Je m’appelle Léa j’ai 24 ans, je suis étudiante en commerce, en couple depuis 4 ans avec mon copain. Avant lui j’avais eu peu d’expériences sexuelles. J’avais donc une vie sexuelle « normale » sans véritable rebondissement. J’en avais conscience mais je l’acceptais. Je suis brune aux cheveux longs, 1m65 pour 60 kg, assez sportive mais avec des formes. La nature m’a généreusement doté d’une très généreuse poitrine ( du 90 E), même si je m’en plains souvent je dois quand même avouer que c’est un atout de séduction majeur. Il y a six mois j’ai fais un stage de deux mois en entreprise dans un environnement presque exclusivement masculin. J’ai tout de suite été bien intégrée à l’équipe, mais rien n’est un hasard, pour une jeune femme J’ai reçu de nombreuses propositions, bien qu’implicites par certains de mes collègues, quarantenaires et mariés pour la plupart. Mais les plus soutenues venaient de mon responsable, Patrick, un commercial d’une quarantaine d’années, marié depuis 20 ans. Il me proposait régulièrement d’aller boire un verre en ville ou de sortir en boîte avec les autres collègues. J’ai résisté à toutes ces avances jusqu’au dernier jour où je n’ai pas pu échapper au pot de départ. Ce soir là nous étions dans un bar du centre ville tous ensembles, j’ai beaucoup bu, sans doute trop. Étant ivre, je n’ai pas pu résister aux propositions soutenues de Patrick, je me suis réveillée à côté de lui le matin. Je me suis levée en silence et je suis rentrée chez moi le plus vite possible, honteuse. Je ne me souvenais pas de tout, seuls quelques flashes me revenaient sur le trajet un plaisir intense, plusieurs orgasmes, des sensations inconnues, j’étais toute retournée, je n’avais jamais ressenti quelque chose comme ça. Vous aurez compris que je n’ai pas pu résister quand Patrick m’a recontacté une semaine après. Et voilà comment j’ai commencé ma relation « extra conjugale » avec Patrick. En 3 mois il a complètement modifié ma vision du sexe, je n’avais jamais ressenti autant de plaisir. J’ai découvert le désir, le vrai sexe J’ai fais des choses que je n’aurais jamais imaginé faire auparavant. En fréquentant Patrick j’ai donc découvert qu’il avait une double vie, celle avec sa femme et celle avec ses amantes car je n’étais pas la seule. Avec certaines de ses conquêtes, il avait l’habitude de fréquenter un club échangiste à une centaine de km de chez lui. Il m’a donc naturellement fais la proposition de l’accompagner un soir. Les premiers temps j’étais retissante, je ne me voyais pas avoir une relation en public, avec d’autres hommes Puis à chacune de nos rencontres il m’en reparlait, à chaque fois de façon un peu plus soutenue, il me disait que les gens m’attendaient, qu’ils étaient très cordiaux. Au bout de deux semaines j’ai donc accepté de l’accompagner mais simplement en tant que spectatrice. Je suis ressortie convaincue de cette soirée. Des gens respectueux, de toutes les pratiques, des salons privés, des pièces à partouzes, bref il y en avait pour tous les goûts J’ai donc accepté la proposition et je l’ai donc accompagné la semaine suivante. Je m’étais habillée pour l’occasion, une jupe noire courte, sans culotte, des talons et un bustier qui mettait en évidence ma volumineuse poitrine. Je m’étais attachée les cheveux en chignon et maquillée soigneusement pour l’occasion. En rentrant dans le club je sentais les regards se poser sur moi, j’étais la plus jeune Nous étions au bar avec Patrick, nous parlions avec des connaissances. Des hommes mûrs venaient se présenter à moi et félicitaient Patrick de sa charmante compagnie. Au bout d’une heure Patrick est parti s’asseoir sur une banquette avec une femme avec qui il parlait depuis une bonne demi heure. Son mari, la cinquantaine un peu bedonnant mais plutôt bel homme s’est donc rapproché de moi. Il m’a passé la main autour de la taille et m’a complimentée de façon très courtoise sur mon charme, il a passé la main sur mes lèvres rouges et a fini par caresser le début de mon généreux décolleté. J’étais gênée mais follement excitée. Puis il m’a prise par la main et m’a fais signe de le suivre dans un des renfoncements de la pièce principale. Avant de s’asseoir sur la banquette il m’a murmuré: j’ai envie que tu me suces. Il s’est donc assis et je me suis mise à genoux devant lui. J’étais toute excitée, je le regardais ouvrir sa braguette et ouvrir les derniers boutons de sa chemise. Je le voyais enfin, son sexe, de taille normal mais gonflé de plaisir. Là il m’a passé la main dans le cou et j’ai avalé son sexe. Je commençais par le sucer doucement en le masturbant lentement, il aimait ça Sa main se crispait sur ma nuque, il poussait des grands râles. J’avalais son sexe entièrement puis passait la langue sur son gland en le regardant. Il me susurrait de prendre mon temps, je le sentais prêt à exploser. Je laissais donc son sexe pour passer ma langue sur ses testicules, mes mains parcourant sa bedaine. Sa main se décrispait de ma nuque et plongeait dans ma guêpière, il malaxait généreusement mes seins et pinçait mes tétons L’excitation montant je reprenais donc son sexe à pleine bouche à un rythme soutenu. Sa verge gonflait de plaisir et je sentis les prémisses de son éjaculation. Quelques secondes plus tard il éjaculait au fond de ma gorge. Je gardais son sexe en bouche et avalait sa semence. Lui était épuisé, la tête posée contre le mur, haletant. En me relevant je me rendais compte que plusieurs hommes m’observaient. Patrick étaient parmi eux ainsi q’un de ses collègues que j’avais côtoyé pendant mon stage, un autre homme me regardait également.J’étais terriblement excitée, j’avais sucé cette homme pendant 10 minutes mais rien en échange, je mourrais d’envie de me faire prendre.. Patrick est venu près de moi, m’a prise par la taille et m’a présenté à ces deux hommes: « Je vous présente Julie, c’est sa première soirée échangiste, comme vous l’avez vu c’est une petite coquine qui n’a pas froid aux yeux. Puis en caressant mes seins à travers ma guêpière il leur dit: Julie est à vous. » Je répondis à ces deux hommes qui fixaient ma poitrine par un petit pincement de lèvres. Nous sommes donc montés dans une chambre à l’étage. Les deux homme se sont rapprochés et ont commencés à m’embrasser, me caresser L’un m’embrassait, l’autre me léchait le cou et me murmurait des choses cochonnes qui m’excitaient. Le collègue de Patrick que j’avais côtoyé pendant un mois avait glissé sa main sous ma robe et caressait ma chatte humide. Son ami derrière moi décrocha les bretelles de ma guêpière et d’un geste vif me la descendit autour de la taille, libérant ainsi mes gros seins. Il s’empressa de les malaxer à pleines mains. J’étais folle, deux hommes pour moi toute seule. Eric, l’homme que je connaissais déjà me fit comprendre d’un simple geste sur l’épaule de m’agenouiller. Je regardais les deux hommes sortirent leur sexe, soumise. Je mourrais d’envie de dévorer ces grandes queues qui se dressaient devant moi, je jetais mon dévolu sur celle d’Eric, bien plus grosse. Affamée, je me tortillais de plaisir à ses genoux, avalant son sexe en le regardant dans les yeux. Je masturbais son ami d’une main habile pendant ce temps là. Puis au bout de quelques secondes j’échangeais pour le sexe de François, plus petit, je pouvais l’avaler en entier sans aucun problème. Il était fou de plaisir, j’attrapais ses fesses à pleines mains et mettait son sexe au fond de ma gorge. Eric, jaloux, présentait son sexe au bord de mes lèvres. Sous le charme de ce bel homme mûr je ne pus résister à changer à nouveau de partenaire. Je m’appliquais à une fellation bien plus langoureuse pour mon petit chou Eric. Je les suçais comme ça pendant dix bonnes minutes Eric m’excitait tellement, je n’attendais qu’une chose c’est qu’il me prenne. A peine le temps de le penser que j’étais allonger sur le lit, les jambes écartées, Eric à genoux sur le lit me pénétrait. François était venu se mettre à côté de moi, je saisissais son sexe et tentait de l’avaler alors qu’Eric commençait les premiers va et vient Le plaisir était immédiat, il me baisait comme je l’attendais, avec énergie. Je ne savais plus où j’étais, je criais de plaisir, j’en oubliais de sucer François qui me tendait sa queueAu bout de quelques minutes les deux hommes échangèrent. Eric se reposait sur le lit et François s’allongea à côté de moi pour me prendre en cuillère. Le plaisir était intense mais l’excitation était telle que je ne pouvais m’empêcher de soupirer de plaisir et de lui murmurer de continuer à me prendre. Il était agrippé à ma généreuse poitrine, me pinçant fortement les tétons, durs comme de la pierre. Mais le plaisir ne fut que de courte durée, il sortit son sexe et éjacula sur le lit dans un cri de plaisir François se retira, m’embrassa l’épaule tendrement et sortit tranquillement de la pièce.Eric assis sur le bord du lit me regardait avec désir, je brûlais d’excitation. Ce bel homme d’une cinquantaine d’année encore très sportif et très bien conservé me rendait folle, je mourrais d’envie de lui, qu’il me soumette. Je me dirigeais vers lui en me déplaçant sur le lit à quatre pattes, laissant pendre mes seins qu’il regardait avec insistance. Une fois à sa hauteur il me murmura que je le rendais fou et d’une main ferme il me saisit la nuque et m’ordonna de le sucer.Rapidement il me remit à quatre pattes et me prit en levrette. Je me sentais soumise, il me baisait si fort. J’agrippais les draps aussi fort que je pouvais, il me donnait de grandes fessées sur le cul et je trouvais ça très excitant. Rapidement j’avais un premier orgasme, je n’en pouvais plus. Je me tournais vers lui et d’un regard coquin je lui disais de me baiser encore et encore. Au bout de quelques minutes il introduit un doigt dans mon anus puis rapidement son gland chaud écarta tout doucement mon anus brûlant. Je me cambrais complètement en lui offrant mes fesses, il détacha mon chignon puis posa la main gauche sur mon rein et saisit mes longs cheveux de la main droite. Il commença un lent va et vient, il me sodomisait de façon très douce et très excitante. Je sentais sa grande queue rentrer dans mon anus, je jouissais de plaisir, il me murmurait à l’oreille que j’étais une sacré cochonne. Je le suppliais de continuer à me prendre doucement comme ça, tellement le plaisir était immense. Il me respecta et continua ainsi. Au bout de quelques instants la porte s’entrouvrit et un homme rentra dans la pièce. Il était nu, il me fit un sourire interrogateur pour me demander l’autorisation de rester, je lui répondais par un sourire malicieux. Il referma la porte et se posa contre le mur. Il avait une trentaine d’année, plutôt à mon goût. Il se masturbait lentement en me regardant me faire prendre comme une petite cochonne. j’adorais le voir se masturber sur moi. Eric se retira, la jouissance était proche. Il m’installait sur le bord du lit entre ses jambes. Je voulais me servir de mes gros seins qu’il avait tant convoité depuis le début de la soirée. Je glissais sa queue entre eux et commençait à le branler. Le spectateur s’était décalé et se masturbait toujours en regardant la queue d’Eric disparaître entre mon 90 E. Eric respirait de plus en plus vite, je compris en un regard qu’il allait bientôt éjaculé, je plaquais mes deux seins encore plus fort contre sa queue et le branlait encore plus vite. Dans un long râle je senti le sperme chaud se déverser entre mes deux seins. On se regardait dans le yeux, encore brûlants de désir tous les deux. Sa queue était encore blottie entre mes deux seins couverts de sperme. Je jetais un regard à ma droite, notre spectateur était juste derrière mon épaule. Je levais le regard vers le sien, lui aussi était sur le point d’éjaculer. La tentation était trop grande, je n’eus qu’à tendre la tête pour avaler son sexe. Mais quelques instants après il sortit son sexe de ma bouche et éjacula. De grandes giclées de sperme chaud me couvraient le menton, les lèvres et le cou. Je me relevais toute bouleversée de désir, du sperme un peu partout Je suis sortie, changée de cette soirée, ayant compris beaucoup de chose. Depuis j’ai récupéré ma vie normale avec mon ami. Maintenant je fréquente Patrick et Eric ensemble. nous nous retrouvons tous les trois, je ne me lasse pas d’être leur jeune petite cochonne qui n’a pas froid aux yeux. Nous n’avons pas recommencé de soirées en clubs, ils me gardent juste pour eux