286 41Recit de cul : Quand Audrey rencontre un mec dans la rue CorrigĂ© et rĂ©sumĂ© par Dialogue69 le 25/09/2013PubliĂ© le 25/09/2013Coucou mes petits coquins et mes petites coquines.C’est votre petite Audrey!Je crois que je suis l’une des plus anciennes Ă Ă©crire mes histoires sur ce site. Ma plus vieille histoire remonte Ă 2011. Deux ans dĂ©jĂ ! Et depuis pas beaucoup de changement, j’aime toujours autant le sexe et je n’ai pas l’intention de me caser de si tĂ´t. En tout cas j’espère que vous vous rĂ©galez toujours autant en me lisant. Je sais que parfois, certaines de mes aventures sont plus allĂ©chantes que d’autres, mais moi, je prends mon pied en les Ă©crivant.Je voulais dire Ă Gabrielle qui a postĂ© son histoire hier (elle rase la chatte de sa copine) qu’elle m’a beaucoup excitĂ© et que ce serait avec plaisir qu’elle pourrait venir me faire la mĂŞme chose…Clara pourrais tu transmettre mon mail Ă cette jeune demoiselle ? :)Allez maintenant c’est Ă moi de vous raconter quelque chose de très sympa et qui n’arrive qu’aux coquines qui se laissent aller…Pour commencer je dois dire que j’ai de la chance, car je travail de nuit et ce qu’il y a de bien quand on fait un travail de nuit, c’est qu’on a la journĂ©e entière pour profiter. Samedi j’Ă©tais donc partie en journĂ©e shopping avec une amie. A un moment nous avons fait une pause cafĂ©. Nous ne nous sommes pas assises nous avons juste pris un gobelet que nous avons bu en marchant et voilĂ qu’un homme m’est rentrĂ© dedans. Mon cafĂ© s’est retrouvĂ© Ă©talĂ© sur mon chemisier.L’homme avait beau ĂŞtre grand, brun, mystĂ©rieux et sexy, j’Ă©tais furieuse après lui. Il s’est confondu en excuse et il s’est mis Ă tamponner la tache avec un mouchoir sorti de son attachĂ© case.- Je suis dĂ©solĂ©, je suis dĂ©solĂ©! Disait-il.J’ai remarquĂ© que l’air de rien, ses mains se faisaient baladeuses. Elles s’attardaient particulièrement sur ma poitrine. Il Ă©tait vraiment gonflĂ©, mais en faite… intĂ©rieurement, j’apprĂ©ciais.- Qui puis-je fais pour me rattraper? M’a-t-il demandĂ©.A ces mots, j’ai eu un flash. Moi allongĂ© sur un lit, sa tĂŞte entre mes cuisses. Bon je ne lui ai pas dit que je voulais qu’il me bouffe la chatte, je suis un peu plus civilisĂ©e quand mĂŞme. Mais comme il Ă©tait mignon et craquant, je n’ai pas pu rĂ©sister.- Et bien, vous pourriez me payer un verre.Il a affichĂ© un sourire en coin, presque coquin.- Avec plaisir! M’a-t-il rĂ©pondu.Il voulait aller un boire un verre immĂ©diatement, mais je prĂ©fĂ©rais ĂŞtre seul avec lui alors nous avons remis ça plus tard…Et c’est comme ça que lundi, jour oĂą je ne travaille pas, nous nous sommes retrouvĂ©s dans un bar. Franchement dans ma tĂŞte il s’agissait clairement d’un rendez-vous baise, je ne le concevait pas autrement…Nous avons pris un verre. Nous Ă©tions installĂ©s sur une banquette et il s’est doucement rapprochĂ© de moi, jusqu’Ă ce que nos cuisses soit collĂ©es. Et puis c’est une main qui s’est posĂ©e sur ma jambe. Il me testait, pour voir si j’allais l’arrĂŞter. A chaque endroit oĂą ses doigts entraient en contact avec ma peau, je m’enflammais. Il me faisait vraiment beaucoup d’effets. Ses doigts sont devenus plus fouineur et ils se sont glissĂ©s sous ma jupe. A l’abri des regards sous la table, il a commencĂ© Ă caresser ma petite chatte par dessus le tissu de mon shorty. L’excitation montait dans mon corps, et je devenue toute mouillĂ©e.Une serveuse a interrompu son doigtĂ© en nous apportant l’addition. Nous ne nous sommes pas attardĂ©s dans le bar et il a proposĂ© de me ramener chez moi. J’Ă©tais trop impatiente, je ne pouvais pas attendre d’ĂŞtre dans mon appart, alors, pendant qu’il conduisait, j’ai commencĂ© Ă caresser sa bite par dessus son pantalon. Elle a gonflĂ© en quelques secondes et je l’ai libĂ©rĂ© de l’Ă©treinte du tissu. Il Ă©tait montĂ© comme un âne. J’ai empoignĂ© sa bite et je l’ai astiquĂ© d’abord doucement puis de plus en plus vite. Et puis ma bouche est venue remplacĂ© ma main et j’ai fait glisser son membre entre mes lèvres. J’adorais sentir le gout de sa queue bien chaude sur ma langue.Tout Ă coup, il a donnĂ© un grand coup de volant et j’ai arrĂŞtĂ© de le pomper.- Tu fais quoi? Lui ai-je demandĂ©.
– Parking! A-t-il tout simplement rĂ©pondu.Il s’est garĂ© et j’ai repris lĂ oĂą j’en Ă©tais. Je l’ai pompĂ© avec aviditĂ©. Je faisais rentrer sa bite vite et profond dans ma bouche. Je me suis arrĂŞtĂ©e juste Ă tant, pour qu’il me la mette ailleurs. Il a attrapĂ© une capote dans la boĂ®te Ă gant et il s’est empressĂ© de l’enfiler. Il m’a ensuite invitĂ©e Ă m’installer sur la banquette arrière. Je me suis mise Ă quatre pattes, comme j’aime. Il a relevĂ© ma jupe au dessus de mes fesses et baissĂ© mon shorty. Il a empoignĂ© mes hanches et il m’a pĂ©nĂ©trĂ©e. Centimètre par centimètre, sa grosse bite s’est enfoncĂ©e en moi. Je l’ai senti glissĂ© le long des parois de mon vagin jusqu’Ă m’emplir complètement. C’Ă©tait si bon que j’en ai poussĂ© un gĂ©missement. Il m’a prise d’abord doucement puis de plus en plus vite. Mes seins ballotaient dans tous les sens, mes fesses claquaient contre lui et ma petite chatte mouillait et s’ouvrait de plus en plus.Soudain il s’est retirĂ© de moi.- T’aime qu’on te la mette dans ton joli cul? M’a-t-il demandĂ©.
– Oui… Ai-je soufflĂ©.Il a appuyĂ© son gland gonflĂ© contre mon petit trou et j’ai reculĂ© mes fesses pour m’empaler doucement sur sa queue. Il s’est insinuĂ© dans mon Ă©troit conduit. Il est restĂ© quelques instants sans bouger pour que je m’habitue Ă son calibre, puis, il m’a dĂ©foncĂ©. Il m’a sodomisĂ©e sauvagement, c’Ă©tait presque brutale. Il ne semblait plus pouvoir se contrĂ´ler. Ses coups de reins Ă©taient rapides et profonds et me dilatait l’anus de plus en plus lui permettant d’aller toujours plus loin. Je sentais ma mouille ruisseler le long de mes cuisses. Je me faisais enculer par un homme que je connaissais Ă peine, dans un parking au milieu de nul part et c’Ă©tait trop bon.Tout Ă coup, il a finit par craquer et il a remplit sa capote de sperme bien au fond de mon cul.On est restĂ© emboitĂ©, tout tremblant, tout essoufflĂ© et puis il a finit par me ramener chez moi.Bon c’est vrai, je n’ai pas eu sa langue dans ma chatte, mais j’ai eu bien plus!Je vous embrasse mes coquins et coquines, surtout lĂ oĂą c’est sensible.
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