307 40Recit de sexe : Une vraie chaudasse Corrigé et résumé par Dialogue69 le 13/10/2013Publié le 13/10/2013Salut tout le monde,
je m’appelle Justine, j’ai 28 ans et je suis un peu nympho sur les bords. Je croque la vie à pleine dents et je multiplie les conquêtes car je ne peux pas m’empêcher de séduire. Et hors de question de s’attacher…si ce n’est aux barreaux de mon lit… Pour me décrire j’ai de longs cheveux blonds ondulés, les yeux noisettes, une grande bouche pulpeuse (faite pour tailler des pipes diront certains…) et un corps du feu de Dieu que j’entretiens en faisant de la salsa. Un bon 95C et une croupe bien rebondie avec des fesses bien fermes. Je m’aime et j’en abuse je sais! Quand un mec me plait, je n’y vais pas par quatre chemins. Fêtarde, extravertie, exhibo et voyeuse, je cumule les tares mais je m’en fous, j’assume ma luxure et saisis toutes les opportunités pourvu que cela me fasse du bien et un peu mal aussi parfois… humm !Donc voilà ma dernière histoire en date (mais je pourrais vous en raconter des centaines) :
En rentrant du boulot, je suis tombĂ© en panne de voiture. J’appelle mon assurance qui m’envoie illico un dĂ©panneur. Punaise quand j’ai vu descendre le garagiste de sa dĂ©panneuse mon sang n’a fait qu’un tour. Ah le beau mec!!La quarantaine, grand, baraquĂ©, un visage un peu rude, tout ce que j’aime ! Le vrai mâle !Après avoir inspecter ma voiture il me dit qu’il faut la rapatrier alors me voilĂ dans sa dĂ©panneuse pour aller au garage. Bon lĂ je ne tente rien, ça va faire trop chaudasse ! Mais on discute, je minaude, je le touche en rigolant, je le regarde avec malice. Je le sens rĂ©ceptif mais on arrive dĂ©jĂ au garage. Il me prĂŞte gentiment un vĂ©hicule de courtoisie et 2 jours plus tard je rĂ©cupère ma voiture. GonflĂ©e Ă bloc je le remercie en lui glissant mon numĂ©ro de portable dans la main et en lui proposant de m’appeler Ă l’occasion pour boire un verre. Il est restĂ© un peu Ă©bahi de mon culot mais garde le papier.2 jours après, alors que j’étais dĂ©jĂ passĂ© Ă autre chose, il m’appelle pour le fameux verre et je dĂ©cide de l’inviter chez moi, pour un cinq Ă sept. Je le reçois en jupe mĂ©ga courte qui laissait voir la dentelle de mes collants clips et des talons aiguille de 10 cm. On s’assoit et je croise et dĂ©croise mes jambes, histoire de l’exciter un peu. On discute tranquillement et puis il me dit :
« -Vous avez eu un sacré culot quand même de me donner votre numéro !
– J’ai eu raison de le faire puisque vous m’avez appelĂ©!
-Oui je ne sais mĂŞme pas pourquoi je vous ai appelĂ©… »Le sentant un peu gĂŞnĂ© je viens m’assoir Ă cĂ´tĂ© de lui et en glissant ma main sous son tee shirt, je lui murmure Ă l’oreille:
« – Vous m’avez appelĂ© pour les mĂŞmes raisons que je vous ai donnĂ© mon numĂ©ro. On s’est plu et j’ai très envie de vous! » En disant ça, je l’embrasse dans le cou, lui mord le lobe de l’oreille pendant que ma main s’aventure dans son entrecuisse. Il ne bouge pas! Peut-ĂŞtre est-il sans rĂ©action devant tant d’audace, je sais pas. Alors je prends les choses en main et je dĂ©boutonne son pantalon. Je sors cette belle queue de son slip qui commence Ă bien grossir. Je m’agenouille entre ses jambes et je commence Ă le branler tout en le suçant avec frĂ©nĂ©sie. Je ne le quitte pas des yeux et il a du mal Ă soutenir mon regard. Je caresse ses couilles tendues et je gobe son chibre avec appĂ©tit. En mĂŞme temps je fourre deux doigts dans ma culotte et je me masturbe sans honte. Ma petite culotte est dĂ©jĂ toute mouillĂ©e. Lui, la tĂŞte basculĂ©e en arrière pousse des grognements d’animal et m’agrippe la crinière pour m’enfoncer plus profondĂ©ment sa bite dans ma bouche. J’adore ce cĂ´tĂ© bestial! Je lèche, j’avale l’engin et maintenant il ose me regarder le sucer, ce qui m’excite encore plus. Alors tout en le pompant avec gourmandise je continue Ă soutenir son regard d’un air espiègle. Il a sorti mes seins de mon petit top, et il les malaxe, les pĂ©trit Ă m’en faire mal. Il est au bord de l’éjaculation. Je sens dans ces yeux que ça le rend fou. Après un bon moment oĂą il me laisse le sucer sans m’arrĂŞter, il me relève brutalement et me porte jusqu’à la table du sĂ©jour pour m’y assoir. Il relève ma jupe jusqu’à la taille, m’arrache presque ma petite culotte mais me laisse mes talons aiguille. Il prend mĂŞme pas le temps d’enlever son jean et son slip, qui se retrouvent sur ses chevilles et il me plante sa queue sans prĂ©ambule. Mais elle y glisse très facilement tellement ma chatte est trempĂ©e. J’ai juste le temps de lui dire qu’il faut mettre une capote. Je l’abandonne 5 mn pour aller chercher un prĂ©servatif dans mon sac mais il m’a suivi dans le couloir. Il a les yeux d’un fauve près Ă sauter sur sa proie. Il me laisse Ă peine le temps de lui dĂ©rouler la capote sur sa queue prĂŞte Ă exploser. Il me plaque contre le mur, me soulève du sol et j’enroule mes jambes autour de sa taille. Son dard me pĂ©nètre profondĂ©ment, je suis en Ă©bullition et lui aussi. Je mouille tellement que quand il entre et sort de ma chatte, ça fait des petits bruits de clapotis.
« -C’est ça que tu voulais depuis le début, petit salope ! Tu voulais que je te baise. T’es une vraie chienne en chaleur ! »
J’ai l’impression qu’il n’est plus lui mĂŞme mais ses mots m’excitent.Je rĂ©ponds par des couinements et ses secousses sont de plus en plus violentes. Il pĂ©trit mon cul avec violence et viole presque ma bouche.
« -Tu vois comme tu me fais bander avec ton petit cul de salope ! »crie – t ’il ,en transe.
Sa bite entre et sort dans ma chatte avec bestialité, il est à deux doigts de ne plus se contrôler. Mais c’est jouissif. Il me culbute comme une chienne en chaleur. Nous sommes deux animaux qui copulons ! Il me défonce la chatte tandis que je cambre le plus possible ma croupe pour qu’il me pénètre encore plus profondément. L’odeur forte de sa transpiration me donne un peu la nausée et m’excite à la fois. J’ai gémi fort presqu’à crier quand j’ai joui, et de m’entendre, il a encore accéléré le mouvement de sa bite dans ma chatte et je l’ai senti tout cracher dans la capote. Il a éjaculé en moi dans un râle d’homme des bois.On s’est rhabillé et tout gêné d’avoir succombé à ses pulsions sexuelles, il s’est vaguement excusé de son comportement bestial avant de repartir la queue entre les jambes mais repue. Je ne pense pas le revoir mais j’imagine bien que pour lui c’était la première fois qu’il vivait un truc pareil. Baiser une femme qu’il connaissait à peine…
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