À l’époque, j’avais 22 ans et je vivais avec Laetitia, 20 ans, 1 m 62cm pour 54 kilos, cheveux longs mi-dos châtain, les yeux verts, une bouche pulpeuse, des seins imposants pour sa morphologie (90 C) ; et un cul rebondi qui faisait des ravages l’été sur la plage ou dans de petits pantalons moulants.On sortait ensemble depuis plus de six mois et on baisait comme des castors. Je prenais un pied d’enfer à baiser son corps de princesse. Laetitia était très coquine, elle aimait le sexe et que je la baise toute la nuit dans toutes les positions dans tous les endroits. Elle jouissait très fort en criant son plaisir, utilisant des mots très crus m’incitant à la prendre très fort et à lui bourrer sa chatte.Seule la sodomie restait un problème pour elle et, malgré le fait qu’elle adore que je lui doigte le cul d’un ou plusieurs doigts ou que je lui bouffe l’anus, elle ne me permit qu’à trois reprises de l’enculer, et à chaque fois elle le fit à contrecœur, sans prendre de plaisir et à mon grand désespoir, moi qui aime tant cette position et son si joli cul qui me fait tant baver d’envie.Nous avons réalisé la plupart de nos fantasmes ensemble, achetant des gadgets pour pimenter nos ébats déjà si torrides. Cependant, elle n’osait se lancer à réaliser ses envies lesbiennes et de relations à plusieurs.Je décidai de la pousser un peu afin de lui faire découvrir de nouveaux plaisirs et la voir faire l’amour avec d’autres que moi. Aussi, après réflexion, je décidai d’appeler Véronique. La quarantaine, elle travaillait dans le médical. Brune, grande, 1 m 75 cm pour 50 kilos, les cheveux courts à la garçonne, yeux bleus, petits seins (85 A), un petit cul. Je l’avais rencontrée lors d’une soirée durant laquelle je faisais le DJ ; elle était venue m’allumer et, sous prétexte de rechercher un DJ pour des soirées chez elle, m’avait refilé ton téléphone.Après info par l’organisateur de la soirée, j’appris de cette femme était une vraie coquine, qu’elle organisait des orgies échangistes dans sa superbe villa. J’avais été sur le point d’accepter, à l’époque, mais je venais de me mettre avec Laetitia et j’étais plus que satisfait par nos ébats. Mais aujourd’hui, je décidai de lui téléphoner :— Allo ?— Allo, bonjour, Véronique. Je suis Franck, le DJ de chez les Durand. Tu te rappelles ?— Oui, bien sûr, beau blond aux cheveux au carré ! Bien sûr que je me rappelle de toi ! Qu’est-ce que je peux faire pour toi ?— Voilà, j’aurais besoin d’un conseil de ta part. J’ai cru comprendre que tu connaissais beaucoup de monde et…— Oui, dis-moi.— J’ai un petit problème avec ma copine Laetitia— Oui, celle qui est venue te voir à la soirée ?— Heu… Oui, c’est elle. Tu t’en rappelles ?— Bien sûr, et je ne crois pas être la seule. Elle a dû marquer tous les invités, avec sa petite robe moulante. Elle les a impressionnés, vous êtes un beau couple tous les deux.— Heu… merci du compliment ! Voilà. Laetitia a certains fantasmes qu’elle n’ose pas réaliser et j’aimerais l’aider à les concrétiser.— Du genre ?— Heu… Faire l’amour avec plusieurs personnes, s’exhiber, coucher avec une femme…— Ouais, je crois que je vois.— Je veux des personnes expérimentées qui puissent lui faire découvrir des plaisirs qu’elle ne connaît pas et qu’elle voudra refaire.— Bon, je crois que j’ai compris, et je sais qui je peux te conseiller. Un couple, ça te va ?— Oui, génial ! Tu penses à qui ?— Serge, mon mari, et moi si tu es d’accord. Vous nous avez tapé dans l’œil depuis cette soirée et je suis sûre qu’il sera ravi de ce plan. Nous sommes, comme tu dois le savoir, un couple libertin bisexuel. Nous avons une sacrée expérience du sexe et ce sera un plaisir d’initier une si jolie femme, de lui faire découvrir de nouveaux plaisirs. Es-tu disponible samedi soir ?— Oui, pas de problème. Vers 19 heures ?— OK pour 19 heures. On aura du temps pour nous.— Bien. On dira que je viens pour discuter d’une date de soirée chez vous où je serai le DJ. OK ?— Très bien. À samedi.J’avertis Laetitia de notre invitation le soir même. Elle fut un peu surprise d’une invitation chez des inconnus, mais elle accepta rapidement.Ce fameux samedi, il faisait encore chaud en cette fin de mois de septembre, et Laeti vint me demander mon avis sur sa tenue. Je lui conseillai un petit pantalon moulant en toile grise et son chemisier blanc échancré, un peu petit et qui moulait sa grosse poitrine. Comme sous-vêtements, je lui demandai de mettre son ensemble « Aubade » blanc, string et soutif si bandants.Nous sommes arrivés vers 19 h15 dans une superbe villa sur les hauteurs de la ville. Deux magnifiques Mercedes se trouvaient dans la cour devant une piscine à débordement.Véronique apparut dans une robe noire fine de grande marque échancrée sur sa petite poitrine. Des talons hauts et des bas noirs. Son mari apparut, 43 ans, 1 m 80 cm pour 85 kilos ; grand, costaud, une chemise blanche ouverte sur sa poitrine velue ; et un petit pantalon en toile blanc. Bel homme, yeux marron, sourire ravageur.Je sentis un frisson en imaginant une seconde la suite des événements.Après les présentations, Véro et Serge nous firent visiter leur immense maison. Un salon de 100 mètres carrés avec un écran plat gigantesque ; une table pour 20 personnes, une cuisine immense avec tout le top.Plusieurs chambres d’amis avec salle de bain privée, une grande salle de bain avec un jacuzzi. Et pour finir, leur chambre : un lit de 5 personnes avec, sur chaque mur, des placards coulissants munis de miroirs qui reflétaient chaque angle du lit.Enfin, nous retournâmes dans le salon et Véro nous servit l’apéritif, des petits toasts, Martini pour les filles et whiskys pour Serge et moi.Laeti à côté de moi, Véro à ma gauche, et Serge en face de nous.— Bon, Franck, ça me fait plaisir que tu acceptes de venir animer une soirée chez nous. Serge et moi avons eu un aperçu de tes « capacités », dit Véro.— Oui, je suis dispo quand vous voulez. Qu’est-ce que vous aimez ?— Tu sais, nous ne sommes pas difficiles, nous te faisons confiance.— Vous êtes dispo pour le samedi 14 octobre ? demanda Véro.— Je crois, non, Laeti ?— Comment, ça, « vous » ? Je ne fais pas de musique, moi ! répondit Laeti, ébahie.— Je pensais que Franck t’en avait parlé— Parler de quoi ?— Nous cherchons une personne pour animer la soirée pendant que Franck mixe. Une personne qui met l’ambiance.— C’est à dire ?— Une personne qui danse pour inciter les autres à venir sur la piste, si ça te dit.— Oui, ma chérie, tu danses super bien, ce sera sympa.— Hum ! Je le sens mal, ce coup ! Vous entendez quoi, par danser et animer ?Serge répliqua :— Tu n’auras qu’à danser. Avec ton physique, tout le monde sera collé à la piste.Laeti rougit un peu devant ce compliment. Elle sentit le regard de Serge et Véro sur son décolleté.— Non, je ne suis pas très chaude pour cette soirée, dit Laetitia. Je ne suis pas très douée pour la danse.— Ça ne fait rien, il suffit de danser comme tu sais le faire et je suis sûre que tu te débrouilles très bien. Viens.Véro saisit les mains de Laeti et, la faisant lever, elle l’entraîna vers la stéréo. Elle mit de la musique douce et, posant ses mains sur les hanches de Laeti, se mit à danser en face d’elle, les yeux dans les siens.Serge lui aussi se leva et, ouvrant le meuble télé, revint avec une caméra, un trépied, des cassettes et une télécommande.Les filles dansaient maintenant, leurs deux corps collés l’un à l’autre. Pour une danse douce ? Véro avait posé une main sur le dos de Laeti, une autre sur la sienne. Laeti se laissait guider par sa cavalière pour un slow gentil.Au second, Véro appuya un peu plus son corps sur celui de Laeti, ses seins effleurant ceux de Laeti. Elle lui parlait doucement dans l’oreille, se reculant pour lui sourire. Laeti se déridait et sourit à son tour aux paroles de Véro.Enfin, elles revinrent vers nous, Laeti et Véro sur le canapé, Serge et moi en face.Laeti vit la caméra et, surprise, lança :— C’est quoi, ça ? On fait un film de cul, c’est ça ?— Ce ne serait pas une mauvaise idée, vu ton physique tu ferais un malheur. Zara White et les autres pourraient changer de métier.— Oui, Serge s’est acheté cette caméra ultra-perfectionnée, et depuis, il se prend pour un réalisateur.— Le résultat est plutôt pas mal, répondit Serge en appuyant sur un bouton de la télécommande.Apparurent sur l’écran géant Véro et Laeti en train de danser, et il faut le reconnaître que l’image et la façon de filmer étaient impressionnantes, les plans s’enchaînaient les uns après les autres.Un gros plan des deux visages des filles, Véro les yeux pétillants de désir, Laeti la tête vers le sol, puis un plan large des deux corps dansant tendrement.Assez sage au départ, un zoom des fesses de Laeti et Véro vint. La différence était frappante entre le petit cul fin de Véro, à peine moulé par sa robe noire, et celui de Laeti rebondi, moulé à la perfection par son pantalon en toile.— OK, bravo les gros plans ! C’était à prévoir ! lança Laeti.— Reconnais que tu as un sacré cul, non ? Ce n’est pas toi qui fais la pub d’Aubade ? demanda Serge.— Non, pas trop, non.Suivit un autre gros plan de leurs poitrines se frôlant à peine ; et là encore, la différence était frappante entre les petits seins de Véro et les gros lolos de ma femme. Son chemisier collait à son soutif, moulant ses gros seins. On devinait les contours et le petit nœud entre les deux bonnets. Les tétons de Véro pointaient sous son chemisier, deux petites boules déformant sa robe comme pour la percer.— Eh bien ! dit Serge. Cette petite danse t’a émoustillée, ma chérie.— Qui ne le serait pas ? Tenir une si jolie fille contre soi et avoir une vue plongeante sur son décolleté aurait émoustillé n’importe qui. Et je ne crois pas que je sois la seule, non, Franck ?Je ne disais plus rien, les yeux rivés sur l’écran. Voir ma copine danser un slow avec Véro, sachant la suite qu’allait prendre les événements avait mis le feu dans mon slip tendu par une grosse érection déformant mon pantalon de toile. Avalant difficilement ma salive, je répondis :— Oui, c’est très excitant de vous voir toutes les deux vous trémousser sous nos yeux et apparaître en gros plan.Serge avait déplacé la caméra, et la bosse de mon pantalon apparut à la télé.— Tu as l’air plutôt bien fourni, me dit Véro. Et toi, Laeti ?Elle se tourna sur le côté et saisit un téton de Laeti entre son pouce et son index, le pinçant et le tirant vers l’avant.— Ça te fait de l’effet de nous voir là ?Laeti fut surprise et, ne pouvant prévoir cette caresse, elle ne put la repousser. Les images ne lui procuraient aucune envie, et avoir dansé avec une femme devant ces hommes l’avait plutôt tétanisée d’appréhension et de timidité. Cependant, cette caresse fit durcir son téton qui, à l’étroit dans son chemisier, pointa sa tête à notre vue.Serge en profita pour zoomer sur son chemisier et nous vîmes son sein gauche forcer sur son chemisier. Un gros téton qui se dessinait sous l’attaque de Véro.— Tu as les seins sensibles, dis-moi, ma chérie ! dit Véro. Regarde à l’écran, comme il se met à bander, ton téton. T’as vu, Serge ? Une petite pincette et ils sortent la tête. Tu dois te régaler à te faire peloter, non ?Laeti était rouge pivoine, le sang se bloquait dans sa tétine qui ne voulait pas se rétracter. Elle baissa les yeux de l’écran, ne répondant pas à Véro. Je le fis à sa place.— Oui, elle adore que je lui caresse les seins, et comme tu peux l’imaginer, c’est aussi mon cas. C’est le pied de lui masser ses gros seins ! Hum !— J’imagine très bien. Pour mon anniversaire, je me paierais bien des seins comme les siens. Les miens sont sensibles aussi, mais trop petits pour que Serge puisse me les baiser, et j’adorerais ça. Je suis sûre, Laeti, que tu aimes ça toi aussi, non ?— À fond ! dis-je. Elle et moi on adore la branlette espagnole. Sentir ses mamelles m’enserrer, voir mon sexe entre ses magnifiques seins, la sentir vibrer sous mes coups, me sucer le bout du gland… C’est l’une de nos positions préférées.— On veut bien te croire, dit Serge qui continuait son gros plan sur les seins.— Quelles sont les autres positions que tu aimes, Laeti ?— La levrette, bien sûr ! répondis-je.— On s’en serait doutés ! Et la sodomie ?— Non. Laeti n’aime pas. On n’a dû pratiquer que trois fois, à mon grand regret.— Parce que tu es trop stressée, ma chérie. Tu verras que si c’est bien fait, tu prendras beaucoup de plaisir.Devant l’impassibilité de Laeti, Véro en profita pour lui passer la main dans le dos de haut en bas, s’arrêtant à la limite de son pantalon. À l’écran, le chemisier de Laeti était déformé maintenant par ses deux tétons qui pointaient leur tête, s’écrasant sur le chemisier. Le stress de la situation mêlé à nos paroles crues fit réagir le corps de Laeti. Ses seins se gorgeant de sang, ils se sentirent à l’étroit sous le chemisier.— Attends, il va exploser, ce bouton ! Dégrafe-le, lui dit Véro.Et, passant ses mains sur ses flancs, elle saisit le bouton qui sauta sous ses doigts.Véro en profita pour lui caresser les seins et, saisissant les deux pans de la chemise, l’ouvrit sur son soutif blanc.Laeti apparut à l’écran dans son magnifique soutif maintenant ses mamelles dont les tétons déformaient les bonnets.Véro laissa la chemise entrouverte, cachant le ventre de Laeti sous les armatures de soutif.Laeti ne bougeait plus, ne disait plus rien, se laissant faire comme un pantin.Véro lui releva la tête, lui montrant l’image de sa poitrine à moitié dévoilée sur l’écran.Ma queue me faisait mal à voir ainsi ma copine, le chemisier entrouvert sur ses seins bandés d’envie. Je résistai à l’envie de me branler et, saisissant mon sexe, le redressai dans mon pantalon pour soulager la pression.— On dirait une pub pour Aubade, non, Serge ?— On en mangerait tellement ils sont bandants. Je t’envie, ma chérie.Véro passait ses mains grandes ouvertes tout autour de sa poitrine, sur ses côtés, son cou, son ventre.— Tu as déjà joui des seins ? dit-elle en saisissant de ses deux pouces et index ses tétons bandés à travers le soutif.Laeti ne répondit pas, ses yeux se fermèrent sous cette caresse. Elle releva la tête, reculant son dos contre Véro. Ses seins jaillirent de l’échancrure du chemisier et Véro, lâchant ses tétons, les saisit des deux mains, les soulevant, les soupesant, les remontant à les écraser sur le torse de Laeti.— Ils sont lourds, dis-moi !En même temps, les mains grandes ouvertes englobant ses mamelles au maximum, Véro lui pétrissait les seins. Ses tétons étaient durs et gros, gorgés de sang.Laeti se laissait peloter selon l’envie de Véro. Celle-ci lui malaxait les seins comme du bon pain.Les yeux fermés, Laeti se régalait de ce massage, elle sentait ses jambes s’ouvrir et une chaleur irradier son ventre. Elle se mordit les lèvres lorsque Véro pinça ses tétons, les faisant rouler entre ses doigts, les tirant vers le haut. Son soutif glissa sous sa poitrine, la révélant à nos regards, ses tétons rouge vif maltraités par les doigts de Véro.— Allonge-toi sur le canapé, ma chérie, tu seras plus à l’aise, dit Véro qui, se levant, se dirigea vers la cuisine et en revint avec une valise qu’elle posa à ses pieds.S’asseyant sur le canapé au côté de Laeti, elle ouvrit la valise et en sortit un pot de crème de massage.Débarrassant ma copine de sa chemise et de son soutien-gorge, elle réchauffa le pot puis, enduisant ses mains d’huile, se mit à masser la poitrine de Laeti sur toute la longueur, les mains grandes ouvertes. Elle appliquait la crème sur sa poitrine.— On t’a jamais gouiné les seins, non ? dit Véro, attrapant ses mamelles dans ses doigts et les pressant comme pour la traire.Serge bandait comme un cerf devant Laeti les seins brillants d’huile, sa femme lui caressant ses grosses mamelles, en gros plan sur son écran géant.Véro lui frappa les seins l’un contre l’autre et griffa ses tétons de ses longs ongles rouges, provoquant un spasme de plaisir dans la poitrine de Laeti, qui souleva son buste, amenant ses tétons vers le visage de Véro. Celle-ci sortit la langue et effleura le téton gauche, faisant gémir Laeti sous cette caresse.Véro se pencha sur sa poitrine et lentement se mit à lui laper les seins, passant sa langue sur toute sa poitrine et s’attardant sur ses tétons durs comme du bois. Elle aspira les tétons sous les gémissements de Laeti, qui saisit la tête de Véro et lui caressa les cheveux.— Tu aimes, hein, que je te mange les seins ! Moi aussi, ça me plait, je pourrais te bouffer pendant des heures ; mais on verra plus tard, je veux te sentir jouir sous ma bouche à te branler les seins.Laeti, les yeux toujours clos, bougeait son corps à la rencontre des caresses d’une femme et elle sentait le plaisir irradier son corps, sa chatte dégoulinait de désir. Elle sentait sa mouille tremper sa culotte, couler sur ses cuisses. Elle avait envie de jouir et, les mains plantées dans le canapé, un orgasme traversa son corps : elle venait de jouir, pelotée par une femme. Son bassin bougeait inconsciemment, ondulant sous Véro, frottant son clito tout dur sur la cuisse de cette femme.Laeti en voulait plus, désirait jouir encore, sa chatte réclamait une queue. Véro se leva, laissant Laeti heureuse de cette divine expérience, mais frustrée de ne pas continuer.— Quel pied, Serge ! J’ai jamais pris autant de plaisir à peloter une femme, ses seins ont une douceur, un goût qui me font chavirer. Mais je vois que vous êtes en forme, les mecs ! T’as vu comme ils bandent tous les deux ? Regarde, ma puce, comme on devine leur belle bite.Laeti, toujours allongée torse nu sur le canapé, les seins brillants d’huile et bandés comme jamais, tourna la tête vers nous deux, posant ses yeux sur nos pantalons déformés par une érection de fou.— Montre-nous à l’écran comme on voit mieux, chéri.Serge appuya sur un bouton de la télécommande et apparut en gros plan la bosse de mon pantalon de toile déformé par la barre verticale de ma queue dure et dressée. On voyait les contours de mon gland et la tache qui perlait à son bout. L’excitation était telle que ma bite coulait d’envie presque comme une chatte, mouillant mon slip et mon pantalon.— Hum ! Eh bien, elle a l’air à l’étroit, cette belle queue, et elle bave d’envie de toi, dit Véro.Vint le gros plan de la queue de Serge moulée par son pantalon blanc en lin, sa bite décollée de son bassin, son gland appuyant sur son pantalon.— Serge a une très belle queue, tu vas voir, on la devine, comme elle est grande. Regarde, j’aime quand il est nu sous son pantalon, ça met encore plus en valeur sa grosse bite.C’est vrai que Serge devait avoir une grande queue, plus grande et plus grosse que la mienne (18 cm), de taille moyenne.Laeti fixait l’écran, ne pouvant détacher son regard de cette bosse.— Va vers elle, ma puce, rapproche-toi ; Serge meurt d’envie de sentir ta langue sur son sexe, n’est-ce pas, chéri ?— Oui, viens, je suis sûr que tu es douée ma belle. Viens goûter ma queue dure pour toi.Véro poussa Laeti immobile sur le canapé et la guida comme un automate vers le fauteuil de Serge.Laeti avait les yeux rivés sur sa bite qu’elle trouvait de plus en plus grosse en se rapprochant. Elle qui aime tant me pomper la bite, sentir une belle queue vibrer sous sa langue… Inconsciemment, elle avait envie de la voir, de la toucher.Arrivées devant Serge, Véro la fit mettre à genoux, demandant à Serge de se lever. Elle invita Laeti à rapprocher son visage de la queue de son mari, à poser son nez sur sa tige, à sentir son odeur de mâle, son envie pour elle. Laeti en crevait d’envie et, fermant les yeux, huma cette queue. Il sentait fort le musc, augmentant encore un peu son excitation. Elle voulait poser sa main sur cette tige, mais Véro la stoppa, lui demandant de mettre ses mains derrière la tête. Elle lui fit bomber le torse et soulever sa poitrine sous le regard de Serge, qui voyait cette bombe à genoux devant lui, les mains derrière la tête, ses magnifiques seins huilés et bandés des caresses de Véro et de l’envie de sa teub. Il jouissait de cette vision, comme moi d’ailleurs, ayant en gros plan sa bite et le regard de braise de Laeti, sa poitrine gonflée de désir.— Laeti, tu vas baisser son pantalon avec ta bouche, tu garderas tes mains derrière la tête. OK, ma puce ?Laeti ne répondit pas, mais, se relevant, elle saisit la ceinture du pantalon avec ses dents, collant ses mamelles sur les burnes de Serge.Malheureusement, la queue de Serge était tellement bandée qu’elle n’arriva pas à lui descendre son pantalon. Elle dut s’y reprendre à six fois avant de comprendre et de se lever au maximum, tirer le plus possible sur le haut du pantalon de Serge pour faire jaillir le gland qui sortit sa grosse tête rouge et dure.— Attends, Laeti, recule-toi un peu, remets-toi à genoux, les mains sur la tête, et admire cette belle bite qui te présente son gland. N’est-elle pas belle, sa bite ? Ne veux-tu pas la goûter ? La sentir sur ta langue ? Alors, pose ta langue sur son bout. Oui, comme ça. Serge se régale ! Passe sur le trou, appuie dessus légèrement… Bien, ma chérie ! Allez, descends-lui son froc que tu voies sa belle queue ! Oui, doucement, regarde-le dans les yeux. Oui ! Frotte ton nez sur sa grosse veine !Elle était grande cette bite, en effet ! Serge avait une queue plus grande (21 cm) que la mienne, et plus grosse avec un gros gland foncé.Laeti arriva sur les burnes de Serge qu’elle découvrit gorgées de suc, très foncées comme le reste de sa queue presque noire ; sans poils, comme son pubis. Serge se rassit dans le fauteuil. Laeti put ainsi, la tête entre ses jambes, lui retirer son pantalon.Relevant les jambes, elle aperçut par la position et le rasage de Serge son anus sous ses grosses burnes.Serge reposa les jambes et, les écartant au maximum, lui dit :— Allez, viens me sucer. Oui, pose ta langue sur mon frein, appuie dessus ; oui, comme ça. Garde tes mains derrière la tête. Oui, bouge ton corps, je sens tes tétons qui caressent mes couilles… Hum… Oui, gobe ma queue, descends bien en bas, tu l’avales presque toute ! Oui, remonte lentement, enserre-moi bien, aspire. Oui, comme ça, lèche mes couilles… Oui, c’est bon.Véro filmait pendant ce temps et sur l’écran j’avais la bouche de Laeti déformée par la queue de Serge qu’elle pompait comme elle le faisait avec moi ; lentement, profondément. Son regard trahissait son plaisir à sucer, à sentir cette belle queue vibrer sous sa langue. Je me retenais du mieux possible de ne pas me masturber devant Laeti suçant Serge.— Elle se débrouille pas mal, cette petite, mais elle va avoir du mal à me faire juter. Véro, tu vas avoir des leçons de pipe à lui donner.— Prends-lui les seins, mon chéri, je vois que tu en meurs d’envie. Laeti, fourre sa queue entre tes nichons et appuie-les bien sur sa tige ; pompe-lui le bout, qu’il jute dans ta bouche.Laeti se releva et, saisissant ses mamelles entre ses mains, glissa la teub de Serge, ses couilles sous ses nibards, son gland dépassant, venant se présenter à sa langue. Laeti se mit à monter et descendre le long de sa queue, titillant son gland quand celui-ci se présentait devant sa bouche.Serge était aux anges, enfin il baisait cette poitrine qui l’excitait tant, lui qui adorait se faire sucer en baisant une belle grosse paire de seins… il était servi ! Et quelle paire !Il lui appuya sur la tête, enfonçant sa bite le plus loin possible dans sa bouche. La collant à lui, il souleva ses fesses et se mit à lui baiser la bouche et les seins à grands coups de pine, écrasant ses burnes sur ses mamelles. Il lui pilonnait la bouche, Laeti se contentant de coller ses seins sur sa tige.— Tiens, ça, tu aimes, hein, que je te baise la bouche ! Hein ? Oui, aspire-moi avec tes lèvres de pute. Tu sens comme je te pine tes nibards ? Putain ! Tu vas me faire jouir, salope, t’es trop bonne ! J’ai jamais baisé une cochonne comme toi ! Tiens, avale ! Boufffffffe !Serge jouit dans sa bouche sous les bruits de ses couilles frappant les seins de Laeti. Il lui lâcha la tête et, décollant sa queue encore dressée, se rassit dans son fauteuil. Laeti sentit sa queue sur le point d’éjaculer et fut envahie par son sperme chaud, inondant sa bouche. Elle n’eut d’autre choix que d’avaler son jus, elle qui n’aime pas le goût du sperme ne put se soustraire sous peine de s’étouffer. Un filet de sperme et de bave reliait la queue de Serge aux les lèvres de Laeti.— Nettoie-le bien, ma chérie. Oui, comme ça, lèche les dernières gouttes, tu es super.La langue pendante, elle remonta le long de sa bite, venant laper le reste de son sperme. Elle goba son gland, l’aspirant pour sortir les dernières gouttes de sa tige.— C’est bon, ma puce, tu m’as vidé comme il faut. Tu en veux encore, dis-moi… Alors, occupe-toi de ton homme, fais-lui comme à la maison, il en peut plus, le pauvre, de te voir. Va le pomper.Laeti se leva et se dirigea vers moi. Elle fit de même à genoux devant moi, ses mains derrière la tête. Elle attendit que je me lève pour me sentir la bite, collant son nez sur l’attache de mon pantalon, puis elle s’attaqua aux boutons de ma ceinture qui céda sans problème. Elle saisit la fermeture éclair et la descendit d’un coup sec. Contrairement à celui de Serge, mon pantalon étant un peu grand et léger, il descendit sans difficulté, me mettant en slip, la queue raide et trempée d’excitation. Laeti saisit le haut de mon slip et, se relevant, l’abaissa sur ma queue qui apparut à moitié sortie de mon slip. Laeti posa sa langue sur mon gland, appuyant sur mon trou. Je fermais les yeux et me concentrais afin de ne pas éjaculer sous cette divine caresse. Laeti me suçait bien, mais là, après les ordres de Serge et de par la situation, elle s’y prenait encore mieux et, baissant mon slip sur mes burnes, j’apparus sous ses yeux et à l’écran, la queue à l’air.— Elle est belle, sa bite, mon chéri, non ? Je vais prendre beaucoup de plaisir avec.Me rasseyant, Laeti se positionna entre mes cuisses et passa sa langue le long de ma tige, gobant alternativement mes burnes rasées, remontant le long de ma hampe, gobant mon gland vibrant sous sa fellation. À ce petit jeu, je ne tardai pas à éjaculer dans sa bouche, lui déversant une quantité astronomique de jute.Elle me but jusqu’à la dernière goutte, se délectant de sentir ma queue se ramollir sous sa langue.— Tiens, lui dit Véro, lui offrant un nouveau verre de Martini. Viens t’asseoir.Laeti, torse nu, revint à la droite de Véro, en face de Serge et moi la queue toujours à l’air.Serge avait fait un plan large et on apparaissait tous les quatre ; Véro, puis Laeti seins nus, et enfin Serge et moi, en chemise et la queue à l’air, pendante entre les jambes.— Eh bien ! Quel festival tu nous as fait ! Serge avait remarqué ton potentiel lors de la fête.— Ah bon ! Je ne vous ai pas vus, moi.— Tu es passée en coup de vent, mais tu as laissé une drôle d’impression, avec tes lèvres pulpeuses, tes seins étriqués dans ta petite robe à fleurs et ton cul de black. Tous les mecs ont dû se branler et baiser leur femme en pensant à ton corps.Disant ceci, Véro descendit ses yeux sur le corps de Laeti, sur son ventre et sur ses jambes.— Tu aimes sucer les bites, ma puce, et quand je t’aurai donné quelques leçons, tu seras la reine de la pipe. C’est vrai qu’elle est bonne, la queue de Serge. Moi aussi, je mouille comme une folle quand je le suce. Pour ton homme ça a l’air pas mal non plus, même s’il a du mal à se contrôler ; mais bon, avec le spectacle que tu nous offert depuis une demi-heure, je le comprends ! Toi aussi, ma puce, tu es tout excitée. Regarde ton pantalon, il est trempé, dit-elle montrant de son doigt l’entrejambe de Laeti où se dessinait une tache le long de son sexe. Retire-le, tu vas prendre froid.Laeti descendit comme nous son regard sur son ventre et s’aperçut que son pantalon était trempé de mouille. Elle se leva, défit sa braguette et descendit son pantalon sur ses chevilles, puis relevant une jambe après l’autre, retira son vêtement, apparaissant devant nous et à la télé en string blanc complètement trempé de mouille, lui collant au sexe comme une seconde peau. Ses grandes lèvres gorgées de sang dépassant des côtés, son clito, gros comme jamais, sorti de son capuchon, appuyait sur le string, disparaissant entre ses fesses et l’orée de sa chatte grande ouverte.Alors que Laeti posait ses mains pour baisser sa culotte Véro la retint :— Non, regarde comme tu es excitante, le string trempé. On voit toute ta chatte par transparence ! Assieds-toi à côté de moi, écarte tes jambes, appuie-toi au fond du canapé. Regarde l’écran, comme Serge zoome sur ta grotte brûlante ! Ta chatte est très belle, rasée comme ça. Tes lèvres sont douces et claires.Véro venait de poser un doigt sur l’élastique du string, appuyant sur les grosses lèvres de Laeti gorgées de sang.(À suivre… si vous le voulez !)