En ce matin d’automne, la journée s’annonce belle, même si la température ne devrait pas dépasser les 10°. Comme chaque matin, je finis d’habiller mes enfants pour les emmener à l’école. À la sortie du lotissement, nous croisons une voisine qui me fait signe de m’arrêter.— Je n’arrive pas à démarrer ma voiture. Est-ce que vous pourriez emmener mes deux filles à l’école s’il vous plait ?— Bien sûr, pas de problème.Tandis que les deux filles montent dans ma voiture et se tassent à l’arrière avec mes enfants (j’en ai trois), je discute rapidement avec cette voisine pour essayer de comprendre son problème. Je lui propose de déposer les enfants et de revenir pour voir si je peux lui être utile pour faire démarrer sa voiture flambant neuve.Après un kilomètre de route où les enfants se sont chamaillés, du fait du manque de place, j’en dépose deux à l’école maternelle et trois à l’école primaire. Puis je fais le chemin en sens inverse espérant pouvoir remédier au problème, bien que mes connaissances mécaniques soient très limitées.— Alors, vous avez réussi à démarrer ?— Non, l’ordinateur de bord m’indique « problème injection ». Je ne comprends pas, elle n’a que 5000 km.— Il s’agit vraisemblablement d’un problème d’électronique. Si vous le souhaitez, je vous dépose à votre travail et vous pourrez contacter un garagiste pour prendre un rendez-vous.— Avec plaisir. Au fait, moi c’est Sandrine ; et vous ?— Jean-Louis.Nous nous croisions tous les matins sur le parking de l’école, mais nos échanges se limitaient au courtois « bonjour ». Nous engageons une conversation et j’apprends qu’elle travaille juste à côté de mon entreprise. Pendant qu’elle me raconte son métier (elle est agente d’assurance), je la détaille.Comme tous les jours, elle est habillée en jupe (ou en robe) dont la longueur laisse largement admirer ses genoux et ses tibias. Aujourd’hui elle a une jupe trapèze noire avec un tee-shirt moulant turquoise laissant deviner une poitrine 90C. Je devine une jarretière au sommet de ses bas, mais je ne peux déterminer s’il s’agit de bas up ou d’un porte-jarretelles.Dernier détail pour finir de décrire son anatomie : son cul. Elle a un cul disproportionné par rapport au reste de son physique. Elle doit faire un bon 46 de tour de taille qui est en contradiction avec la finesse de ses traits et le charme qu’elle dégage. Sans ce cul, elle serait vraiment splendide. Cependant, moi qui aime bien les femmes ayant des formes, je dois bien avouer qu’elle m’a toujours attiré. Je l’imagine d’ailleurs en string en dentelle noire…Vu la longueur des vêtements qu’elle met, elle n’est nullement complexée par ces fesses imposantes. Loin de là . Et je crois que cela contribue à l’attirance que j’ai pour elle.— Est-ce que je peux vous demander un autre service ?— Dites toujours, si cela est dans mes possibilités.— J’ai un rendez-vous médical de longue date ce midi. Ma collègue de bureau n’étant pas là aujourd’hui, je n’ai personne pour m’y emmener. Pourriez-vous une nouvelle fois jouer au taxi ?— Pourquoi pas ! Tout dépend de l’heure du rendez-vous et du lieu.— 12 h 30, au 5 rue Gustave Flaubert.— À priori pas de problème, ce n’est pas loin et je devrais être disponible. Je vous confirme cela dès que je suis arrivé au bureau et ai vérifié sous Outlook.— Merci beaucoup, j’ai mis beaucoup de temps à avoir ce rendez-vous, ça m’aurait ennuyée de le supprimer.Après quelques discussions informelles, nous arrivons à l’agence où je dépose Sandrine. Elle me remercie et nous convenons que je passerai la prendre pour 12 h 15.Arrivé au bureau, je lui confirme par mail que je suis disponible pour l’emmener.Par curiosité, je regarde quel type de profession médicale exerce à l’adresse qu’elle m’a donnée. Je ne trouve qu’un magasin de piercing ! En allant sur leur site internet, je constate, photos à l’appui, qu’ils sont spécialisés dans les piercings intimes.Sandrine aurait-elle rendez-vous pour un piercing intime ?Durant toute la matinée, je m’étais posé des questions sur l’objet de son rendez-vous. Était-ce réellement un rendez-vous médical ou allait-elle se faire percer une partie intime ?C’est donc très intrigué que, comme convenu, je récupère Sandrine à 12 h 15 à la sortie de son agence. En montant dans la voiture, j’avais la réponse à la question que je m’étais posée le matin : Sandrine avait un porte-jarretelles dont j’avais pu distinguer (lorsqu’elle s’était assise) une attache sur le bas. Je m’imaginais Sandrine à moitié nue et cela se traduisit immédiatement au niveau de mon pantalon.Durant le trajet, nous abordâmes des sujets classiques et c’est ainsi que j’appris qu’elle était en instance de divorce. Son mari l’avait quittée pour une jeunette.— Je ne le regrette pas, si ce n’est pour le sexe. Ce n’est pas qu’il était bon amant, mais c’est toujours mieux un sexe « en chair et en os » plutôt qu’en plastique, non ?Je fus surpris par la tournure que prenait notre discussion. Elle abordait avec moi des sujets intimes, alors que nous étions encore deux inconnus ce matin !Nous arrivâmes à l’heure à son rendez-vous et je trouvai sans difficulté une place pour me garer.— Je dois aller récupérer un objet dans la boutique à côté, juste avant mon rendez-vous. Je pense être de retour vers 13 h.— Pas de problème, je t’attends dans la voiture, j’ai pris mon PC portable pour travailler.Sandrine descendit de la voiture et se dirigea au n° 7 qui se trouvait être une boutique nommée « Songes de cuir ». Il s’agissait en fait d’un sex-shop ! Elle entra dans la boutique d’un pas décidé.Je me demandai ce qu’elle pouvait bien y acheter, peut-être un bijou pour son piercing ? Je regardai le n° 5 et ne constatai aucune plaque médicale, mais plutôt une boutique de piercing comme je l’avais trouvée sur Internet. Sandrine ressortit rapidement avec un petit sac à la main et s’engouffra au n° 5.J’étais excité par cette inconnue en porte-jarretelles qui allait vraisemblablement se faire percer les parties intimes. En attendant son retour, je décidai de mater un film X sur mon PC (« Mode » pour ceux qui connaissent).Je ne vis pas le temps passer, concentré sur mon film… Sandrine ressortit vers 13 h 10.— Ton rendez-vous s’est bien passé ?— Oui, très bien merci.— J’espère que ton rendez-vous médical n’était pas trop grave ?— En fait, il s’agissait d’un rendez-vous médical un peu spécial : je me suis fait mettre un piercing à la lèvre— Ah bon, je ne le vois pas ?Je jouais le naïf alors que j’avais très bien compris de quelle lèvre il s’agissait.— Je ne parlais pas de ces lèvres-là , mais de mes lèvres intimes. Tu veux voir ?— Avec plaisir…Sandrine remonta alors sa jupe. J’eus confirmation de la présence d’un porte-jarretelles noir et je découvris un tanga fendu noir en dentelle très sexy. Elle écarta le tanga pour laisser apparaître une splendide petite chatte quasi intégralement épilée. On pouvait effectivement y voir une petite boule percée au niveau d’une lèvre.— Ce n’est pas trop douloureux ?— Non. Et de toute façon, ce n’est rien comparé au plaisir que cela apporte lorsque l’on joue avec lors de cunni. Tu devrais essayer…— Effectivement, je devrais peut-être en parler à Chrystelle, ma femme. Cela pimenterait encore un peu plus notre vie sexuelle.— Pour moi, la difficulté, maintenant que je suis séparée de Laurent, est de trouver des langues charitables désirant jouer avec…Quel était le message de Sandrine ? Était-ce une avance ? Ou simplement les humeurs d’une femme en manque ?Elle remit en place son tanga et redescendit sa courte jupe sur ses jambes.— Pour te remercier, je t’invite à déjeuner dans un petit resto qui se trouve pas très loin. C’est tout simple, mais on y mange bien et on y est tranquille…— Avec plaisir, je n’ai pas de réunion prévue en début d’après-midi, je peux donc rentrer un peu plus tard à mon bureau.— Pour moi, c’est pareil, je ne rouvre l’agence qu’à 15 h.Nous reprenions donc la voiture. Il y avait environ un quart d’heure de route pour se rendre au restaurant. Nous reprenions tranquillement notre discussion. Après l’échange intime que nous venions d’avoir, le tutoiement était définitivement de mise.— Tu as pu travailler durant mon rendez-vous ?— Euh… en fait non, je n’ai pas eu le courage. J’ai préféré regarder un film.— Ah oui, lequel ?— Il s’appelle « Mode ».J’espérais que Sandrine ne me poserait pas plus de questions sur ce film. Je me voyais mal lui dire que j’avais regardé un film X en l’attendant !— Ah, je connais un film nommé « Mode ». Il s’agit d’un film X se déroulant dans le milieu de la mode. J’adore la première scène de gode entre les deux infirmières, ainsi qu’une scène de cunni entre deux femmes dans un petit salon très cosy.— Euh… oui, il s’agit bien du même film. Moi aussi, j’adore cette scène de cunni.La conversation dérapait littéralement.Je me dis alors que Sandrine devait être en manque et me tendait de nombreuses perches pour que nous passions à l’acte. Je décidai qu’à la moindre occasion, je lui sauterais dessus !Nous avons mangé dans ce petit resto sans chichi en abordant de nombreux thèmes anodins : météo, boulot… Au moment du café, Sandrine me proposa de venir le prendre à son agence.— Je suis une grande amatrice de café. J’en ai plusieurs sortes à mon agence. Viens le prendre avec moi si tu as le temps !— Avec plaisir, je suis moi aussi amateur de café.Nous retournions donc à son agence. Le discours dans la voiture fut cette fois plus conventionnel qu’à l’aller.Nous entrâmes dans son agence où l’ambiance était très « cosy ». De petits fauteuils en cuir faisaient office de salle d’attente, la lumière était douce (avec des stores vénitiens aux fenêtres) et Sandrine mit de la musique.Je choisis parmi les différents cafés, un café fort et suave. Sandrine en fit de même et alla préparer les cafés.— Installe-toi dans un des fauteuils en attendant.— Merci.Mon téléphone portable se mit à vibrer puis sonner. Je reconnus la sonnerie caractéristique d’un appel de mon épouse Chrystelle.— Allo, chérie ?— Oui, comment vas-tu ?— Bien.Je lui expliquai comment j’avais dépanné Sandrine le matin, puis son rendez-vous du midi. Pendant ce temps, Sandrine revint avec les cafés.— J’ai accompagné Sandrine à un rendez-vous. Elle s’est fait poser un piercing sur la lèvre. C’est très joli. Il faudrait que l’on en discute, ça t’irait très bien. Et puis, il paraît que pour les cunni…— Pourquoi pas, il faudrait que tu me présentes Sandrine pour que j’en discute avec elle.Pendant que je discutais avec ma femme, Sandrine s’approcha de moi, me défit ma ceinture et le bouton de mon pantalon et commença à me défaire mon boxer.Contrairement à moi qui hésitais sur ce que je devais faire, ma queue elle n’hésita pas et se mit rapidement au « garde-à -vous » sous l’action des caresses de Sandrine.Voyant l’effet que cela me faisait, Sandrine passa la vitesse supérieure et prit ma hampe en bouche pour une divine fellation. Je continuais à discuter avec mon épouse, mais celle-ci se rendit rapidement compte que j’étais absent.— Jean-Louis, tu as l’air absent, qu’est ce qu’il y a ?— Sandrine vient de me déshabiller et d’entamer une sublime fellation…— Sublime, tu veux dire mieux que les miennes ?— Différente, mais elle joue avec sa langue autour de mon gland d’une manière tellement érotique…C’était au tour de Sandrine d’être surprise par la situation.Je ne pense pas qu’elle s’imaginait qu’avec Chrystelle, nous étions un couple très libre et très libertin. Après ce moment de trouble, Sandrine se remit à me sucer de plus belle…— Il faut que je te laisse, ma chérie, à moins que tu ne veuilles participer par téléphone interposé ?— J’aurais bien voulu t’entendre jouir sous ses caresses, mais malheureusement, je dois partir en réunion… tu me raconteras tout ce soir.— Bien sûr. Bisous ma chérie.Pendant que Sandrine continuait à me sucer avec fougue, je lui expliquai brièvement que nous étions un couple très libre et que chacun avait le droit de faire ce qu’il voulait, du moment qu’il le disait à l’autre.— Tu suces divinement bien. J’adore lorsque tu tournes ta langue autour de mon gland…Sandrine en profita donc pour accentuer son jeu de langues tout en caressant mes couilles (fraîchement rasées).J’étais proche du point de non-retour, lorsque le téléphone de l’agence se mit à sonner. Après quelques hésitations, Sandrine arrêta sa pipe.— Excuse-moi, je pense que c’est mon chef !Sandrine se précipita alors sur le téléphone.— Allo ?— Allo Sandrine, c’est Maman. Je ne te dérange pas ? L’agence n’est pas encore rouverte ?— Non, Maman, l’agence n’est pas rouverte, mais j’étais occupé avec le dossier d’un client.À la tournure que prenait la discussion avec sa mère, je compris vite que la « vieille dame » avait envie de parler avec sa fille et que la conversation risquait de durer. Sandrine s’installa d’ailleurs confortablement sur un des petits fauteuils en cuir.Je décidai alors de la surprendre moi aussi. Je me dirigeai vers le fauteuil où se trouvait Sandrine et me mis à quatre pattes à ses jambes. Ma tête se trouvait au niveau de ses cuisses et je pouvais admirer avec plaisir son porte-jarretelles et son tanga noir fendu. Je commençai à lui caresser les cuisses puis laissai remonter mes mains sur ses seins. Sandrine ne semblait pas à l’aise, gênée certainement de la conversation avec sa mère.— Non, Maman, je ne pourrai pas aller à la messe de commémoration du 11 novembre.— As-tu une bonne raison ? Tu sais que ton père est très à cheval sur la religion et les commémorations de ce genre…À l’évidence, la famille de Sandrine avait tout de la bonne famille catholique. Je décidai de continuer mes caresses coquines pour voir la réaction de Sandrine.Je repassai mes mains sous sa jupe et laissai mes doigts remonter jusqu’à son tanga. Je trouvai rapidement la fente du tanga et je constatai avec plaisir que la caresse que m’avait prodiguée Sandrine l’avait excitée. Le bord de la fente de son tanga était tout humide…Je décidai d’écarter légèrement la fente du tanga pour accéder à une autre fente bien plus intéressante. En commençant à caresser les lèvres de Sandrine, je sentis qu’elle était très, très sensible, mais peut-être cela était-il dû à sa toute récente « intervention médicale ».— Maman, il faut que je te laisse, j’ai un double appel. Je te rappelle.Sandrine raccrocha le téléphone et se rapprocha du bord du fauteuil. J’en profitai alors pour lui retirer son tanga et Sandrine m’encouragea dans la suite des événements en retirant son petit tee-shirt moulant et en me demandant aussi de lui retirer sa jupe.Sandrine se retrouvait donc simplement en porte-jarretelles noir, bas noirs et chaussures à talons aiguilles maintenues sur sa cheville par une fine lanière de cuir ornée de quelques faux diamants. Je la trouvai terriblement sexy, ce qui accentuait mon excitation.— La personne qui m’a percé m’a interdit tout rapport vaginal pendant une semaine. Il va te falloir utiliser mes autres trous !En disant cela, Sandrine avait laissé glisser son corps sur le fauteuil et ses fesses débordaient de l’assise du fauteuil. Je pris les jambes de Sandrine que je positionnai sur mes épaules de manière à pouvoir accéder à son petit trou. Je commençai alors un anulingus qui ne laissa pas Sandrine indifférente.— Oh oui, vas-y, prépare-moi. Prends de la mouille de ma chatte et lubrifie-moi le fion !J’étais surpris par les paroles un peu crues de ma partenaire d’un jour, mais j’adorais cela.J’appliquai à la lettre ses consignes et introduisis un doigt dans sa chatte pour récupérer de la cyprine. J’effectuai ensuite des va-et-vient dans son anus pour préparer sa rondelle.— Vas-y, mets-m’en un deuxième et même un troisième…Mon index vint rejoindre mon majeur dans ce conduit que je continuais à ramoner tandis que mon autre main s’occupait des tétons de Sandrine. Je proposai alors à Sandrine de changer de position.— Allonge-toi par terre.Sandrine s’exécuta et je vins sur elle tête-bêche (tel un 69). Je repris la masturbation de l’anus à l’aide de mes deux doigts tandis que Sandrine prenait ma verge en bouche. Je commençai à sentir une certaine dilatation de son conduit et ma verge étant bien lubrifiée par les caresses buccales de Sandrine, nous décidâmes de passer aux « choses sérieuses ».— Tu veux me prendre comment ? En levrette, en Andromaque ou la position de la balançoire ?— J’adore la position de la balançoire. Ça me permettra d’admirer ton cul et ton tatouage (au niveau de la chute de reins)Je m’allongeai à même le sol (heureusement que le sol de l’agence était couvert de moquette) et Sandrine m’enjamba, me tourna le dos et m’offrit la vision de son majestueux cul.Elle prit ma bite entre ses mains et commença à venir s’empaler.Bien que j’aie dilaté son petit trou pendant cinq bonnes minutes, la pénétration ne fut pas aisée. J’en fus étonné car le diamètre de son trou paraissait inversement proportionnel à la taille de son cul et je ne suis pas exagérément bien membré (dans la moyenne) !Cependant Sandrine ne paraissait pas être perturbée par cette pénétration un peu difficile et semblait même apprécier ce moment.— Oh oui, vas-y. Force le passage ! Cela fait un bon moment que je n’ai pas senti une vraie bite dans mon petit trou.Et Sandrine joignit le geste à la parole en venant complètement s’empaler sur mon étendard fièrement dressé.Je dégustai ce moment me permettant de découvrir de nouvelles sensations. Nous pratiquions la sodomie avec mon épouse Chrystelle, mais son trou était beaucoup plus large et cela me procurait nettement moins de plaisir.Avec Sandrine, j’appréciais le difficile coulissement de ma verge dans son trou qui amplifiait les émois que cela me procurait. Complètement excité par la situation (enculer une « inconnue » à même le sol dans une agence d’assurance), je sentais mon plaisir croître et me rapprocher du point de non-retour.— Vas-y, Sandrine, accélère. Empale ton gros cul sur ma queue. Fais-moi jouir…Je me concentrai sur les sensations ressenties et sur le tatouage de Sandrine (un symbole Maori) tandis que Sandrine appliquait à la lettre mes demandes.Tout à coup la porte du fond de l’agence s’ouvrit…— Merde, la femme de ménage ! Je l’ai complètement oubliée celle-là  !Effectivement, nous vîmes apparaître Maria, la femme de ménage portugaise (je sais, ça fait cliché, mais c’est vrai).Maria était une femme, dirons-nous, dans la force de l’âge, bref, entre 50 et 60 ans. Elle ne nous remarqua pas immédiatement, mais de toute façon, de là où nous étions, nous ne pouvions nous rhabiller sans qu’elle nous remarque.Les yeux de Maria tombèrent sur nous et elle fut véritablement surprise de trouver Sandrine dans cette situation embarrassante. Cependant, elle ne se laissa nullement perturber.— Bonjour Madame et Monsieur. Je fais comme si je ne vous avais pas vus. Vous savez, j’en ai vu d’autres : j’ai été femme de ménage dans un sex-shop, alors… Continuez votre affaire, ne faites pas attention à moi !— Euh, merci Maria, mais là , vu la situation…— Ne vous en faites pas, je vous dis, je vais aller nettoyer les toilettes, comme ça vous pouvez continuer tranquillement. Ah oui, seule remarque, ce serait bien que le monsieur ne mette pas de son sperme sur la moquette. Ça tache !Et Maria quitta la salle comme elle était entrée.Suite à cette perturbation, je bandais mou. Mais Sandrine, nullement gênée par l’interruption de Maria, voulait finir notre partie fine. Elle reprit ma pine en bouche pour lui redonner de la vigueur puis se mit à quatre pattes.— Vas-y, prends-moi en levrette. Fais-moi aboyer de plaisir.Je me remis à l’ouvrage, mais j’étais perturbé.Je parvins tout de même à faire jouir Sandrine, mais pas d’orgasme de mon côté. C’est Maria qui allait être contente, pas de jute sur la moquette !Avant que nous nous rhabillions, je pris en photo avec mon téléphone la chatte de Sandrine pour montrer son piercing à mon épouse Chrystelle.Depuis, Chrystelle & Sandrine se sont rencontrées pour discuter piercing. Je pense qu’un de ces quatre, elles auront l’occasion de comparer leurs piercings, mais nous ferons ça à la maison (et pas le jeudi, jour de passage de notre femme de ménage…)