52 12Recit de sexe : Ma chère voisine Nathalie Corrigé et résumé par Dialogue69 le 20/02/2022Publié le 20/02/2022Cela faisait déjà une semaine que moi et ma femme venions de déménager dans le quartier. Ma femme avait décroché un nouveau poste de comptable dans une banque du coin. Au chômage depuis six mois, je suis rapidement devenu le Monsieur bricoleur de la rue. Je donnais des coups de main aux voisins ici et là quand je n’étais pas devant la télé en train de mater des matchs de football ou du porno. Souvent, je suis généralement seul à la maison puisque nous n’avions pas encore d’enfants. En réalité, ma femme et moi avions décidé de ne pas en faire pour qu’elle puisse mieux se consacrer sur sa carrière. Madame disait tout le temps : « Quand aura une certaine stabilité économique, on fera nos enfants ». Elle était à fond dans son travail, elle sortait tôt le matin pour ne rentrer que le soir vers 19h ou 20h. Fatiguée par son boulot, elle allait parfois directement se coucher, sans prendre le temps de manger ou au moins de me parler. Ces soirs-là, je devinais directement que je n’aurais pas le droit de la toucher. Logiquement, le sexe, dans notre couple, ne faisait pas partie de ses priorités. Malgré cela, j’essayai de temps en temps de la caresser, de l’embrasser. Mes efforts ne portaient pas toujours leurs fruits et elle m’arrêtait souvent avec une phrase du genre « chéri, c’est le seul jour de la semaine où je peux me relaxer et me reposer en même temps, alors s’il te plait, ne gâche pas tout, on le fera la prochaine fois, d’accord ? » Elle me lançait ensuite ce sourire satisfait que je déteste. Ce sourire excusait toujours son refus de faire l’amour.
Il est mardi aujourd’hui, comme d’habitude à 10h du matin, je suis seul à la maison. Sarah, elle, était partie de bonheur et ne rentrera que ce soir. D’un coup, quelqu’un frappe à la porte. Je sors pour ouvrir. À ma grande surprise, c’était une femme d’environ 26 ans, blonde avec une silhouette de rêve et de super seins qui donneraient à tout homme une raison de remercier le ciel d’avoir créé les femmes. Elle me dit : « Bonjour ! Vous êtes bien monsieur Marc ? Je m’appelle Nathalie. Désolée de vous déranger, mais j’ai entendu par les voisins que vous pourriez réparer ma chaudière, j’habite juste à deux pâtés de maisons ». Je me disais en moi que je devrais sortir plus souvent du quartier ! C’était la première fois que je la voyais. Gentiment, j’ai accepté. Comment dire non à une fille pareille ? Elle partait devant pour me guider vers la maison. Ça me permettait d’admirer ses belles rondeurs de derrière, moi qui ai toujours aimé les femmes aux formes généreuses. Elle portait une mini-jupe serrée qui, au moindre geste, remontait toute seule, comme si son corps faisait exprès de me tenter.
Arrivé chez elle, j’ai pu remarquer en entrant une photo d’elle avec un mec plutôt classe qui l’enlaçait dans ses bras : « C’est votre mari madame Nathalie ? ». Elle répondait oui sans enthousiasme, comme pour me dire implicitement que ce n’est personne. Se dirigeant vers sa chaudière, elle m’a posé des questions du genre si on pouvait laisser de côté la politesse et si on pouvait se tutoyer comme des amis. Cela ne me posait pas le moindre problème. Elle a enchainé avec « Tu es marié ? Tu as des enfants ? Ça va ta famille ? » Je ne lui retournais pas ces questions pour éviter d’aborder le sujet de sa vie intime. Je ne m’en souciais pas de toute façon. Je me contentais de lui répondre simplement que oui je suis marié, mais que je n’avais pas encore d’enfant. J’ajoutais malignement que je profite de ma vie. Elle semblait triste en entendant mes réponses. Elle baissait les yeux pour dire « tu as de la chance alors ». Je n’avais pas essayé de savoir ce qui se passe dans son couple, ça ne me concernait pas. J’ai préféré parler de la chaudière en essayant d’être drôle pour la faire sourire. Puis le temps passait, j’avais même oublié la chaudière que je devais réparer. Mon attention s’est focalisée sur elle. Mon esprit et mon corps tout entier ont été séduits par le sein. Elle, de son côté, se montrait très courtoise, ouverte et sympathique. L’envie me guettait, je ne savais pas quoi faire. Me lancer à l’offensive ou attendre ? Je venais juste de la rencontrer. Je ne savais rien d’elle. Une petite pensée pour ma femme a également traversé mon esprit. Soudain, elle s’était approchée de moi et se penchait tout doucement pour effleurer mes oreilles. Ses seins se dévoilaient peu à peu, à chaque fois qu’elle se penchait d’un centimètre. Elle me murmurait à l’oreille comme pour me dire son plus grand secret : « Marc, je dois t’avouer que moi et mon mari, ça fait environ 4 mois qu’on a plus baisé ! C’est super embarrassant, je sais, mais essaye de me comprendre ».
Mes yeux étaient pleins d’étoiles, voilà que mes fantasmes d’il y a cinq minutes pourraient bien se réaliser. Moi aussi, je n’avais pas tiré un coup depuis quelques semaines. J’hésitais à la répondre. Cette hésitation se laissait paraître sur mon visage. C’était comme si j’avais peur d’elle alors qu’elle venait de se confier à moi. Je voyais en elle une femme qui aime le sexe et qui pourrait de l’absence de son mari pour baiser.
– Désolé Marc, je n’aurai pas dû te dire tout cela ! C’était osé, tu as une femme, moi j’ai mon mari, excuse-moi s’il te plait ».
Pour l’en persuader du contraire, je me suis rapproché aussi vite que j’ai pu de sa bouche pour l’embrasser comme jamais je ne l’avais fait à ma femme. Elle s’est aussitôt précipitée sur ma braguette pour l’ouvrir et mettre sa main sur ma queue. Elle la tenait fermement et commençait à me faire une pipe d’enfer. Pour moi c’est un fantasme qui se réalise. Une fille sexy qui me taille une pipe, comme dans un bon porno. J’étais au 7eme ciel ! Elle savait comment exciter un homme. Elle se retira ensuite pour lever sa robe. Le l’ai mise sur la table de cuisine pour mieux lui enfoncer ma bite en elle. J’allais aussi loin que je pouvais. Je voyais son visage ravi, grinchant de plaisir. Elle prononçait plusieurs fois mon non et ça m’excitait encore plus. Nous avions jouit ensemble. Elle s’était ensuite empressée à me faire partir sous prétexte que son mec allait bientôt venir. Je ne savais pas quoi penser, j’étais satisfait et déjà impatient de remettre ça.
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