Prise dans la cabine d’essayage

273 60Histoire de cul : Prise dans la cabine d’essayage Corrigé et résumé par Dialogue69 le 29/07/2012Publié le 29/07/2012Bonjour à tous.C’est moi, Martine. Comme vous avez pu le remarquer je viens ici une fois par semaine. Avec Danny nous avons convenu qu’il ne fallait pas nous voir tous les jours, tout d’abord parce que cela serait risqué et ensuite parce que ni lui ni moi ne voulons que des sentiments naissent dans notre histoire. Nous nous voyons donc une fois par semaine ce qui vous explique mon rapport hebdomadaire sur ma liaison secrète.
Comme vous le savez surement tous, c’est en ce moment les soldes. Pour moi cette période est habituellement synonyme de Marathon, où je suis mes enfants et où je me contente de faire des chèques. Mais voilà que mon amant a voulu que je l’accompagne dans son escapade commerciale. J’ai accepté en lui imposant tout de même une condition : que nous allions dans les magasins d’une autre ville. Mardi, dès que mes enfants et mon mari ont quitté la maison j’ai rejoint Danny chez lui puis nous sommes partis avec sa voiture. Nous avons roulé une heure pour rejoindre le département voisin et nous sommes enfin arrivés dans un grand centre commercial. Nous avons écumé les boutiques, je commençais à fatiguer mais mon amant m’a encore entrainé dans une autre enseigne. Je l’ai suivi dans la cabine d’essayage où épuisée je me suis assise sur la petite banquette. Il était debout dos à moi et il a baissé son pantalon. Lorsqu’il s’est retourné vers moi, il tenait son instrument de plaisir entre ses doigts. Avant que j’aie le temps de comprendre, il présentait son engin à ma bouche. Mon amant avait donc tout programmé, et c’est pourquoi il avait insisté pour que je l’accompagne faire les magasins.J’ai empoigné les jolies fesses de Danny et j’ai aspiré son membre tendu jusqu’à ce que son gland touche mes amygdales. J’ai resserré l’étreinte de mes lèvres et j’ai commencé à faire des vas et viens. Son sexe emplissait tellement ma bouche que ma langue pouvait toucher ses bourses bien remplies. Danny m’a fermement empoigné les cheveux et m’a imposé un rythme plus rapide. Je suffoquais, c’était à la fois douloureux et excitant. Mon amant se lâchait complètement, ne se souciant que de son plaisir. Des larmes coulaient le long de mes joues, mais je ne relâchais pas mon étreinte buccale. Danny a soudainement lâché ma tête et m’a demandé de m’agenouiller sur le banc face au mur. Je me suis exécutée et je l’ai senti s’installer dans mon dos. Il a glissé une main sous ma jupe et a baissé mon string. J’ai senti son engin gonflé de désir appuyé sur mes fesses puis se glisser le long de ma fente jusqu’à mon vagin. Deux mains ont empoigné mes hanches et dans un grand coup de rein mon amant m’a pénétré. J’ai senti son sexe s’insinuer brutalement dans mon intimité. Très vite je suis devenue humide. Ma cyprine a commencé à ruisseler le long des mes cuisses tandis que Danny s’enfonçait de plus en plus profond dans un rythme effréné. Je commençais à couiner, mais une main s’est posée sur ma bouche pour étouffer mes cries. Les coups de reins ont redoublé, mais mon amant veillait tout de même à amortir le choc entre mes fesses et son bas ventre, après tout nous étions dans une cabine essayage. Le faire dans ce lieu rendait la chose encore plus excitante. J’aurais voulu crier le plaisir qui se propageait dans tout mon corps, mais le silence m’était imposé. J’ai senti quelque chose appuyer sur mon anus, puis s’y enfoncer. Danny enfonçait son pouce dans mon anus et le faisait tournoyer. C’était bon de sentir ma grotte occupée et je me suis sentie dégouliner de plus belle. Lorsque mon petit trou a été assez ouvert au goût de Danny, il a retiré son membre de mon petit abricot pour s’enfoncer dans mon anus. Son sexe était tellement lubrifié par ma mouille que je n’ai ressenti aucune douleur. Mon amant a entamé une sodomie bestiale. Sa main obstruait toujours ma bouche. Mes doigts ont naturellement glissé sur mon ventre pour combler le vide de mon vagin et je me suis masturbée énergiquement tandis que Danny continuait à s’occuper de mon trou tout dilaté. C’était si bon d’avoir mes deux orifices occupés que j’ai eu un formidable orgasme qui a agité mon corps de sursaut et contracté les parois de mon petit trou. Cette étreinte a fait succomber mon amant qui a déversé sa semence au plus profond de ma grotte.Quelques secondes ont passé avant que je réalise que j’étais à genou sur le banc d’une cabine d’essayage.
Nous ne nous sommes pas attardés mon amant et moi et nous sommes dépêchés de rentrer.Je crois que mon mari commence à avoir des soupçons. Il a remarqué mes airs absents, mes petits sourires lorsque je pense aux moments passés avec mon amant. Mais qu’importe, cette relation me rend tellement heureuse….Je vous embrasse vous qui me lisez.
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