Quiproquo 5
La suite de mes aventures avec mon mentor et mon premier dressage, à la suite de mes erreurs dans mon premier rendez vous d’escort girl.
Proposée le 28/01/2017 par titine Votre note pour cette histoire érotiqueNous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugalPersonnages: GroupesLieu: InclassableType: Histoire vraie
Jérémy veut absolument me voir cette après-midi.
Je prends une demi journée de RTT, pour être disponible.
A quatorze heure, je rentre fière de moi dans son studio.
Jérémy me donne mes huit cents euros, mais ne m’embrasse pas.
«Ôtes tes vêtements.»
Il me passe une paire de menotte et un collier noir autour du cou.
«A genoux.»
Il me traîne dans la pièce comme s’il promenait une chienne.
Il sort, son sexe et me l’enfile dans le gosier.
«Suce, grosse pute. »
«Qu’ai je fait pour que tu me traites comme ça?»
«D’après toi ? »
«Je ne sais pas, monsieur X était content de mes services.»
Il ne répond pas, mais m’assène deux coups de cravache de dressage sur le derrière.
«Je crois qu’il est temps de t’éduquer et me tu m’obéisses.»
J’ai mal, mais je n’ose, ni demander d’explications, ni me plaindre.
Il m’écarte les cuisses et je reçois deux coups, sur la vulve et le clitoris.
Des gémissements de douleur, sortent de ma bouche.
«Monsieur X ne m’a fait que des compliments sur toi, mais, tu as pris des initiatives personnelles m’a t-il dit. Tu n’es pas là pour ta délectation personnelle, ni pour tes plaisirs des sens.
Tu comprends bien que je ne peux laisser passer un tel manquement.»
Il me fourre un spéculum anal dans mon rectum.
Mes grandes lèvres sont clipsées d’écarteurs reliés à mes bas.
Mes seins, de pinces à tétons avec des poids de deux cent cinquante grammes.
Mon clitoris d’une pince, qui l’écrase.
C’est assez douloureux.
Il m’allonge sur le lit, de façon a être offerte les cuisses grandes ouvertes, mes jambes écartées sont attachées a des chaînes reliées au plafond, mes mains à l’anneau du mur
Je prends de nouveau, quatre coups de cravache sur les fesses et un sur mon coquillage.
Des larmes me montent au yeux.
Je gins.
«J’en ai marre de t’entendre. »
Ma bouche est fermé avec un bâillon gag-ball.Malgré la situation humiliante dans laquelle je me trouve, ma libido prend le dessus.
Mon cerveau doit être bloqué par un puissant inhibiteur, car j’ai un désir fou de me faire sauter comme la salope que je suis.
«Mais, catin, tu mouilles, tu as envie de queues, très bien on va passer aux choses sérieuses pour que tu comprennes, enfin. »
Il prend son portable et téléphone.Il m’engloutit un énorme vibromasseur dans ma fleur.
«Tu es trop sensible à la pénétration, tu n’es pas assez dilaté, je vais te faire un trou digne de mes attentes. »
L’engin est rentré profondément dans ma vulve.
Il me masturbe pendant une dizaine de minutes, pour une dilatation extrême, arrêtant à chaque fois que je commence a prendre du plaisir.
C’est horrible pour moi, de ne pouvoir assouvir mes besoins sexuels.
Il sort le vibromasseur et le remplace par un écarteur de vulve gonflable.
Il gonfle, il gonfle.
Je veux hurler.
«Arrête, ma chatte est a son maximum. »
Mais, aucun son ne peut sortir de ma bouche.
J’ai l’impression qu’elle va exploser tellement mes chairs sont distendues.
Il me photographie et me film.
Il m’abandonne et me laisse seul, coincé sur le lit. Une demi-heure se passe, la porte s’ouvre, il revient avec six noirs.
«C’est elle qu’il faut dresser ? »
«Oui, sautez la tant que vous voudrez, tant qu’il vous plaira, mais à la fin l’insatiabilité de son désir est primordial. »
Ils sont à poil en deux temps, trois mouvements.
Jérémy me montre deux gourdins hors norme,
«Toi qui les aimes grosses, tu vas être gâté, remercies pour ce cadeau.»
Je dis oui, d’un signe de tête.
Je suis débarrassé du spéculum et des écarteurs.
«Alors, là c’est un vrai gouffre, tu l’as bien travaillé Jérémy. »
Jérémy recommence a filmer.
Ma vulve recueille, la première bitte.
«Elle est toute trempé, sacré chienne que tu as trouvée Jérémy »
La situation est trop hard, maintenant, il m’en faut encore et encore.
«Occupez vous, de ses deux trous, empêché là de jouir, faites attention, c’est une vicieuse et répandez vous abondamment dans sa chatte. »
Tout en prenant tout son temps, il me martyrise, en alternance, mes deux cheminées a grand coup de braquemart
Malheureusement, je suis trop large et je n’ai pas de sensation.
Les autres discutent et boivent un café en attendant leur tour.
Le scénario se répète ainsi six fois.
Même, les deux grosses queues ne me font que peu d’effet.
J’ai ma moule, inondé de spermes, qui rejette des quantités de cyprine et de foutre mélangé.
J’adore sentir le sperme couler au fond de ma chatte et le voir dégouliner sur mes fesses.
Mais, je suis resté sur la soif inassouvissable de ma jouissance.
«Vous n’allez pas partir sur une jambes, une deuxième tournée uniquement dans sa fente s’impose. »
Tourné manège, de nouveau les six me pilonnent ma marguerite et se finissent bien engorgé au fond.
Ils opèrent dans ma vulve depuis plus d’une heure dix.Avant de les libérés, Jérémy leur dit :
«Faites savoir à vos frères, cousins et tous vos amis, que cette pute est à leur disposition. »
Il vient vers moi, la queue à la main.
Il m’encule, me défonce pendant un quart heure, avant de juter.
Mon ventre me fait mal, tellement j’ai envie de jouir, je suis en feu.
«J’espère que cela va te servir de leçon.
Tu es là pour recevoir, pas pour ton épanouissement sexuel.»
Il me libère de toutes mes chaînes.
Tout mon corps est ankylosé.
«Prends ta main et finis toi. »
J’obéis et je me masturbe le clitoris, pourtant douloureux mais, très sensible.
«Dépêche toi, on ne va pas y passer la nuit. »
Je m’efforce de réussir rapidement.
La jouissance est là, mais je me rate et je ne ressens que peu de plaisir. «A partir de maintenant, en dehors de ton métier de professionnelle du sexe, tu ne te feras sauter que par des noirs et tu ne prendras du plaisir qu’avec moi. »
«Oui, Jérémy je ferais comme tu le veux. »
«Tes impressions ? »
«Le manque de jouissance est terrible, mais, oui, voir toutes ces queues se vider en moi me plaît énormément, je recommence dès que tu me le demandes. »
Le pire, c’est que c’est vrai, j’ai adoré voir ses queues se vider à la chaîne.«Tu va me livré pour des gang bang. »
«Exacte, d’ailleurs tu commences dimanche après midi, tu l’as déjà fait ? »
«Non, mais je voudrais le faire au moins une fois dans ma vie. »
«Tu ne sera pas déçu, cela rentre dans ton programme de dressage.
Si on faisait le point, tu as gagné quinze cents euros, pour une petite semaine, c’est bien.
Par contre, tu n’es pas disponible, sept jours sur sept et vingt quatre heures sur vingt quatre.
Par conséquent, tu arrêtes, immédiatement ton boulot de secrétaire et c’est non négociable. »
« Je ne sais pas, il faut que je réfléchisse. »
« Non, tu ne réfléchis pas, je t’ai fais un contrat de travail comme femme de ménage dans mon entreprise fictive, qui cache mes revenus annexes, à hauteur de mille cinq cents euros brute, pour que tu puisses garder ta couverture social.
A partir de lundi, tu seras présente dans mon studio de neuf heures à vingt heures.
Tu alterneras entre clients, mes amis et tu ne verras plus beaucoup Michel. »
«Je serais là comme tu le désirs ! »
«Pour mon retour sur investissement, tu es à moi pendant trois ans, si l’idée saugrenue te venait de vouloir arrêter, j’inonderais les réseaux sociaux de tes vidéos et photos à visage découvert.»
«Tu es vraiment le roi des salops. »
«Je sais ma chérie, mais je ne suis pas un philanthrope, j’ai un business a faire tourner. »
Il m’embrasse goulûment, comme deux amants fous amoureux l’un de l’autre.
Le paradoxe de la situation me laisse pantois.
«Attend avant de partir j’ai quelque chose pour toi. »
Il m’équipe alors d’une ceinture de chasteté deux trous pour femme.
«Non, pas ça.»
«Je suis obligé ma chérie, sinon tu es capable de te faire jouir pendant mon absence.
Je vais te lâché pour aujourd’hui et dimanche tu es présente à dix heures. »
Je le supplie à genoux d’œuvrer pour ma jouissance avant que je parte.
«Tu ne l’a pas mérité, tu vas rester dans cette situation jusqu’à dimanche, tu vas me revenir docile et obéissante.»La suite, tout de suite…..© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
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