256 38Recit de sexe : Femme très gourmande Corrigé et résumé par Dialogue69 le 10/11/2012Publié le 10/11/2012Un grand bonjour aux lecteurs de dialogue69.Je suis une habituée de ce site, mais c’est la première fois que j’y poste une histoire. Mon prénom est Marjorie, j’ai 31 ans. Je suis pour reprendre l’expression que l’on m’a dite une fois « bien gaulée ». 1m65 pour 57 kilos. De grandes jambes, de belles hanches, une grande crinière brune, des yeux verts. Mes principaux atouts sont mes fesses à la fois bien rondes et fermes, mon beau 95D e ma peau très douce. Dans la vie je suis ce que l’on appelle une sexeaddict. J’ai envie et j’ai surtout besoin d’avoir des relations sexuelles tout le temps et qu’importe que le partenaire soit un homme, une femme, un grand, un mince, un petite, un gros, un beau ou moche, tout ça je m’en moque. Tout ce qui compte pour moi c’est de me faire ramoner ! Dans mon entourage personne n’est au courant et souvent je vais en club libertins pour assouvir mes besoins. Mais j’essaye quand même de diminuer ma dose de sexe et j’ai trouvé un bon moyen d’évacuer. L’écriture. Et oui c’est fou de voir à quel point les mots peuvent nous transporter (pour ma part je pourrais même dire me faire mouiller), du coup je me caresse et je n’ai plus besoin de mecs. Cela faisait un an que je m’attelais à l’écriture d’un recueil de textes érotique euh plutôt porno ou je me livrais entièrement et lorsqu’il a été terminé je l’ai envoyé à plusieurs maisons d’éditions spécialisé dans le porno. Une seule m’a répondu et le directeur m’a dit qu’il souhaitait m’éditer mais qu’avant cela il fallait que je le rencontre. Imaginez un peu ma joie. Pour moi s’était passé de l’ombre à la lumière.C’est toute nerveuse et en mini-jupe et talons hauts que je me suis présentée au rendez-vous. Le directeur était un homme d’une quarantaine d’année. Les cheveux grisonnants, les yeux bleus, je l’ai trouvé très classe lorsqu’il est venu me chercher dans la salle d’attente.- Bonjour Madame Marjorie …… M’a-t-il dit tout en me serrant la main.
– Bonjour.
– Je suis Jacques …. Suivez-moi.J’ai docilement suivit ce beau mâle jusque dans son bureau où il s’est confortablement assis sur son fauteuil tandis que je prenais place sur une chaise. Là il a commencé à me parler de mon manuscrit, me disant qu’il y avait quelques fautes d’orthographes et de syntaxes mais qu’il avait adoré. Et puis il a commencé à me lire ses passages préférés. Les mots qui sortaient de sa bouche me faisaient mouiller. Il s’est levé et tout en continuant à lire et il s’est placé derrière moi. Je sentais son souffle sur ma nuque. Les pulsations de mon cœur se sont accélérés et j’ai senti l’envie de sexe envahir chaque parcelle de mon corps à tel point que j’en ai eu un frisson. Il a mit ses mains sur mes épaules en commençant à me masser, il était très sur de lui, je crois que je n’avais jamais rencontré quelqu’un d’aussi à l’aise. Soudain ses mains ont glissé sous mon pull à la recherche de mes seins. Je n’ai rien dit, au contraire j’étais ravie de la tournure que prenaient les choses. Cela faisait plusieurs jours que je n’avais pas eu un mec entre les cuisses et j’avais hâte de sentir une queue dans ma petite chatte.Il a retourné la chaise et a défait sa braguette me dévoilant une énorme queue gonflée. J’ai contemplé un moment cette appétissante friandise puis j’ai approché ma bouche pour la savourer. J’ai commencé par lécher ses bourses encore pleines puis je suis lentement remontée jusqu’à son gland avant d’enfourner toute sa bite entre mes lèvres. Je l’ai pompé avec avidité enfonçant son membre si profond qu’il chatouillait mes amygdales. Sa queue était chaude et délicieuse, j’aurais pu continuer à le sucer pendant des heures, mais il en a décidé autrement. – On passe à la vitesse supérieure ? M’a demandé Jacques.Je me suis levée et il m’a demandé de me placer face au bureau. Là il a glissé sa main sous ma jupe, a écarté mon string et il a commencé a fouillé ma fente trempée. Ses caresses me rendaient bouillante et je me mordais les lèvres pour ne pas gémir. J’ai senti deux doigts s’introduire dans ma chatte et j’ai encore écarté les cuisses pour qu’ils s’enfoncent encore plus profond.Jacques m’a doigté frénétiquement jusqu’à ce que je sois bien ouverte et dégoulinante. Là, il a empoigné mes hanches et a murmuré à mon oreille.
– D’après ce que j’ai pu lire, t’aime les grands coups de queue.
Et d’un coup de rein puissant il a enfoncé sa bite bien au fond de mon vagin. Il n’est pas allé lentement, il m’a baisé sauvagement. Mon bassin cognait violement le bureau et je devais me cramponner au bois pour ne pas tomber. Je sentais parfaitement sa queue glisser le long des parois de ma chatte dans un rythme rapide mais il s’est soudain retiré de moi.
– Et t’aime aussi qu’on se finisse dans ton petit trou pas vrai ? M’a-t-il demandé.
– Oui… Ai-je soufflé.Il a appuyé sa queue pleine de mouille sur mon petit trou et il s’y est lentement insinué. Autant vous dire que je n’ai pas eu mal, car c’était loin d’être ma première sodomie et que quand je l’ai senti s’enfoncer jusqu’au fond de ma grotte, j’y ai tout de suite pris du plaisir. Il a commencé des vas et viens rapides et profonds. J’avais l’impression que mon petit trou se dilatait un peu plus à chaque coup de rein. Mes fesses claquaient contre l’entre jambe du directeur, c’était excitant bon, divin… Un tas de sensations assaillaient mon corps et mes jambes tremblaient. C’est là que Jacques s’est mis à gémir.- Oh, j’vais jouir, j’vais…Et il a éjaculé dans mon trou tout ouvert. Plus tard il m’a avoué que si il avait voulu me rencontrer c’était parce que cela faisait longtemps qu’il n’avait pas rencontré une coquine une vraie, et que lorsqu’il avait lu mes histoires, il s’était douté que j’étais une femme très gourmande et ouverte. Il n’avait pas pu résister à l’idée d’en profiter.Bon je sais ce n’est pas très catholique de se faire prendre comme ça et sans protection (je dois d’ailleurs faire un dépistage bientôt), mais que voulez-vous, j’ai tout le temps envie et je pense qu’il est arrivé à la plupart d’entre vous de s’envoyer en l’air sans mettre une capote…En tout cas si vous avez appréciez cette histoire sachez que j’en ai plein d’autres à vous raconter. Et oui au faite, je devrais bientôt me faire éditer.Sur ce, je vous embrasse vous qui m’avez lu.
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