J’ai laissĂ© passer quelque temps avant d’essayer de mettre en application mes rĂ©centes connaissances en hypnose. Oh, je continuais Ă m’entrainer Ă vide, et Ă Ă©tudier les bouquins de cours, mais j’hĂ©sitais toujours au moment de mettre en application dans la vie rĂ©elle. Je me disais que j’avais peur d’être dĂ©rangĂ© en cours de route, mais en rĂ©alitĂ© ma principale crainte Ă©tait surtout d’échouer lamentablement. Je me contentais donc parfois de placer une ou deux intonations lors de conversations avec des filles que je trouvais Ă mon goĂ»t, mais jamais suffisamment pour espĂ©rer un effet visible. Finalement, ce furent mes collègues qui furent les sujets de mes premiers essais.Un matin au travail, Anna vint dans mon bureau pour rĂ©flechir sur un projet commun. Anna est une fort jolie fille, Ă peu près de mon âge, un peu ronde de formes, avec de jolis cheveux blonds bouclĂ©s qui contrastent avec sa peau bronzĂ©e (l’une des deux couleurs doit ĂŞtre fausse, si vous voulez mon avis), et surtout de superbes seins bien rebondis. On s’est installĂ©s devant mon ordinateur et on a commencĂ© Ă discuter de programmation et configuration de logiciels. On Ă©tait dessus depuis une dizaine de minutes quand mes voisins de bureau sont sortis, ce qui nous laissait seuls Ă l’étage. Une idĂ©e s’est mise Ă cheminer dans ma tĂŞte, tandis que je dĂ©battais avec Anna de la meilleure syntaxe possible pour le programme. Elle Ă©tait ce jour-lĂ en jean, avec un chemisier largement Ă©chancrĂ©, si bien qu’en louchant un peu, je pouvais distinguer sans problème le dĂ©but de ses seins, ce qui avait tendance Ă me dĂ©tourner un peu les idĂ©es de l’informatique. Allez! Il fallait bien que j’essaye cette fichue mĂ©thode d’hypnose en vrai, un jour.J’ai commencĂ© Ă insĂ©rer dans ma conversation les intonations hypnotiques, très prudemment au dĂ©but, puis en en rajoutant de plus en plus en voyant qu’Anna n’avait pas l’air de remarquer quoi que ce soit. Comme je ne voulais pas dĂ©marrer trop fort, j’essayais juste de concentrer l’hypnose sur ses seins, dans l’idĂ©e de l’exciter sur ce domaine particulier. On a discutĂ© comme ça une bonne demi-heure, sans que le comportement d’Anna soit tellement modifiĂ©. Oh, je la voyais faire de petits mouvements de temps en temps, mais je n’arrivais pas Ă me convaincre que c’était mon hypnose qui les provoquait. Jusqu’au moment oĂą j’ai tendu le bras pour attraper un document sur mon bureau, et qu’il est passĂ© tout contre l’un des seins d’Anna. En fait, je devrais plutĂ´t dire frottĂ© contre le sein… ce qui Ă©tait curieux car normalement j’avais calculĂ© mon mouvement pour ne pas passer si près. J’ai voulu en avoir le cĹ“ur net, et j’ai laissĂ© mon bras traĂ®ner entre nous deux, pour griffonner sur une feuille un peu Ă©loignĂ©e. Et Anna a indiscutablement appuyĂ© sa poitrine contre mon bras.J’ai eu un petit sursaut d’excitation Ă cette preuve de rĂ©ussite. C’en Ă©tait une, car Anna et moi avions souvent discutĂ© de cette façon et parfois sans personne autour non plus, et elle n’avait jamais rien fait de semblable. Je n’ai pas bougĂ© mon bras, et j’ai continuĂ© de discuter comme si de rien n’était. Maintenant, c’était clair, Anna Ă©tait en train de frotter son sein contre mon bras. Je commençais mĂŞme Ă sentir son tĂŞton pointer Ă travers le tissu. J’ai commencĂ© alors Ă accompagner le mouvement, en promenant mon coude le long de la douce rondeur, et j’ai entendu Anna pousser un petit soupir de plaisir. On a continuĂ© comme ça quelques instants, puis, Ă l’occasion d’une question, j’ai tournĂ© la tĂŞte franchement dans sa direction (jusque lĂ nous regardions tous deux l’écran de l’ordinateur). Bon sang, elle avait la main sur son autre sein et le caressait dĂ©libĂ©rĂ©ment Ă travers sa chemise. Le tout en affectant de ne regarder que l’ordinateur…Sans cesser un instant de mĂŞler mes intonations hypnotiques Ă la conversation, j’ai dĂ©placĂ© mon coude hors de portĂ©e de sa poitrine, faisant pousser Ă Anna un très lĂ©ger gĂ©missement de dĂ©pit… très vite suivi d’un petit grognement de plaisir lorsque j’ai cette fois-ci posĂ© carrĂ©ment ma main sur son sein. J’ai commencĂ© Ă le caresser doucement Ă travers son chemisier, le pressant doucement, passant ma main sur le tĂ©ton maintenant bien tendu. Maintenant, j’entendais nettement les petits soupirs de plaisir se glisser dans la conversation d’Anna. J’ai dĂ©calĂ© ma chaise de façon Ă me placer derrière elle, et j’ai posĂ© mon autre main sur son deuxième sein. Anna m’a aussitĂ´t laissĂ© le champ libre, et s’est positionnĂ©e de façon Ă ĂŞtre face Ă l’écran de l’ordinateur, avec les mains sur le clavier… me laissant libre de lui pĂ©trir sa belle poitrine. Je promenais dĂ©licatement mes mains le long de ses seins, puis les empoignais et les serrais doucement, et recommençais. J’écrasais les tĂ©tons Ă travers le vĂŞtement, provoquant des violents soupirs de la part d’Anna. Pendant tout ce temps, nous n’avions cessĂ© de parler de programmation…Anna a soudain posĂ© une main sur la mienne, et a commencĂ© Ă me guider dans son chemisier. J’ai aussitĂ´t plongĂ© les deux mains dans l’échancrure, et j’ai recommencĂ© mon massage, sentant cette fois-ci la douce chaleur des seins sans la barrière du tissu. Anna a dĂ©boutonnĂ© un peu son chemisier et l’a Ă©cartĂ©, rĂ©vĂ©lant ainsi son joli soutien-gorge blanc qui enserrait ses seins bronzĂ©s. J’ai continuĂ© Ă les pĂ©trir, les frottant l’un contre l’autre, les dĂ©plaçant en tout sens, arrachant Ă chaque fois un long ronronnement de plaisir Ă Anna qui maintenant ne participait plus guère Ă la conversation. Enfin, comme je la sentais vibrer sous mes doigts, j’ai dĂ©licatement Ă©cartĂ© le soutien-gorge et libĂ©rĂ© ses gros seins qui tressautèrent comme s’ils Ă©taient contents de s’échapper. Les tĂ©tons Ă©taient marron foncĂ©s, bien durs, avec une large aurĂ©ole Ă la base. Sans aucun tissu entre eux et moi, je pouvais maintenant les pincer, les caresser, les tortiller et les chatouiller Ă loisir. Anna s’est renversĂ©e sur sa chaise avec un vĂ©ritable gĂ©missement de plaisir, et je l’ai entendue murmurer :— Oh ouii, c’est bon, c’est trop bon, j’aime ça, mais comment tu fais pour que ce soit aussi bon…J’étais bien sĂ»r très excitĂ© par cette situation, sentant mon sexe se durcir dans mon slip, mais je n’osais pas pousser trop loin – quelqu’un pouvait revenir d’un moment Ă l’autre, et je n’avais pas envie d’être surpris. J’ai donc continuĂ© de caresser les seins d’Anna, me penchant maintenant pour sucer ses tĂ©tons, les lĂ©cher, et mĂŞme les mordiller dĂ©licatement. Anna Ă©tait affalĂ©e sur sa chaise, la tĂŞte renversĂ©e en arrière, les yeux fermĂ©s, laissant Ă©chapper des gĂ©missement continus de plaisir au grĂ© de mes caresses. J’étais en train de me demander si j’allais pouvoir lui faire atteindre l’orgasme juste comme ça, lorsque soudain du bruit retentit dans le couloir. J’ai aussitĂ´t interrompu mon massage cardiaque, mais Anna n’a pas rĂ©agi et a aussitĂ´t empoignĂ© un de ses seins pour compenser. Des pas s’approchaient, d’ici une dizaine de secondes tout au plus quelqu’un allait entrer et nous voir. J’ai attrapĂ© le chemiser d’Anna et l’ai refermĂ© comme j’ai pu. Anna a rouvert les yeux et m’a regardĂ© d’un air interrogateur, puis a pris conscience des bruits de pas, et s’est redressĂ©e, en reboutonnant rapidement son chemisier. Quelques instants après, un de nos collègues entrait, nous saluait Ă travers la vitre, et partait Ă son bureau. Mais il pouvait nous voir de lĂ , donc il n’était pas question de reprendre nos activitĂ©s. Au bout de quelques instants, Anna s’est levĂ©e pour aller aux toilettes, et ma foi je me prĂ©parais Ă la suivre, lorsque mon tĂ©lĂ©phone a sonnĂ© (argh!!). Le temps que je finisse de rĂ©pondre (un client idiot, incapable de faire fonctionner un ordinateur), et Anna Ă©tait revenue, rajustĂ©e, recoiffĂ©e… et avec dans les yeux un petit quelque chose de comblĂ© qui me disait qu’elle avait du donner une conclusion Ă l’excitation que j’avais fait naĂ®tre en elle. Elle se rassit Ă mes cĂ´tĂ©s, cette fois avec des distances respectables, en me faisant seulement un clin d’oeil complice. Malheureusement, nous avions presque fini, si bien qu’un quart d’heure plus tard elle repartait Ă son bureau, me laissant seul et presque aussi excitĂ© que j’avais du la rendre.Je ne cessai d’être dĂ©rangĂ© pendant la fin de cette matinĂ©e, me laissant avec cette excitation latente. Vers midi, les bureaux se vidèrent pour le repas, et comme j’avais du travail au moment oĂą les diffĂ©rents groupes partaient, je me retrouvai seul lorsqu’à mon tour je voulus partir manger. Je dĂ©cidai d’aller voir Ă l’autre Ă©tage s’il y avait du monde – peut-ĂŞtre mĂŞme Anna, qui sait. En fait, il y avait seulement Caro. Caro bĂ©nĂ©ficie d’une jolie chevelure rousse et de beaux yeux clairs, mais sinon le reste de son corps n’a rien de très extraordinaire – Ă part une silhouette assez harmonieuse ponctuĂ©e par un très joli cul (mis en valeur par le pantalon moulant qu’elle portait ce jour-lĂ ). Elle m’a appris que tout le monde Ă©tait descendu manger, et qu’elle restait pour finir un travail. Or le bureau de Caro est moins visible depuis la porte, et, excitĂ© comme j’étais, je dĂ©cidai que je pouvais très bien finir avec Caro ce que j’avais commencĂ© avec Anna.J’ai donc discutĂ© un peu de son travail et visiblement, elle s’ennuyait tellement d’avoir Ă travailler seule qu’elle accueillit cette distraction avec plaisir – moyennant quelques remarques de rigueur (« Mais j’aurai jamais fini si tu me distrais! »). Et bien sĂ»r, j’ai commencĂ© Ă placer mes intonations hypnotiques dans la conversation… sauf que cette fois-ci j’avais envie de l’emmener plus loin qu’Anna.On a donc causĂ© un moment, et bientĂ´t j’ai vu que Caro bougeait un peu sur sa chaise, puis que ses mains commençaient Ă bouger le long de son corps. Je me suis rapprochĂ© d’elle, m’asseyant sur son bureau, et augmentant l’intensitĂ© de mon hypnose. BientĂ´t, Caro me regardait fixement, et je voyais de lĂ©gers soubresauts secouer son corps. Ă€ un moment, je me suis placĂ© Ă cĂ´tĂ© d’elle pour regarder ce qu’il y avait sur son Ă©cran… et en me penchant je l’ai tout Ă coup entendue murmurer :— S’il te plait… encule moi…Zut alors!! Je m’étais trompĂ© dans mon hypnose! Je voulais lui donner envie de moi, mais je n’avais pas du tout l’intention de lui insuffler un fantasme comme ça. Ça m’a un peu vexĂ©, vu qu’en plus je risquais de ne pas avoir le temps d’essayer de l’hypnotiser correctement. J’ai quand mĂŞme continuĂ© de discuter un peu, mais Caro n’a pas tardĂ© Ă rĂ©pĂ©ter dans un soupir :— Mon cul… mon cul… s’il te plaĂ®t.Bon. Après tout, Caro avait un beau cul, c’est vrai, bien que ce ne soit pas ce que je prĂ©fère chez une femme, et puisque je l’avais amenĂ©e Ă me demander ça, autant assumer… ça pouvait ĂŞtre sympa après tout. J’ai donc hĂ©sitĂ© quelques instants, puis tout d’un coup j’ai dĂ©signĂ© quelque chose par terre devant son bureau et j’ai demandĂ©Â :— Tiens, c’est quoi, ça ?Caro m’a regardĂ©, s’est levĂ©e et penchĂ©e sur le bureau… et j’ai plaquĂ© une main sur son cul. Elle s’est aussitĂ´t immobilisĂ©e, et j’ai senti une onde de plaisir lui parcourir le corps. Ah bien au moins, je l’avais bien rĂ©ussie cette hypnose-là … Ă part le fait que je m’étais trompĂ© de cĂ´tĂ©. J’ai commencĂ© Ă lui pĂ©trir les fesses, puis j’ai rapidement glissĂ© un doigt dans son pantalon et commencĂ© Ă lui titiller la raie. Caro a dĂ©boutonnĂ© son pantalon, et je l’ai fait glisser, mettant Ă jour ses jolies fesses, enveloppĂ©es dans un joli string rose. Je continuais de causer un peu, histoire de terminer l’hypnose, mais ce n’était pas nĂ©cessaire. Dès qu’elle a senti mes mains sur ses fesses, Caro a murmurĂ©Â :— Ooooh oui, mets moi un doigt dans le cul, j’en ai envie, il y a si longtemps que j’ai envie qu’un garçon me fasse ça…Bon… apparemment, c’était en plus un de ses fantasmes. Pas surprenant que mon hypnose ait eu un tel effet, alors. Tout en Ă©cartant son string et en lui pĂ©trissant les fesses d’une main, j’ai prĂ©sentĂ© mon autre main devant ses lèvres, et lui ai enfoncĂ© un par un mes doigts dans la bouche. Elle me les lĂ©cha voluptueusement, tandis que je lui caressais dĂ©licatement la raie. J’ai commencĂ© Ă humidifier son anus en lĂ©chant mes doigts un par un et en les passant dessus, faisant tressauter Caro Ă chaque passage. J’ai ensuite ramenĂ© mon autre main, trempĂ©e de sa salive, et, Ă©cartant ses fesses, j’ai dĂ©licatement prĂ©sentĂ© mon majeur devant son anus. Il s’est dilatĂ© presque aussitĂ´t, et j’ai rĂ©ussi Ă enfoncer deux phalanges de mon doigt presque immĂ©diatement. Caro a poussĂ© un gĂ©missement de plaisir et s’est cambrĂ©e en avant. J’ai commencĂ© Ă faire aller et venir mon majeur dans son cul, sans rencontrer trop de rĂ©sistance, puis, comme la situation commençait Ă m’exciter, j’ai dĂ©cidĂ© d’aller plus fort et j’ai essayĂ© de faire rentrer mon index – qui est lui aussi passĂ© sans aucune difficultĂ©. Caro cette fois-ci a Ă©tĂ© secouĂ©e d’un spasme violent, et je l’ai entendue soupirer :— Ooooh ouiii… tes doigts, tous tes doigts, mets-les moi…. ohhh ouiiii….Je n’en revenais pas de la facilitĂ© avec laquelle je faisais aller et venir mes doigts dans son anus. Son sphincter Ă©tait incroyablement dĂ©tendu, et j’ai bientĂ´t rajoutĂ© mon pouce dans son orifice. Je me suis mis Ă faire des va-et-vients, ponctuĂ©s par les gĂ©missements de plaisir de Caro. La situation devenait vraiment excitante, avec cette jolie fille penchĂ©e sur son bureau, son joli cul rebondi tendu vers moi, qui lui enfonçais maintenant sans vergogne trois doigts entre les fesses. J’ai Ă nouveau senti mon sexe se raidir dans mon pantalon, mais cette fois-ci, j’étais bien dĂ©cidĂ© Ă en profiter. Caro continuait de gĂ©mir en rĂ©clamant des doigts, mais j’avais autre chose Ă lui offrir. Sans cesser mon va-et-vient, j’ai ouvert ma braguette et libĂ©rĂ© mon sexe qui a jailli de mon slip. L’érection que j’avais eu le matin avec Anna l’avait laissĂ© assez humide, et la nouvelle Ă©rection que je subissais l’avait complètement lubrifiĂ©.J’ai commencĂ© Ă augmenter l’amplitude de mes mouvements, ressortant bientĂ´t presque complètement mes doigts Ă chaque passage et les replongeant ensuite au plus profond que je pouvais dans l’anus de Caro, qui accompagnait chaque mouvement d’un vĂ©ritable cri de plaisir. Elle s’était affalĂ©e sur le bureau, Ă©crasant ses seins contre la surface, tandis qu’une de ses mains s’était glissĂ©e sous elle et Ă©tait visiblement en train de s’activer sur son sexe. Enfin, j’ai complètement retirĂ© mes doigts et ai empoignĂ© chacune de ses fesses, admirant son anus complètement dilatĂ©. Un violent spasme l’a secouĂ©e et elle a gĂ©mi :— Non, s’il te plait, reviens, je veux, remets tes doigts, j’ai envie je grrrmpf…Son cri s’est noyĂ© dans un long grognement de plaisir lorsque j’ai plongĂ© mon sexe entre ses fesses. Comme je suis de dimensions plutĂ´t modestes, j’ai pu faire rentrer mon gland en forçant juste un peu, et la suite est passĂ©e sans problème grace Ă la lubrification apportĂ©e par le gland [une digression au passage : puisque cette histoire est imaginaire, je ne m’encombre pas de prĂ©servatifs… Ok, excusez-moi, je continue]. J’ai commencĂ© Ă aller et venir dans son cul tout en lui caressant les fesses, chacun des spasmes de plaisir de Caro se rĂ©verbĂ©rant dans son anus et le long de mon membre surtendu. Histoire de renforcer un peu le plaisir, je lui ai demandĂ©, en ajoutant un maximum d’intonation hypnotiques dans ma phrase :— Alors comme ça, Caro, tu aimes la sodomie ? Tu aimes te faire enculer, comme ça ?— Oooh oui j’aime c’est bon mon premier copain me l’avait fait aaaahhh oui j’aime ça, depuis aucun ne voulait mmgrrrr ohhhh ouiii ouiii…Je n’avais plus besoin d’hypnose pour augmenter l’excitation de Caro. Maintenant, elle accompagnait elle-mĂŞme mes mouvement de bassins de coups de reins, si bien que ma queue Ă©tait sans cesse en mouvement en elle. Je me suis penchĂ© en avant pour ĂŞtre plus près d’elle, caressant son buste, son corps, finalement plongeant ma tĂŞte dans ses cheveux. Elle Ă©tait complètement couchĂ©e sur le bureau, poussant des gĂ©missements sans suite, et, sous l’effet de l’excitation, donnait des coups de langue n’importe oĂą, embrassant mĂŞme le bureau, suçant ses doigts, vibrant de tout son ĂŞtre au grĂ© des sensations que nous nous provoquions mutuellement. BientĂ´t, je me pris au jeu aussi, et me couchai entièrement sur elle, la recouvrant de mon corps, attrapant ses seins sous elle et les pĂ©trissant, collant mon bassin Ă ses fesses, mon sexe et son anus maintenant comme liĂ©s l’un Ă l’autre et vibrant d’un rythme propre qui nous inondait de longues dĂ©charges de plaisir et nous arrachait toutes sortes de grognements et gĂ©missements. Peu importait que le bureau de Caro ne soit pas visible tout de suite depuis la porte : toute personne entrant n’aurait pu s’empĂŞcher d’entendre nos cris de plaisir mĂŞlĂ©s. C’était d’ailleurs le moindre de nos soucis.Enfin, Caro a joui. Un cri très bref et perçant s’est Ă©chappĂ© de ses lèvres, et une sĂ©rie de spasmes ont secouĂ© son corps. Son bassin a aussi Ă©tĂ© pris de mouvements dĂ©sordonnĂ©s, et ce furent ces violentes torsions qui m’achevèrent. Avant d’avoir rĂ©alisĂ© ce qui m’arrivait, j’éjaculais de toute ma puissance dans Caro, mon corps vibrant Ă l’unisson du sien de la mĂŞme jouissance suprème. Nous sommes restĂ©s comme ça quelques instants encore, haletants, moi affalĂ© de tout mon poids sur Caro qui gĂ©missait encore de plaisir. Finalement, je me suis retirĂ©, et Caro s’est lentement redressĂ©e.— Oooh merci, m’a-t-elle dit. C’était dĂ©licieux, j’en rĂŞvais depuis longtemps. C’était trop bon…Je ne savais pas vraiment quoi dire. « En fait, je voulais t’hypnotiser pour que tu aies envie de moi, mais je me suis trompĂ© et je t’ai donnĂ© envie de faire ce dont tu fantasmais depuis longtemps » ne me semblait pas la meilleure rĂ©ponse. Finalement, je me suis contentĂ© de lui caresser doucement les cheveux en murmurant :— Content que tu aimes… ça a Ă©tĂ© très bon pour moi aussi, tu sais.LĂ dessus, nous nous sommes rajustĂ©s tant bien que mal, et avons fait un petit passage aux toilettes pour quelques petits nettoyages. Finalement, je suis redescendu manger un sandwich, pendant que Caro finissait son travail si urgent.J’aurais pu penser que la journĂ©e allait se terminer ainsi, et de fait l’après-midi se dĂ©roula sans que je pense plus Ă hypnotiser qui que ce soit. Cependant, au moment de partir, alors que les bureaux s’étaient vidĂ©s, je croisais Nina. Nina est une charmante fille, un peu menue, avec une poitrine respectable, blonde avec les cheveux courts, et un joli minois très fin qui me fait craquer. Comme je lui demandais comment ça allait, elle m’a rĂ©pondu d’un ton boudeur qu’elle avait encore plein de travail, elle. Je l’ai suivie dans son bureau, oĂą elle a pestĂ© contre ce travail qui allait l’obliger Ă rentrer tard chez elle. Et comme ça, je me suis retrouvĂ© Ă lui rĂ©pondre en employant mes intonations hypnotiques. C’est que Nina est vraiment très mignonne, et qu’après tout mes hypnoses de la journĂ©e n’avaient pas Ă©tĂ© des rĂ©ussites franches (au moins au point de vue purement hypnotique). Cette fois-ci, personne ne me dĂ©rangerait et on verrait bien si j’étais capable oui ou non d’insuffler les bons fantasmes. J’étais assez comblĂ© de mon exercice avec Caro, donc j’ai dĂ©cidĂ© de donner juste Ă Nina envie de recevoir du plaisir… sans se soucier du mien.LĂ -dessus, j’ai commencĂ© Ă discuter, sans trop de rĂ©ponse de la part de Nina, qui essayait de se concentrer sur son travail. Je voyais bien au passage qu’elle n’avançait guère, et sans doute plus Ă cause de la fatigue de la journĂ©e que de mon bavardage. Finalement, quand j’ai jugĂ© la dose d’hypnose suffisante, j’ai annoncĂ©Â :— Tu es trop tendue, Nina… il te faudrait un bon massage.Et j’ai posĂ© mes mains sur ses Ă©paules et ai commencĂ© Ă lui masser le cou. Rien d’érotique lĂ -dedans, juste un brave petit massage de relaxation. Nina a sursautĂ© et essayĂ© un peu de se dĂ©battre, mais s’est bientĂ´t calmĂ©e et m’a laissĂ© faire. J’ai continuĂ© de la masser en lui expliquant les bienfaits de la dĂ©contraction après une dure journĂ©e, puis j’ai descendu un peu mes mains et ai commencĂ© Ă masser ses omoplates avec mes pouces, ce qui faisait que mes doigts se posaient sous ses aisselles, près de la base de ses seins. J’ai senti que Nina se raidissait un peu, mais elle m’a laissĂ© continuer. J’ai poursuivi mon massage et ma conversation hypnotique, en remarquant que Nina tapait de moins en moins sur son clavier et que sa respiration s’accĂ©lerait. Mais elle tenait bon, et je n’osais pas pousser l’intimitĂ© plus loin sans qu’elle le demande. J’ai continuĂ© comme ça un moment, puis, comme je commençais Ă ĂŞtre Ă court d’arguments et me demander si j’avais rĂ©ussi quoi que ce soit, j’ai jetĂ© un coup d’oeil sur son Ă©cran histoire de pouvoir faire des commentaires sur ce qu’elle faisait. Et j’ai lu avec stupeur les dernières lignes qu’elle avait tapĂ©es : »Au vu du contexte actuel, il est donc Ă©vident que notre action doit se traduire par une analyse prĂ©liminaire de la situation, qui dĂ©bouchera sur une jouissance mĂ©thodique qui nous permettra de jouir car je veux jouir jouir jouir j’ai envie de jouir je veux jouir laissez moi jouir je veux jouir jouir jouir jouir jouiure jriurieoui jjjj »Je me suis penchĂ© sur elle et ai murmurĂ©, en indiquant les derniers mots :— Dis moi, tu ne crois pas qu’il y a une faute d’orthographe, lĂ Â ?Nina est devenue rouge et s’est raidie sur sa chaise. Elle est restĂ© immobile quelques secondes comme ça puis soudain elle s’est affalĂ©e en arrière et a gĂ©mi :— Oh fais moi jouir, s’il te plait, j’ai envie de jouir, j’ai très envie de jouir, je veux du plaisir, sois gentil…J’ai aussitĂ´t plaquĂ© mes mains sur ses seins bien rebondis. Nina a fermĂ© les yeux et a cessĂ© de bouger pendant que je lui pĂ©trissais les seins. Ses tĂ©tons Ă©taient dĂ©jĂ tout durs, et j’ai glissĂ© une main sous sa chemise et sous son soutien-gorge pour les lui caresser dĂ©licatement. Nina m’a laissĂ© jouer avec ses seins une bonne minute, puis elle a rouvert les yeux et m’a dit en levant la tĂŞte vers moi :— Caresse-moi… s’il te plait… j’ai envie… j’ai très envie de jouir…Je l’ai soulevĂ©e de sa chaise, et me suis assis Ă sa place, puis je l’ai attirĂ©e sur mes genoux. J’ai continuĂ© de lui caresser les seins d’une main, tandis que je plongeais mon autre main dans son pantalon. J’ai senti que sa petite culotte Ă©tait dĂ©jĂ toute humide, et j’ai enfilĂ© ma main dessous. Je l’ai descendue sur son petit clito, sur ses lèvres, me caressant sur sa fine toison. J’ai lachĂ© un instant ses seins pour ouvrir son pantalon afin d’avoir plus de place. Je pouvais maintenant voir ma main glissĂ©e dans sa culotte tout en l’embrassant dans le cou. J’avais libĂ©rĂ© ses seins de son soutien-gorge et je les caressais sous sa chemise, tortillant les tĂŞtons, pĂ©trissant les douces rondeurs et les serrant l’un contre l’autre. Ensuite, je me suis concentrĂ© sur sa chatte.J’ai commencĂ© par promener ma main le long de son sexe, en de lents aller-retours, puis je me suis arrĂŞtĂ© sur le clitoris que j’ai commencĂ© Ă caresser. J’en faisais doucement le tour, puis le pincais entre deux doigts et les agitais, le faisant vibrer lĂ©gèrement. Nina Ă©tait complètement inerte, respirant très lĂ©gèrement, avec une violente inspiration de temps en temps lors de certaines caresses. J’ai continuĂ© d’agacer son clito, puis j’ai descendu ma main et j’ai commencĂ© Ă caresser le bord de ses lèvres. J’ai alternĂ© les lèvres et le clitoris pendant un moment, puis, comme je sentais les lèvres s’écarter, j’ai plongĂ© ma main plus en avant dans son sexe, caressant lentement les bords humides, puis ressortant pour passer très dĂ©licatement les doigts sur les petites lèvres. Nina a commencĂ© Ă frĂ©mir, et s’est mise Ă bouger sur mes genoux. J’ai continuĂ©, puis enfin j’ai plongĂ© deux doigts en elle. Nina a sursautĂ©, puis s’est mise Ă tressauter au grĂ© des mouvements que je faisais dans son vagin, plongeant mes doigts le plus profondĂ©ment possible, puis les ramenant lentement en les agitant en tous sens et en titillant un maximum les parois de son sexe. Nina frĂ©tillait maintenant dans mes bras comme une petite anguille, et ceci Ă©tait en train de rĂ©veiller une formidable Ă©rection en moi. J’ai continuĂ© un peu, puis je lui ai murmurĂ© Ă l’oreille :— Tu aimes ce que je te fais ?— Oh oui, c’est bon, j’aime, je vais jouir, continue…— Est-ce que tu peux me dĂ©crire ce que tu ressens ?— Oooh oui, c’est merveilleux je sens tes doigts en moi, ils me pĂ©nètrent ils sont partout j’ai l’impression qu’il y en a plein je me sens toute mouillĂ©e, c’est bon, j’ai l’impression de me liquĂ©fier, j’aime ça oooh oui…Nina s’est arrĂŞtĂ© pour haleter de plaisir, tandis que je rĂ©alisais que je perdais tout contrĂ´le sur moi-mĂŞme. Nina Ă©tait en train de me bouger en tous sens dans les bras, ce qui faisait que ses petites fesses m’excitaient violemment la queue Ă travers mon pantalon. Des sensations dĂ©licieuses parcouraient mon gland comprimĂ© dans mon slip, et j’avais l’impression d’être en train de me masturber au travers de cet objet merveilleux qu’était le corps de Nina. Chacun de mes gestes dans sa chatte se rĂ©percutait Ă travers tout son ĂŞtre et revenait faire vibrer mon sexe. J’ai commencĂ© Ă accompagner ses mouvements pour intensifier mon plaisir, et bientĂ´t nous Ă©tions tous deux engagĂ©s dans une lente danse sur le siège. Sous l’effet des dĂ©licieuses stimulations qui me parcouraient, je me laissais aller, et je lĂ©chais dĂ©licatement le cou de Nina, son visage, jusqu’à ce que nos langues finissent par se rencontrer et que nous mettions Ă les emmĂŞler voluptueusement. J’avais l’impression de flotter, dĂ©tachĂ© de tout, ne vivant plus que pour les sublimes excitations que me causaient la douce danse de Nina contre mon sexe.Enfin, Nina a joui. Ses mouvements sont devenus frĂ©nĂ©tiques, puis elle s’est soudain immobilisĂ©e dans mes bras tandis que je sentais son sexe se contracter autour de mes doigts, et que des onomatopĂ©es sans suite s’échappaient de sa bouche. J’ai continuĂ© de la caresser très dĂ©licatement au cours de son orgasme et pendant quelques minutes encore, sentant son corps abandonnĂ© contre le mien parcouru encore de doux tressautements qui venaient toujours se rĂ©percuter sur mon sexe, et m’amenaient au bord de l’extase. Finalement, elle s’est dĂ©gagĂ©e et a murmurĂ©Â :— Merci, c’était dĂ©licieux… j’ai joui, c’était bon…Je n’ai pu m’empĂŞcher de gĂ©mir :— Dis voir Nina, tu pourrais… tu voudrais bien… je… me faire jouir, aussi ?— Ah, toi aussi, tu as envie ? C’est vrai, je t’ai senti bien dur contre moi… Allez, je te dois bien ça.Elle a ouvert ma braguette et en a dĂ©licatement sorti mon sexe rougi. Le seul contact de ses doigts dĂ©licats fut suffisant… elle n’eut qu’à l’empoigner pour que l’orgasme me saisisse et me plaque sur la chaise, Ă©jaculant Ă grands jets, ne sentant plus que la douce main qui guidait ma jouissance, tandis que j’entendais, comme un lointain Ă©cho, la voix de Nina qui me grondait en riant de salir son bureau. Le contrĂ´le de mes sens m’est revenu lentement, les yeux fixĂ©s sur la jolie fille Ă cĂ´tĂ© de moi qui n’avait pas lâchĂ© mon sexe pendant tout le temps de mon orgasme, et me regardait en souriant. Enfin, je me suis redressĂ© et l’ai remerciĂ©e. Nous avons remis de l’ordre dans nos vĂŞtements, j’ai aidĂ© Nina Ă nettoyer son bureau que j’avais effectivement inondĂ© de sperme, puis elle m’a annoncĂ© que maintenant, elle se sentait plus d’attaque pour finir son travail. J’ai quittĂ© le bureau, jetant un dernier regard sur sa jolie silhouette Ă nouveau penchĂ©e sur son ordinateur comme si rien n’était arrivĂ©.En rentrant chez moi, j’ai rĂ©alisĂ© que cette excellente journĂ©e avait fait disparaitre toutes mes craintes quant Ă l’utilisation de l’hypnose. Je me sentais fourmiller d’idĂ©es pour de nouvelles applications intĂ©ressantes et excitantes de cette mĂ©thode gĂ©niale…Cedrixx