L’histoire qui va suivre n’est pas la description d’une réalité. Tout le monde sait que promotion rime avec mérite. En la matière, l’objectivité des chefs de service fait preuve d’une remarquable exemplarité. Seule compte pour eux l’efficacité professionnelle ; loin d’être dominés par leurs sens, ils consacrent tout leur intérêt au bon fonctionnement de la mission à eux confiée, celle-ci passant évidemment par la récompense des agents de valeur.Dans le bureau où je travaille, j’ai la chance d’avoir deux collègues féminines, toutes deux mères de famille, et toutes deux âgées d’environ quarante-cinq ans, dotées d’une sensualité que leurs tenues vestimentaires et leurs attitudes mettent agréablement en valeur. Bien qu’elles aient chacune une morphologie différente, elles possèdent également le don de séduire par leur perfection corporelle. Véra est grande, élancée ; ses jambes sveltes présentent une remarquable rotondité ; sa taille est fine, son ventre bien plat ; ses cheveux blonds mi-longs laissent apparaître son gracieux cou et ses sensuelles épaules. Elles adorent montrer ses cuisses, et se plait souvent à faire deviner la présence sur ses jolies fesses d’une petite culotte.Par quel moyen ?Se demande sans doute le lecteur. Par le moyen d’une jupette aussi courte que moulée ! Imaginez : le galbe parfait de ses fesses, la lisière de ses bas ou de ses collants, la sveltesse de ses jambes, obligent le regard à scruter avec attention son splendide cul ; et, ses jupettes étant moulées, la trace d’une culotte s’y dessine. On constate aisément que sa culotte s’insère dans sa raie du cul (notre oeil nous le dit ! ), et on devine qu’elle s’insère de la même façon entre les grandes lèvres de sa chatte, tout près de son clitoris, et comme en général ses jambes sont gainées de soyeux collants, on comprend qu’il en est de même de ses fesses, et l’on s’exalte à l’idée des langoureux parfums dont sa culotte et ses collants doivent chaque jour s’imbiber, à la réjouissance olfactive qu’ils doivent procurer, tout imprégnés de ses senteurs entrejambiales. Quand elle marche, la lisière des collants se dévoile souvent (elle fait tout pour ! ) ; quand elle est assise, la lisière des collants se dévoile toujours, en général jusqu’au début des fesses. Quand elle doit passer de la position assise à la position debout, elle tire sur sa jupette, et mon oeil exercé ne manque jamais d’admirer la lisière de ses collants, ineffable promesse de bonheur, et chaque fois mon sexe se dresse.Plus petite, mais idéalement proportionnée, Chantal aussi porte des jupes courtes, mais légèrement moins que celles de Véra. De ce fait, je n’ai jamais eu le plaisir de contempler la lisière de ses bas ou de ses collants, ni la joie de deviner si une petite culotte recueille ses fragrances entrejambiales ; il m’arrive par contre souvent d’imaginer l’odoriférant banquet dont une petite culotte pourrait être le réceptacle. Il convient toutefois de préciser que Chantal se met quelquefois en pantalon, ce qui me permet de ne point ignorer la beauté de ses fesses ; j’ajoute que quand elle se met en pantalon, elle a toujours une petite culotte. Donc, je suis sûr qu’il lui arrive d’en porter une, ce qui pour un fétichiste tel que moi est d’un intérêt considérable. Les cheveux noirs de jais de Chantal tombent sur ses épaules, et l’opulence de sa poitrine resplendit comme un défi. Et que dire de ses mignons petits pieds, que ses chaussures découvertes à talons aiguilles mettent si ingénieusement en valeur !Leurs visages sont parfaits, leurs regards étincellent de perversité ; leurs sourires, leurs moues, sont un appel à la luxure !Il me souvient qu’un matin, Véra et Chantal étaient toutes deux accoudées à un bac, discutant je ne sais de quoi. Elles étaient en jupe courte. Leur position légèrement penchée m’offrit une vue imprenable. Chantal étant plus petite que Véra, mais ses fesses étant plus bombues, la position les tendaient sous sa jupette, elles avaient l’air de m’inviter à un ragoûtant anulingus, de me dire: »Tu aimerais bien nous admirer ! Et sans doute nous embrasser ! Si Chantal se penchait un petit peu plus, quelle vue alléchante ! « Le cul de Véra, au contraire, s’exhibait sans aucune pudeur, et ce jour béni entre tous j’eus la confirmation de sa resplendissante beauté. Véra avait une délicieuse petite culotte blanche, sous des collants couleur chair. Sa culotte était transparente. Quelle paire de fesses ! Quelle raie du cul ! Sa culotte adhérait à la peau de ses fesses, en épousait les sensuels contours. De plus, Véra faisait de petits mouvements du bassin, suffisamment réguliers pour m’apparaître comme le ballet d’Aphrodite, comme un indiscutable appel aux sens, une danse oubliée depuis les temps antiques, revenu pour me hanter, pour me susurrer au creux de l’oreille : »Regarde ! Admire ! Bande ! Contemple nos attraits ! Essaie d’imaginer le bonheur qui t’envahirait si ta langue, si tes lèvres, étaient autorisées à nous combler de tout l’amour que tu nous voues ! A genoux, ta bouche à hauteur du trou du cul, le léchant avec ferveur ! A genoux, à la seule place qui te convient, à genoux devant des fesses, devant des fesses que tu vénères, les adorant de ta langue de salope, t’emplissant de leurs senteurs, les couvrant de liquoreux baisers, frottant ton visage contre elles, puis leur servant de fauteuil, simple objet anonyme, utilisé pour sa douceur et sa docilité, accepté pour leur détente, pour le confort qu’offre ton visage, fait pour être un repose-fesses ! « Le lecteur devine sans aucun doute que, cet inoubliable jour, je n’ai pu prévenir, face à un tel spectacle, une abondante éjaculation, sans même me masturber ! J’ai joui, et de quelle façon, en contemplant les fesses de Véra !Véra ! Que ne donnerai-je pour que ton cul donne à mon visage une part de sa divinité !Un midi, à l’heure du déjeuner, je décidai de suivre Véra, intrigué par le fait qu’elle délaissait la cantine (est-il besoin de préciser qu’à la cantine, je me débrouillais toujours pour être placé de façon à avoir la vue la plus nette sur son entrejambe ? Une ou deux fois, un rayon de soleil compréhensif m’a offert la vision de son entrecuisses, de face, c’est-à dire du côté de sa chatte. Véra ! Qu’il fait beau sous tes jupes, quand le miel du soleil évoque le miel de ta chatte ! ) Elle pénétra ( ! ) dans un restaurant, s’attabla toute seule. Je parvins, sans qu’elle me vît, à trouver une place avec vue sur ses cuisses. De l’endroit où j’étais installé, Véra ne pouvait pas me voir. Moi, par contre, je pouvais observer à l’envi les attributs charnels de ma Déesse, ce dont je ne me privais évidemment pas. Immédiatement, mon sexe se dressa. Je bande toujours quand mon oeil caresse les appas de Véra. Elle avait des collants marron foncé, une culotte blanche, des escarpins noirs. De temps en temps, elle croisait puis décroisait les jambes, m’en présentant différentes facettes, tout aussi désirables les unes que les autres. Ses mouvements gracieux me permettaient également de me réjouir de la vision de sa fesse gauche, et il était pour moi évident que ses fesses, que sa chatte, que ses cuisses, que ses collants, que sa petite culotte, formaient un tout, destiné à exalter mon désir, en provoquant mon érection.Quelle ne fut pas ma surprise quand je vis entrer et s’asseoir à côté de Véra notre bien-aimé directeur. Il était clair qu’ils avaient rendez-vous, leurs gestes et attitudes l’assuraient. Le directeur passa les trois-quarts du repas à peloter les cuisses, la chatte, les fesses de Véra, qui ne s’en offusquait guère, c’est le moins que l’on puisse dire. Ce ballet manuel eut pour moi trois effets positifs : celui de quasiment supprimer la jupe de Véra, tant les doigts du directeur virevoltant entre ses cuisses, avaient soulevé sa petite jupette, celui de m’affoler aux contractions de son bassin, celui de deviner la marque du plaisir sur les traits de son angélique visage. Au café, la main du directeur s’était installée à la fois sous les collants et sous la culotte de Véra ; elle caressait sa chatte, pénétrant son vagin, titillant son clitoris ; Véra se retenait tant bien que mal de laisser échapper des gémissements de plaisir ; la sueur perlait sur son visage, augmentant son érotique beauté. Le directeur prit la main de Véra et la posa sur sa braguette. Je m’aperçus que le pénis du directeur était tendu. La main de Véra se crispa sur la phalloïde intumescence qui déformait le pantalon de Monsieur le Directeur, tandis qu’elle fermait les yeux et passait la langue entre les lèvres, prise d’une envie plus que compréhensible. Le directeur lui susurra quelques mots à l’oreille, et Véra fit du visage un geste approbateur, passant une nouvelle fois la langue entre les lèvres. Ce qui suit me ravit : discrètement, Véra ôta ses escarpins, ce qui me permit de voir ses affriolants petits pieds, et d’admirer le mouvement de ses jambes ; elle défit l’unique bouton de sa jupe, la posa à côté d’elle, avant de ses dépouiller de ses collants et de sa culotte ; c’était un peu comme si la raison de mes orgasmes réalisait, pour mon plaisir, un éloquent strip-tease ! Puis elle se rechaussa, remit sa jupe, mit ses collants et sa petite culotte dans son sac à mains. Ils se levèrent. Je les suivis. Dés qu’ils furent à l’extérieur, la main du directeur retourna sous les jupes de Véra, libres maintenant de sous-vêtements sexy, et nul passant ne pouvait ignorer que la blonde déité acceptait sans protester qu’on caressât son céleste cul au vu et au su de chacun, qu’on exhibât sans retenue son impudicité ! Ils pénétrèrent dans une Mercédés, probablement celle du directeur. Immédiatement, Véra défit la braguette qui renfermait le mandrin du directeur. L’automobile était suffisamment spacieuse pour que Véra pût prendre dans la bouche le turgescent phallus, tout en se positionnant de manière à ce que son splendide cul fût bien en bombe ; côté chauffeur, on pouvait, à travers la vitre, constater le talent fellateur de la suceuse ; côté passager, les qualités érogènes de ses aguichantes fesses. La main gauche du directeur, posée sur la soyeuse toison du crâne de la suceuse, l’agrippant de ses doigts, suivait le rythme tumultueux de la voluptueuse fellation ; la main droite s’occupait quasi simultanément de masser les fesses et le rectum, de doigter l’anus, de masturber le vagin et le clitoris de la déesse qui se consacrait avec tant d’amour buccal à la satisfaction de son rigide braquemart ! Voir Véra tailler une pipe à un homme, c’est-à dire voir Véra une verge dans la bouche, la sucer avec une telle ferveur (et avec un tel savoir-faire ! ), tout en exhibant ses divines fesses, consciente que n’importe qui était susceptible de la voir, m’obligea à me masturber ! Mon sperme s’épandit au moment même où celui du directeur maculait de sa gluante blancheur le visage de la suceuse de mes rêves ; le sperme y dégoulinait, marquant ses joues, ses lèvres, son petit menton, de longues traces liquoreuses. Véra, la face ainsi maquillée, sourit au directeur, qui sortit un kleenex de la boîte à gants pour le tendre à l’habile fellatrice.Véra se redressa pour s’asseoir, essuya son visage (quelques promeneurs ont certainement compris que c’était du sperme qui le recouvrait, ce qui impliquait inévitablement qu’elle venait de sucer un homme, qui s’était débarrassé de son trop-plein de foutre sur son visage, et donc qu’elle appréciait particulièrement les éjaculations faciales, pour le faire savoir à des inconnus, afin que nul n’ignorât deux de ses plus grands plaisirs : être ennoyée sous un déluge de foutre, faire profiter de sa perversité le plus grand nombre d’individus.J’avais rengainé mon membre quand soudain, je vis Chantal arriver, s’approcher de la voiture, y pénétrer. Véra avait fait reculer le fauteuil passager, s’y était pratiquement allongée, cuisses bien écartées. Chantal ôta rapidement sa jupe, ses collants, sa petite culotte, avec laquelle elle se mit à caresser le séraphique visage de Véra, avec une nette insistance sur son nez et sur ses lèvres, tout en tapotant tendrement, de l’autre main, la chatte désormais complètement humide de goûteuse cyprine de Véra. Elle l’embrassa sur la bouche, et les deux langues se mêlèrent harmonieusement, lâchant des flots baveux ; les visages des deux émouvantes gouines se couvraient mutuellement d’affectueux mais virulents baisers, mélangeant sueur et salive ; comme leurs bouches étaient enduites de rouge à lèvres, celui-ci se joignit à la sueur et à la salive, dessinant d’inconnus maquillages, qui présentèrent pourtant des formes harmonieuses, sans doute en raison du réciproque amour qui unissait indiscutablement les deux lesbiennes, Déesses incarnées pour ressusciter le vieil Eros, antique divinité parodiée en nos tristes jours de marchandisation du plaisir sexuel, ravalé au rang de passe-temps pour riches ! Puis les lèvres de Chantal s’aventurèrent dans le cou de Véra. Tandis qu’elle le parsemait de suçons, elle défit le chemisier de Véra, laissant s’épanouir sa piriforme poitrine, aux tétons durcis par l’excitation dont elle était la proie depuis bientôt deux heures. Et Chantal se jeta sur les seins de Véra, les engloutissant dans son calice buccal, les mangeant comme s’il se fût agi des pommes d’or du Jardin des Hespérides. Elle passait d’un sein à l’autre, léchant, embrassant ce don du ciel. Que c’était beau, cet embrasement, sous les râles de plaisir de Véra, qui visiblement n’en pouvait mais ! Chantal, se serrant contre le ventre bien plat de sa lubrique partenaire, dirigeait maintenant son visage vers le divin entrecuisses. Quand elle entreprit enfin de le gratifier d’un savoureux cunnilingus, les râles de Véra se transformèrent en hurlements. Plus Véra hurlait, plus Chantal augmentait l’intensité de l’introspection du volcan bouillonnant, utilisant bien sûr ses lèvres et sa langue, mais son visage tout entier, dans le but de procurer le maximum de plaisir à la Déesse qu’elle chérissait tant. La verge du directeur apparut tout à coup au-dessus du visage lécheur de Chantal, qui changea légèrement de position, afin de la branler, d’en extraire le suc, qu’elle dirigea vers l’entrecuisses auquel elle venait d’apporter tant de satisfaction, dans lequel elle avait si longuement plongé son visage. Chantal regarda le sperme jaillir, s’étaler sur la chatte, sur les cuisses, de Véra. Un filet alla se perdre ( ?) à l’orée de l’anus de Véra, et Chantal se replongea entre les cuisses de la Déesse, heureuse de goûter ce subtil mélange de sperme et de cyprine, passant sa langue sur l’anus de Véra avec une incontestable insistance (au moment de cet ersatz d’anulingus, le nez de Chantal, charnel godemiché improvisé, pénétrait le vagin de Véra, aspirant tous les subtils parfums livrés par ce singulier cratère en fusion. Elle retourna sur la chatte, y frottant son visage comme une folle, ivre de sperme et de cyprine. Véra jouissait à n’en plus pouvoir, Chantal léchait à n’en plus pouvoir. Enfin, la face couverte de rouge à lèvres, de salive, de sperme, de cyprine et de longues traînées de suée, Chantal releva son visage. Le visage de Véra montrait encore quelques traces de sperme dues à l’éjaculation faciale, de la sueur, du rouge à lèvres. Chantal l’embrassa tendrement, et sperme, sueur, salive, cyprine, rouge à lèvres se mêlèrent une nouvelle fois. Chantal lova son visage sous celui de Véra, entre les seins et le menton d’où dégoulinait un mince ru de foutre. Elles fermèrent les yeux, l’innocence sur le visage. Moi, évidemment, je m’étais masturbé trois fois depuis le début, et je remercie mes Déesses du bonheur qu’elles m’ont offert.Ont-elles obtenu quelque promotion ?Dans le boulot, c’est moins que probable. Dans mon chœur, c’est plus que sûr !