Nous profitons du calme du jardin de l’hôtel qui est pratiquement vide à cette saison et après avoir assouvi notre soif suite à la promenade, nous savourons à présent une coupe de champagne. Les jours sont de plus en plus longs en cette saison et nous apprécions pleinement les rayons du soleil qui donnent une couleur chaude aux fleurs et rendent chatoyant le jardin. Nous n’arrêtons pas de parler, de rire au gré des plaisanteries et des petites pointes taquines que nous nous lançons. Nous donnons déjà l’image d’un couple heureux et formé depuis longtemps.
Comme nous ne voulons pas rejoindre trop tard notre nid douillet, c’est assez rapidement que nous passons à table. Nous sommes montés à chacun notre tour nous changer pour être sûrs de ne pas nous laisser emporter dans une nouvelle séance de calinothérapie… J’en ai profité pour passer quelques coups de téléphone pour mon boulot. Le patron de l’auberge a eu la délicatesse de nous placer dans un endroit discret de la salle à manger, entre quelques plantes vertes et un petit guéridon où repose une lampe avec un abat-jour lilas qui apporte une ambiance feutrée et romantique. Deux couples sont installés à l’autre bout de la salle, à une table ronde.
Tu as choisi un carpaccio de Saint-Jacques et crudités en entrée et je me suis laissé tenter par une escalope de foie gras poêlée au vinaigre de framboise sur un lit de figues confites. Une demi bouteille de blanc suffira pour l’entrée, nous ne voulons pas être assommés par l’alcool et nous endormir tout de suite… Pour la suite nous nous sommes mis d’accord pour un magret de canard au miel et j’ai choisi un Gamaret pour l’accompagner.
Tu es magnifique dans ta robe noire avec ce large décolleté qui met en valeur ta superbe poitrine. Elle est fendue jusqu’à mi-cuisse sur le côté.
Je ne peux résister de temps à autre de glisser ma main sur ta cuisse et de venir taquiner l’objet de mes désirs en faufilant mon doigt sous ton string… Tu m’en fais le reproche en me disant qu’on pourrait nous voir mais ton sourire m’encourage à continuer. Dès que je retire mon doigt je le porte à mes lèvres pour déguster ton nectar, le trempe dans mon verre de blanc et viens en déposer une goutte glacée sur ton bouton d’amour. Nous ne résistons pas à nous embrasser entre les plats et nous n’allons pas nous attarder à table quand nous aurons terminé le repas…
Nos expressos n’ont pas le temps de refroidir et j’ai demandé à pouvoir emmener un cognac dans la chambre que nous rejoignons sans plus tarder. J’admire tes fesses moulées dans ta robe en montant l’escalier. Ne dit-on pas que le meilleur dans l’amour c’est quand on monte l’escalier ?!
Arrivé dans la chambre je mets de la musique et m’assieds dans le fauteuil près de la fenêtre pour boire mon cognac et je ne te quitte pas des yeux, un petit sourire coquin sur mes lèvres… Est-ce l’effet de l’alcool ? Tu ondules devant moi, une danse sensuelle et lente, sachant parfaitement ce dont j’ai envie… Tes mains passent derrière ta nuque et tu dégrafes ta robe qui glisse lentement à tes pieds pour te retrouver devant moi en sous-vêtements… tu te rapproches lentement de moi, me frôles le visage avec tes fesses, avec tes seins… tu t’éloignes et enlèves ce qu’il te reste d’habits à la façon d’une stripteaseuse, provocante, sensuelle… mais c’est surtout ton regard qui m’attire le plus. Tes yeux brillent d’envie et m’invitent au plaisir… à l’amour.
Tu viens tout près de moi et te mets à genoux. Tu me prends la main et la pose sur un de tes seins que je caresse aussitôt tandis que tu défais mon pantalon et déboutonne ma chemise. Mon sexe se dresse fièrement devant toi et tu le prends en bouche, le suces, le lèches.. Mais très vite tu m’abandonnes pour aller t’asseoir sur le bord du lit, les pieds sur le sol, les cuisses grandes ouvertes… face à moi. Très vite tes mains s’emparent de tes seins, tu les caresses et joues avec eux comme si tu voulais me montrer ce que tu voudrais que je te fasse… plus tard. Tu suces quelques doigts de ta main droite, y dépose de la salive et viens l’étendre sur les lèvres de ton puits d’amour qui s’ouvre peu à peu sous les assauts des tes doigts de velours… Tu taquines tes lèvres et ton bouton, te pénètres et te fouilles alors que de mon côté je me caresse très légèrement pour ne pas trop m’exciter et faire durer le plaisir.
C’est en écartant tes lèvres avec tes doigts que tu m’invites à venir te rejoindre, sans prononcer un mot, juste en offrant ton clito à ma vue… à ma langue. Je viens m’asseoir au pied du lit et enfouis immédiatement ma tête entre tes cuisses. Longtemps je vais te fouiller, te déguster et t’amener au plaisir… Quand enfin je me relève c’est pour te faire comprendre de m’offrir tes fesses et tu me mets à quatre pattes sur le lit. Délicatement mais fermement, j’écarte tes fesses pour admirer ta rosace et ne tarde pas à la lécher. Ma langue fait de lents va-et-vient entre ton puits d’amour et ta rosace que je pénètre maintenant en prenant soin de bien la mouiller de ma salive. Je l’étends sur elle avec mon doigt qui déjà s’enfonce entre tes fesses.
Je n’y tiens plus, je veux te prendre… te posséder… Ma main guide mon membre entre tes fesses, le fait descendre sur ton bouton… remonte vers ton anus. Mon gland se frotte à lui, j’appuie légèrement puis fais de même sur ta grotte à plaisir que je pénètre à peine de 1 ou 2 centimètres provoquant un flot d’amour avant de ressortir pour ramener mon gland luisant de ta mouille sur ton oeil de bronze… Tu ne sais pas dans lequel je vais m’enfoncer, bien que tu connaisses mes préférences pour ton puits d’amour.
Après avoir longtemps joué avec ton corps, avoir promené mon gland d’un orifice à l’autre, je m’enfonce lentement dans ton puits d’amour, restant un moment à son entrée, excitant ainsi ton point le plus sensible… tes soupirs deviennent gémissements, tu me supplies de m’enfoncer plus profondément en toi, me disant que tu veux me sentir tout en toi… tout au fond de toi. Alors très lentement, millimètre par millimètre, je glisse en toi, aidé par ton jus d’amour qui maintenant coule à flot. Quand enfin mon gland vient buter au plus profond de toi, je me fige, mes reins ne bougent plus et seules les palpitations de mon coeur font bouger mon membre en toi… Je caresse tes fesses avec légèreté, avec mes ongles, provoquant des frissons dans ton corps et la chair de poule sur ta peau… C’est toi qui commence à bouger, ta croupe remue en dessinant de larges cercles puis s’avance jusqu’à presque faire ressortir mon membre… alors tu recules pour le faire coulisser en toi… lentement.
Je te tiens par les hanches et bloque tes mouvements et en appuyant très fort au fond de ta grotte à plaisirs et te dis :
– aspire ma hampe en toi… Je veux sentir les muscles de ton vagin la serrer… l’aspirer.
J’ai prononcé ces mots tranquillement, ils sont sortis naturellement de ma bouche. Ce n’était pas un ordre ni même une demande, juste un désir d’être possédé par ton corps, que tu me prennes en toi plutôt que de venir en toi.
Le plaisir est extrême et je me retiens pour ne pas jouir tout de suite tellement la pression de ton vagin sur mon sexe m’excite au plus haut point. Je ressors de ta chatte, je veux te voir jouir, voir ton visage s’éclairer quand le plaisir t’emportera et me mets sur le dos. Tu me fais un grand sourire, tu me dis avec douceur :
– Je t’aime amour… Dis moi ce que tu veux pour ton plaisir…
Tes yeux brillent d’amour, ton sourire me charme et me provoque.
– Viens t’accroupir sur mon visage, recouvre-le de ton précieux miel, offre ton nectar à mon palais…
Face à moi tu plies tes jambes jusqu’à frôler ma bouche avec ton puits d’amour… j’étends ma langue le plus possible pour attraper quelques gouttes de ton jus. Excitée par ma langue tu descends un peu plus alors que mes mains soutiennent tes fesses pour soulager ton effort.
Très vite tu remues sur mon visage, tu t’enfonces sur mon nez, ma bouche te dévore. Maintenant tu te cambres pour présenter ta rosace à mes lèvres… à ma langue qui va de plus en plus vite en toi. Tu ne tiens plus, tu es sur le point de jouir et tu viens lentement t’empaler sur mon sexe tendu et raidi par l’envie. Tes reins remuent sur mon corps, mon sexe tourne en toi, mes mains caressent tes seins, titillent leur bout… Tes gémissements se transforment en cris, je te sens venir et soulève mes reins… « Je t’aime amour, viens, jouis….. »
L’orgasme s’empare de nous d’un coup. Une jouissance extrême, un moment d’amour intense…
Longtemps nous discutons côte à côte, nous rions de notre folie… nous n’avons jamais fait autant l’amour en un jour… nous sommes détendus, heureux mais épuisés… nous nous endormons bien vite, blottis l’un contre l’autre…
Le matin je me réveille en écoutant les oiseaux qui sifflotent gaiement aux premiers rayons du soleil. Leur piaillement est un hymne à l’amour… pour nous, pour notre amour. Aussitôt je te regarde….
Tu es couchée sur le dos, tu dors encore mais ton visage détendu semble me sourire. Un de tes seins sort de la couette et c’est une des rares fois que je peux voir ton mamelon autrement que durci. Je reste un long moment à te regarder puis, n’y tenant plus je souffle légèrement sur ton visage pour tenter de te réveiller en douceur, sans que tu te rendes comptes que c’est moi qui te réveille. Sans que tu n’ouvres les yeux tu te tournes sur le côté en me tournant le dos et je ne peux résister de soulever la couette pour admirer la vue splendide sur ta chute de reins et tes fesses aux courbes rondes et aux formes harmonieuses. Jamais je ne me lasserai de ton corps de femme pulpeuse à souhait et aux proportions parfaitement adaptées à mes goûts
Enfin j’ose me rapprocher de toi et je me colle contre ton corps, mon sexe contre tes fesses et une de mes mains venant se poser sur ta poitrine.
Aussitôt le rythme de ta respiration change et bien que ne voyant pas ton visage, je sais que tu es réveillée. Tu me le confirmes d’ailleurs en te lovant encore plus contre moi et en commençant à caresser légèrement mon mollet avec ton pieds.. Quand je passe un bras sous tes épaules, nos corps de détendent et tu te tournes lentement sur le dos. Quel enchantement de voir tes yeux et ton sourire. Et quel bonheur d’entendre tes premières paroles de ta voix la plus douce…
– Bonjour amour. Je t’aime– Bonjour tendresse, je t’aime moi aussi…
Et nos lèvres se frôlent, s’effleurent, pour finir à s’entrouvrir et laisser nos langues se retrouver après la douce nuit qui a suivie nos étreintes et nos plaisirs sans fin. Nos baisers se font plus fougueux, tes cuisses s’ouvrent, comme une invitation à l’amour… au plaisir… Mon sexe se dresse et durcit contre ta cuisse ce qui te fait sourire et tu ne peux t’empêcher de dire un « oh » de satisfaction. Sans que nos lèvres ne se séparent je me mets sur toi pour aussi tôt m’enfoncer en toi. Mon membre glisse sans effort. Tu es mouillée de la nuit et ton puits d’amour grand ouvert pour mieux m’accueillir en toi. L’amour le matin est différent. Nos corps se réveillent ensemble, l’un dans l’autre. Nous faisons l’amour avec une extrême douceur, sans même que j’aie pris le temps de te caresser avant, comme si l’important était d’être en toi, de te communiquer au plus vite par notre étreinte tout l’amour que j’ai pour toi… Après avoir laissé longtemps nos corps onduler lentement, je me redresse sur mes bras et les mouvement de mes reins deviennent plus rapides… plus amples… Tes jambes viennent se poser sur mes épaules, tu soulèves ta croupe pour mieux me sentir en toi et nous nous laissons envahir par une nouvelle vague de plaisir quand l’orgasme nous emporte.
Sous la douche nous n’arrêtons pas de nous embrasser, de nous taquiner en nous arrosant tour à tour avec le pommeau le visage et d’autres endroits plus sensuels. Enfin, tenaillés par la faim, nos estomacs nous font nous diriger au salon pour un copieux petit déjeuner.
à suivre…
Cette histoire érotique vous a été proposée par Achille. Impatient de découvrir la suite et fin de l’histoire ? Suivez le lien : Première rencontre 3/3.
Vous avez manqué la première partie de son récit Première rencontre 1/3 ? C’est içi que vous pourrez la retrouver.
Découvrez également une femme attachée à son lit, le récit très hard dont Achille nous a fait part il y a quelques semaines.