« Quel temps de chien ! ». Bertrand pestait en regardant l’eau dĂ©gouliner sur le pare-brise de sa voiture. Cela devait faire une demi-heure qu’il Ă©tait coincĂ© dans ce fichu embouteillage. Les essuie-glaces chuintaient Ă force d’endiguer la pluie qui venait fouetter la voiture, par vagues. Les façades tristes et humides, les parapluies qui s’entrechoquent sur le trottoir, dirigĂ©s Ă tâtons par des piĂ©tons au regard maussade, le spectacle Ă©tait bien triste. Quinze jours de flotte quasi ininterrompue avait eu raison des meilleurs Ă©tats d’esprit et il en allait de mĂŞme pour Bertrand.Il ne lui restait plus qu’à se caler le plus confortablement possible dans son siège et attendre, encore, que la circulation le libère. Il avait rendez-vous chez sa dentiste et la perspective du retard ne faisait qu’ajouter au dĂ©plaisir qu’il Ă©prouvait Ă l’idĂ©e d’une sĂ©ance de dĂ©tartrage dont il se serait bien passĂ©. De fait, il devait reconnaĂ®tre que sa situation n’était pas enviable. VoilĂ deux mois qu’il cherchait Ă quitter son emploi actuel. Il fallait qu’il trouve un nouveau dĂ©bouchĂ©. Ses recherches infructueuses le rendaient morose. Plus de petite amie depuis sa dernière sĂ©paration aussi pĂ©nible que dĂ©finitive et un compte en banque qui commençait Ă ressembler au dĂ©sert de Gobi, Ă forcer de puiser pour compenser le mal-ĂŞtre.Pourtant, Bertrand sourit en se disant qu’après tout, dans son malheur, il avait de la chance. Sylviane Perrin, sa dentiste, Ă©tait une belle femme, Ă©panouie, douce et attentive. Ils se connaissaient depuis longtemps et leur passion commune pour l’équitation en avait fait des amis. Bien que la diffĂ©rence d’âge soit importante – Bertrand avait 28 ans, Sylviane 50 – ils s’entendaient bien et conversaient de tout. Sylviane Ă©tait mariĂ©e avec Pierre, un ingĂ©nieur, dont les frĂ©quents voyages sous latitudes tropicales avaient donnĂ© un teint bronzĂ© et des traits burinĂ©s. Ă€ 55 ans, il avait mis la pĂ©dale douce et passait plus de temps Ă jardiner qu’à travailler. Leurs deux enfants avaient terminĂ©s leurs Ă©tudes universitaires et quittĂ© le bercail.Bertrand, quant Ă lui, devait encore construire sa carrière et les conseils de Pierre lui apportaient un soutien bien utile.Enfin, la circulation se fit plus fluide : la pluie s’était calmĂ©e ; il allait enfin pouvoir rouler Ă meilleure allure. Un quart d’heure plus tard, Bertrand sortit du boulevard pĂ©riphĂ©rique et emprunta la nationale qui le menait chez Sylviane et Pierre. La vision de cette campagne verdoyante, si humide fĂ»t-elle, lui mettait du baume au cĹ“ur, elle qui contrastait tellement avec le bĂ©ton et l’acier des ensembles qui ceinturaient son quartier.« Plus que dix bornes et j’y suis », pensa Bertrand. Il fouilla dans sa poche et finit par trouver son portable.— Allo, Sylviane ?— Oui, c’est toi Bertrand ? Tout va bien ? Je t’attendais Ă 14 heures, non ?— Tu as raison mais je suis restĂ© bloquĂ© dans un embouteillage… Dis-moi, est-ce que Pierre est lĂ Â ? J’aimerais discuter un peu avec lui après le traitement, je suis en pleine phase d’entretiens d’embauche et…Bertrand n’eut pas le temps de finir sa phrase. Sylviane lui confirma rapidement que son mari Ă©tait lĂ mais qu’elle ne pouvait prolonger la discussion car elle Ă©tait en plein travail.Satisfait, Bertrand s’excusa et Ă©teignit son appareil ; il alluma la radio tout en rĂ©flĂ©chissant aux diffĂ©rents points qu’il allait aborder. Il soupira d’aise en voyant au loin se profiler le clocher du village.Bertrand bifurqua Ă gauche et se dirigea vers la villa. Après avoir passĂ© la grille, il entra dans la propriĂ©tĂ©. Les magnolias du parc et la foultitude d’essences d’arbres qui le bordaient apportaient une touche très romantique. « DĂ©cidĂ©ment, cette propriĂ©tĂ© est vraiment magnifique. Ah si je pouvais un jour me payer ça! » se dit-il, rĂŞveur.Les pneus crissèrent sur le gravier blanc lorsqu’il s’arrĂŞta devant l’imposante masure. Il prit soin de verrouiller ses portières puis fit la grimace. « Comme si on allait me la voler ici ! » siffla-t-il.Il se dirigea vers l’entrĂ©e de la maison. Au moment d’appuyer sur la sonnette, un nouvel orage Ă©clata, transformant en quelques secondes l’escalier en cascade et le perron en piscine. Bertrand eut juste le temps de s’engouffrer Ă l’intĂ©rieur quand la gouvernante vint lui ouvrir, que dĂ©jĂ il Ă©tait Ă moitiĂ© trempĂ©. Margoth, la charmante intendante de la famille Perrin, une PĂ©ruvienne dont le teint mat et le caractère jovial n’avaient pas Ă©tĂ© altĂ©rĂ©s par notre climat tempĂ©rĂ©, s’empressa de passer une couverture sur les Ă©paules de Bertrand tout en le guidant vers la salle d’attente.A peine s’était-il installĂ© que Sylviane entra en coup de vent, affichant un large sourire. Elle l’embrassa sur les deux joues et lui glissa rapidement : « J’en ai encore pour une dizaine de minutes. J’ai prĂ©venu Pierre de ta venue et vous pourrez discuter Ă l’aise tout Ă l’heure ».Alors que Sylviane l’eut saluĂ©, Bertrand s’assis dans la petite salle d’attente, aux murs couverts d’affiches vantant les mĂ©rites de la prĂ©vention dentaire. Le regard vide, il ne put s’empĂŞcher de regretter avoir abandonnĂ© ses Ă©tudes de mĂ©decine pour entrer trop tĂ´t et sans rĂ©el bagage, dans la vie active. DĂ©lĂ©guĂ© mĂ©dical dans un grand groupe pharmaceutique, il vĂ©gĂ©tait avec un salaire inadaptĂ© et un CDD qui le maintenait sous pression. Tentant de chasser sa dĂ©prime, il eut un grand soupir puis se dĂ©tendit en reposant son dos sur la chaise.Quelques minutes plus tard, il entendit Sylviane raccompagner sa patiente Ă la porte et appeler Bertrand.« Bon, Ă toi maintenant », lui dit Sylviane qui passa la tĂŞte dans la salle d’attente. Il se sourirent et Bertrand entra dans le cabinet.Après vĂ©rification, il s’avĂ©ra que tout allait bien pour Bertrand et que le dĂ©tartrage ne serait pas prĂ©cĂ©dĂ© d’un pĂ©nible curetage. Le gros soupir de soulagement qu’il poussa ne passa pas inaperçu et Sylviane ne put s’empĂŞcher de rire.— Mais enfin Bertrand, tant de stress pour si peu de choses ?— Tu as raison, Sylviane, comme quoi, il ne faut jamais s’angoisser !Sylviane le regarda en silence pendant quelques instants. Son regard Ă©tait chaleureux, teintĂ© d’une touche d’empathie. Bertrand se sentit mal Ă l’aise mais en mĂŞme temps, très Ă©motionnĂ©. Il ne put s’empĂŞcher de l’admirer ; du regard, il saisit les belles courbes de son corps, le galbe de ses seins très gĂ©nĂ©reux, qui tendaient le tissu de sa blouse blanche. Depuis toujours, il l’avait trouvĂ©e très sĂ©duisante tout en faisant fi de tout Ă©lan amoureux ; lĂ , ses pensĂ©es semblaient dĂ©sormais dĂ©passer le stade de la platonique amitiĂ©.Lorsqu’elle se pencha au-dessus de lui et introduisit ses doigts entre ses lèvres pour insĂ©rer le tuyau de succion pour commencer le dĂ©tartrage, le contact de leur corps lui fit l’effet d’un choc. Abasourdi par ses propres Ă©motions, tourneboulĂ© par le changement de perspective, il ne put que se laisser faire tout en espĂ©rant ne pas ressentir de douleur qui aurait pu briser le charme.Il se concentrait sur les mouvements de Sylviane, tant dans sa bouche que le long de son corps. Très vite, il s’aperçu que Sylviane agissait autrement qu’à l’habitude. Elle semblait donner Ă ses gestes un tempo plus lent, plus insistant, ne manquant aucune occasion de se rapprocher de lui, ni de l’effleurer. Le nettoyage de ses dents se passait comme dans un rĂŞve, sans aucune douleur et ponctuĂ© de gestes si prĂ©venants que Bertrand finit par se demander si Sylviane avait bien conscience que c’était lui, Bertrand, qu’elle soignait Ă prĂ©sent. Elle, d’habitude si diserte, ne parlait presque pas. Alors qu’elle poursuivait le travail, Bertrand fit glisser son bras droit entre leur deux corps. Il sentit la pression nette des hanches de Sylviane sur son bras. Elle cherchait le contact avec son pubis, il en Ă©tait sĂ»r. L’érotisme de l’instant le subjugua. Tant d’innocence, de charme…DĂ©tachant son regard fixĂ© sur la fenĂŞtre qui lui faisait face, Bertrand tourna les yeux vers la droite. LĂ , Ă quelques centimètres de lui, majestueux, les seins de Sylviane lui apparurent, engoncĂ©s dans la blouse de travail, accompagnant nonchalamment chacun des mouvements de Sylviane.Bertrand avait remarquĂ© depuis longtemps l’opulence de Sylviane mais, lĂ , dans l’instant, ils lui semblaient plus gros que jamais. N’osant plus croiser le regard de son amie, Bertrand voulut baisser les yeux. C’est alors qu’il remarqua que les tĂ©tons s’étaient Ă©rigĂ©s et pointaient vers lui, arrogants et lascifs.L’instant devint Ă©ternitĂ© quand Sylviane glissa lĂ©gèrement et appuya sa grosse poitrine sur celle de Bertrand. Leurs corps s’épousèrent pendant quelques secondes, bien assez pour que Bertrand dut instantanĂ©ment croiser les mains pour tenter de cacher une magnifique Ă©rection.— Oups, excuse-moi, j’ai glissé…Bertrand ne pouvait rĂ©pondre mais son visage cramoisi dut faire pitiĂ© Ă Sylviane, qui ajouta en riant:— J’espère que je ne t’ai pas fait mal, hein !Sylviane reprit son intervention Elle se replaça et ne semblait pas gĂŞnĂ©e par son bras, que du contraire. La pression des hanches Ă©tait toujours aussi insistante Ă tel point que Bertrand avait l’impression qu’elle se frottait litĂ©ralement Ă lui.Alors qu’elle finit son travail, le regard de Sylviane passa incidemment sur les mains de Bertrand. Il sembla alors au jeune homme que sa dentiste remarqua qu’une grosse bosse s’était formĂ©e mais elle n’en dit rien.Quelques minutes plus tard, Sylviane avait terminĂ©.— VoilĂ , Bertrand, te voilĂ dotĂ© d’un sourire de star !— SĂ»rement grâce Ă tes doigts de fĂ©e !Sylviane et Bertrand se regardèrent intensĂ©ment et dans le flottement de l’instant, ils semblaient jouir de l’ambiguĂŻtĂ©. Sylviane avait remarquĂ© la belle protubĂ©rance et jaugeait l’épaisseur et la longueur de l’engin. Un bouffĂ©e de chaleur l’envahit alors qu’elle essayait tant bien que mal de se contenir. Dans un sursaut de conscience, elle s’écarta du fauteuil et rangea ses outils de travail.Bertrand, la gorge nouĂ©e, la regardait. Sylviane lui faisait dos Ă prĂ©sent. L’atmosphère Ă©tait lourde. Soudain, sans qu’il eut le temps de se reprendre, il lâcha :— J’aime regarder tes fesses…Rouge de confusion, paniquĂ© mĂŞme par sa propre remarque, Bertrand se mordit les lèvres. Ă€ peine eut-il voulu corriger le tir que dĂ©jĂ Sylviane s’était retournĂ©e. Elle s’adossa au rebord du plan de travail et y posa les coudes. Elle semblait très calme. Le genou lĂ©gèrement pliĂ©, elle semblait poser pour un photographe. Son sourire naissant calma quelque peu Bertrand. Sylviane le fixa du regard et lui dit :— Il faut attendre dix minutes avant que l’anesthĂ©siant ne fasse plus d’effet. En attendant, je continue Ă ranger mon matĂ©riel, d’accord ?— Euh…ou…oui, o..okSylviane Ă´ta sa blouse de travail lentement. Bertrand ne put s’empĂŞcher d’arrondir les lèvres de surprise. Il ne put dire un mot. Sylviane lui sourit et se retourna pour vaquer au plan de travail.A prĂ©sent, Bertrand avait tout le loisir de dĂ©tailler les formes de Sylviane. Elle portait un jeans qui mettait ses fesses Ă©panouies en valeur. Les rondeurs de son cul Ă©taient dĂ©licatement sĂ©parĂ©es, laissant apparaĂ®tre un espace en triangle tout en haut des cuisses, lĂ oĂą la vulve se fait abricot fendu. Bertrand scrutait chaque frĂ©missement qui secouait les belles fesses de son amie. Plus haut, le chandail rouge trahissait la partie postĂ©rieure du soutien-gorge qui, manifestement, avait bien du mal Ă soutenir des seins lourds et larges.— Alors, mes fesses, tu les vois mieux comme ça ?Sylviane ne s’était pas retournĂ©e en disant cela. Elle continuait Ă nettoyer ses outils calmement.— Et quand je me cambre, c’est plus excitant ?Bertrand n’en croyait pas ses oreilles. Sylviane, qu’il connaissant depuis si longtemps, toujours souriante mais plutĂ´t rĂ©servĂ©e, qui lui parlait si franchement, qui le laissait ouvertement mater…— J’ai mis un string. Ça permet aussi de deviner la chatte. Regarde bien…A cet instant, Sylviane se retourna et regarda en direction du pubis de Bertrand.— Moi, en tout cas, je vois que ta bite est raide…et grosse !— Euh..Sylviane… Ecoutes…euh— Tu sais, ça m’excite de savoir que tu bandes en regardant mon cul ! Et ça m’excite de regarder ta trique. Parce que tu as une longue gaule, hein, mon cochon ! Regarde-moi ça, une longue saucisse toute dure… !Sylviane lui faisait face. Ses deux Ă©normes globes tendaient le chandail et les tĂ©tons, Ă©lĂ©gamment posĂ©s, donnaient Ă ses seins le galbe de deux très grosses poires. Son jeans serrant exhibait les grosses lèvres de sa moule. Sylviane tira lĂ©gèrement sur la ceinture de son pantalon.— Quand je tire lĂ , les plis de la chatte sont encore plus visibles. Tu aimes ? Et le reste, tu aimes aussi ? Mes gros nichons ? Je suis sĂ»re que tu as remarquĂ© que mes tĂ©tons sont durs. Regardes, quand j’y touche, ils grandissent encore ! Il y a longtemps que tu les mates, je le sais…Joignant le geste Ă la parole, la dentiste se mit Ă titiller le bout des seins. Prenant les globes Ă pleine main, Sylviane commença Ă se masser les seins devant lui.— Allez, Bertrand, montre-moi ta grosse bite ! Main-te-nant !Sylviane lui avait lancĂ© cela tout le dĂ©visageant. Bertrand ne rĂ©pondit pas ; il dĂ©boutonna son jeans lentement et baissa son pantalon, libĂ©rant sa grosse bite qui dardait fièrement, Ă©paisse, longue et raide, formant un lĂ©ger arc de cercle, ses couilles gonflĂ©es, de la taille d’un Ĺ“uf, chacune lascivement lovĂ©es entre les cuisses.Toujours debout, adossĂ©e au plan de travail, Sylviane eut un petit hoquet, contemplant avec dĂ©sir ce beau et gros paquet exposĂ© Ă sa vue.— Ooooh ! Petit salaud ! Quelle mandrin ! Allez, joue avec ta grosse pine… Tu es encore mieux montĂ© que je ne le pensais ! Dis-moi des choses et regarde-moi bien !Brisant lĂ toute vĂ©lĂ©itĂ© de retenue, les paroles de Sylviane mirent Bertrand dans un Ă©tat d’excitation qu’il ne put plus rĂ©primer.— Sylviane, tu es une vraie pute. Oui, tu me fous la trique, oui, tu me fais bander !! Enlève ce putain de chandail et montre-moi tes grosses mamelles…— Sale cochon, tu aime ça, hein, les gros nichons de ta petite Sylviane… Allez, dis-le !— Oui, salope ! Aah, ouaaiiis, voilĂ Ă Ă ce que je voulais mater. Regarde-moi ces outres, putain, quelle paire !!— Tu m’exciiiiiiites, fumier ! Astique-toi, Bertrand, branle ton gros gourdin !— Et ta grosse chatte qu’on voit au travers de ton jeans…tu le fait exprès pour exciter tes patients ? Hein, allez, avoue !— Tu veux la mater, hein, ma moule ? Branles-toi plus vite ! Tiens, prends ce savon liquide et lubrifie-toi la queue, salaud… Je veux entendre le bruit quand tu la secoue…— Allez, grouilles-toi que je puisse tout mater en me branlant !— Oh ces couilles, Bertrand, quelles grosses couilles, tu as…— Dis, avec ce cul, tu n’a jamais pensĂ© Ă te faire enculer ?— ArrĂŞte, Bertrand, tu m’excites troooooop !!!— Astiques-toi la monniche, Ă©carte les cuisses, pouffiasse, je veux tout voir !— Ooooh.. Bertrand… j’ai l’impression de pisser tellement je mouille !— C’est ça, mouille bien ma salope ! Tu pisseras quand je t’aurai rempli de foutre !— Aahhh… oui, je mou-ou-ille…C’est bon quand tu te branles devant moi !— Ça te plaĂ®t, une bonne queue, hein ? Une bonne grosse bite bien dure, pour te dĂ©foncer la rondelleSylviane s’était Ă nouveau retournĂ©e. PenchĂ©e en avant, elle prit ses fesses Ă pleines mains et les Ă©carta :— Mate-moi ce petit trou… Dis-moi que tu aimerais m’enculer !— Sylviane, tu es une vraie grosse pute… Une grosse pouffiasse qui aime la bite, et surtout dans le cul… Si tu continues, je te fourre mon saucisson dans la rondelle jusqu’à ce que tu m’implore d’arrĂŞter…— Bertraaaaand….Oooh…ouiiii…— Je vais cracher, salope, je vais t’en foutre plein le cabinet !— Je vais jouir, Bertraaaaaaaaaaaandd… Lâche-tout…ouiiii… mets du foutre partout !Dans un spasme synchronisĂ©, Sylviane et Bertrand atteignent l’orgasme, l’un dans un cri rauque, l’autre dans une sĂ©rie de jappements sonores… Bertrand parvient Ă orienter sa queue vers Sylviane qui reçoit les jets de sperme sur la cuisse, la main et le bas du jeans.Elle s’effondre, accroupie, haletante, tandis que Bertrand se cambre une dernière fois dans le fauteuil. Les amants se jaugent, le regard vague, incapables de rĂ©flĂ©chir, anĂ©antis par la jouissance.Les instants passent dont le silence est Ă peine interrompu par leurs soupirs. Bertrand se redresse lentement, se lève et s’approche de Sylviane. Reprenant leurs esprits, les amis d’hier, amants aujourd’hui, s’enlacent doucement.— Sylviane… Je n’ai jamais joui comme ça !— Le plaisir fut partagĂ©, mon grand. Laisses-moi me refaire une beautĂ© et allons prendre un verre avec Pierre ; il doit nous attendre après tout…Alors que Sylviane s’efface par la porte dĂ©robĂ©e, Bertrand marche lentement dans le cabinet dentaire, soudain gagnĂ© par la culpabilitĂ©. S’il avait ressenti un attachement certain vis-Ă -vis de Sylviane, jamais il n’aurait cru que la libido allait prendre le dessus. Maintenant qu’elle n’était plus auprès de lui et que ses sens s’étaient calmĂ©s, l’anxiĂ©tĂ© s’empara de lui. Leur relation, et surtout la relation avec Pierre, allait-elle ĂŞtre dĂ©truite ? Bertrand allait-il devoir s’expliquer voire subir les foudres de ses amis ? Tout cela a un moment oĂą il avait tellement besoin d’eux.Au bout d’un quart d’heure, perdu dans ses pensĂ©es, il ne vit pas Sylviane qui entra dans la pièce, enveloppĂ©e dans un peignoir de bain. Le bas de ses jambes bronzĂ©es contrastaient avec la blancheur de l’épais coton Ă©chancrĂ© et tendu par sa poitrine tellement opulente. Elle s’accouda au chambranle de la porte, la tĂŞte penchĂ©e sur le cĂ´tĂ©,souriante et cernĂ©e, les cheveux humides encadrant son charmant visage Ă©panoui.— Viens, Bertrand, Pierre nous attend…— Mais…— Ne t’inquiète pas, nous venons de parler de toi…Ses paroles se ponctuèrent d’une moue Ă©nigmatique, Ă mi-chemin entre la tendresse et le dĂ©sir.Bertrand pris sa veste et son dossier et suivit Sylviane dans la maison. Quand ils entrèrent dans le vaste salon doublĂ©e d’une vĂ©randa en fer forgĂ© aux dimensions gĂ©nĂ©reuses, Pierre Ă©tait assis dans un fauteuil club en cuir. Bertrand remarqua que lui aussi portait un peignoir de bain. Il leur sourit et les accueillit chaleureusement.— Ahh Bertrand, te voilĂ Â ! Comment vas-tu mon garçon ? Installes-toi…Un peu hĂ©sitant, Bertrand lui sourit et le remercia sans vraiment savoir comment poursuivre la conversation. Il s’assit dans le club situĂ© en face de Pierre. Entre-temps, Sylviane s’était installĂ©e dans le grand sofa. Elle croisa les jambes et le peignoir se fendit jusqu’à mi-cuisse. Bertrand le remarqua tout de suite. Il n’en croyait pas ses yeux… Mais que ce passait-il donc ?Margoth, la gouvernante, apporta le thĂ© et les biscuits puis repartit en silence en dodelinant les hanches. Bertrand la suivit des yeux ; quand il tourna la tĂŞte vers le couple pour reprendre la conversation, il vit que Sylviane et Pierre se souriaient.— Dis-moi, Bertrand, comment avance ta recherche d’emploi ? le demanda Pierre.— Bof, pas terrible pour l’instant, je vois beaucoup de monde mais rien de vraiment concret, malheureusement…— Tu m’a l’air tellement dĂ©primé… Si tu affiche cette mine-lĂ lors des entretiens, tu risque d’être déçu ! Allez, Bertrand, relax, dĂ©tends-toi, sois positif !— Tu as raison, Pierre, mais ce n’est pas facile. Mais c’est vrai, il faut que j’adopte une autre attitude.— C’est ça, une autre attitude, plus franche, plus dĂ©cidĂ©e et, surtout, plus confiante !Sylviane s’était levĂ©e et s’approcha de Bertrand. Elle s’agenouilla sur l’accoudoir, juste Ă cĂ´tĂ© de lui et lui passa tendrement la main dans les cheveux.— Tu sais, Pierre, je pense que ce garçon devrait passer quelques jours chez nous, histoire de faire une cure de jouvence !Ils Ă©clatèrent de rire. L’ambiance Ă©tait bonne et Bertrand se sentait entourĂ© et soutenu, exactement ce dont il avait besoin. Pierre s’était levĂ© Ă son tour et s’était assis sur l’autre accoudoir. Il passa son bras autour des Ă©paules du jeune homme et lui donna quelques paroles d’encouragement.Il sentit leur prĂ©sence, si proche, et l’émotion le gagna. Il se dĂ©tendit et se laissa aller. Pierre et Sylviane se regardaient intensĂ©ment mais il ne pouvait s’en rendre compte. Machinalement, Bertrand tourna la tĂŞte de chaque cĂ´tĂ© et la gorge se noua lorsqu’il s’aperçu que les pans ouverts des peignoirs de Pierre et Sylviane ne masquaient plus rien de leurs bas-ventre. La toison fournie de Sylviane nichĂ©e entre ses cuisses cuivrĂ©es et charnues, les jambes musclĂ©es et glabres de Pierre, entre lesquelles trĂ´nait une queue Ă©paisse et longue, mollement abandonnĂ©e sur la cuisse gauche, ne cachant rien de lourdes bourses.Le palais dessĂ©chĂ©, Bertrand tendit la main pour boire du thĂ© mais ne parvint pas fournir l’effort nĂ©cessaire. Il se sentait tĂ©tanisĂ©. Et de plus en plus Ă©moustillĂ©, aussi. Le silence pesant, leur proximitĂ©, la vue de ces corps, le souvenir vivace de la sĂ©ance avec Sylviane, tout portait aux sens.Sylviane lui caressait doucement la tĂŞte. Le couple se rapprocha encore et Bertrand sentait maintenant leur chaleur, Ă chaque instant plus intense. Soudain, la caresse de Sylviane se fit pression. LĂ©gère et très douce mais dĂ©cidĂ©e. Sans qu’il pĂ»t ni voulĂ»t rĂ©sister, son visage se fit tourner imperceptiblement vers la droite, en directement de Pierre. Bertrand ne pouvait plus douter du geste de Sylviane. Elle l’entraĂ®nait vers la queue de Pierre, dĂ©jĂ bien gonflĂ©e, que ce dernier titillait des doigts. Dans la tĂŞte de Bertrand, des flots de pensĂ©es s’entrechoquèrent, lui Ă´tant toute facultĂ© de rĂ©flexion. Il Ă©tait lĂ , assis entre Sylviane et Pierre, Ă quelque centimètres de la queue, raide et dure, prĂŞt Ă commettre l’irrĂ©parable.— Suce-le, mon chĂ©ri, goĂ»te-moi cette belle grosse bite…La voix de Sylviane l’envoĂ»ta complètement. Pierre joignit la main Ă celle de son Ă©pouse et guida la bouche de Bertrand, qui goba maladroitement la grosse pièce.— Oui, c’est ça Bertrand, suce-moi, lentement, tĂŞte-moi la biteSylviane embrassa Bertrand dans le cou. Sa langue jouant avec les plis, glissa avec un Ă©rotisme torride jusqu’à son oreille, qu’elle fouilla Ă petits bruits humides. Il entendit son souffle rĂ©sonner dans sa tĂŞte.— Tu m’excites, Bertrand… Pompe-lui la queue, mon chĂ©ri…suce-le bien… Ouiiii…Mmmmmmm….Ooohh… Je vois sa trique dans ta bouche…Ouiii….— Il suce bien, Pierre, ça te convient, mon grand loup ?— Et comment ! Il a une bouche de pro !Les chuchotements salaces de Sylviane et Pierre achevèrent Bertrand. Il agrippa la longue bite de Pierre des deux mains et le branla tout en le suçant, fouillant l’intĂ©rieur des cuisses et caressant les couilles pesantes de cet homme mĂ»r.Bertrand Ă©tait au comble de l’excitation. Pendant un instant, il arrĂŞta de pomper la queue pour se dĂ©boutonner et extraire sa pine toute raide et ses couilles, douloureusement coincĂ©s dans son slip. Sylviane se mit Ă genoux entre ses cuisses et se mit Ă le sucer goulĂ»ment. Bertrand repris la queue de Pierre en bouche. Il sentit sur le bout de la langue un goĂ»t âcre et salĂ© qui prĂ©figurait la jouissance toute proche. Pierre lui maintenait la tĂŞte fermement et accompagnait l’ardeur de Bertrand par de lents mouvements du bassin. Sylviane le branlait tout en suçotant la bite en lui malaxant les couilles qu’elles prenait Ă pleines mains.— Je…Je vais lâcher, cria PierreSylviane se redressa et prit le relais de Bertrand. Ă€ peine quelques secondes plus tard, Bertrand vit Pierre se cambrer et jouir dans une succession de cris rauques. Il vit Sylviane avaler le foutre de son mari, les yeux ronds, le regard vide, concentrĂ©e sur sa tâche. Pas une goutte ne fut perdue. Elle mit quelques instants Ă avaler le liquide chaud et gluant puis, rassasiĂ©e, elle s’assit en tailleur sur le sol en souriant.Pierre tapota sur l’épaule du jeune homme. Ils se sourirent puis se tournèrent vers Sylviane, radieuse.— Ah mes chĂ©ris, quel bonheur ! lança-t-elle— Dis-moi, ma louloute, rĂ©pliqua Pierre, tu ne crois pas que notre protĂ©gĂ© Ă droit Ă son Ă©jac’ ? Ou alors la sĂ©ance dans le cabinet lui a-t-elle vidĂ© les couilles, hmm ?Bertrand le regarda confus. Pierre savait ce qui s’était passĂ© entre lui et sa femme !— Allez, pas d’histoires, Sylviane m’a tout racontĂ©, dit Pierre en riant. Tu es avec nous maintenant, tout baigne !Sylviane prit la queue de Bertrand, encore raide et tendue, et le branla doucement. Elle regarde Pierre et lui demanda :— Appelles Margoth, je suis sĂ»re que Bertrand se sentira encore mieux après.— Tu as raison, ma louloute. Margoth ?La gouvernante entra dans la pièce. Elle gloussa dans un petit rire coquin en apercevant ce petit monde dĂ©nudĂ© et s’approcha du trio. Apparemment, elle devait ĂŞtre plus qu’au courant de la libertĂ© de mĹ“urs qui rĂŞgnait dans la maison !— Margoth, Bertrand va passer quelques jours avec nous. PrĂ©parez-lui sa chambre mais avant, notre jeune ami doit se soulager.— Bien Monsieur, rĂ©pondit-elle en souriant Ă Bertrand. Monsieur a une très grosse pièce, il faudra me mĂ©nager, n’est-ce pas ? dit-elle en examinant la verge du jeune homme.Sylviane s’était levĂ©e et avait entreprit de dĂ©shabiller Bertrand complètement. Lorsqu’il fut nu, elle s’approcha de Margoth et lui glissa quelque chose dans l’oreille. Les deux femmes se tournèrent vers le sofa et Sylviane y fit s’agenouiller sa femme de chambre. Elle releva la jupe noire de son uniforme et fit glisser le slip de coton blanc le long des cuisses joufflues de la belle PĂ©ruvienne. Tandis que les deux hommes assistaient Ă la scène, Pierre glissa doucement Ă Bertrand :— C’est vrai que vous ĂŞtes montĂ© comme un âne, jeune homme !Dans le clin d’œil complice qui suivit, Bertrand sentit la main de Pierre se refermer sur sa pine dure, qu’il masturba lentement, d’un geste expert.Sylviane commença Ă masser doucement la vulve de Margoth. La gouvernante se cambra sous la caresse et, toujours en levrette, tourna la tĂŞte pour mieux apprĂ©cier le spectacle.ObĂ©issante, Margoth Ă©tait aussi très chaude. Elle avait Ă©tĂ© « éduquĂ©e » par ses patrons, qui lui avaient fait dĂ©couvrir la sexualitĂ© sous tous ses angles. Sylviane lui avait donnĂ© une instruction prĂ©cise et elle allait bien entendu obĂ©ir Ă sa maĂ®tresse.Sylviane cracha un mince filet de salive qui atterrit entre les grosses fesses de Margoth. Sa maĂ®tresse glissa le pouce et se mit Ă masser sa rondelle, ointe et dĂ©sormais prĂŞte Ă accueillir le mandrin hors norme de Bertrand.— Allez, mon grand, elle est prĂŞte, dit Sylviane. Encule-la et vide-toi les couilles dans son gros cul.Sous l’impulsion de Pierre, qui aida Bertrand Ă se relever, il se plaça derrière Margoth. Sylviane lui prit la bite et la guida devant la rondelle. Pierre s’était glissĂ© derrière Bertrand. Il sentit sa main soupeser ses couilles et la bite de Pierre encore chaude lui caresser les fesses. La promiscuitĂ© des corps et la douceur des caresses tendirent un peu plus encore la grosse tige turgescente de Bertrand.— Ecarte bien les fesses, Margoth, lui chuchota Sylviane— Oui, Madame…— Allez, Bertrand, elle est Ă toi, fourre-lui ta grosse queue dans le culBertrand n’en demandait pas plus. Il pointa son gland et enfonça son vit qui entra comme dans du beurre. Margoth eut un petit hoquet puis se dĂ©tendit en sentant la verge dilater ses entrailles.— Oh putain, elle est bonne ! Ohh quel cul…bien serré…Ahh…prend ça ma biche, tu la sens bien ?— Oh ouiii, Mo…Monsssieur…dou..doucement…c’est bbboon !Pierre bandait comme un cheval et Bertrand eut un instant l’impression qu’il voulait le prendre mais, Ă son grand soulagement, il se contentait de se branler sur ses fesses. Sylviane s’était assise près de Margoth dans le sofa et lui suçait avidement les seins tout en se branlant, deux doigts largement enfoncĂ©s dans sa chatte bien juteuse.Pierre glissa la main par-devant Bertrand et vint lui caresser la bite tout en poussant les hanches de son ami pour l’aider dans son mouvement d’enculage. Bertrand Ă©tait au bord de la jouissance ; sans plus attendre, il accĂ©lĂ©ra le mouvement, secouant la pauvre Margoth, complètement dĂ©foncĂ©e mais ravie d’avoir une telle pièce dans le cul. La sève monta Ă la vitesse de l’éclair et Bertrand eut juste le temps de s’enfoncer Ă fond dans le cul de la gouvernante puis lâcha la purĂ©e en quatre jets puissants qui finirent de faire jouir Margoth.Pierre relâcha l’étreinte sur Bertrand et rejoignit son Ă©pouse qui n’attendait plus qu’une bonne queue pour se faire jouir comme elle le souhaitait. Pierre la prit en levrette, Ă la soudard, comme elle aimait. Ă€ peine eut-il enfoncĂ© sa trique dans la monniche de Sylviane que celle-ci y alla d’un baiser profond et mouillĂ© que Margoth avala avec gourmandise. Soufflant comme un taureau en rut, Pierre pilonnait sa femme, qui criait son bonheur, tantĂ´t Ă©touffĂ© dans la bouche de Margoth, tantĂ´t hurlĂ© en sons aigus et chuintants.Quand Pierre, Sylviane et Margoth furent repus, tous s’allongèrent au grĂ© de l’espace sur l’épaisse moquette de laine. Bertrand alla dans la cuisine chercher quelques rafraĂ®chissements qu’il posa sur la table basse. Ils Ă©taient tous avachis, le sourire bĂ©at, Ă©puisĂ©s par l’intensitĂ© de l’orgie.Bertrand regarda l’horloge. Il Ă©tait temps de faire une petite sieste…A suivre.