Moi, c’est Baptiste, quadra pas très bien dans sa peau, mais bon…Elle, c’est Inès, un peu moins quadra que moi, avec qui je vis depuis un bout de temps. Inès est une drôle de femme… Enfant, elle a été élevée dans le respect strict des mœurs rurales espagnoles, imprégnées d’une frileuse religiosité, mais que sa venue en Belgique l’a contrainte à baigner dans une société plus libérée, elle a abandonné son manque de confiance en soi, bien aidée par les hommages que les hommes rendaient à sa beauté, toute de fermes plénitudes… Depuis, elle offre, avec générosité, son corps (extérieur et intérieur…) aux hommes qui lui manifestent leur envie de caresser sa peau de la leur et ses muqueuses (toutes ses muqueuses…) de leur phallus.Au début de notre relation, ça m’a gêné, mais maintenant, ça ne me gêne plus, loin de là …La révélation m’en est venue il y a une dizaine d’années, un jour que je rentrais d’un déplacement professionnel de plusieurs jours. Inès était venue m’ouvrir, torse nu, le soutien-gorge dans une main, ses seins lourds ballottant et les tétins rougis pointés vers moi, pour m’expliquer que j’étais rentré trop tôt, et que non, je ne pouvais pas entrer, parce qu’elle et un jeune homme venaient juste de « commencer » et qu’une quelconque obstination de ma part pourrait causer de graves dégâts psychologiques chez ce brave baiseur, plein de bonne et ferme volonté à son égard, et donc qu’il serait inconvenant de ma part de ne pas aller pas faire un tour, et de ne revenir qu’une heure plus tard (plus tôt aurait été mesquin).Et moi, au lieu de « venger mon honneur bafoué », je suis reparti, malheureux, les oreilles basses, mais surpris et la queue loin d’être basse, raide et torturée par une érection aussi douloureuse qu’incontrôlable, malgré tous mes efforts et mes rappels à l’ordre (« Tu ne vas pas bander pour cette garce qui te trompe sans vergogne ? »… Eh bien oui, je bandais…). Quand je fus de retour, une bonne heure plus tard, et que je la vis dans la cuisine, un simple tablier recouvrant sa nudité, une indescriptible fureur érotique me fit me jeter sur elle, l’enlacer, l’embrasser, l’emporter dans notre chambre et l’allonger sur la couche qu’elle avait profanée (plus j’y pensais, plus je bandais…) pour enfoncer, à la hussarde, mon sexe dans le sien, encore plein du plaisir de son amant, et l’y agiter avec une vigueur et une hargne que je ne me connaissais pas. En bref, je l’ai bien « défoncée » et, si je m’en tenais à ses cris « pendant » et à son sourire « après », elle a semblé aimer… et même beaucoup aimer.Et la vie fut… Vu ma réaction après cette scène de cocufiage, elle m’a, plus tard, invité à mater ses jeux avec ses amants puis m’a, par la suite, invité à y participer pour finir par des jeux à deux couples, ce qui me permet, tout en la regardant s’envoyer en l’air, de goûter aux charmes des compagnes de ses amants…Eux, ce sont Irina et Alban, un couple de jeunes voisins, beaux et sympathiques.Un vendredi soir, je m’étais retrouvée dans l’ascenseur avec Irina. Mes regards avaient été attirés par son tee-shirt, sous lequel pointaient ses seins, pleins, mais apparemment fermes et libres de toutes contraintes.Quand je lui dis qu’Inès était allée passer le week-end chez ses parents, Irina sembla ne pas faire cas de l’info, mais, une demi-heure plus tard, elle se présenta à ma porte, une bouteille de champagne à la main, pour un apéritif de célibataires, car, me dit-elle, Alban était allé passer la soirée chez des potes, sans espoir de retour avant la fin de la nuit…Agréablement surpris, je débouchai la bouteille et nous servis deux verres au salon. Un quart d’heure plus tard, mon portable sonna. C’était Inès… Elle avait raccompagné un voisin de ses parents, et bon… comme il semblait avoir de belles manières et de bonnes intentions à son égard, elle était allée coucher chez et avec lui, avec, de toute évidence, un grand plaisir, qu’elle tint à me montrer en s’interrompant pour lâcher un long feulement qui se termina en un cri sauvage.Hagard, et suspendu à mon téléphone, je vis Irina se lever, passer devant moi et se diriger vers le fond de l’appartement, en m’adressant un regard mystérieux.Après avoir écouté le cri d’Inès, je raccrochai sans rien rajouter, convaincu que, bien « occupée » par son vieil amant, elle ne m’écoutait plus…Bon, Irina ne revenait pas… Elle avait le droit d’aller se laver les mains, mais… ne la voyant pas revenir, intrigué, j’allai à mon tour dans le couloir. En passant devant la porte ouverte de la chambre à coucher, je vis, dans l’obscurité, que la couette présentait un relief saugrenu, et l’évidence s’imposa à moi : Irina était dans mon lit, dans mes draps !Une faible lueur me révéla son sourire mutin qui dépassait de la couette, et je me déshabillai promptement pour me glisser, moi aussi, sous la couette. Mon bras trouva vite la peau d’un bras, d’un sein nu, puis des deux, que ma main caressa doucement, comme pour s’assurer que ce n’était pas un rêve. Je sentis une main se saisir de son sexe, et entendis un soupir approbateur (et rassuré, apparemment satisfait de mon érection). Inimaginable, mais bien réel…Ce soir-là , cette diablesse d’Irina me chevaucha, me baisa effrontément, ses seins dans mes mains, dans ma bouche, ma queue prise, capturée, avalée par le con de la belle déchaînée. Enfin, dans un souffle rauque, elle cria son plaisir pour m’inviter à cracher le mien dans son ventre.Avant de rentrer chez elle, Irina me demanda si j’étais au courant qu’Alban et Inès étaient amants depuis quelques mois, et s’étonna que je ne le sois pas…Une quinzaine de jours plus tard, Alban nous invita à déjeuner le dimanche suivant. Le jour dit, pendant tout le repas, les deux amants feignirent n’être que de simples voisins, pendant qu’Irina et moi faisions de même.Après le café, Irina me proposa de l’aider à faire la vaisselle. En me retournant, je voyais, par-dessus les épaules d’Irina, nos conjoints qui bavardaient.Alban s’était levé pour s’asseoir à côté d’Inès et ils semblaient deviser de tout et de rien, mais quand je vis la main d’Alban disparaître sous la nappe, j’imaginai tout de suite qu’elle se posait sur la cuisse d’Inès…Derrière le corps d’Irina, je voyais leurs visages se rapprocher, puis se toucher, et leurs lèvres s’unir. Puis je vis une main d’Alban se poser sur le cou d’Inès, et son autre main se coller sur sa poitrine, la pétrir, puis descendre pour remonter et se glisser sous ses vêtements, pour s’emparer de ses seins et les peloter sans vergogne… Je ne voyais pas la main d’Alban qui se régalait des seins de ma femme, mais voyais bien le corsage d’Inès que cette main baladeuse malmenait et j’imaginais les caresses qu’elle lui infligeait… Inès rejetait sa tête en arrière, haletait…Et moi, ma queue me faisait mal tant je bandais… d’autant plus que je voyais bien que le corps d’Irina était à ma portée, et qu’elle l’ouvrirait à moi bientôt… Je voulus inviter Irina du regard à les rejoindre, mais elle me sourit, comme pour me dire « Pas encore… ».Une assiette à la main, je vis la main d’Alban quitter les seins d’Inès pour descendre et atteindre le ventre d’Inès, qui se cambra et enlaça le cou de son amant pour murmurer à son oreille. Alban retira sa main du ventre d’Inès pour lui caresser le visage, l’attirer vers le sien et l’embrasser à pleine bouche tandis que son autre main ouvrait son corsage et, écartant l’obstacle du soutien-gorge, reprenait possession de ses seins, maintenant nus, qui s’offraient à ses caresses. Inès remuait la tête, semblant apprécier sans réserve les caresses et les baisers de son amant. Alban semblait manifester une très forte envie de baiser ma femme sur la table, mais, manifestement, Inès lui signifia son envie d’horizontalité, qu’il finit par accepter.Ils se levèrent donc et je les vis se diriger vers le fond de l’appartement, Alban tenant par la taille Inès, qui avait passé un bras autour des fesses de son amant, le chemisier béant, les seins hors de son corsage. Quand ils passèrent près de nous, elle leva les yeux vers moi et me nargua de ses yeux, de ses seins arrogants, de son corsage dévasté, et je fus assailli par un curieux mélange d’humiliation et d’excitation. De ses yeux pétillant de promesses lubriques, Irina me rassura.Assez vite, nous entendîmes, en provenance de la chambre, des râles et des gémissements rauques, issus, de toute évidence, de la bouche d’Inès, ce qui m’excita encore plus et tendit encore davantage mon sexe.J’accélérai ma tâche et, enfin, Irina s’approcha de moi et me tendit ses lèvres dont je m’emparai fiévreusement, tandis que mes mains remontaient sous sa chemise pour aller à la rencontre de ses si attrayants nichons, les débarrassaient de leur voile de toile pour les caresser passionnément, laissant mes paumes en apprécier la ferme et douce élasticité.Un cri féminin nous fit sortir de nos caresses, semblant nous appeler. Irina me sourit et, dans une moue complice, me dit :Enlacés, nous rejoignîmes nos conjoints. Alban était allongé sur le lit et suçotait les seins d’Inès qui, complètement libérée par l’orgasme qu’elle venait d’éprouver, était encore allongée sur son amant, la chatte apparemment encore enfilée sur sa queue.En arrivant près du lit, Irina, les seins dans mes mains, se pencha vers son époux pour échanger un baiser. Alban savourait sa position, la queue encore plantée dans le ventre de sa maîtresse allongée sur lui et dégoulinante de son foutre, et la langue dans la bouche de sa femme. Me mêlant à la scène, je relevai le menton d’Inès pour cueillir sur ses lèvres les derniers tremblements de son orgasme.Irina et moi nous déshabillâmes fiévreusement, nous assîmes en tailleur sur le lit, à côté d’eux, son dos contre mon ventre et nous reprîmes nos attouchements. Mes mains caressaient Irina, ses seins, son ventre, le fouillaient, traînaient sur son clitoris, provoquaient moult gémissements et feulements… Elle tendit une main dans son dos, se saisit de ma queue et la branla délicatement, mais je l’en empêchai vite, craignant une éjaculation trop hâtive.Comme mes yeux ne perdaient rien du spectacle que nos conjoints nous offraient, je vis bientôt Inès relever les fesses pour guider de la main la bite à nouveau raide d’Alban vers l’entrée de son con et ses fesses redescendre pour s’y empaler à nouveau. Irina et moi n’y tînmes plus ; elle se pencha en avant pour se mettre à quatre pattes sur le lit, le visage au-dessus de celui de son mari en train de baiser ma femme, et elle me tendit ses fesses pour me permettre de la prendre en levrette, tout en continuant de lui caresser les seins. Tout près de nous, nous voyions les fesses musclées d’Alban qui montaient en rythme pour enfoncer sa queue au fond du ventre d’Inès, qui rythmait ce second assaut par ses geignements, entrecoupés de petits cris.Notre excitation était telle que dès que survint le premier orgasme d’Irina, je n’attendis pas plus longtemps pour jouir dans son ventre, accompagné par les rugissements d’Alban et le cri d’Inès qui jouissaient aussi, puis je la retournai et la couchai, chaude et encore frissonnante de plaisir, à côté des deux amants.Allongé entre les deux femmes, je me tournai vers Inès, lui caressai les seins, et introduisis un doigt dans sa chatte, et y barattai le sperme de son amant. Irina, souriante, nous regardait…La bite à nouveau dressée par ce que je faisais et voyais, je voulus, à mon tour, baiser mon épouse… Je plaçai ma queue dans sa main, mais elle me dit, en me montrant la queue d’Alban qu’elle tenait dans son autre main et qu’elle n’avait cessé de tripoter : — Aujourd’hui, Alban est prioritaire et je crois bien qu’il a à nouveau envie de me baiser et, peut-être bien, de m’enculer, parce que ça fait longtemps que tu… Se mettant à son tour à genoux, Inès tendit son cul vers Alban pour l’inviter à la pénétrer. Quand le sexe de son amant poussa entre ses reins, elle nous en informa en ouvrant tout grand les yeux et la bouche pour pousser un petit cri. Je me tournai alors vers Irina qui se saisit de ma queue, également en regain de forme. Elle me sourit et, m’adressant un sourire engageant, elle écarta les jambes puis, quand je m’allongeai sur elle et lui enfonçai l’intégralité de mon sexe dans le ventre, elle les replia sur mes fesses et, en écho aux gémissements d’Inès, elle accompagna mon entrée en elle par un râle de plaisir.Pendant ce temps, Inès, le visage tourné vers nous, les seins prisonniers des mains d’Alban, et le cul offert à sa queue, ahanait au rythme de ses allers-retours entre ses fesses. Elle me fixa droit dans les yeux et, quand, mettant fin à ses coups de boutoir en elle, Alban jouit, elle m’adressa un sourire qui se voulait de satisfaction. Alors, je ralentis les mouvements de ma queue dans la chatte d’Irina pour jouir le plus tard possible, pour le plus grand plaisir d’Irina, qui enchaînait les orgasmes, et le déplaisir de mon épouse qui voyait et entendait ma maîtresse jouir encore plus qu’elle…