Un texte fort classique, exploitant un canevas assez connu, donc pas beaucoup d’originalité, j’en ai peur… Bonne lecture :)Qui vient ce soirCe soir, deux jeunes hommes viennent chez nous, pour donner suite à une annonce coquine que nous avons fait paraître sur un site de rencontres entre adultes consentants. Le dialogue par chat puis audio avec ces deux protagonistes avait été fructueux, ma femme avait dit OK, surtout en voyant les photos des deux profils, aux visages cependant censurés comme il se doit. Sans oublier que tout le monde se doit de porter un pseudo, les vrais noms et prénoms étant déconseillés.— Tu en penses quoi chéri ?— Hmm, ils m’ont l’air corrects et en bonne santé, avec un petit côté exotique…— Oui, j’ai vu ça, ce sera une première !Ces deux hommes se connaissent bien, ils ont même « chassé » plusieurs fois ensemble et concrétisé auprès de divers couples. Tant mieux, car inviter des hommes qui ne se connaissent pas peut parfois donner naissance à des malaises ou des maldonnes.Tous les feux sont au vert, y compris leurs tests. Ma femme n’aime pas trop le plastique, même s’il peut être fantastique. Elle adore la sensation d’être remplie de fluide, elle a besoin de sperme comme preuve du désir qu’on puisse avoir d’elle.Comme nous habitons dans la verte campagne, sur un petit chemin à l’écart, il a fallu expliquer l’itinéraire (au calvaire, à droite entre les arbres, encore à droite après le ruisseau, puis à gauche), les GPS ne sachant pas nous situer. En contrepartie, nous sommes au calme, avec un vaste jardin dont bénéficient les enfants.Tandis qu’ils vont bientôt arriver, Lydia (ma femme) est toujours dans la salle de bain en train de se préparer. Elle aime être à son avantage, surtout qu’elle sera le seul élément féminin de cette soirée spéciale à quatre. Quand je l’ai quittée, elle frétillait d’impatience d’avoir trois hommes à sa dévotion.Ce n’est pas la première fois que nous organisons chez nous ou ailleurs des soirées libertines. Ma femme aime beaucoup qu’au moins deux hommes s’occupent d’elle. Le maximum de partenaires fut six en même temps, mais Lydia avait moyennement apprécié : trop, c’est trop ! Depuis, nous nous cantonnons aux trios et quatuors. Pour ma part, il m’arrive aussi de fricoter ailleurs, ayant des maîtresses passagères, mais je n’en abuse pas.La sonnette retentit, ma femme étant toujours dans la salle de bain, je vais ouvrir.J’accueille comme il se doit nos deux invités qui ont un petit air de ressemblance, sans doute dû au fait qu’ils sont peut-être originaires des Antilles. Ils sont tous les deux assez minces, souriants, bien de leur personne, la seule différence étant que l’un est un peu plus grand que l’autre. De plus, même le timbre de voix est proche.Intrigué par cette similarité, je demande :— Vous êtes frères ou cousins ?— Pas du tout ! Nous avons cherché dans nos arbres généalogiques : aucun point commun, rien. Mais nous avons un point commun par nos mères, c’est-à -dire la Guadeloupe.— Ah d’accord…J’explique l’absence momentanée de Lydia :— Ma femme est en train de se préparer, elle arrive dans peu de temps. En attendant, je vous sers quelque chose ?— Ce ne sera pas de refus, mais juste un doigt. Il faut que nous restions en pleine forme !Je souris :— En effet, c’est vivement recommandé !Je sers nos invités. Le plus grand des deux désigne son voisin :— Pour faire simple, plutôt que d’utiliser nos pseudos, je vous présente Alex, et moi, c’est Alain.— Amusant… ! en plus de vous ressembler un peu, vos prénoms commencent de la même façon ! Moi, c’est Sébastien. Ma femme vous dira le sien en personne.Nous papotons un peu. Peu après, ma femme descend de la salle de bain, ses talons cliquettent sur les marches de l’escalier. Dans l’attente de son apparition qui sera sans doute sensuelle, nous nous tournons tous vers la porte du salon.Ma blondinette de femme apparaît dans toute sa splendeur féminine, avec un peu de maquillage qui souligne ses yeux de biche, sa bouche plutôt pulpeuse, une nuisette bleutée qui ne cache pas grand-chose de sa petite poitrine aux seins néanmoins dardés et nettement séparés, de son ventre harmonieusement arrondi. Un porte-jarretelles souligne ses hanches rondes, et des bas attachés galbent ses gambettes. Vraiment un joli petit lot ! Je le sais d’autant plus que je suis son mari !Alain (le plus grand) vient de s’exclamer, et son voisin, resté muet, ouvre de grands yeux. Ma femme écarquille, elle aussi, grand les yeux :Intrigué, je m’approche de ma femme, puis j’essaye de couvrir tout le monde du regard :— Vous vous connaissez ?— Oui qu’on se connaît ! On est collègue de travail ! Mais pas dans le même service…Revenu de sa surprise, le muet s’exclame :— Ah ça, si je m’attendais !Un ange passe. Cette soirée ne s’annonce pas du tout comme prévu. Quelle était la probabilité que ma femme tombe en même temps sur deux collègues de travail ? De l’ordre de gagner le gros lot au loto ? Ç’aurait été préférable ! Finis les soucis de fin de mois…Statu quoÉtant sorti de sa stupeur, Alex reprend la parole d’un ton enjoué :— Je savais que tu étais bien fichue, Lydia, mais là , j’en ai la confirmation ! Et c’est une très belle confirmation !— Euh, merci…— Pas de quoi ! Je reconnais que la situation est un peu particulière, mais ça ne change rien à l’envie que j’aie de toi, et le pourquoi je suis ici !Cette dernière phrase amuse beaucoup ma femme qui réplique aussitôt :— Je vois ça ! La bosse de ton pantalon parle pour toi !— Ah ça ! Il m’est difficile de cacher l’effet que tu me fais… surtout habillée de la sorte !Les yeux grands ouverts, Alain intervient :— C’est vrai que… vêtue ainsi, tu ferais bander des morts !Ce qui fait rire ma femme de bon cœur, entraînant tous les hommes après elle. Puis quelques instants plus tard, Lydia demande plus sérieusement :— Bon, on fait quoi ?C’est Alex qui se lance le premier :— Mis à part le détail que nous sommes collègues, ça change quoi ?— Pas grand-chose, c’est vrai. Mais, un proverbe dit : no zob in job.— Nous ne sommes pas au boulot, il me semble.— Oui, t’as raison. Ce qu’on fait en dehors du boulot ne regarde que nous.Avec un sourire crispé, Alain intervient :— Soyons discrets au boulot, n’en parlons pas… Faisons comme si nous ne savions rien de nos… euh… loisirs un peu particuliers…Fixant ma femme avec une certaine avidité, Alex soupire :— Ça ne va pas être facile, surtout maintenant que je sais que Lydia est si sexy !— Eh bien, tu feras comme si elle n’était pas si sexy.Amusé, Alex fixe de plus belle ma femme et la contemple sans retenue dans sa nuisette :— Trop tard, je le sais. De plus, pour tout dire, tu me plaisais bien. Mais bon, t’es mariée, plutôt sage au boulot, donc je ne pensais pas avoir une quelconque ouverture avec toi.— Tu flashais sur moi ?— Ben oui…Point de mire des trois hommes, Lydia s’amuse :— Tu flashes sur toutes les femmes un peu girondes, comme Béatrice de la Compta.— Je ne le nie pas. Mais Béa me semblait plus… euh, disons… accessible que toi.— Ah oui ? Dois-je comprendre que, maintenant, je suis devenue accessible ?— Ben… en nuisette et en porte-jarretelles… comment dire… c’est une claire invitation !Curieusement, un certain silence se fait entre nos deux invités et ma femme. Moi, je reste en retrait, en simple observateur. Je vois bien que ces trois-là sont assez partagés sur la suite des événements. Une fois de plus, c’est Alex qui débloque la situation :— Lydia, perso, je suis toujours partant, car pour dire les choses franchement, tu m’excites à mort, tu me fais bien bander. Je suis venu ici dans l’intention de profiter de ton mignon corps que j’ai pu admirer sur le site. Maintenant que je sais qui tu es, ça me tente encore plus.— Je te fais un tel effet ?— Oh oui !! Le fruit défendu est accessible !Lydia se tourne vers son autre collègue :— Et toi ?— Euh…Alain se gratte la tête :— Je suis embêté… tu es une collègue, Lydia… je ne te verrai plus de la même façon, à présent.— Justement, pourquoi s’en faire, ce qui est fait est fait. Tu sais et je sais.— C’est vrai…Pour couper court, tout en la dévorant du regard, Alex s’approche de ma femme :— Y a pas à dire, t’es franchement canon !Il tend le cou pour mieux regarder, puis annonce :— Tu as des seins peu communs ! Ils sont en forme de poires, avec des tétons très prononcés. Ton sein gauche part à gauche et ton sein droit part à droite, presque à angle droit ! C’est curieux, je n’avais jamais remarqué ça chez toi !— D’habitude, quand tu me vois, j’ai un soutien-gorge, et je ne me balade pas les lolos à l’air…— En tout cas, moi, j’aime beaucoup tes lolos ! J’ai hâte de les déguster !Devant cet enthousiasme, Lydia sourit :— Dois-je comprendre que t’es toujours partant ?— Plutôt deux fois qu’une ! Et si Alain ne participe pas, je prends sa place, ce sera trois fois plutôt qu’une !Ma femme se met à rire de bon cœur. Femme qui rit est à moitié dans ton lit, dit le proverbe.Un, deux, trois, j’ai envie de toiToujours aussi sexy dans sa tenue vaporeuse, ma femme tourne les talons, faisant admirer au passage ses fesses rebondies qui chaloupent, à peine cachées par la nuisette translucide. Alex est définitivement conquis, Alain est visiblement tenté, malgré ses réticences initiales. Il est difficile de résister au cul de Lydia, surtout quand celui-ci est dévoilé…Ma femme enfonce le clou :— Qui m’aime me suive !Elle s’éloigne, se dirigeant de façon flagrante vers notre chambre. Alex ne se fait pas prier. Après une brève hésitation, Alain suit le mouvement. Quant à moi, je le conclus. Nous montons tous les quatre l’escalier qui nous mènera bientôt vers le septième ciel.Sur notre lit, nous avons mis un tissu imperméable recouvert d’un grand drap noir qui met bien en valeur le corps de Lydia. Il faudra que j’aménage autrement une autre pièce afin de la spécialiser pour nos loisirs spéciaux, mais laquelle ? Mon bureau est trop petit, et pour l’instant, je ne peux pas réquisitionner les chambres de nos enfants, actuellement chez ma mère pour la soirée et la nuit. Peut-être acheter un bon canapé convertible pour le salon, ou au pire, prévoir un grand matelas à poser sur le sol…Lydia s’installe confortablement au milieu, avec deux coussins sous sa tête, prête à se laisser adorer par les trois hommes qui l’entourent bien vite. Maintenant, on voit mieux son pubis glabre, avec plus bas une fente légèrement entrouverte…Alex ne perd pas de temps, il est déjà allongé à côté de ma femme qui reçoit avec plaisir ses caresses. Alain s’allonge à son tour, mais de l’autre côté. Les deux jeunes hommes encadrent à présent Lydia qui se laisse lutiner, ravie de la situation qui ne va pas tarder à devenir très chaude.Peu après, deux bouches voraces sont en train de bisouter le corps de ma femme, s’attardant sur ses seins, son ventre, son pubis, sans toutefois s’attaquer pour l’instant à sa fente luisante. Tétons érigés vers le plafond, Lydia apprécie vivement la fougue de ses nouveaux amants. Pour ma part, je contemple le spectacle que m’offre ce trio coloré.— Oh les gros voraces !Corps noirs sur corps blanc, je commence à comprendre certaines choses. Le contraste est assez saisissant et esthétique. Cependant, je sais que, parfois, les motivations sont différentes, mais ce n’est pas le cas de ce qui se passe actuellement sous mes yeux. Ma femme se laisse dévorer par les désirs cumulés de ses collègues.Nos deux invités ont très vite enlevé les vêtements qui gênaient. Tous les trois sont à présent nus, sauf ma femme qui a gardé un minimum de lingerie sur elle. J’avoue que des gambettes sensuellement gainées de bas sont nettement plus sexy que des jambes nues. Idem pour les porte-jarretelles, peu importe la forme et la couleur.Lydia n’est pas en reste, ayant saisi entre ses doigts fins et manucurés les deux tiges offertes, avec lesquelles elle joue sans complexe, les sentant palpiter dans ses paumes. Elle s’offre parfois le luxe de déposer un furtif bisou sur le sommet des glands ou de donner un furtif coup de langue.Je contemple le spectacle offert par ces trois corps qui s’emboîtent, qui s’enchevêtrent, par ces épidermes qui luisent à la fois de sueur et de désir.Regarder, c’est bien. Participer, c’est mieux. Je plonge dans la mêlée.Nous sommes trois hommes à désirer une seule Lydia, qui se laisse adorer, caresser, posséder, sans aucune honte. Elle nous encourage souvent de la voix et beaucoup de ses mains qui s’égarent très souvent entre les jambes masculines. À ce propos, je constate que la longueur qu’on prête à certaines personnes est souvent exagérée. Comme le dit si bien ma femme, qui s’y connaît et qui a une longue (sic) expérience en la matière : vaut mieux une petite courageuse qu’une grosse feignasse.Soudain, Alex demande poliment :— Tu peux te mettre à genoux, s’il te plaît, Lydia ?Ma femme s’exécute, se demandant sans doute ce qu’il a en tête. Aussitôt, agenouillé lui aussi, il se colle à elle par-devant, écrasant ses seins contre sa poitrine glabre. Leurs ventres s’épousent l’un l’autre, son sexe bien raide se plaque contre le pubis moelleux de Lydia.— Aaah, c’est nettement mieux ainsi !— Si tu le dis…Sous l’œil intéressé des deux autres hommes, ses mains caressent le dos de ma femme, puis descendent vers ses fesses qu’elles massent voluptueusement. Les lèvres d’Alex plongent dans le cou offert, ce qui procure de doux et longs frissons à ma dévergondée de femme qui se laisse faire avec un ravissement évident.Entre deux baisers voraces, Alex me confie :— J’ai rudement bien fait de répondre à votre annonce !— Je n’en doute pas un seul instant quand je vous vois faire…Toujours en train de peloter avidement Lydia, Alex m’adresse un large sourire :— Entre nous, Sébastien, ça fait un peu con de se vouvoyer… d’autant que je tutoie ta femme depuis déjà bien des années.— Ça me convient.Durant ce temps, Alain se positionne derrière ma femme, bien décidé à lui faire sentir sa longue queue, qu’il plaque sans vergogne sur ses fesses. Noir, blanc, noir, on dirait presque un drapeau, cette pensée m’amuse.Ce qui semble être aussi le cas de ma femme, ça se voit à son sourire radieux.Deux verges qui se frottent vicieusement contre elle, une par devant, l’autre par derrière, je comprends qu’elle ne déteste pas. Peu après notre mariage, j’ai vite découvert que ma chère épouse avait un côté vicieux, aimant faire l’amour à plus d’un seul homme. Elle adore être désirée, mais sans que ce soit par une foule. Deux, trois hommes en même temps, ça lui convient très bien. Plus, elle commence à tiquer.Une fois, elle eut droit à cinq mâles en même temps. Elle ne renie pas l’avoir fait, mais elle m’a avoué ensuite que trop, c’est trop, elle ne savait plus où donner de la tête, un euphémisme dans pareil cas.Soudain, après de longs moments de frotti-frotta en tout genre, Alex, qui a décidément le sens de l’initiative, propose :— Changeons de position ! J’ai trop envie de profiter de notre charmante hôtesse !— Ce n’était pas déjà le cas ?Toujours collé à ma femme, il lui explique :— Je vais m’allonger et tu vas me chevaucher !— Te chevaucher ?— Bien plantée en moi, bien sûr ! Avec tes beaux lolos sous mon nez !— Je savais que t’étais un gros profiteur !— Héhé !Quelques secondes plus tard, Lydia se retrouve à califourchon sur mon nouvel amant, sa verge à l’orée de ses lèvres intimes. Sans complexe, elle guide du bout des doigts la belle tige de chair. Durant ce temps, Alex s’amuse voluptueusement avec les seins qui lui sont offerts.Quand le gland se fait enrober par l’abricot délicat, Alex pousse un petit râle de bien-être, Lydia sourit perversement, elle adore avoir ainsi le contrôle et contempler le désir sur le visage de ses amants.— Uuuh que c’est bon !La tige poisseuse plonge lentement dans la délicate vulve, la taraudant doucement au plus intime, le corps de Lydia est secoué de petits tressaillements. Pourtant, ce n’est pas la première fois qu’elle fait l’amour avec un autre homme, voire deux ou plus, mais ce soir, on dirait que c’est différent. Peut-être le fait qu’ils se connaissent, une sorte de transgression…Tandis que ma femme ressent finement son plaisir, une autre queue maculée de lubrifiant se poste à son autre entrée. Alain décide, lui aussi, de s’inviter au bal, en choisissant l’entrée des artistes. Je ne lui donne pas tort. Pour lui faciliter la tâche, Lydia se penche un peu, offrant mieux ses fesses.Tournant la tête vers le nouveau venu, ma femme déclame :— Et voici venir le deuxième profiteur !— Comment te résister ?— Pour quelqu’un qui ne voulait pas me baiser, je te trouve bien familier !— Alex ayant pris la première porte, je m’occupe de l’autre.— Sauf erreur de ma part, il y en avait une troisième, Alain…— Il faut bien que ton mari entre quelque part, non ?Sous la sourde pression d’un gland impérieux, la petite rosette ne résiste pas longtemps. La nouvelle tige s’enfonce irrésistiblement dans les sombres profondeurs de mon infidèle de femme.Plantée par-devant, envahie par-derrière, ma femme perd doucement pied, se laissant aller lentement à un plaisir qui monte en elle. Coincée entre ses deux nouveaux amants, les yeux clos, la bouche ouverte, elle se laisse posséder.C’est le moment que je choisis pour poser ma verge sur ses lèvres. Elle ouvre la bouche, m’accueillant dans son antre chaud et humide. Aussitôt, elle s’active autour de ma colonne de chair, je ne m’en lasse pas, malgré les années qui passent…Nous sommes arrivés enfin au summum : ma femme pénétrée en même temps par ses trois portes, nacre, jade et ébène. Un moment extatique pour elle, et aussi pour moi de la savoir si comblée, envahie et possédée de multiples façons.Durant ce temps, les deux hommes s’activent en elle, limant consciencieusement ses gaines intimes. Je jette un furtif coup d’œil vers le miroir de notre armoire à vêtement : une femme, trois hommes, beaucoup de plaisir ! Nos corps enchevêtrés forment un étrange animal à multiples bras et jambes, une bête à plusieurs dos…Puis arrivent simultanément une quadruple jouissance bruyante, une triple éjaculation qui déverse un flot de sperme et plein de plaisirs, d’explosions. Un tsunami emporte ma femme, la culbutant dans une mer déchaînée, ballottée par mille plaisirs, par mille embrasements, par mille jouissances ! Alex râle longuement tandis qu’il se déverse. Alain éructe, bien enfiché dans l’étroit trou, le remplissant à fond avec délectation. Idem pour moi qui inonde sa bouche.Une synchronisation parfaite comme on en voit rarement, sauf peut-être dans les romans et encore…Ma femme continue à déflagrer, le corps triplement embroché. Puis nous sombrons tous les quatre dans la brume, sachant que c’est juste le commencement des festivités…Le mot de la finAprès nos multiples exploits (dont je vous fais grâce, pour éviter les redites), et un tour dans la salle de bain, nous sommes tous redescendus dans le salon. Verre en main, Alex résume sa pensée :— Une sacrée soirée aujourd’hui ! D’abord la surprise de découvrir Lydia en nuisette, et le bonheur de s’envoyer en l’air avec elle ! Je vais longtemps me souvenir de ce rendez-vous !Son comparse abonde dans le même sens :— Totalement d’accord avec toi, Alex. J’avoue qu’au début, j’étais un peu réticent, mais ça m’a beaucoup plu. Le petit problème est que je ne verrai plus Lydia de la même façon quand je la croiserai dans les couloirs de l’entreprise.Restée nue, sauf bas (à présent filés) et porte-jarretelles (en biais), Lydia s’étire voluptueusement, faisant pointer ses mignons seins vers ses nouveaux amants :— Ah oui ? Et tu la verras comment, Alain ?— Magnifiquement nue comme tu l’es actuellement ! Je ne pourrai pas résister à l’envie de te faire plein de choses dans un coin !— Eh bé, pour quelqu’un qui était réticent !— Il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis !Et pour appuyer ses dires, Alain se lève pour venir s’asseoir à côté de ma femme, puis capturant un sein, il commence à le déguster. Lydia apprécie visiblement son initiative. Quelques instants après, Alex en fait de même avec l’autre sein.Et c’est reparti pour une petite séance durant laquelle ma femme est à nouveau comblée, ou plutôt embrochée par ses fougueux collègues qui ont soudain repris du poil de la bête, ayant pourtant déjà bien donné de leur personne sur le lit conjugal.Puis vient l’heure de se séparer, car tout a une fin. Dans le couloir, Lydia embrasse sensuellement ses deux nouveaux compagnons de jeu :— À bientôt, mes deux étalons des îles !— À très bientôt, ma belle cochonne de la campagne !Leur voiture s’éloigne. Nous rentrons quand les phares disparaissent de notre vue, puis direction le lit conjugal qui en a vu de toutes les couleurs ce soir. Vannée, épuisée, ma femme récapitule en souriant :— Deux sacrés cocos, et bons amants de surcroît ! J’ai fait bonne « chair » avec leurs saucisses pimentées ! Va me falloir au moins tout le week-end pour récupérer !— Tu as l’art de résumer la situation, ma chérie… Ça n’a rien à voir, mais c’est bien la première fois qu’on tombe sur des connaissances… enfin, des connaissances à toi.Avant de me répondre, puis de s’endormir satisfaite et repue, ma femme me fait un dernier bisou, puis elle s’offre le dernier mot, comme souvent :— Hmm hmm… Nous avons, en quelque sorte, fait reconnaissance ensemble…C’est une façon de le dire… Je suppose que le travail de Lydia au bureau sera un peu différent ces prochains jours, et que nous reverrons très prochainement ces deux hommes à la maison.Voilà , ma petite histoire toute simple est terminée, mais j’avais envie de vous la raconter, même s’il n’y avait pas de quoi écrire tout un roman avec de multiples rebondissements. Que voulez-vous, la vie est souvent calme et tiède, mais avec parfois d’agréables frissons 🙂