Résumé des épisodes précédents : Franck et Stéphanie sont en vacances dans un camping près de Montpellier. Ils profitent du soleil et de la mer, mêlant sport, farniente et amour. Un mystérieux couple trouble ce duo, entre excitation, partages, doutes et découvertes.Nous n’avions pas échangé un mot sur le chemin menant des douches à notre tente. L’esprit confus, je réfléchissais à tout ce que cela voulait dire pour Stéphanie, pour moi, et pour notre couple. Ce que nous venions de vivre était particulièrement fort. Je me souvenais du regard de Stéphanie, plein d’amour et de force, sûre d’elle et de ce qu’elle voulait que je vive. Je ressentais encore la surprise de ce corps en moi, et la jouissance d’être pris alors que Stéphanie m’avait en bouche. Je n’arrivais pas à savoir si tout cela était prémédité, si Stéphanie en était l’instigatrice, ou si ce n’était qu’un concours de circonstances, sans arrière-pensées, et juste une façon différente de s’aimer en utilisant un couple anonyme comme objet de plaisir. Une chose était sûre : c’était maintenant qu’il fallait en parler, si nous voulions aller de l’avant.Stéphanie ouvrit la tente et entra dans la chambre en me tirant par la main. Je refermai l’entrée, et instinctivement la pris dans mes bras en l’embrassant. Sa langue s’enroula autour de la mienne alors qu’elle serrait ses bras autour de mon cou. Elle mit tellement d’énergie dans son baiser que je ne pouvais reprendre mon souffle. Il dura de longues minutes, pendant lesquelles je ne pensais qu’à l’embrasser, à la caresser de ma langue pour lui montrer mon amour.Mes mains descendirent le long de son dos et tournèrent autour de ses fesses. Je passai lentement sur son corps, promenant mes doigts doucement. Je passai sous le tissu pour sentir son corps ferme. Je descendis entre ses cuisses ; notre baiser prenait une tournure différente. Je bougeai légèrement la tête et posai mes lèvres sur son oreille en lui murmurant « Je t’aime ». Mes mains continuaient à caresser son corps, en s’attardant sur le haut de ses cuisses. Je la poussai légèrement afin qu’elle s’allonge sur notre matelas. Je la déshabillai et m’allongeai à côté d’elle, mes doigts remontant vers ses seins, excitant ses bouts pour les sentir durcir. Elle gardait les yeux fermés. Les lèvres entrouvertes. Je me déshabillai également et vins poser mes lèvres sur les siennes. Je pris son sein droit dans ma bouche, l’aspirai, puis lui demandai :— Ça t’a plu ?— Je ne sais pas.— Raconte-moi ce qu’il s’est passé.— Caresse-moi avec ta bouche pendant que je parle, alors.Je rapprochai mes lèvres des siennes, les embrassai, puis sa joue, son menton, son cou, et m’attardai sur ses seins ; ma langue effleurait son corps.— Hier matin, lorsque je suis arrivée aux douches, après notre jogging, j’ai commencé par m’arrêter devant les lavabos pour me laver les dents. Je me regardais dans le miroir quand j’ai vu passer furtivement la silhouette d’une femme nue, dans mon dos. Je l’ai vue se diriger vers une douche. La porte est restée entrouverte. Après m’être rincé la bouche, je me suis également dirigée vers une douche et, forcément, j’ai voulu regarder ce que faisait la femme. L’eau coulait sur son corps ; je voyais ses mains savonner ses seins, puis descendre vers son ventre, son sexe. Ses doigts entraient en elle. Sa main gauche est remontée vers sa bouche. Elle a ouvert les yeux, m’a regardée, et m’a fait « Chut… » en refermant ses yeux. J’ai senti quelque chose dans mon dos. Des mains m’ont attrapée par la taille, remontant mon tee-shirt et me poussant à l’intérieur de la douche. J’allais protester quand la femme s’est approchée de moi, a posé un doigt sur ma bouche, puis a terminé de retirer mon tee-shirt en déboutonnant mon soutien-gorge. J’étais paralysée. Ses mains ont caressé mes seins, puis sont descendues vers mon short pour le baisser. J’étais nue devant cette femme qui me regardait. Elle me fit signe de me retourner. L’homme se tenait face à moi, le regard autoritaire. Il prit mes mains, les posa sur son torse et les fit descendre vers son sexe. J’ai baissé les yeux et j’ai regardé mes mains qui s’approchaient de ce sexe immense. Je ne saurais pas expliquer ce qui m’est passé par la tête, mais j’étais irrésistiblement attirée par ce sexe. Je me suis baissée et je l’ai pris dans ma bouche, comme la femme l’avait fait la veille.Pendant que Stéphanie parlait, ma langue était descendue vers ses lèvres. Son sexe était trempé. Je lapais cette douce sève en fermant les yeux, imaginant et revoyant la scène qu’elle décrivait.— Je n’avais qu’une idée en tête : happer ce sexe, le prendre au plus profond de ma gorge pour montrer à cet homme que, moi aussi, je savais donner du plaisir. Je voulais être une déesse du sexe, je voulais l’impressionner. Je n’avais jamais eu un sexe aussi gros entre mes lèvres, je n’avais jamais eu en bouche le sexe de quelqu’un que je ne connaissais pas. Je me disais que la seule chose qu’il retiendrait de moi, ce serait ma bouche et le plaisir que j’allais lui donner. J’aspirais, je tournais ma langue autour de son gland, je le sortais complètement de ma bouche puis l’avalais en entier. Je n’étais qu’une bouche qui donnait du plaisir. J’ai glissé ma main entre mes lèvres, pour sentir mon excitation. J’étais trempée. Je ne me reconnaissais pas. C’était si bon de sentir le désir monter chez cet homme… Je continuais à l’aspirer tout en me caressant. Il a mis ses mains sur ma tête et il m’a baisé la bouche. Il entrait et sortait, s’enfonçait au fond de ma gorge. J’ai senti son sexe gonfler. Il s’est enfoncé une dernière fois en moi et s’est vidé. J’ai suffoqué, en fermant les yeux. J’ai tout avalé. Je voulais que rien ne ressorte, je voulais montrer que je savais faire, que c’était une formalité pour moi. J’ai senti son sexe qui ressortait de ma bouche. Mes doigts étaient enfoncés dans mon sexe. La douche s’est arrêtée. Un grand silence. Il n’y avait plus de bruit. J’ai ouvert les yeux. Il n’y avait plus que moi. Si je n’avais pas eu ce goût salé dans la bouche, j’aurais pensé à un rêve. Je me suis relevée, j’ai fait couler l’eau, et je me suis douchée. Ma main s’est attardée sur mon sexe. C’était une vraie fontaine. Je me suis séchée, j’ai vite mis ma robe et je suis rentrée à la tente. Je n’avais aucune honte, aucun remords ; je voulais que tu me fasses l’amour…Ma bouche était remontée vers ses seins, puis sa bouche. Je l’embrassai, et m’enfonçai doucement en elle. Elle ouvrit les yeux. Ils étaient brillants et pleins d’amour.— Je t’aime…— Moi aussi, je t’aime. Je n’arrive pas à t’en vouloir ; c’est comme si c’était irréel. Je te trouve tellement belle et désirable ! Je suis tellement bien au fond de toi, mon sexe au fond de ton corps trempé. Et alors, ensuite ?— Ensuite, c’était tellement bon de faire l’amour avec toi, nos instants d’amour, que tout cela m’est sorti de la tête. Quand nous sommes retournés aux douches, je n’y pensais pas. Au moment où j’ai refermé ma porte, je l’ai vue. Elle entrait dans le bâtiment. J’ai laissé la porte légèrement entrouverte pour observer. Je l’ai vue s’arrêter devant ta douche et se déshabiller. Elle est vraiment belle ; je ne sais pas quel âge elle a, mais elle dégage une sérénité, une confiance en soi impressionnantes. On sent qu’elle sait plaire, qu’elle sait ce qu’est être une femme, qu’elle sait baiser, qu’elle sait obtenir ce qu’elle veut. Elle a fait quelque chose sur la porte et elle est rentrée. Je n’en revenais pas. J’ai entendu l’eau qui coulait, alors je suis sortie. Je ne comprenais pas pourquoi je ne t’entendais pas. J’ai regardé par la porte et je vous ai vus. J’ai vu tes yeux fermés, et je me suis douté que tu pensais que c’était moi. J’ai senti l’homme qui s’approchait de moi. Il était nu. Je l’ai regardé ; il m’a fait signe de rentrer dans la douche. J’ai obéi. Je ne comprenais pas ce qu’ils voulaient faire, mais j’avais perdu mon libre-arbitre : je n’étais qu’obéissance. J’ai vu la femme se baisser et te prendre en bouche. J’ai regardé l’homme. Il a baissé la tête, comme pour acquiescer. Je t’ai embrassé. Je ne savais pas trop ce qu’il se passait. Je savais juste que je t’aimais, et que cette bouche que j’embrassais, ce corps qui vibrait de plaisir, c’était le mien, c’était celui de l’homme que j’aimais. Nous nous sommes regardés. J’ai vu ton étonnement. J’ai voulu te réconforter, te dire que j’étais là , que je t’aimais. Tu as fermé les yeux. J’ai regardé derrière. J’ai vu l’homme qui se rapprochait, son sexe dressé. J’ai compris qu’il te voulait. Son regard me montrait que je n’y pouvais rien, que c’était comme ça, la suite logique. Il m’a fait signe de descendre. Je l’ai fait ; je t’ai pris dans ma bouche, comme je l’avais pris lui avant, pour te donner tout mon amour. Et je l’ai senti. Je l’ai senti venir en toi, j’ai senti son énorme sexe qui rentrait en toi, je t’ai senti frémir, j’ai senti ta douleur, et ton plaisir aussi. Je t’ai avalé, je t’ai aspiré ; je n’avais de cesse de te donner du plaisir, tout en sentant l’homme qui allait et venait. Son rythme s’accélérait et je faisais de même ; je voulais que tu jouisses, comme il allait jouir en toi. Et j’ai senti qu’il terminait, qu’il t’avait pris jusqu’au bout, jusqu’à ce que tu jouisses aussi.Je bougeais en elle, mon sexe entrait et sortait entièrement ; j’étais dans une rivière, un fleuve, un lac… Je ne l’avais jamais sentie aussi trempée. Je l’embrassais, nos langues s’entremêlaient, mes mains caressaient son visage, son cou, ses cheveux, et je la prenais doucement. J’aimais cette sensation de mon sexe à l’air libre, puis entièrement entouré par son sexe chaud et trempé. Elle prit mes fesses dans ses mains et m’attira vers elle pour que je la prenne au plus profond. Elle soufflait des « Je t’aime » ; je faisais de même. Son souffle s’accéléra ; j’entendis ses cris de jouissance. Ma sève montait en moi, et nous avons joui tous les deux en même temps. Je m’allongeai sur elle en la serrant dans mes bras. Elle en fit de même, en me disant qu’elle m’aimait.Nous avons passé de longues minutes, serrés l’un contre l’autre, à nous dire notre amour. Mon sexe était encore en elle. Il restait dur. Elle contractait son sexe autour du mien. Je repris peu à peu mes mouvements. Elle nous fit basculer et se mit sur moi. Elle commença à bouger le bassin, faisant entrer et sortir mon sexe tout en m’embrassant. Je sentis ses doigts qui entraient dans sa fente humide et gluante, puis ressortaient vers ses fesses. Elle se pénétrait avec les doigts. Je les sentais à travers la paroi. Elle se souleva, prit mon sexe dans sa main et l’enfonça entre ses fesses, d’un coup. Elle bascula en arrière, et remua son corps tout en se caressant. Je la regardais. Regardais sa main sur son sexe, ses doigts entrant et sortant, et mon sexe dur, au plus profond d’elle-même. Elle avait les yeux fermés. Mes mains serraient ses seins, tiraient sur ses pointes, alors que je sentais le plaisir venir de nouveau.Je me relevai ; elle se mit à quatre pattes, me présentant ses fesses. Je la pris brutalement. J’entrais et sortais entièrement pendant que ses doigts la caressaient et pénétraient son sexe. Son trou était béant à chaque fois que je ressortais entièrement. Je lui écartai les fesses encore plus et continuai à la prendre. Elle hurlait son plaisir. Je jouis en même temps qu’elle et m’écroulai sur son corps. Notre jouissance était totale. Nous nous sommes endormis, sans un mouvement de plus.Le lendemain, je me réveillai en sentant une douce chaleur au niveau du bas-ventre. Stéphanie m’avait pris en bouche et jouait avec sa langue. Je bougeai légèrement afin de lui montrer que j’étais réveillé. Elle leva les yeux et me regarda, plein d’amour, puis se remit à l’ouvrage. Elle allait et venait, alternant baisers, succions et jeux de langue, me caressant également avec ses mains. Je massais doucement ses cheveux, sentant la jouissance monter en moi. Elle accéléra ses mouvements et aspira ma jouissance, sans un mot. Elle remonta alors doucement vers moi et m’embrassa. Ma semence était encore dans sa bouche, et elle joua avec ma langue, mélangeant nos salives et ma jouissance. Elle referma sa bouche et avala. J’en fis de même. Elle commença à parler :— Je t’aime ; je t’aime plus que tout. J’aime ton corps, j’aime ta bouche, j’aime ton odeur, j’aime ton sexe, j’aime ton goût. Ce que nous avons vécu était fort ; c’était bon, et je t’en aime encore plus. Je veux continuer à t’aimer, je veux que notre vie ne soit que bonheur, je veux que nous nous aimions éternellement, que nous profitions de nous et construisions un foyer d’amour. J’ai beaucoup joui, connu un plaisir immense ; je veux continuer à jouir toujours plus avec toi, mon amour. Je ne veux plus jamais te partager. Je veux que nous nous aimions tous les deux, pour toujours. Je t’aime, je t’aime, je t’aime !— Je t’aime, mon amour…C’était il y a cinq ans. Nous nous sommes mariés un an plus tard ; notre fille est née deux ans après. Nous nous aimons toujours un peu plus tous les jours, unis et fidèles, dans une jouissance infinie.