20 juillet – 17 heures – Gare d’Aix en ProvenceDès la descente du train, je suis assommĂ©e par la chaleur, mais tellement heureuse d’être en vacances. Violaine m’accueille sur le quai. Elle est radieuse et me gratifie d’un sourire adorable. Quinze jours de bronzage intensif ont dorĂ© sa peau, qui a prit une dĂ©licate couleur de miel. Elle porte une robe lĂ©gère, bleue marine Ă poix blancs. Une bretelle a glissĂ© sur son bras, dĂ©voile une Ă©paule dont le hale n’a Ă©tĂ© altĂ©rĂ© par aucun soutient gorge. Je me sens gourde, habillĂ©e comme je le suis par cette chaleur. En jean, dĂ©bardeur et mon Ă©ternel perfecto, je suis dĂ©jĂ moite de sueur. Nous nous embrassons chastement, mais Violaine ne peut s’empĂŞcher le lĂ©cher, de sa langue chaude, une goutte qui coule sur ma joue.Elle prend un de mes sacs et me guide vers la voiture en me racontant ses premières semaines de vacances. Elle n’a rien fait si ce n’est lire au bord de la piscine. Cool, une piscine.On fait une dizaine de kilomètres dans la campagne provençale, traversant un ou deux villages typiques, pour arriver devant un grand portail qu’ouvre Violaine Ă l’aide d’une commande automatique. Je savais que la famille de Violaine Ă©tait «à l’aise » mais le domaine dans lequel nous rentrons est stupĂ©fiant. Une allĂ©e de platanes nous conduit vers une bastide du 18Ă©me, 3 Ă©tages, au moins 20 pièces. C’est la maison de famille me dit-elle, moi j’ai squattĂ© la pool-house.Rien que ce petit bâtiment ferait le bonheur d’une famille, deux Ă©tages, un grand salon cuisine en bas et une grande chambre avec salle de bain en haut. Une fois garĂ©e, elle me prend par la main et m’emmène vers la pool-house. «Tu dois te changer, allons dans ma chambre». Comme je l’imaginais sa chambre est dans un dĂ©sordre total, deux valises ouvertes, des culottes par terre ; mais dĂ©corĂ©e avec goĂ»t.Sur la table de nuit, une photo de moi, prise lors du concert jour de notre rencontre. Elle croise mon regard, un peu gĂŞnĂ©e, «ben quoi, tu m’as manquĂ©e … ». Je la prends dans mes bras et lui offre un vrai baiser de cinĂ©ma. Souriante, elle s Ă©loigne de moi, «bon, passe un maillot et allons Ă l’eau ». Elle retire sa robe sous laquelle elle ne portait qu’un mini-string. Un triangle en haut de ses fesses, un triangle sur son minou, et quelques ficelles entre les deux. Celui de devant est tellement petit qu’elle a dĂ» sacrifier son Ă©ternel «ticket de mĂ©tro». J’ouvre un sac et sors mon maillot une pièce. «Tu ne vas pas mettre ça tout de mĂŞme» elle farfouille dans son sac et me tend un string identique au sien. Je me dĂ©shabille Ă mon tour et le passe, Je n’ai pas trop l’habitude de cette ficelle dans les fesses, mais la vision que me renvoi un grand miroir me plaĂ®t.Nous descendons au bord de la fameuse piscine en forme de haricot, on se croirait Ă Hollywood. Nos serviettes posĂ©es, Violaine me pousse Ă l’eau et me rejoint d’un plongeon gracieux. Nous nageons un peu, l’eau fraĂ®che me fait un bien fou et a pour effet de dresser mes tĂ©tons. Nous nous embrassons Ă nouveau. Nos mains sous l’eau se livrent Ă des caresses plus intimes. Je glisse une cuisse entre celles de Violaine et frotte son sexe tandis qu’elle commence Ă aspirer mes seins l’un après l’autre. Un petit vent frais nous fait sortir de l’eau. Nous rejoignons nos serviettes au soleil, pour un sĂ©chage des plus agrĂ©able. «Tu as la peau très claire, je vais te passer de la crème dans le dos, je ne voudrais pas que tu attrapes un coup de soleil» dit Violaine et caressant mon dos. Elle s’assied sur mes cuisses, je sens l’humiditĂ© de son maillot sur mes fesses, c’est frais mais très agrĂ©able. La crème coule sur mes Ă©paules et le long de ma colonne vertĂ©brale. Elle commence le massage. Ses doigts sont divins, elle fait des cercles et descend lentement le long de mes vertèbres jusqu’à mes reins. Je commence Ă m’enfoncer dans une douce torpeur, provoquĂ©e par le soleil et ses mains de fĂ©e. Elle s’attaque ensuite Ă mes fesses et, dans un demi-sommeil un doigt curieux et onctueux de crème solaire se faufile sous la ficelle du string pour suivre ma raie sombre. Cette caresse me procure un petit frisson lorsqu’elle frĂ´le mon petit trou et s’immisce jusqu’à mes lèvres. Lentement elle s’active pour que ce doigt indiscret pĂ©nètre doucement dans mes chairs poisseuses.« Ne vous dĂ©rangez pas pour moi, je ne fais que me baigner » cette voix masculine me sort de ma assoupissement et provoque le retrait de cette main qui me faisait tant de bien.— Suzy, je te prĂ©sente mon cousin MikaĂ«l, me dit Violaine en soufflant de mĂ©contentement.— Salut, rĂ©pond le jeune homme que je distingue Ă contre-jour.J’observe un instant Violaine qui suce candidement le doigt qui vient de m’honorer, avant de tourner les yeux vers MikaĂ«l. Il est grand, au moins un mètre quatre-vingt-dix, très fin et tout en muscles. Ses cheveux mi-longs, blonds et frisĂ©s, lui donnent un air d’Apollon. Il est aussi bronzĂ© que sa cousine. Il plonge dans l’eau, profitant de l’instant, je lui demande— Il est plutĂ´t mignon cousin— C’est clair. Il a 18 ans et est champion de saut en hauteur. Mais te fais pas d’illusion, tout le monde pense qu’il est gay, toutes les filles lui courent après, mais il n’en ramène jamais une chez lui.Je pose ma main sur sa cuisse, la caressant doucement— Tu sais, je suis pas venue chercher de mec ici …MikaĂ«l sort de l’eau et Ă©tend sa serviette un peu plus loin. GĂŞnĂ©es par cette prĂ©sence, nous n’osons pas reprendre nos caresses, Violaine me questionne alors, en chuchotant, sur mon aventure avec Alex. Elle est Ă la fois jalouse et Ă©moustillĂ©e par ce que je lui raconte, et les souvenirs Ă©voquĂ©s provoquent une humidification importante de mon entrejambe. Je suis obligĂ©e de lui promettre de montrer les photos et, si elle lui plaĂ®t, de lui prĂ©senter. Cette perspective risque d’avoir des suites assez intĂ©ressantes.Nous commençons Ă parler de MikaĂ«l qui, sentant qu’on parle de lui, s’approche et nous propose d’organiser un barbecue pour ce soir et nous apprend, par la mĂŞme occasion, que ses parents sont partis pour 3 jours et que le domaine nous appartient.Il est dĂ©jĂ 19 heures quand nous rĂ©intĂ©grons le nid de Violaine.En remontant l’escalier, Violaine dĂ©noue son string. J’adore voir son joli cul. Je remarque Ă regrets la marque du maillot. Zut ! Me dis-je, on ne pourra pas bronzer Ă poil, moi qui rĂŞvais d’une foufoune bronzĂ©e. Mais la contemplation de ce postĂ©rieur me remet dans de meilleures dispositions. Je me colle Ă elle pour qu’elle sente mes seins durs contre son dos.Elle se jette sur le lit cuisses ouvertes m’invitant Ă la rejoindre les bras tendus. Je sourie en constatant qu’elle n’a pas entièrement sacrifiĂ© sa pilositĂ©, puisque qu’un petit cercle de poils, bien taillĂ©, est restĂ© au-dessus de sa fente. On dirait un i majuscule.— C’est super mignon ton petit buisson, on dirait le point d’un i dessinĂ© par ta vulve.— Tu peux pas imaginer ce que j’ai peinĂ© pour le tailler comme ça, mais j’aime bien. Je n’ose pas ĂŞtre toute nue comme toi— Comme ça ? Dis-je en Ă©cartant mon string offrant Ă son regard avide mes lèvres et mon ventre lisses.— DĂ©pĂŞche-toi de venir me le donner, je veux ton goĂ»t dans ma bouche, j’en ai mare de lĂ©cher ma mouille sur mes doigts.Sans mĂŞme nous embrasser, nous nous ruons l’une sur l’autre, tĂŞte-bĂŞche, nous offrant mutuellement nos sexes humides. Il s’ensuit un ballet de langues et de lèvres, aspirant un clitoris, mordillant des chairs parfumĂ©es. J’adore toujours autant son goĂ»t lĂ©ger de vraie blonde et enfonce goulĂ»ment ma langue Ă la recherche de sa rosĂ©e. Elle coule dans ma bouche et je lui rends la pareil. Je ne suis pas une «femme fontaine» mais je reconnais que je ne suis pas avare en cyprine … Une fois nos bouches rassasiĂ©es, je sens deux de ses doigts s’enfoncer dans mon con, caresse qu’elle sait que j’affectionne particulièrement. Profitant de sa concentration pour me donner du plaisir, ma langue s’insinue dans sa vallĂ©e sombre et commence Ă titiller son anus. Il est ferme et serrĂ© et, Ă grand renfort de salive et de rigiditĂ© linguale, j’arrive Ă forcer sa dernière intimitĂ©. Le petit cri de surprise qu’elle pousse me laisse penser qu’elle n’est pas habituĂ©e Ă cette caresse, que j’aime autant donner que recevoir. Une fois bien lubrifiĂ©, je risque un doigt dans son conduit anal.«Doucement Suzy, je suis vierge par-là ». Un peu surprise par cet aveu, mais heureuse de faire dĂ©couvrir ce nouveau plaisir Ă mon amante, ma bouche rejoint ce doigt inquisiteur pour bien le mouiller. Lentement, elle s’ouvre et ma langue alterne avec mon doigt pour que son muscle se dĂ©tende lentement. Elle commence Ă pousser des petites plaintes de plaisir, que je prends pour autant d’encouragements. Mon index rejoint mon majeur et ils disparaissent lentement entre les fesses de Violaine.— Ho ma chĂ©rie, je sens tes doigts en moi— Tu le sens où ? Je lui demande en souriant— Comment as-tu fait ? Je ne pensais pas avoir autant de plaisir par-là — Par où ? Je joue avec sa pudeur, elle n’ose pas dire de gros vilain mot— DerrièreJe retire mes doigts.— Ho non, s’il te plaĂ®t, remets-les-moi, j’aime ça !— Remets-les-moi où ?— Dans mon cul ! Chuchote-elle vaincue.Ne rĂ©sistant pas Ă cet appel au secours, me doigts retrouvent sa rondelle et la forcent lentement. Mes mouvements sont troublĂ©s par un cri venu de l’extĂ©rieur.« A table »DĂ©cidĂ©ment, ce MikaĂ«l a le don pour se manifester au mauvais moment.Violaine attrape sa robe, je passe un short boxer et un marcel et nous descendons rejoindre le cousin. Nous ne nous sommes pas douchĂ©es et je ne peux rĂ©sister au plaisir de lĂ©cher mes doigts, ce qui la fait sourire. MikaĂ«l est de dos et finit de dresser la table. Il a bien fait les choses, belle vaisselle, jolie nappe, une bouteille de champagne trĂ´ne dans son seau, au milieu de la table. J’en profite pour l’étudier. Il porte un short et est torse nu. Ses muscles fins le rendent presque effĂ©minĂ©, j’observe qu’il est imberbe du torse et des jambes.Il se retourne, ouvre le champagne, remplit trois coupes, et nous les tend. «Bienvenue en Provence Suzy ». Ă€ cet instant, il dĂ©couvre pour la première fois le tatouage qui orne ma poitrine. J’étais de dos et il n’avait rien vu plus tĂ´t. « C’est très beau ce dessin, dit-il, je n’avais jamais vu un aussi gros tatouage sur une fille, mais ça te va très bien ». Il a l’air sincèrement Ă©mu et ce compliment me donne envie de lui faire un petit cadeau. Pour qu’il le voie bien je baisse une bretelle de mon marcel, rĂ©vĂ©lant l’intĂ©gralitĂ© de la jolie frise fleurie qui dĂ©core ma poitrine, entre mes seins et mes clavicules, et lui offre la contemplation d’un de mes seins. Nous trinquons et je le remercie pour son compliment.Nous passons Ă table, MikaĂ«l Ă ma gauche et Violaine face Ă moi. Une belle salade et des grillades nous attendaient. La bouteille de champagne se vide vite et une seconde la rejoint. Je parle de mon groupe de rock, de notre rencontre avec Violaine (version soft). Le vin aidant, MikaĂ«l se fait de plus en plus intĂ©ressĂ©.— Vous couchez ensemble ?— Tu es bien curieux, lui rĂ©pond Violaine d’un sourire. Un ange passe. Oui, nous couchons ensemble !— C’est cool. C’est beau Ă voir deux filles ensemble, deux mecs aussi d’ailleurs … Faut ĂŞtre tolĂ©rant …Cette remarque m’interpelle et je repense Ă ce que m’avait dit Violaine au bord de la piscine. J’interroge Ă mon tour notre bel Ă©phèbe— Et toi, MikaĂ«l, tu as des prĂ©fĂ©rences ?Il me regarde et me rĂ©pond avec un sourire dĂ©sarmant— Tu sais, je suis dans un lycĂ©e sport-Ă©tudes mixte, le sport ça crĂ©e des rapprochements …— Par exemple ?— On prend souvent nos douches ensemble, garçons entre garçons ou garçons et filles mĂ©langĂ©s. Je ne dis pas que quelques caresses ne sont pas Ă©changĂ©es …Violaine, se joint Ă notre dialogue, je sens en mĂŞme temps son pied nu remonter le long de ma cuisse.— Et toi, tu caresses qui dans ces douches ? Demande-t-elle Ă©moustillĂ©e.— Les deux … Le mieux c’est pendant les voyages pour les compĂ©titions, on est par chambre de trois. Je me dĂ©brouille pour ĂŞtre avec Isabelle et Marc.— Qui c’est ces deux lĂ Â ? Violaine ne peut s’empĂŞcher de le cuisiner.— Isabelle fait de la hauteur avec moi et Marc de la course. En fait, on a commencĂ© Ă avoir des contacts en se rasant.— En se rasant ? Nous lui demandons en cĹ“ur.— Les athlètes se rasent les jambes et les bras pour Ă©viter les frottements dans l’air, ainsi on gagne du temps. Et puis avec ces tenues de plus en plus moulantes, c’est plus pratique. Une veille de compet, j’ai demandĂ© Ă Isabelle de me raser les cuisses, je tremblais tellement j’étais stressĂ©. Elle a gentiment acceptĂ©, j’ai du retirer mon slip, et, pour dĂ©conner, elle a commencĂ© Ă me raser les couilles. Vous imaginez l’effet que ça m’a fait, elle m’a donc soulagĂ©e. Marc m’a demandĂ© de lui faire la mĂŞme chose. On s’était dĂ©jĂ un peu tripotĂ© sous la douche, alors, après le rasage, je l’ai sucĂ©. Isabelle nous regardait en se caressant, assise sur le rebord de la baignoire. Nous Ă©tions tous les trois très excitĂ©s, et on a fait l’amour ensemble et dormi dans le mĂŞme lit.Le rĂ©cit de MikaĂ«l nous a tous mis dans un drĂ´le d’état. Violaine n’ayant pas cessĂ© de masser ma chatte sous la table, cette caresse additionnĂ©e au champagne commence Ă me donner de belles idĂ©es. MikaĂ«l se lève pour aller chercher une troisième bouteille et ne peut pas cacher, Ă nos regards amusĂ©s, la bosse qui dĂ©forme son short. Ă€ son retour notre dialogue reprend et devient cette fois carrĂ©ment grivois. Violaine, visiblement la plus saoule de nous, prĂ©textant de la chaleur, dĂ©fait quelques boutons de sa robe, offrant Ă mon regard la vue de ses seins tendus. Moi aussi, je faufile mon pied sous sa robe, elle sursaute Ă mon contact. Je suis aussi surprise qu’elle. J’avais oubliĂ© qu’elle n’avait pas mis de culotte et je surprends son Ă©tat d’excitation lorsque mes orteils effleurent son sexe trempĂ©.— Mais alors MikaĂ«l, demande la cousine au regard lubrique, tu couches avec des filles ou des garçons ?— Je n’ai pas de prĂ©fĂ©rence … J’aime donner et recevoir …— Tu te fais enc … sodomiser ? DĂ©cidĂ©ment, elle a du mal avec ces mots, je rie sous cape.— J’ai dĂ©jĂ enculĂ© Isabelle si tu veux tout savoir… Dit-il avec son sourire d’ange.Violaine se trĂ©mousse sur sa chaise, «ArrĂŞte Suzy, si tu continues je vais faire pipi sur ton pied » Sa remarque qui devait ĂŞtre discrète provoque notre hilaritĂ©. Elle rougit.— Entre ton rĂ©cit, le champagne et ses doigts de pied qui me titillent, j’en peux plus !Elle se lève et se dirige vers la maison, je l’attrape par la main. Elle est debout, près de moi, MikaĂ«l nous regarde, je pose ma main sur une hanche et ma tĂŞte sur l’autre. Je lui murmure :— Ne pars pas si vite …— S’il-te-plait Suzy, me dit-elle implorante.Ma main posĂ©e sur sa hanche remonte lentement sa robe, amusĂ©, MikaĂ«l observe mon manège.— On va bien voir sir tu es si excitĂ©e que ça ?Nous regardons tous les deux la foune de Violaine et constatons qu’elle brille de son plaisir. (Je suis assez fière de l’action des mes orteils.) De mon autre main je commence Ă la caresser. Je l’immobilise contre moi. MikaĂ«l ouvre son short et sort un sexe long et fin, qu’il empoigne doucement et commence Ă branler devant nous. Deux doigts ont pĂ©nĂ©trĂ© l’intimitĂ© de ma maĂ®tresse, qui continue de m’implorer avec de moins en moins d’énergie.Comme si de rien n’était, je reprends le dialogue avec MikaĂ«l. Nous rions, bĂŞtement, de plus en plus saouls. L’ambiance devient Ă©lectrique, il doit se passer quelque chose …— Tu sais MikaĂ«l, ta cousine et moi sommes bisexuelles, mĂŞme si on prĂ©fère fondamentalement les filles …— Je le savais. Je l’ai vue l’étĂ© dernier, elle se baignait souvent la nuit ici et baisait avec un couple de ses amis.Il continue de se masturber et retire son short. Je sens une contraction autour de mes doigts. Je lui dis doucement de se laisser aller.— S’il-te-plait Suzy, il faut vraiment que j’y aille.— Tu n’as qu’a faire ici— Tu es folle, pas devant vousCette dernière rĂ©flexion provoque en moi une bouffĂ©e de chaleur, une frĂ©nĂ©sie innaouvĂ©e. Je m’agenouille devant elle en retirant mon dĂ©bardeur. Je ne sais pas ce qui me prend mais j’ai envie de ce qui va arriver. J’embrasse son ventre, broute son petit cercle de poils, ma langue descend vers sa vulve. Je murmure :— Tu vas pas faire devant nous … tu vas faire sur moi.Je colle visage contre son sexe et appuie doucement sur son ventre. Ma langue s’insinue entre ses lèvres, elle est brĂ»lante. Elle ferme les yeux, me repousse un peu et un jet dorĂ© commence Ă gicler sur mon visage. Elle se soulage en gĂ©missant. Son flot grossit. Je n’ai jamais connu ça, je suis Ă©claboussĂ©e par cette pluie chaude et parfumĂ©e, le champagne doit y ĂŞtre pour quelque chose. J’essaye de boire Ă cette source qui me rend dingue, je suis un peu Ă©cartĂ©e par MikaĂ«l qui vient me rejoindre. Violaine, retire sa robe et s’assied sur le bord de la table pour mieux contrĂ´ler la cascade qui nous inonde. Nous nous collons Ă cette fontaine et ma langue rejoint celle de MikaĂ«l pour mieux goĂ»ter ce nectar inconnu qui se tarit doucement.Une fois relevĂ©s, nous prenons Violaine dans nos bras, elle lèche l’un après l’autre nos bouches et nos visages mouillĂ©s de son urine, nous nous embrassons Ă tour de rĂ´le. La queue de MikaĂ«l est dressĂ©e entre nous, je la prends en main et la branle doucement. Elle est chaude, dure, longue, fine. Je la guide vers le sexe de Violaine. Elle a toujours les cuisses ouvertes et la pĂ©nĂ©tration est aisĂ©e. Tandis que MikaĂ«l commence Ă aller et venir dans sa cousine, il glisse sa main dans mon short. Je le baisse pour mieux aider ses doigts Ă me fouiller. Violaine est prise de spasmes, rĂ©vĂ©lateurs d’un orgasme fulgurant. Elle repousse son cousin.— Mets-toi Ă ma place, je veux qu’il te baise ! Me dit-elle.Je regarde MikaĂ«l dans les yeux, m’assieds sur le bord de la table, Ă la place de Violaine, et pose mes pieds sur des chaises. J’offre Ă leurs regards ma chatte ouverte. Violaine s’agenouille entre nous et commence Ă me lĂ©cher, elle Ă©carte mes plis de ses doigts pour mieux y enfoncer sa langue. Sa bouche se retire, remplacĂ©e par trois de ses doigts, pour pouvoir prendre la bite de MikaĂ«l. Puis, Ă son tour, elle le guide en moi. Il s’enfonce brutalement, je pousse un cri de surprise tant elle est longue. Je la sens qui cogne au fond, c’est très jouissif. Toujours Ă genoux, Violaine joue avec sa langue, qui passe de ma chatte au sexe de MikaĂ«l, qui ne sont qu’un seul sexe en fusion. Le plaisir commence Ă monter.Un doigt fureteur parvient Ă se faufiler vers mon petit trou qui ne demandait que ça. D’un coup de rein je rĂ©ussis Ă m’empaler sur lui et je pousse un gĂ©missement identique Ă celui de MikaĂ«l qui vient, lui aussi, de se faire honorer par le doigt de sa cousine. Je mon ventre est prit de contractions annonçant ma jouissance et j’embrasse MikaĂ«l. Dès que j’explose de satisfaction, il se retire de moi pour pouvoir jouir dans la bouche de Violaine. Il se vide Ă longs traits.Nous ne rejoignons Violaine Ă terre qui a laissĂ© ses doigts dans nos cul. Elle nous offre un baiser gorgĂ© du bonheur de MikaĂ«l.