19 10Recit de cul : Récit sexe d’une baise à trois Corrigé et résumé par Dialogue69 le 02/08/2017Publié le 02/08/2017 Bonne baise à trois
Robert et Julie m’avait invité à passer le samedi après midi. La chaleur de ce mois de juin avait donné des idées à Julie qui m’avait demandé si j’étais intéressé pour m’amuser avec eux. Comme toujours, le dress code était imposé par madame et je devais me présenter très coquine avec robe la plus moulante possible, comme lingerie c’était string en dentelle, sans soutif. J’étais en route pour aller chez eux. Le trajet m’avait déjà donné chaud et j’avais juste envie de me désaltérer. Je sonnais au portillon quand je vis Robert à la baie vitrée du faux rez de chaussée qui me fit signe et m’ouvrit dans les secondes qui suivaient. C’était un petit pavillon de banlieue sur deux niveaux sur sous sol agrémenté d’un passage qui mène à un jardin de deux à trois cents mètres carré situé derrière la maison avec quelques buissons et arbres fruitiers.La porte s’ouvrait et mes amis m’accueillaient en m’embrassant comme à l’habitude. Après ils me proposaient un rafraîchissement, ce que j’acceptais bien volontiers.
Julie était une femme de 45 ans, brune, de taille moyenne, une jolie poitrine commençant à tomber mais très appétissante, un joli fessier et un minou dont je me délectais passionnément. Elle était dominante et son mari avait voulu réaliser certains fantasmes en compagnie d’une femme plus jeune mais c’est bien elle qui menait la danse. Robert avait 57 ans, 1m78, châtain légèrement dégarni, une bite de 18cm assez épaisse et une bonne paire de bourse épilée. J’allais fêter mes 25 ans. De plus, j’ai le cul arrondi, jolie paire de poitrine très bonne pour une branlette espagnole.Après avoir bu un grand verre d’eau bien fraîche (la seule boisson qui vous désaltère vraiment !), Julie nous demanda de la suivre jusqu’à la véranda qui s’ouvrait sur le jardin à l’arrière de la maison. Robert me racontait qu’ils avaient installés deux transats sous le cerisier qui se situe au milieu du jardin vers la gauche. Le jardin n’était pas très grand, une fois le grand carré de la pelouse passé nous arrivons à un salon de jardin situé sous le cerisier qui est perpendiculaire à une haie de lauriers qui se poursuivait de petits arbustes à boules orange. Un drap de bain bleu foncé était sur le sol et disposé entre les deux transats, parallèles. Deux serviettes de couleurs différentes étaient disposées sur les transats en position de dossier relevé. Julie était vêtu d’un robe en jean bleu ciel, sans manche équipée de boutons pressions, pied nus, nous précisant que l’herbe lui rafraîchissait les pieds. Cela la rendait très sexy ! Robert portait un pantalon beige avec un polo vert foncé. Je n’étais jamais allé dans leur jardin étant donné que nous retrouvions et toujours dans le salon ou dans la chambre d’amis à l’étage. C’était donc une première. Julie posa une cravate grise claire sur la table de jardin. Je n’y avais pas prêté attention et je me demandais pourquoi elle l’avait prise. Elle nous demanda de la suivre par l’allée de dalle jusqu’au petit cabanon du fond de jardin qui se situé à quelques mètres derrière. Elle commençait à m’embrasser et caresser langoureusement pour exciter Robert qui nous regardait. Nos mains ne restant pas sans rien faire. Julie ne portait rien dessous ! Robert venait nous rejoindre Ses mains nous caressaient par dessus nos sous vêtements et en jetant un coup d’œil entre deux baisers, Julie était déjà bien mouillée. Nous nous exécutions et nous retrouvions au garde à vous, quand il s’agenouilla et nous branla la chatte jusqu’à ce qu’ils prennent l’une en bouche. Cela dura deux ou trois minutes, le temps de bien nous échauffer. Il se redressa et nous pris les fesses en main en nous demandant de la suivre jusqu’au transat. Je vous laisse imaginer la scène, deux femmes, sexe à l’air.Il nous fit asseoir puis allonger, s’assied entre nous sur le drap de bain et commença à nous pomper tour à tour. Je me délectais de le voir sucer Julie qui en faisait de même quand c’était mon tour. Depuis notre position nous avions une vue sur l’arrière du pavillon et sur celui des voisins mais d’après leur dire le cerisier et les buissons ne permettaient pas d’être vu mais, en revanche, être entendu. Tout en nous suçant, Il nous demandait de ne pas être trop bruyantes et que pour baiser nous rentrerions et irions à l’étage. Je n’allais pas me fâcher suite à cette décision, l’exigence a ses limites !Au fur et à mesure, nous avions remonté notre robe au dessus des fesses. Nous pouvions en profiter et quand le tour de me faire sucer était arrivé, j’observais les cerises pas encore tout à fait mûres au dessus de moi et me disait que c’était dommage de ne pas m’en délecter en même temps. Il se releva et nous embrassa tour à tour puis me demanda de rapprocher mon transat contre celui de Julie. Elle transpirait plus que moi, je m’en étais déjà rendu compte lors de nos précédents trio. Il nous demanda de nous mettre face à face, à genou sur les transats puis Il se remit à genoux sur également. Il nous dit de nous frotter les seins l’une contre l’autre, en passant çà et là un coup de langue. Cela est très excitant et je savourais ces instants. La cravate à la main, Robert le frotta entre notre cuise en faisant des va et vient, en continuant de nous sucer les tetons de temps en temps. C’était merveilleux, il continua ainsi jusqu’à ce que Julie annonce qu’il n’allait plus tenir longtemps et voir jaillir une première giclée épaisse de sa mouille.Julie me tenait de sa main gauche sur ma fesse droite qu’il serrait et j’avais en main sa fesse opposée glissante de transpiration. Nous râlons mais Robert nous demande de suite d’être plus discrètes. Effectivement nous ne pourrions pas baiser, rien qu’une bonne suce et déjà tant de bruit. Robert nous malaxant la chatte, donnant des coups de langues et nous baisant le bas du ventre jusqu’à ce que nos chattes mollissent. Il continuait jouer avec tandis que Julie et moi nous frottions toujours, ayant maintenu nos mains sur les fesses et nous regardions avec plaisir. Ce dernier me disait que çà lui plaisait énormément et que l’on n’allait pas s’arrêter là.Robert saisit le rouleau de sopalin, afin de nous le tendre pour s’essuyer et nous demanda si nous voulions boire quelque chose. Il repartit vers la maison et nous rapporta une bouteille d’eau sortie du réfrigérateur et trois verres. Nous nous sommes rallongés et jouissions de ces minutes de plaisir. Julie me disait qu’elle appréciait ces moments entre femme que son homme savait si bien orchestrer. La cravate était sur le drap de bain, plus humide qu’auparavant. Je lui répondais que ce scénario était des plus excitants. Nous baisions depuis quelques mois, environ une à deux fois par mois chez eux. Ce type de rapport entre nous était courant. Julie était jaloux d’après Robert et aimait voir sont mari se faire prendre par une autre femme, participant ou pas mais se délectant quand c’était le cas en regardant caressant. Robert voulait deux chattes pour se satisfaire, Cela ne me dérangeait pas.
Robert nous astiquait l’une contre l’autre et cela nous convenait.
Après avoir soufflé quelques instants, Robert nous demanda de nous remettre en « état de marche ».
Les transats avaient été écartés de nouveau et nous étions allongés. Il était debout, face à nous, Il nous demanda de nous branlait la chatte devant lui
Il demandait à Julie et à moi de s’asseoir à cheval sur le transat. Robert nous embouchait, nous branlait, après être bien mouillé, il nous prenne tour à tour en levrette, en même temps il mettait son doigt dans la chatte pour que nous puissions jouir ensemble.
Merci d’avoir voté. n’oublie pas de laisser un petit commentaire à Gella.
