire …. © Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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