Le lendemain, Olivier et moi avions prĂ©vu d’aller faire quelques achats dans la petite ville la plus proche. La mère de Julie, Nathalie, avait proposĂ© de nous accompagner. Nathalie Ă©tait une femme d’une quarantaine d’annĂ©es, châtain, les cheveux mi longs frisĂ©s, plutĂ´t bien faite. Elle vivait seule avec Julie et tenait un petit salon de coiffure dans le village. Julie m’avait confiĂ© qu’elle trouvait Olivier sĂ©duisant et c’était rĂ©ciproque.Nathalie monta Ă l’avant du 4×4 avec Olivier, je pris place Ă l’arrière. Je surpris le regard gourmand d’Olivier sur les cuisses de Nathalie lorsque celle-ci s’installa, sa robe remontant assez haut sur ses cuisses. Elle aussi s’en aperçut et, au lieu de remettre en place le tissu, elle fit comme si de rien n’était. Olivier me jeta un regard complice dans le rĂ©troviseur. Sa robe baillait au niveau de son dĂ©colletĂ© et de ma place, lĂ©gèrement surĂ©levĂ©e Ă l’arrière, je devinais la dentelle jaune d’un soutien-gorge pigeonnant.Le 4×4 Ă©tait assez bruyant et lorsque je parlais Ă Nathalie, elle Ă©tait obligĂ©e de se tourner vers moi pour Ă©couter ce que je disais. Ă€ chaque occasion, Olivier plongeait son regard dans l’ouverture de la robe de Nathalie, et me remerciait d’un sourire des efforts que je faisais pour entretenir la conversation avec elle.Nous arrivons Ă la ville, Olivier gare le 4×4 sur la place ombragĂ©e et nous partons Ă pied dans les ruelles Ă©troites. Nathalie et moi nous arrĂŞtons devant chaque boutique de fringues, Olivier d’une patience exemplaire nous suit. Je tombe en arrĂŞt devant un petit ensemble en stretch noir, la jupe très courte et une brassière dĂ©corĂ©e de strass.— Tu crois que ça m’irais ? demandais-je Ă Nathalie.Regardant ma poitrine, plus volumineuse que la sienne, elle acquiesce. Olivier, qui ne perd pas une miette de notre conversation fait remarquer que Nathalie aussi pourrais porter cela. Elle minaude, dit que ses seins sont bien plus petits. Olivier en rajoute. Nous entrons dans la boutique. Une jeune fille nous prĂ©sente le modèle et nous abandonne près des cabines d’essayage. J’insiste pour que Nathalie essaie en premier l’ensemble, elle entre dans la cabine, tire le rideau.La cabine se trouve au fond du magasin, Ă l’abri des regards indiscrets. Aux mouvements du rideau, je devine que Nathalie a dĂ©jĂ Ă´tĂ© sa robe, je fais signe Ă Olivier de rester attentif et glisse la tĂŞte par l’ouverture du rideau, l’écartant plus que nĂ©cessaire afin qu’il puisse voir dans le miroir disposĂ© sur le cĂ´tĂ© de la cabine, le reflet de Nathalie. Celle-ci est en effet en string et soutien-gorge jaune vif, sa peau mate bronzĂ©e mettant en valeur ses sous-vĂŞtements. Olivier n’en perd pas une miette. Nathalie est en train de passer la brassière. Innocemment, je lui fais remarquer qu’il vaudrait mieux la porter sans soutien-gorge.— Attends je vais t’aider.Je pĂ©nètre dans la cabine laissant volontairement le rideau entrouvert. Je me place derrière elle, face au miroir. Je dĂ©grafe son soutien-gorge et le fait glisser, mes doigts effleurant sa peau. La blancheur laiteuse de ses seins se dĂ©tache dans le miroir. Nathalie n’a pas vu la tĂŞte d’Olivier, elle aurait vu sa gorge se nouer et en regardant plus bas, son pantalon de toile se gonfler anormalement.— Mais qu’est ce que tu dis, ils sont superbes tes seins ! dis-je en laissant errer mes ongles sur le grain dĂ©licat de sa peau, effleurant les arĂ©oles larges et brunes.Nathalie frissonne, n’allons pas trop vite, je l’aide Ă enfiler la brassière qui, comme je m’en doutais, moule Ă la perfection sa poitrine, dessinant mĂŞme ses tĂ©tons que le contact de mes doigts a Ă©rigĂ©s. Elle enfile la jupe qui lui arrive au ras des fesses. Je lisse le tissu, en profitant pour caresser ses fesses. Je guette une rĂ©action de sa part, rien.— Qu’en penses-tu Olivier ? demandais-je en Ă©cartant le rideau.Olivier bon comĂ©dien, s’extasie, fĂ©licitant Nathalie sur son corps de rĂŞve. Il propose mĂŞme d’offrir l’ensemble Ă Nathalie. Elle refuse d’abord, puis fini par cĂ©der.— Mais en Ă©change tu le gardes sur toi, demandes Olivier.Elle accepte et alors que je dĂ©grafe les diverses Ă©tiquettes, je lui fais remarquer que sa jupe très courte risque de laisser voir son string jaune lorsqu’elle sera assise et qu’il vaudrait encore mieux ne rien porter, ce serait plus discret.Elle hĂ©site, mais finit par reconnaĂ®tre que j’ai raison. Elle rentre dans la cabine, mais comme je suis près d’elle, pensant ĂŞtre Ă l’abri de tous les regards, elle relève sa jupe et fait glisser son string Ă ses chevilles. Je m’écarte discrètement, poussant du coude Olivier. Cette fois-ci, il bande comme un taureau. Nathalie nous confiera plus tard avoir surpris le regard d’Olivier. Olivier règle et nous reprenons notre ballade. En retrait, Olivier ne peut dĂ©tacher son regard des fesses nues, moulĂ©es sous la jupe de Nathalie. Par instants, il m’avouera avoir distinguĂ© la marque claire de bronzage des fesses de Nathalie.De retour près de l’endroit oĂą nous avons garĂ© la voiture, Olivier nous propose de prendre un verre Ă la terrasse ombragĂ©e d’un cafĂ©. Nous nous installons, Olivier s’assied Ă cĂ´tĂ© de Nathalie, les fauteuils en osier sont profonds et inclinĂ©s, si bien que la pauvre Nathalie, malgrĂ© tous ses efforts ne parvient pas Ă tirer sa jupe suffisamment vers le bas pour dissimuler son intimitĂ© au regard d’Olivier. Je le soupçonne d’avoir soigneusement choisi le cafĂ© …La place est bruyante, un orchestre local tente d’animer l’endroit, si bien que nous sommes pratiquement obligĂ©s de nous parler Ă l’oreille. Olivier en profite, Ă chaque fois qu’il parle Ă Nathalie, il se penche vers elle, pose sa main sur sa cuisse. Un peu gĂŞnĂ©e au dĂ©but, Nathalie se libère peu Ă peu. Il faut dire qu’Olivier n’a pas son pareil pour charmer les femmes. Devant la cour assidue de mon mari, Nathalie me lance des regards inquiets, elle redoute ma rĂ©action. Je pense qu’il est temps pour moi de donner un coup de pouce Ă Olivier, me penchant Ă l’oreille de Nathalie, je lui souffle:— Je crois savoir pourquoi Olivier s’est assis en face de toi, il a du voir que tu ne portais pas de culotte et, placĂ© comme il l’est, il doit avoir une vue imprenable.Nathalie devient Ă©carlate, elle resserre aussitĂ´t ses genoux. Doucement, je pose ma main sur sa cuisse et Ă©carte sa jambe droite. Elle me jette un regard, Ă la fois inquiet, interrogateur et Ă©tonnĂ©, mais ne rĂ©siste pas. Olivier, qui appelait le serveur pour rĂ©gler, n’a pas assistĂ© Ă cet Ă©change, lorsqu’il se retourne, il me voit avec la main sur la cuisse de Nathalie, en train de lui offrir la vue sur ce qu’il tentait d’apercevoir depuis un bon moment. Sans un mot, il se cale dans son fauteuil.Le regard de Nathalie s’est fait implorant, sans oser regarder Olivier, ses yeux rivĂ©s dans les miens. Je lui souris pour la rassurer, ma main tout en caressant l’intĂ©rieur de sa cuisse, remonte lentement, entraĂ®nant avec elle le tissu. Je m’arrĂŞte lorsque je sens sous mes doigts la naissance du duvet de sa chatte. Le regard d’Olivier va de l’entrejambe de Nathalie Ă son visage, guettant une rĂ©action de sa part. Elle finit par abandonner mon regard et tourne la tĂŞte vers Olivier. Un moment se passe, puis posant sa main sur sa cuisse gauche, elle relève lentement Ă son tour le bas de sa jupe qui masquait encore son sexe au regard d’Olivier. Je retire ma main, si elle veut faire machine arrière, ce sera maintenant, mais non, elle reste ainsi, exhibĂ©e. Olivier se penche vers elle et dĂ©pose un baiser sur sa joue, lui soufflant un « merci » suave Ă l’oreille. Puis comme si de rien n’était, il propose de rentrer. Un peu troublĂ©e par la rĂ©action d’Olivier, Nathalie se lève et nous regagnons la voiture.Olivier est malin, inutile de forcer plus la petite Nathalie, il sait, vu qu’elle ne s’est pas rebiffĂ©e lorsque j’ai relevĂ© sa jupe, qu’elle viendra d’elle-mĂŞme Ă lui.ArrivĂ©s Ă la voiture, Olivier s’installe, je monte Ă l’arrière et, Ă notre grande surprise, Nathalie s’installe Ă mes cĂ´tĂ©s. Nous ne disons rien, Ă notre tour d’être Ă©tonnĂ©s par Nathalie. Sans un mot, Olivier dĂ©marre.A peine avons nous dĂ©marrĂ©, que Nathalie, posant ses mains sur ses cuisses, relève sa jupe jusqu’à son nombril. Je vois Olivier rĂ©gler son rĂ©troviseur afin de ne rien manquer. Nathalie me regarde sa main douce se pose sur ma main droite, elle la guide doucement vers son ventre. Je me laisse faire, elle pose ma main sur le duvet châtain et fourni. Mes doigts entrent en action, dĂ©licatement, je fais glisser mon majeur le long de sa fente, je sens poindre des traces d’humiditĂ©. La pression de mon doigt se fait plus forte, la respiration de Nathalie s’accĂ©lère, sa poitrine moulĂ©e dans la brassière se soulève rĂ©gulièrement, les bouts de ses seins son maintenant bien dressĂ©s et tendent le tissu. La main de Nathalie est toujours posĂ©e sur la mienne et suit mes mouvements. Alors que mon doigt arrive au niveau de son bouton, elle maintient ma main afin de m’indiquer que je dois accentuer mes caresses Ă cet endroit. La bouche entrouverte, elle gĂ©mit doucement alors que mon ongle griffe dĂ©licatement la chair tendre de son clitoris. Le saisissant entre le pouce et le majeur, je le fais rouler doucement, arrachant Ă Nathalie de petits cris. Olivier n’en peut plus, sa main droite a quittĂ© le volant et s’est glissĂ©e entre ses jambes.Nathalie glisse sur la banquette arrière, elle laisse tomber ses escarpins, son pied droit vient se caler sur l’appui-tĂŞte du siège passager, le gauche glisse au-dessus du frein Ă main et vient se poser sur la cuisse d’Olivier. Il s’en empare, le caresse, le masse, ses doigts jouent avec les orteils. De mon cĂ´tĂ©, j’alterne les caresses sur son clitoris et sur ses lèvres gonflĂ©es de dĂ©sir. Nathalie gĂ©mit de plus en plus vite, elle Ă©carte elle-mĂŞme ses lèvres de ses deux mains, mon majeur glisse entre elles. Les cuisses de Nathalie se resserrent comme si elle voulait emprisonner mon doigt dans son ventre. Je le ressors et replonge avec vivacitĂ©. Ses gĂ©missements couvrent le bruit du moteur.Je ne m’en Ă©tais mĂŞme pas aperçue, Ă©tant trop absorbĂ©e, Olivier a garĂ© le 4×4 dans un chemin forestier Ă l’écart de la route. Il lèche tendrement les orteils de Nathalie, sa main caresse sa cheville, son mollet, remonte le long de sa cuisse. Rabattant le siège avant, il s’installe face Ă nous, le pied de Nathalie glisse entre ses jambes, s’arrĂŞte au niveau de la braguette et caresse le renflement que fait sa queue sous son pantalon. Olivier dĂ©fait sa ceinture, fait glisser son pantalon Ă ses chevilles libĂ©rant son sexe tendu.C’est maintenant avec deux doigts que je fouille le sexe de Nathalie, ils sont ruisselants de cyprine, j’enduis de ce liquide l’entrĂ©e de l’anus de Nathalie. Sous la pression de mes doigts, il s’entrouvre, j’y glisse mon index. Nathalie a emprisonnĂ© la bite tendue d’Olivier entre ses pieds, elle effectue des mouvements de bas en haut, au grand bonheur d’Olivier. Ma main gauche, inoccupĂ©e, glisse sous ma robe, je suis trempĂ©e, j’écarte mes lèvres et plonge un doigt dans ma chatte, j’y retrouve la mĂŞme moiteur que dans le sexe de Nathalie. La coquine va arriver Ă ses fins avec Olivier, arc boutĂ©, en appui sur le tableau de bord, il tend son ventre. Les pieds joints de Nathalie forment un cocon dans lequel Olivier plonge sa queue, Ă l’expression de son visage, je sens qu’il va jouir. J’accĂ©lère les mouvements de mes doigts dans ma chatte et celle de Nathalie. Elle aussi est aux portes de l’extase, j’abandonne mon ventre et de ma main libre, je libère la poitrine de Nathalie, ses seins jaillissent, arrogants, ses tĂ©tons sont Ă©normes, tendus, violacĂ©s. J’y pose mes lèvres et mes doigts. Nathalie s’empare de mes doigts souillĂ©s de ma liqueur et les suce goulĂ»ment, fixant du regard Olivier qui continue de se masturber entre ses pieds.Soudain Olivier se fige, son visage et ses muscles se contractent, de son gland turgescent jaillit une première giclĂ©e de liquide blanchâtre qui vient s’écraser sur le ventre de Nathalie, Ă quelques centimètres de ma tĂŞte. Abandonnant le sein de Nathalie, je lape le sperme, puis remontant jusqu’à son visage, je plaque mes lèvres sur les siennes lui faisant partager la liqueur de mon mari. Olivier, secouĂ© de soubresauts, continue de dĂ©charger. Son sperme ruisselle sur le ventre, le pubis et les cuisses de Nathalie, terminant de se masturber Ă la main, les dernières gouttes coulant sur les orteils de Nathalie, le jus blanc et poisseux recouvrant ses ongles vernis de rouge vif.Olivier rĂ©ussit Ă se glisser Ă cĂ´tĂ© de nous, pliĂ© en deux, la hauteur du toit du 4×4, mĂŞme si elle est plus grande que sur une voiture normale, ne lui permet pas de se tenir debout. Je ne peux rĂ©sister Ă l’envie de le sucer pendant qu’il caresse la chatte bĂ©ante de Nathalie. Je suis accroupie sur le plancher de la voiture, Nathalie allongĂ©e Ă moitiĂ© sur la banquette. Afin de donner plus d’espace Ă nos Ă©bats, Olivier propose de descendre de la voiture, nous attrapons Ă l’arrière un sac de couchage qui ne quitte jamais le coffre de l’auto, Olivier le dĂ©plie sur le sol, ce sera toujours mieux que la voiture.Nathalie s’approche de moi, elle dĂ©fait un Ă un les boutons de ma robe, ses mains frĂ´lant mes seins. Je fais glisser sa jupe Ă ses pieds, retire sa brassière. Lorsque ma robe est Ă mes pieds, elle se prĂ©cipite sur mes mamelons, les lĂ©chant, les mordillant, sa main a glissĂ© entre mes cuisses, nous tombons Ă genoux, elle m’allonge sur le sol, s’allonge sur moi, sa poitrine se collant Ă la mienne. Relevant un peu le buste, elle fait jouer ses tĂ©tons sur les miens, nos bouches se joignent, nos langues se mĂŞlent. Olivier s’est mis nu aussi, son sexe n’a pas encore repris toute sa vigueur, il s’agenouille au-dessus de nos tĂŞtes, caressant nos joues de son gland encore humide. Nos bouches se collent de part et d’autre de son membre qui sous nos coups de langue se redresse rapidement. Le sperme qu’Olivier a rĂ©pandu sur le ventre de Nathalie soude nos ventres. Tour Ă tour, nous gobons le sexe d’Olivier, chacune s’évertuant Ă couvrir de salive le pieu tendu, nous varions les caresses buccales chacune dĂ©sireuse de montrer ses talents Ă Olivier, au grand plaisir de celui-ci: alors que Nathalie aspire le dard d’Olivier, je suce ses bourses rasĂ©es, ma langue s’égarant parfois sur son anus.Olivier est revenu en pleine forme, connaissant Ă merveille mon mari, je repousse Nathalie, m’écarte de sous elle, et la maintient Ă quatre pattes. Olivier la contourne, me plaçant sur le cĂ´tĂ©, j’empoigne les fesses de Nathalie, les Ă©carte. Olivier prĂ©sente son gland Ă l’entrĂ©e de sa chatte humide, il s’enfonce en elle d’un seul coup, jusqu’à la garde, ses couilles venant battre sur ses fesses. Elle pousse un cri de bonheur, en redemande. Je caresse ses seins qui pendent, ballottent au rythme des coups de boutoir de mon mari. Il la baise longtemps, profondĂ©ment, puissamment. Elle jouit, secouĂ©e de spasmes, sa main frottant frĂ©nĂ©tiquement son clitoris. J’observe la scène, assise, les cuisses Ă©cartĂ©es, les jambes repliĂ©es, en me caressant Ă quelques centimètres du visage de Nathalie qui, lorsque vient l’orgasme, plaque sa bouche sur les lèvres de ma chatte.Mais Olivier en veut encore, alors que Nathalie reprend son souffle, lĂ©chant doucement ma chatte, il sort son sexe luisant des sĂ©crĂ©tions intimes de Nathalie et le prĂ©sente sur l’œillet bistre de Nathalie. Ă€ ce contact, la langue de Nathalie s’active encore plus rapidement, elle glisse entre mes lèvres, revient titiller mon clitoris, un doigt s’approche de mon anus et s’y glisse. Avec prĂ©caution, Olivier pousse son gland dans l’étroit conduit. Lorsque celui-ci est entièrement entrĂ©, Nathalie qui avait retenu son souffle, se libère et se dĂ©chaĂ®ne, fouillant fĂ©brilement mon cul de son doigt et ma vulve de sa langue. Olivier la pĂ©nètre profondĂ©ment, sa queue coulisse entre ses fesses, l’étroitesse du cul de Nathalie doit lui procurer d’extraordinaires sensations car il pousse des gĂ©missements rauques.Les doigts et la langue de Nathalie ont raison de mes sens, je jouis, serrant entre mes doigts les pointes de mes seins, martyrisant mes mamelons. De manière presque synchrone, Olivier dĂ©charge une nouvelle fois dans le cul de Nathalie, se retirant pour terminer son Ă©jaculation sur les fesses de la belle. Sous l’effet du liquide chaud qui se rĂ©pand en elle, Nathalie a un nouvel orgasme, plus violent encore et s’effondre, la tĂŞte entre mes cuisses.Chacun reprend lentement ses esprits, caressant les corps disloquĂ©s des autres. Nous nous rhabillons sommairement et rentrons, Nathalie venant chez nous partager une douche Ă la fois hygiĂ©nique et caressante.@ suivre.