Quand un
puceau rencontre une pucelle.
2ème
partie.
Résumé :
Josie et Marc ont décidé de virer leur cuti ensemble.
Josie à fait jouir Marc en osant faire sa première fellation.
Marc veut lui rendre la pareille et s’occupe de son joli
minou.
Dans son écrin, le petit bouton gorgé de sang palpite
sous la langue de Marc qui vient de le découvrir, il le gobe délicatement et le
malaxe par une succion affolante.
– Oui ! Continue, lèche-moi bien, mords un peu,
mais pas trop fort.Marc ne se fait pas prier, apparemment excité
lui aussi par les chairs qui s’offrent à lui, surtout que le vagin laisse
suinter la cyprine odorante et que Josie gémit de plus en plus, surtout quand
le plus délicatement possible, il mordille doucement les grandes lèvres et le
capuchon du clitoris.
Josie a des soubresauts, de plus en plus
saccadés aux caresses linguales qui deviennent, de plus en plus adroites. Le clitoris roule entre les dents, extirpé de sa gaine, prêt d’éclater car
toute la force de la jeune femme se concentre là. Elle ne vit plus sinon par ce
minuscule organe de jouissance sur lequel s’acharne une ventouse avide.
Quelque chose se manifeste soudain dans son système
nerveux, l’avertissant secrètement que l’instant de conclure arrive.
Son souffle se précipite, ses yeux se ferment à demi et
ses lèvres s’entrouvrent quand il fouille le vagin offert avec trois doigts,
écrasant le pouce sur le clitoris qui vibre sous les mouvements.
Elle gémit pour qu’il la pénètre mais il semble prendre
plaisir à retarder ce moment, voulant continuer à lui procurer lui aussi du
plaisir.
Marc gobe le bourgeon dans sa cachette de velours,
entreprend une succion irrésistible.
-Ah !… Ahhhhh !… Tu me tues !…
Oh ! Pas si fort, pas si vite. Je t’en prie.
Vaine prière qui signifie le contraire de ce qu’elle
exprime. Marc n’en a cure et continue de plus belle.
Josie s’efforce de se maîtriser, mais elle pressent
l’imminence de l’orgasme.
Marc branle le clitoris de plus en plus vite, le
besognant d’une succion fougueuse.
Le ventre de Josie devient dur comme de la pierre.
Elle a un brusque sursaut. Les vannes s’ouvrent. Une
série de secousses successives libèrent la liqueur suave, lui occasionnant des orgasmes presque ininterrompus.
Marc boit au bourgeon
cette sève d’amour, heureux d’avoir su l’arracher de ce corps si beau qui
maintenant se détend lentement, encore parcouru de frissons qui s’espacent.
Une bienheureuse fatigue tire les traits du visage.
-Merci, dit simplement Josie. C’était incroyable.
Il ôte sa main toute empoissée de suc et la lui fait
renifler.
Récit de Josie
Presque sans le vouloir, comme conduite par une autre volonté que la mienne, ma
main de s’est glissée entre nous et caresse son engin. Ma main baladeuse,
délicate se saisit du morceau.
J’observe le volume de l’objet ainsi fourbi qui augmente
sensiblement.
Je le flatte de mes doigts légers et voit la plénitude
virile qui se redresse sous la caresse.
Ma main entame un lent mouvement de va-et-vient. Je sens
que ce serpent vivant et chaudqui
occupe ma paume grossitencore.
C’est une chaude tige de bois dur qui palpite sous mes
doigts.
Soudain, je presse avec douceur les tissus au niveau du
gland, regardant s’ouvrir ce drôle de petit œil rosé, déposant tel une aile de
papillon un baiser dessus.
Il me tend un préservatif que j’enfile par manque
d’expérience avec difficulté sur sa verge.
Il veut prendre l’initiative. Sans se presser, il
commence de frotter sa verge sur mon cou,
mes joues, descend le long des bras, glisse sur la pulpe d’un sein, continue
sur mon ventre plat pour se perdre dans ma toison pubienne. Je ne bronche pas,
ce contact doux et chaud m’électrise. Je suis tendue mais passive.
Il remue légèrement les hanches, et le gland comme mû par
sa propre volonté appuie contre ma vulve chaude…Il accentue à peine la
pression, tout en pressant ses lèvres contre ma nuque inclinée. D’une étreinte
plus appuyée, il place son gland contre la vulve vierge.
-Vas-y doucement, je lui demande en gémissant en tentant malgré
moi, de me dérober à l’étreinte toute proche qui va me débarrasser de ma
virginité.
Faisant semblant de ne pas entendre, il accentue la
pression sentant contre son gland un creux d’humidité poisseuse.
Il sait qu’il n’a qu’à appuyer d’un coup de hanche pour
que le membre tout entier pénètre dans l’étroit fourreau…
Il caresse les fesses tendres, le ventre lisse, les
cuisses qui s’ouvrent pour lui. Il appuie son gland contre la vulve
J’ai la tète renversée sur l’oreiller, tandis que la
longue verge tente de se frayer un passage
entre les parois humides.
Ma vulve ruisselle, des gouttes de liqueur perlent de ma
toison blonde. Entre les bourrelets de chair glisse le cylindre noué de veines violettes
avec une puissance de piston.
Lorsqu’il pousse, je sens centimètre par centimètre,
s’écarter les parois de mon vagin dans un chuintement suggestif. Son gland
vient buter contre mon hymen.
Je le supplie :
-Maintenant ! Maintenant !
La cavité humide aspire son membre, je me tords sous lui,
il n’y a plus que soupir et gémissement, au rythme des mouvements qui tendent
alternativement les corps l’un vers l’autre.
Le sexe épais émerge un peu de mon fourreau, puis s’y
glisse à nouveau, toujours plus loin, toujours plus fort et soudain, il me
déflore…
-Non !!!!…. Ouiiiiii !!!….
Je crie des mots sans suite quand il me pénètre d’un coup
jusqu’au plus profond…
Il est ému quand il voit couler de ma conque le liquide
ambré tâché de rouge.
Mes jambes se détendent avec fureur avant de se replier,
mon ventre est agité de secousses comme si je recevais des décharges. J’agonise
sous le formidable soc de Marc.
La verge me
pénètre d’un trait au plus profond, et je pousse un cri rauque…
Mes hanches commencent à se tendre en cadence, mon vagin
se contracte pour mieux aspirer la verge dure. Il me fouille à grands coups de
son dard.
Je me tends encore vers lui, les traits contractés par
l’approche du plaisir. Je l’étreins passionnément, cambrant les reins pour mieux
le sentir.
J’halète, me débats sous lui, je plie mes jambes sous la
poitrine de Marc qui glisse en moi encore plus profondément, allant et revenant
toujours plus loin, toujours plus profond…
Il écoute monter mon plaisir dans mes halètements qui s’accélèrent,
s’amplifient…
Un gémissement semble me retenir au bord du vide, et j’éclate
soudain dans un cri long et rauque qui parait monter du ventre…
Marc, qui se retenait à la limite du possible, explose à
son tour et se déverse en moi sans se faire prier, je ressens son chaud liquide
qui se répand dans le préservatif avant qu’il ne s’abatte sur moi.
Il est tellement fou de moi ou de mon corps de rêve qu’il
rebande déjà et sa verge bat contre mon ventre. Il retire le préservatif et pose
d’autorité ma main fine sur la hampe ou elle entreprend un va-et-vient.
Je m’agrippe à lui, ouvre ma bouche ou il va s’engloutir et avale cette friandise
avec envie et le mord en gémissant, je ne me retiens plus et vais aussitôt me
ré empaler sur son phallus réalisant avec horreur mais trop tard qu’il n’a pas
eu le temps de remettre une capote.
Il me prend d’un
long mouvement régulier qui résonne jusque dans mes entrailles…
Il s’immobilise en moi puis me fait l’amour, longtemps,
patiemment, me faisant découvrir toutes les facettes de l’amour charnel.
L’orgasme me saisit une première fois, il me regarde
jouir les yeux mi-clos.
Il me prend ensuite en levrette, je crois qu’il fait ça
pour décharger à son tour, mais il ne semble pas pressé, désireux surtout de me
faire jouir en tous sens, à tous les rythmes, jusqu’à ce que je m’abandonne
une deuxième fois.
Je m’immobilise, épuisée, reprenant mon souffle et
murmurant.
-Tu n’as pas encore joui…
Il se contente de sourire, mystérieux et continue à me
saillir.
Je l’oblige alors à s’allonger sur le dos et m’assieds
sur lui, complètement empalée sur la verge toujours aussi rigide…
Je me baise ainsi, sauvagement pendant un temps infini
qui me laisse pantelante, épuisée, frissonnante d’amour…
Je me sens délaissée quand il se retire pour me mettre
sur le ventre attirant mon bassin à lui.
Je prends appui sur les paumes et les genoux et il me
fouille de nouveau, jouissant du spectacle de mes reins qui ondulent sous le
plaisir et de mes seins qui battent en cadence, allongés par la pesanteur…
Je veux le forcer à se rendre, il le sait et semble
prendre plaisir à résister.
De tous mes muscles, de toute ma science nouvelle de femme amoureuse de l’amour, je m’emploie
à lui faire perdre ce contrôle qu’il est si fier d’exercer.
Il halète toujours plus fort, il serre les dents en
gémissant, les yeux fermés et je sens enfin la tension se relâcher dans un
soubresaut de ses reins.
Il s’arc-boute tandis que son phallus dégorge en moi, par
à-coups, la laitance tant attendue.
A chaque sursaut de ce membre, une plainte rauque s’échappe
de ma bouche, un long cri qui exprime autant la jouissance ultime que le
désespoir d’en finir…
Ses halètements s’amplifient, il me sent s’arc-bouter
vers lui et un long cri s’échappe de sa bouche tandis qu’il me pénètre plus
violemment que jamais… Ses reins se tendent vers moi, et le sperme jaillit avec
les derniers soubresauts…
Nous nous affalons enfin l’un contre l’autre, étroitement
enlacés.
Ainsi finissent les mémoires de deux puceaux.
Pourvu qu’il ne m’est pas mise en cloque !!!!
Mais vous verrez qu’ils ne vont pas en rester là si je
décide d’écrire une suite. J’ai déjà quelques idées mais vous pouvez me donner
votre avis.
Mlkjhg39