Quelle séance !
Je connais bien la propriétaire de la salle de sport où je m’entraîne régulièrement..
Proposée le 9/01/2017 par sorggulp Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugalPersonnages: FHLieu: Bureau, travailType: Fantasme
Il est neuf heures du matin quand je franchis la porte de la salle de sport où je suis inscris depuis quelques années.
J’aime venir tôt le matin car il n’y a pas trop de monde et je connais la plupart des adhérents présent dans cette tranche horaire. A l’accueil, je retrouve Cecilia, la propriétaire de la salle. Je la connais plutôt bien car nous buvons de temps en temps un café ensemble à l’accueil . C’est une femme dynamique et souriant. D’origines antillaise, elle est mate de peau et d’allure sportive. Cecilia fait le tour du comptoir pour m’embrasser. Je remarque immédiatement sa tenue. Elle porte une robe de couleur bleue jeans fermée de haut en bas sur le devant par une série de boutons très suggestive. Cela lui va à merveille. J’apprécie particulièrement Cecilia pour sa gentillesse mais je dois également avouer que j’ai un petit faible pour les femmes de couleur.
-« Comment va, Cecilia ? Tu est ravissante ! »
-« Merci ! Je vais bien, même si je suis submergée par la paperasse en ce moment ! »
-« Ce serait sympa que l’on boive un café ensemble! »
-« Avec plaisir ! Si tu est disponible après ta séance, on se revois à l’accueil et on discute un peu, ok ? » me répond Cecilia en se rasseyant derrière le comptoir.
J’apercevais furtivement ses longues jambes disparaître sous le bureau tandis qu’elle avançait son fauteuil.
-« OK, ça marche ! A tout à l’heure ! » Après une bonne heure et demie de sport, je redescendais au vestiaire. Je dois dire que j’étais impatient de retrouver Cecilia. J’étais déjà émoustillé à l’idée de me retrouver en tête à tête avec elle. Ayant pris une bonne douche revigorante, je me dirigeais vers l’accueil. Quelle ne fut pas ma déception lorsque je découvrais un jeune homme assis à la place occupée par Cecilia à mon arrivée !
Je lui demandais si elle était dans les parages.
-« Oui, elle m’a prévenu ! Comme elle a beaucoup de travail, elle m’a dit de vous faire monter directement à son bureau. Vous trouverez facilement, c’est au 2ème étage et c’est la porte marquée privée face à l’escalier. »
-« Merci Monsieur. »Quelques instants plus tard, je frappais à la fameuse porte. Celle-ci s’ouvrait et je retrouvais Cecilia tout sourire.
« Entre ! Ça me fait vraiment plaisir de te voir ! Assied-toi, je te prépare un café. » me dit-elle en m’indiquant un fauteuil et en se dirigeant vers une machine Nespresso.Tandis qu’elle s’activait, mon regard parcourait la pièce. Une radio diffusait le tube du moment. Le bureau était noyé sous une multitude de papiers. Une grande baie vitrée inondait la pièce de la lumière du soleil matinal. Tout les murs étaient garni d’étagères remplies de dossiers multicolores. Un tableau représentait un paysage côtier. Un ordinateur portable était posé sur le fauteuil que devait certainement occuper Cecilia juste avant mon arrivée. Cecilia revenait avec un petit plateau sur lequel étaient posées deux tasses fumantes. Elle me servit un café puis repassa derrière son bureau. Elle croisa les jambes puis but son café en me regardant. Nous parlâmes un bon moment dans la bonne humeur de nos vies professionnelles respectives, de mon entraînement, de la salle.
A ce sujet, Cecilia me proposa de me faire voir des documents de celle-ci avant qu’elle ne la reprenne.
-« Viens ! » me dit-elle en sortant un porte-document d’un tiroir à sa gauche « voici des photos de l’ancienne salle avant que je ne fasse des travaux. »
Je faisais le tout du bureau pour me placer au dessus de l’épaule de Cecilia. Elle avait ouvert le porte-documents sur ses genoux et me montrait une vieille photo du bâtiment où nous étions.
« Tu vois ? Cette photo date des années 2000 et on peut aujourd’hui voir tous les changements qui se sont opérés. »
Elle passait à une autre, toujours en la commentant et ainsi de suite. J’avais posé le coude sur le dossier du fauteuil pour mieux voir les documents. Le visage de Cecilia était tout proche du mien. En baissant un peu les yeux, j’avais une vue imprenable sur son décolleté. Sa robe était très échancrée, un soutien-gorge en dentelle blanche dessinait un joli contraste sur sa peau noire. C’ était très excitant. Mon regard allait des photos au décolleté de façon hypnotique.
Evidemment, Cecilia ne tardait pas à me découvrir.
-« Eh ! Ce sont les photos que tu dois regarder, coquin ! » me dit-elle en se tournant vers moi.
Elle avait relevé la tête et sa bouche se trouvait à quelques centimètres de la mienne.
Nos regards se croisèrent et je pouvais voir le désir dans ses yeux.
Je me penchais légèrement et posait mes lèvres sur les siennes. Cecilia fermait les yeux. Nos langues se mêlèrent tandis je caressais sa nuque. Je sentais une érection poindre dans mon survêtement. Tandis que nous nous embrassions, ma main glissait dans l’échancrure de la robe. Je parcourais le galbe parfait de ses seins. Cecilia s’aventurait sur mon entrejambe. Elle me caressait le sexe au travers du survêtement ce qui eut pour effet de me faire bander encore plus fort.Ne portant pas de sous-vêtement, Cecilia pouvait parfaitement sentir mon état d’excitation. Je fermais les yeux de bonheur, imaginant déjà la suite des événements.
Soudain, quelqu’un frappa à la porte. Cecilia se redressait, paniquée.
-« Qui est-ce ? » demanda-t-elle
-Mme David, la comptable, nous avons rendez-vous ce matin. »
Cecilia me regardait avec des yeux effarés.
-« Un instant s’il vous plait, je vous ouvre. » répondit-elle en reboutonnant fébrilement sa robe
Elle m’indiquait l’espace sous son bureau en me faisant signe d’être silencieux. Je n’avais pas le temps de réfléchir, me rajustant tant bien que mal alors que j’avais déjà perdu toute ma vigueur. Je me glissais tant bien que mal dans ma cachette provisoire. Heureusement, le bureau de Cecilia était en bois noir et complètement fermé du côté visiteur.
Je m’asseyais en ramenant les genoux vers moi, dos plaqué contre le fond du bureau.
« Bonjour Cecilia ! Comment allez-vous ? » demanda la nouvelle arrivante.
« Bien merci et vous ? »Je restais parfaitement immobile tandis que Cecilia revenait s’asseoir à sa place. Lorsqu’elle tenta d’avancer le fauteuil, elle réalisa qu’elle ne pouvait pas approcher du bureau.
Elle resta ainsi quelques instants, les genoux serrés mais elle était trop loin pour pouvoir travailler correctement.
Je ne bougeais pas d’un millimètre craignant de me faire découvrir et par là même compromettre Cecilia.
Cependant, je trouvais la situation très excitante. J’avais une vue imprenable sur les jambes de Cecilia. J’osais même poser la main sur une cheville puis remontait doucement vers le genou.
Cecilia ne bronchait pas.Je m’aventurais alors sur la cuisse, massant l’intérieur de celle-ci de façon de plus en plus suggestive. Sa peau était si douce que c’était un réel plaisir de promener les doigts dessus. Je bandais comme un fou à l’idée de savoir qu’elle ne devait absolument pas laisser paraître la moindre expression face à son interlocutrice.
Cecilia ne desserrait pas les cuisses, semblant protéger son intimité de la main effrontée. Je battais en retraite, continuant malgré tout à caresser ses jambes tandis qu’elle parlait.
Cecilia, semblant nerveuse, remuait de plus en plus sur son fauteuil, le faisant tourner imperceptiblement vers moi. Puis vint un moment où elle se plaça face à moi, les jambes serrées.
Elle resta ainsi quelques instants tandis que je caressais ses mollets.Sous mes yeux incrédules, je vis alors Cecilia avancer le fauteuil en ouvrant largement les cuisses. Ses genoux se placèrent de chaque côté de mon visage tandis que je voyais se rapprocher le triangle de dentelle noire dévoilant de façon très suggestive le mont de vénus.
Je suffoquais sous l’effet de surprise, n’osant même plus respirer.
Cecilia déboutonnait les deux boutons du bas de sa robe, ouvrant ainsi plus largement les cuisses.
Elle répondait de façon très claire à mes caresses et m’incitait à aller plus loin.
J’entendais les deux voix parler de chiffres au dessus de moi. Le fauteuil bougeait de temps à autre sur son axe, me permettant d’admirer le galbe de son sexe. Quelques minutes passèrent ainsi. J’étais comme hypnotisé.
Au travers de la dentelle, je pouvais parfaitement deviner la forme des lèvres lisses ainsi que le petit buisson surmontant celles-ci. Lentement, je passais mes pieds par dessus les branches à roulettes du fauteuil. Puis, je posais les mains sur l’intérieur des cuisses offertes. La musique couvrait le bruit de mes mouvements ce qui me donnait encore plus d’assurance. Tout doucement, je remontais vers le triangle de dentelle. Mes doigts glissaient le long de la frontière formée par la peau et la dentelle noire. Ils se glissaient ensuite sous celle-ci. Mon index s’aventurait entre les lèvres ourlées pour se glisser ensuite à l’intérieur. Une douce chaleur humide enveloppait mon doigt. Cecilia était très excitée. J’écartais légèrement le string sur le côté, découvrant le mont de vénus parfaitement épilé. Du bout des doigts, j’écartais les lèvres. Mon coeur battait la chamade lorsque je découvrais ce qui se cachait entre celles-ci. C’était une invitation au plaisir qui s’offrait à mes yeux. Une petite grotte d’amour rose luisante d’excitation apparaissait formant un contraste saisissant avec la peau noire des lèvres le protégeant.
Mes doigts jouaient avec le clito caché dans les replis des petites lèvres. Il durcissait très rapidement. Je sentais les cuisses de Cecilia frissonner de plaisir. Elle continuait malgré tout à parler comme rien ne se passait. Elle remua sur son fauteuil quand je tirais sur le string vers les genoux. Celui-ci glissa sans difficulté. L’ayant roulé en boule, je le serrais dans ma main pour le respirer longuement puis le fit disparaître dans ma poche.Cecilia avait repris sa place sur le fauteuil, les cuisses largement écartées, m’offrant son intimité sans retenue. Je posais mes mains sur ses cuisses et avançait silencieusement mon visage vers le fruit désiré. Je l’embrassais délicatement puis parcourait les lèvres sur toute leur longueur avec le bout de la langue. J’ouvrais les lèvres avec les doigts pour découvrir les petites lèvres roses bonbon. Ma langue pénétrait le fourreau soyeux et inondé de cyprine. Puis je remontais à la rencontre du bouton d’amour . Je le mordillais doucement puis l’aspirait à pleine bouche.
Cecilia avançait au maximum le bassin vers mon visage, se tenant assise sur le rebord du fauteuil. Elle maîtrisait parfaitement la situation , faisant semblant de lire un dossier qu’elle tenait au dessus de ses jambes écartées afin de me laisser lui lécher au plus profond la chatte.De temps à autre, sa main caressait mes cheveux en appuyant mon visage sur son bas-ventre. Ma langue fouillait son vagin dilaté de plaisir puis revenait sur le clito fièrement dressé. Je laissais parfois échapper un soupir mais Cecilia le couvrait parfaitement en haussant un peu le son de sa voix.
-« Cette chanson est vraiment top ! Vous aimez ? » demanda-t-elle à son interlocutrice tout en montant légèrement le son. Le bruit de succion de ma bouche était maintenant caché par la musique et je ne me privais pas de l’opportunité.Soudain, Cecilia resserra les cuisses, m’étouffant à moitié tandis qu’elle poussait un soupir qui pouvait passer pour de la fatigue mais qui était en fait de la jouissance. Ma bouche était inondée de cyprine. Je reculais pour admirer l’écrin rose.
Mon majeur parcourait les lèvres luisantes pour aller ensuite à ma bouche. Cecilia reboutonnait sa robe et ne tardait pas à donner congé à la comptable sous prétexte d’une charge de travail très importante. Elle se levait pour raccompagner sa visiteuse.
La porte se refermait et je voyais Cecilia revenir précipitamment derrière le bureau. Elle s’accroupit pour m’embrasser à pleine bouche. Je sortais alors de ma cachette pour m’asseoir sur le bureau. nous n’avions pas prononcé une seule parole sachant parfaitement ce dont nous avions envie.Elle m’embrassait toujours à pleine bouche, en respirant de façon saccadée comme si elle venait de courir. Je déboutonnais toute sa robe, découvrant son corps d’ébène. Elle était vraiment magnifique. Mais Cecilia avait une autre idée en tête. Elle avait la main plongée dans mon survêtement et me caressait la queue de façon très suggestive. D’ailleurs, elle avait sorti celle-ci du survêtement et s’était jetée dessus comme une affamée. Ma queue disparaissait entre ses lèvres pulpeuses pour mon plus grand bonheur. Tenant mon sexe fermement dans sa bouche, elle s’activait sur mon survêtement des deux mains pour le faire descendre à mes pieds.Cecilia s’était assise sur son fauteuil tandis que j’étais placé face à elle sur le bureau, les cuisses bien écartées. Cecilia me tenait par les hanches, me suçant avec gourmandise. Je fermais les yeux en lui caressant les cheveux.
Je voulais pénétrer Cecilia maintenant.Cecilia s’allongeait sur le bureau tandis que je me plaçais entre ses cuisses. Les lèvres ouvertes laissaient apparaître l’entrée rose de son temple d’amour. j’y dirigeais ma queue frémissante. Cécilia était affalée sur les factures tandis que j’avais relevé ses chevilles sur mes épaules afin de mieux la pénétrer. Je commençais à bouger lentement. Ma queue coulissait parfaitement dans le fourreau soyeux. Je jetais un œil à son pubis écartelé. Le contraste entre ma peau et celle de Cecilia était très excitant. Les lèvres noires semblaient envelopper ma queue blanche. J’accélérais la cadence progressivement sentant son vagin se contracter autour de ma queue. Cecilia haletait en se caressant le clito de la main. Elle gémissait de plus en plus fort tandis que je transpirais sous l’effort. Nous étions dans un autre monde maintenant. Je la pénétrais de plus en plus fort, haletant aussi de concert avec Cecilia. Ses doigts s’agitaient frénétiquement sur son clitoris. Soudain, elle se cabra en m’enserrant la queue avec les muscles de son vagin. Le sentiment d’étroitesse me procura instantanément une jouissance incroyable. Nous jouissions de concert, perdant la notion du temps et de l’endroit où nous nous trouvions.Je m’affalais sur Cecilia, complètement K.O.. Nous reprenions lentement nos esprits. De temps à autre, nos bouches se rejoignaient pour des baisers furtifs comme si nous réalisions le pur moment de bonheur que nous venions de vivre.
Il fallait cependant reprendre totalement nos esprits et mettre un terme à cette aventure.On aurait pu croire qu’une tempête était passé dans le bureau. Des dossiers étaient tombés, des feuilles jonchaient le sol ainsi que nos vêtements. Sans que l’on ne s’en rende compte, le fauteuil s’était renversé ainsi que le téléphone. Heureusement que la musique couvrait nos voix car je n’osais pas imaginer si quelqu’un était passé près de la porte…
Cecilia semblait apaisée.
-« C’était génial ! Comment te décrire ce que j’ai ressenti ? » me dit-elle en m’enlaçant tendrement.Sa poitrine était collée à moi tandis que je sentais son ventre onduler. Je l’embrassais longuement sans prononcer un mot. J’avais de nouveau envie de lui faire l’amour.
A suivre…© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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