Résumé .Son mari la délaisse. Sur les conseils d’une amie, elle découvre le « Manoir », lieu de rencontres où elle peut conserver son anonymat en dissimulant son visage sous un masque. Mais, un samedi, elle y trouve son mari et un autre homme. La cagoule la rend « Mystérieuse » et elle se retrouve avec les deux hommes. Elle découvre que le complice de son mari est aussi son amant, et qu’il le possède devant elle. Mais une descente de police les surprend. Elle est obligée d’enlever sa cagoule et son mari découvre sa femme dans la « Mystérieuse » de leur trio.Je ne sais pas comment j’ai fait pour rentrer en voiture sans accident. Mon cerveau brûlait des hypothèses que j’échafaudais pour le moment où j’allais me retrouver face à mon mari. J’essayais de me dire que chacun était coupable, mais la logique n’a pas toujours sa place dans des relations de couple, surtout quand les relations sont extra conjugales…En arrivant, je prends une douche. Je suis encore moite de ce qui s’est passé.Je me couche. Je gamberge. Le sommeil refuse de venir. Une question m’obsède. Que va-t-il se passer ?Une heure passe. Toujours rien. 30 minutes de plus et j’entends la porte de l’appartement s’ouvrir. Il arrive. Pas de vacarme. Je vois juste la porte de la chambre s’entrebâiller. Il regarde si je suis là . La chambre est dans un noir total. Le peu de lumière qui passe doit lui montrer une silhouette. Je fais semblant de dormir.La douche. Lui aussi… Plus encore, il doit être pollué par ce que lui a balancé son copain.C’est pas sympa d’avoir cette pensée. Tu imagines le foutre de Luc qui a coulé de son petit trou… Des coulures sur ses jambes… Son slip… Mauvaise épouse !Il entre. À travers mes cils, je vois sa silhouette se détacher sur la lumière du couloir. Il est imposant. Mon Dieu, pourvu qu’il ne se mette pas en colère. Il n’a jamais usé de la force, mais les circonstances sont si terribles.Non, il éteint et rejoint le lit à tâtons. Le matelas bouge sous ses cent kilos.Rien. Il doit penser que je dors. Au moins, il n’est pas dans une colère incontrôlable.Le silence. Juste sa respiration. Quelques minutes et puis :C’est demandé avec délicatesse, pas de cette demande si forte que cela veut dire « réveille-toi ».—  Non. Je réponds dans un souffle.—  Je t’ai cherchée après le contrôle. Tu étais où ?Je me demande si je ne rêve pas. Une question des plus banales à une situation si extraordinaire. Autant dire la vérité :—  La fliquette m’a reconnue. Elle dépend de ma circonscription. Elle a été sympa et s’est arrangée pour me faire sortir discrètement.Je ne précise pas en échange de quoi.—  Ah ! Je ne savais pas. Tant mieux. Autant ne pas faire de vagues. Moi je t’ai cherché un moment.—  Je suis désolée…Un long silence, et puis :—  Ça fait combien de temps ?Inutile de préciser, je sais ce qu’il veut dire.Ça m’est venu sans réfléchir. Probablement le résultat de mes réflexions qui cherchaient à me justifier en disant « Lui aussi ». Il ne proteste pas, juste :—  Moi c’est un peu délicat. Dis-moi d’abord, je te répondrai ensuite.—  Quatre mois. Mais cela fait au moins un an que tu ne me regardes plus. Si on fait l’amour une fois tous les quinze jours, c’est le grand maximum et encore, c’est parce que c’est moi qui te sollicite. J’ai bien vu que je ne te plaisais plus. J’ai pensé à de la fatigue, une dépression et plein de raisons, mais non. Cela provenait de moi ! Enfin… je veux dire, tu ne me désirais plus.—  Je suis désolé, je n’avais pas conscience… Je peux comprendre que tu avais des besoins… Mais pourquoi le Manoir, et comment tu l’as connu ?—  Je ne voulais pas d’un amant régulier. Je n’avais que des envies de… de… enfin tu comprends ! J’avais peur aussi qu’on me reconnaisse si je cherchais par les réseaux. Alors le Manoir, avec la possibilité de porter un masque…—  Ou une cagoule…—  Tu sais, je ne voulais pas… C’est Luc qui m’a entraînée…—  Je comprends. Mais tu es venue souvent ?Mon Dieu, c’est une conversation entre adultes calmes et posés. C’est comme si je parlais d’une autre.—  Je n’ai pas compté.—  Et qui t’a donné cette adresse ?—  Une amie.Un long silence. Et puis :—  Seulement avec un homme ?—  Presque toujours. Avec un couple, une fois… C’est la femme qui m’avait draguée.—  Ah. Et à plusieurs ?—  Non. À trois, c’était la première fois. Tu sais, j’ai des besoins très classiques…—  C’n’est pas comme toi ! C’est ça que tu allais dire ? Tu as été choquée ?—  Choquée, non. Mais surprise, oui. Plus que surprise, même. Jamais je n’aurais imaginé… Mais je suis curieuse de savoir.—  Tu sais, c’est arrivé sans que je le voie venir.—  Dis-moi.—  Tu te souviens du dernier bilan annuel de ma boîte ?—  Oui, il y a trois mois.—  Non, celui d’avant. Ils avaient organisé un grand « cirque » dans un centre de réunion en province. On avait couché sur place.—  Oui. Je vois.—  On avait fait la fête. J’avais beaucoup bu. En fin de soirée, j’étais bien torché. Je partageais ma chambre avec Luc.—  Il travaille avec toi ?—  Oui, dans mon équipe. Donc je retourne dans ma chambre. Je prends une douche pour me rafraîchir les idées et ne pas m’effondrer comme un poivrot sur mon lit. À un moment, je vois Luc dans le miroir. Il me regarde. Il est à poil. Évidemment, je n’avais jamais fait vraiment attention à son physique. Je le remarque. Tu as vu comme il est…Paul se rend compte de la bizarrerie de cette remarque, qui lui rappelle bien entendu les heures précédentes. Je ne réponds pas. D’ailleurs cela ne demande pas de réponse.—  Je dois avoir l’air idiot. En plus, je remarque qu’il bande. Il voit que je vois. Mais il dit juste —  Je peux venir avec vous ?Comme je suis sidéré, il fait comme si j’avais dit oui. Il entre. C’est une grande douche italienne.—  Vous me passez le savon ?.Je reprends un peu mes esprits. Mais il ne faut pas oublier que je suis beurré et que la douche n’a fait que me réveiller un peu. Après, je ne me souviens plus bien des détails. Je le regarde se savonner le sexe. Et puis, à un moment, c’est le mien qu’il prend dans sa main. Je bande. Il sourit et ça, je m’en souviens. Il me dit dans l’oreille :—  J’ai envie de vous.Il se baisse et commence à me sucer. Je suis comme paralysé mais… excuse-moi… C’est très bon. La taille de mon machin n’a pas l’air de le gêner. Au bout d’un moment assez court, je sens que je vais jouir. Je lui dis. Il s’éloigne, mais continue de me branler jusqu’à ce que je crache.—  Eh bien, je vois que vous aussi vous en aviez envie.Sa remarque ne me culpabilise même pas. Au contraire, je suis fier de lui avoir montré ma virilité. Mais il me dirige. On va dans la chambre. Il s’assied sur un fauteuil. qu’il me dit en me montrant son sexe toujours aussi tendu. Je m’agenouille et le fais. Tu sais, Anne, jamais je n’avais fait ça, le plus que j’ai jamais sucé, c’est un gode pour bien l’enduire de salive avant de te le donner…—  Je comprends. Je ne te juge pas. C’est arrivé, c’est tout…—  Oui, comme tu dis, « c’est arrivé ». Je l’ai donc sucé. Je n’étais pas très doué. Depuis je… Pardon… Ensuite, il me fait lever. Je le vois aller chercher une capote et un tube de gel.—  Tu l’as déjà fait ?Son tutoiement m’étonne presque plus que sa question. Mais je lui réponds :—  Jamais. Juste un doigt ou deux par ma femme—  Tu vas voir c’est divin.Il me fait installer. Je ne résiste même pas. Devant le fauteuil, penché en appui sur les bras, un pied au sol, l’autre posé sur le fauteuil. Je le sens qui m’enduit de crème. Ensuite il me… Enfin tu vois… Ce n’était pas douloureux, il a été très doux, mais je n’ai pas eu de plaisir…Je pouffe de rire. Je n’ai pas pu me retenir. Cette confidence dans le noir total dépersonnalise ses aveux…—  Pourquoi tu ris ? Tu me trouves ridicule.—  Non, mais ta surprise. Il n’y a que dans les histoires sur le net qu’une première sodomie est jouissive. Il faut s’habituer pour vraiment apprécier. Tu ne t’es jamais vraiment posé cette question-là , lorsque tu as voulu me prendre par-derrière.—  Oh, je suis désolé. Je ne savais pas.—  Rassure-toi, cela devient… Mais tu le sais, maintenant. Continue.—  Il n’y a pas grand-chose à ajouter.—  Seulement avec Luc ?J’entends bien qu’il hésite. J’insiste.—  Ce n’est plus le moment de faire des cachoteries.—  Tu as raison, c’est juste que j’ai peur de te choquer.—  On en est plus à ce stade, tu ne crois pas ?—  Tu as raison. Avec d’autres… Pas souvent… Mais parfois. Uniquement au Manoir. Il faut dire qu’avec le temps, notre relation s’est enrichie…—  Enrichie ! Quel joli mot !—  Ne te moque pas, c’est déjà assez difficile.—  Pardon.—  Oui. Évidemment, on a recommencé. Tous les deux. Un jour, en plaisantant et me claquant les fesses tout en me traitant de « Patron qui doit être puni » on a découvert que j’appréciais. Mais aussi, Luc est comme moi : il aime les femmes et en découvrant le Manoir, on a pu diversifier. Des femmes, mais aussi, parfois, il me… – c’est difficile… – proposait à un mari pendant que lui s’occupait de sa femme. Tu vois, je te dis tout.Je réalise tout le chemin que mon mari a parcouru sans moi.—  Tu aurais pu me dire que tu aimais ça.—  Oui, mais je ne le savais pas. C’est arrivé petit à petit. Après, c’était trop difficile à avouer. Et puis, comment tu aurais jugé ?—  Je ne sais pas.—  Tu vois. Finalement, ce qui est arrivé ce soir est peut-être une bonne chose. Cela nous oblige à tout nous dire. Tu ne crois pas ?—  Peut-être. Mais on va faire comment, maintenant ?Un long silence.—  Franchement, je ne sais pas. On n’est pas obligés de décider maintenant. Il faut laisser reposer. Comme on dit, la nuit porte conseil.—  Tu as raison. Dormons.Un long silence. Je cherche le sommeil, mais tout se bouscule. Paul m’a appris tant de choses sur sa nouvelle sexualité. Quelle est ma place, maintenant, dans tout cela ?Au plafond, je vois égrainer les minutes du réveil qui projette l’heure. Dix, puis vingt, puis trente. À côté, j’entends la respiration de Paul. Lui aussi doit avoir du mal à s’endormir.—  Tu dors ? je lui demande.—  Non, j’ai du mal.Une idée me traverse l’esprit. Pour trouver le sommeil tout le monde sait ce qu’il faut faire. Je me lève.—  Qu’est-ce que tu fais ?—  Rien, tu vas voir.Le « tu vas voir » est une façon de parler, car c’est à tâtons que j’ouvre un tiroir de ma table de nuit. Je remonte sur le lit, mais me glisse vers lui. Je tire le drap qui couvre sa nudité. Paul dort toujours nu. À tâtons, je cherche son sexe.—  Anne, tu fais quoi ?—  Un remède contre l’insomnie.Je le trouve, pauvre petite chose flasque. Une image m’éblouit. Celle de sa queue bien grosse, il n’y a pas bien longtemps. Entre mes lèvres, elle se déploie. Paul écarte ses cuisses, soulève son bassin. Ma bouche a du mal à garder le gland monstrueux.Je me soulève. Gardant le gland, je tourne sur lui pour me mettre en 69. Ma fente trouve ses lèvres. Ses mains s’emparent de mes fesses pour me guider. Il me lèche. Je le suce. 69 bien banal, mais qui revient de loin. Il y a bien longtemps que nous ne l’avions pas fait. Je gronde de ses caresses. S’il sait maintenant sucer une bite, il a toujours su me lécher. Je gronde et lui aussi. C’est bon.Mais après quelques secondes, j’abandonne son mandrin pour en sucer un autre. Le gode que j’ai pris dans la table de nuit est celui que nous utilisons, utilisions serait plus juste, parfois. Je l’enduis de salive.Je reprends la bite, mais place maintenant le gode vers son petit trou. Dès qu’il sent ce qui se présente, il demande :—  Anne, qu’est-ce que tu…—  Chut, occupe-toi de moi.Je pousse le jouet. Tout en l’introduisant, je me dis que ce n’est peut-être pas la première fois qu’il visite ce passage. Moi-même, au début de mes sodomies, il m’arrivait de « m’entraîner » pour familiariser mon anus à se faire plus conciliant. Mon mari a peut-être fait la même chose.Je pousse. Paul arrête de me lécher. Je sens qu’il soulève un peu son bassin pour me laisser plus de place. L’engin avance en pays conquis. Son cul est ouvert pour lui. Déjà , il est au fond.Je le bouge. Lentement, je simule une possession. J’appuie sur le bouton qui déclenche les vibrations. À travers la bite, que j’ai reprise en bouche, je sens les vibrations du gode. Paul a recommencé à me caresser. Ses mains s’occupent maintenant de mes seins. Mais je veux plus.D’un bond, je me lève et vais me placer pour le chevaucher, lui tournant le dos. Ma fente est humide et d’un mouvement, je me pénètre du gros bâton. Je me pénètre et m’active dessus. En même temps, je bouge le gode. En cadence, je le pousse alors que je m’empale sur la bite de mon mari. Elle mérite bien son nom, on pourrait y attacher un bateau et les putes du port y trouveraient de quoi bien se remplir.Mon mari m’encourage. Il place ses mains sous mes fesses pour accompagner mes mouvements. Putain que c’est bon. Il est gros. À nouveau, je constate que de se faire enculer fait grossir son engin…Ce n’est pas bien de dire ce mot, c’est grossier.(Encore la petite voix).Ta gueule ! Je pense. Ne viens pas gâcher mon plaisir. C’est trop bon. S’il faut que j’encule mon mari pour qu’il me revienne, alors je le ferai. En plus, c’est super excitant. Tu ferais mieux de me montrer les images de tout à l’heure, tu sais, son visage, ses cris, ses petits couinements alors que Luc l’enculait profond… Oui comme ça…S’il faut, je lui achèterai un gode ceinture avec une grosse bite noire…Ou, inviter son amant à la maison… Je pourrais en profiter aussi…Et… Ohhhhh ! Il jouit. Il m’inonde. C’est autrement meilleur avec son foutre, plutôt qu’une capote.Je viens… Je viens…Il me prend dans ses bras. La jouissance a laissé la place à une sorte de tendresse. Il m’embrasse. Un baiser comme cela faisait longtemps que nous n’en avions plus échangé.—  Merci, ma chérie. Merci de me pardonner et de comprendre.—  Merci à toi aussi.Il me prend dans ses bras.—  On est bien, hein ?—  Oui.Et, quelques secondes plus tard, j’entends sa respiration régulière. Je gamberge un peu. De quoi notre avenir, notre sexualité, seront-ils faits ?Le réveil est étrange. On dit que les choses paraissent plus claires à la lumière du jour, mais, dans mon cas, je suis dans une incertitude étrange. J’ai bien l’impression que c’est la même chose pour Paul. Nous nous sourions, mais chacun doit se demander si tout ce qui s’est passé, au Manoir et plus tard à la maison, a vraiment été « intégré ». Je prétexte d’aller faire quelques courses pour me permettre de réfléchir. On fait quoi maintenant ?Faire comme si rien ne s’était passé et chacun reprend son chemin en s’arrangeant peut-être pour que les chemins ne se croisent pas ? Impossible, bien sûr.Abandonner nos visites au Manoir et pour Paul sa relation avec Luc ? Alors, dans ce cas, mon mari va-t-il se contenter de son épouse, même si elle essaye de satisfaire les besoins qu’une longue pratique avec Luc a déclenchés.Assumer nos envies, chacun de notre côté au Manoir, peut-être s’y retrouver pour les revivre, mais alors en pleine connaissance de cause ?Je n’arrive pas à me décider. Pourtant, il va bien falloir qu’on aborde le sujet. Peut-être que Paul a trouvé une solution.J’entre et, au même moment, mon téléphone sonne. Je réponds, bien que le numéro ne soit pas reconnu.—  Oui ?—  Bonjour.Un silence.—  Je suis Amélie. On s’est vues hier soir.Je réalise que c’est la fliquette. Elle n’a pas perdu de temps. Cela fait moins de 24 heures. Elle continue :—  Ça va ? Le retour n’a pas été trop dur avec votre mari ?Elle s’inquiète.—  Non, merci. On a parlé.—  Bien, alors vous allez pouvoir me rendre ce petit service. Vous savez… Le parrainage pour entrer et le beau black !Elle ne perd pas de temps et elle a de la suite dans les idées. D’accord, j’ai avancé avec mon mari, mais je ne lui ai pas parlé de la demande de cette femme.—  Je n’ai pas encore eu le temps d’en parler.—  Il faudrait. Je ne suis pas en service samedi prochain. Cela vous laisse le temps de tout organiser. Vous me rappelez… on va dire demain soir… Le temps de s’organiser… Je compte sur vous.—  Euh…—  Écoutez, je vous ai rendu service cette nuit, oui ?—  Oui, c’est vrai.—  Alors celui que je vous demande me paraît un juste renvoi d’ascenseur.—  Oui. Je vais m’en occuper.Après avoir raccroché, je vais en parler à mon mari. Je lui explique qu’en échange de « m’exfiltrer » du Manoir, la fliquette m’avait demandé un service et que le service est…On discute. La conversation est surréaliste. Finalement on admet que le service qu’elle m’a rendu mérite bien que je l’aide aussi. Paul contacte Luc. Il lui parle. Luc demande à me parler.—  Alors comme cela, belle Mystérieuse, vous étiez la femme de Luc. Eh bien, je suis charmé d’avoir fait votre connaissance de cette façon. Cela change des soirées fastidieuses entre amis.—  Merci. Mais pour la femme fliquette ?—  Je n’ai pas vraiment fait attention à elle. On verra. Mais une chose est sûre, dites-lui bien que je dois souvent supporter des contrôles avec délit de faciès et qu’elle risque d’avoir à supporter quelques punitions pour cela.—  Punitions ? Si c’est pour lui gâcher la soirée, je ne pense pas que…—  Tout doux, belle Mystérieuse. Je parle de punitions, pas de sévices, ni de violence. Juste ce qu’il faut pour pimenter cette rencontre.**********—  J’ai parlé avec Luc.—  Luc ?—  Oui, c’est son prénom.—  Et ?—  Je dois vous dire que d’après ce que je sais de lui, c’est un homme qui aime bien contrôler, avec ses partenaires. Une sorte de dominateur. Et il a parlé de punitions pour vous, une façon de se venger des contrôles qu’il juge abusifs.—  Oh ! Je comprends. Vous pouvez lui dire que cela me va très bien. J’adore inverser les rôles…**********C’est comme cela que, le samedi suivant, j’attends cette fliquette, Amélie dans le civil, devant le Manoir. Finalement, c’est ni moi ni Paul qui avons vraiment décidé de ce que nous ferons. D’une certaine façon, c’est elle qui, par sa demande, nous fait retrouver le Manoir. Le Manoir et tout ce que cela sous-entend.La femme qui me salue n’a rien de la fliquette dont je me souviens. Évidemment, sa robe n’est pas un uniforme et j’imagine qu’habillée ainsi tous les hommes accepteraient de se laisser conduire au poste sans protester. Robe rouge, décolletés profonds aussi bien devant que derrière et qui s’arrête au raz du cul. L’affiche ne laisse aucun doute : elle n’est pas là pour discuter. Nous échangeons quelques mots. À l’accueil, son inscription est une formalité. Les proprios sont heureux d’avoir ce genre de cliente qui ne peut qu’attirer le regard des hommes.Je me charge de lui faire visiter et de lui expliquer les règles. On retrouve les hommes au bar. Eux aussi sont surpris, mais il faut dire que l’irruption de la police n’avait pas été très propice à l’examen des silhouettes.Luc, manifestement satisfait, l’entraîne aussitôt. Je me retrouve seule avec Paul.—  Ton masque te va bien. C’est plus élégant que la cagoule.—  Merci. Qu’est-ce qu’on fait ?C’est la question à 1010 Euros. La question que je me pose depuis que je sais que nous allons nous retrouver ici. Je n’ai pas osé la poser à la maison. Je la pose ici, en espérant que Paul a la réponse « qui va bien ». Je ne connais pas cette réponse, mais je suis prête à tout entendre, depuis « on rentre » jusqu’à « on se retrouve à la sortie dans X heures ».—  On a qu’à les suivre.Réponse sans vraiment la solution. Sauf que le « on rentre » est éliminé de fait.On les suit. D’abord du regard, puis physiquement. Ils passent par le « purgatoire », la pièce où Luc m’a entraînée la semaine dernière. Nous aussi on danse. Je me fais l’effet d’une voyeuse, pourtant, ici, c’est un art recommandé. Luc est plus invasif qu’avec moi. Il faut dire qu’Amélie affiche le menu. En peu de temps un sein déborde de sa robe dont le bas est retroussé avec Luc qui a posé ses mains de pianiste sur les fesses où on devine à peine une ficelle de string. Elle n’est pas en reste et la chemise laisse assez de passage pour qu’elle y glisse une main et on devine qu’entre les deux corps collés, une autre est partie en exploration.Pour un peu, ils vont baiser ici. Le règlement l’interdit. Séductions, caresses, mises en forme, mises en jambe sont autorisés, mais le reste à l’étage. Non, il l’entraîne et, en passant à côté de nous, chuchote à l’oreille de son complice. Amélie est tout sourire. J’ai rempli ma part du marché. On est quitte. Ils s’éloignent.—  Qu’est-ce qu’il t’a dit.—  De les rejoindre dans cinq minutes. Il va laisser la porte ouverte pour le retrouver.—  Moi aussi ?—  Il n’a pas précisé.Un silence.—  Tu peux me laisser si tu veux… Peut-être que tu voudrais être un peu seule, pour… Je… Enfin, je veux dire que tu es libre, bien entendu. On pourrait se retrouver…—  Merci. Non, je préfère rester avec toi.Je me serre contre lui. Ce n’est pas la libertine, mais l’épouse, qui cherche la chaleur du corps de son mari. Un mari qui vient de lui donner une très belle preuve d’amour. Bien entendu, je n’oublie pas que de son côté il a déchiré allègrement la promesse de fidélité, mais j’apprécie sa « générosité ». Beaucoup d’hommes n’accepteraient pas que leur femme soit leur égale dans la sexualité. Et Paul, en me laissant le choix, vient de me hisser à son niveau. Nous sommes égaux.Il ne reste plus que le ménage, les courses et la cuisine me susurre une petite voix taquine qui reflète bien un état d’esprit qui se libère à chaque minute.On monte. Dans mon esprit, et probablement pour Paul aussi, ces marches rappellent des souvenirs. En effet, la porte est ouverte. Déjà un homme regarde. Ce qu’il voit, nous le découvrons, c’est une femme nue qui suce un beau black, lui aussi dans le plus simple appareil. Elle le suce avec gourmandise, c’est une sucette longue et belle, une sucette qu’il faut bien enduire de salive, mais qui ne risque pas de fondre si ce n’est en lui faisant cracher son jus. Elle n’en est pas là . Elle en est à la découverte. Amélie n’est pas une débutante. Elle n’est pas si vieille, 25 ans peut-être, mais a dû en voir pas mal. Cela se voit à sa façon de le prendre en bouche, de le branler doucement, de le lécher en descendant jusqu’aux belles couilles qu’elle gobe et même d’oser pousser plus loin et probablement jouer de sa langue vers le petit trou de l’homme.L’homme, Luc, lui tend une capote. Elle la déroule lentement, faisant durer le plaisir avec un sourire coquin. Luc la guide pour s’installer sur le lit, la croupe bien en vue. La suite est une évidence, mais une évidence qui, même répétée et renouvelée maintes fois, est toujours un spectacle magnifique. La position pourrait paraître vulgaire, bestiale et pourtant la levrette est jouissive, autant pour l’homme qui domine et peut voir son mandrin disparaître dans la fente ou le cul de la femelle, que pour la femme qui, en se penchant et bougeant, trouve les bonnes sensations.Il l’enfile d’un mouvement régulier. Luc a le sens du spectacle. Ils se sont placés de profil afin que les voyeurs puissent contempler à leur guise. Il nous voit.—  Viens Paul. Tu dois bien avoir un ou deux PV à rattraper !Paul me regarde, comme s’il me demandait la permission, et me quitte. En deux temps trois mouvements, il se déshabille. Du temps que Luc utilise pour bien embrocher la fliquette en commençant à la bourrer puissamment. C’est vers la bouche que mon mari guide son braquemard. Il bande déjà . La fliquette n’est pas déçue du cadeau. Son expérience lui sert pour accepter un tel bijou.C’est à la fois beau, dérangeant et excitant. Je me revois la semaine dernière. Position différente, mais sur le même principe. Deux belles bites pour soi. C’est juste que l’arrivée de la police a stoppé notre rencontre. Mais pas de police ce soir ou, plus exactement, la police est déjà là , mais incognito, plus femelle que fliquette.—  C’est beau, n’est-ce pas ?À côté de moi, le voyeur déjà présent à notre arrivée me parle. Je ne peux que confirmer par un « Oui » murmuré. Mais Luc bouge. Il fait se lever Amélie qui le suit. Deux pas à côté du lit et il lui lève un bras pour atteindre une paire de menottes à laquelle il l’attache. Il lui parle à l’oreille tout en continuant de l’immobiliser. Elle sourit. J’imagine qu’il lui parle de se « venger ». Amélie n’a pas l’air inquiète. Pas plus inquiète lorsqu’il lui donne quelques claques sur les fesses qui paraissent plus un prétexte qu’une vraie punition. Paul à suivi. Il a l’air de savoir quoi faire.—  Vous croyez qu’ils vont… ? me dit mon voisin.Oui ils vont. On voit Luc venir prendre la femme en fléchissant les genoux. Son mandrin glisse dans une fente déjà toute acquise. Amélie est face à moi. Je vois sur son visage la puissance de la possession. Luc la soulève comme une plume. En panique, elle croise ses jambes autour de la taille de l’homme alors qu’il la maintient contre lui. Elle est en lévitation. Paul, pour qui c’est une évidence que ce n’est pas sa première fois, à sa façon de se comporter, se place derrière le couple et, après avoir enfilé une capote, vient présenter son mandrin vers un orifice que je ne peux que deviner. Il se colle à eux. Luc parle à la femelle. Que lui dit-il ? Que son complice va la prendre aussi ? Il lui demande si son petit trou est ouvert ? En tout cas la réponse est positive vu le hochement de tête.Alors Paul l’enfile. Je suis bien placée pour savoir que son engin est gros et que de le laisser mettre dans le cul demande une bonne pratique.Amélie gémit. Elle semble faiblir. Pourtant la voici chevillée sur deux mandrins que j’ai connus mais pas en même temps.—  C’est beau. Approchons, vous voulez bien ?Mon voisin m’entraîne. Un fauteuil nous sépare du trio qui ondule. L’homme s’est placé derrière moi.—  Regardez comme elle semble heureuse.Il me parle à l’oreille. Il se colle à moi. Je sens son sexe durci contre mes fesses.—  Je suis tout excité. Pas vous ?Il me parle, mais aussi ses lèvres me caressent le cou, la nuque. Comme je ne me refuse pas, ni en m’éloignant, ni par la parole, il devient plus intrusif. Ses mains me caressent, d’abord à travers mon chemisier, mais bien vite ses doigts habiles trouvent les boutons qui lui donnent accès à ma poitrine. Je ne peux retenir un soupir avec un « Mummmm » qui l’encourage.C’est bon. Sa main ferme, sur ma nuque, m’invite à me pencher en avant. Le dossier du fauteuil est un appui confortable. Je suis à moins de deux mètres du trio qui s’active avec des soupirs qui remplissent la pièce. Un miroir, au fond de la chambre, me montre que d’autres voyeurs sont entrés et sont derrière nous. Luc me tourne le dos et j’ai une vue magnifique sur ses fesses sombres avec les muscles qui roulent sous la peau alors qu’il baise sa proie. Elle, est de face, mais je ne vois pratiquement que ses jambes qui forment un lien, taches blanche sur la peau d’albâtre. Ce que je vois, c’est son visage. J’en vois chaque soupir sortir de ses lèvres, ses paupières battent, son regard se trouble. Et, derrière elle, de face pour moi, j’aperçois mon mari. Un mari bien posé sur ses jambes mais dont je devine le mouvement du bassin alors qu’il pousse son dard dans le cul de la femelle.Il encule Amélie, mais garde tout de même un regard sur moi. Il m’a vue approcher, littéralement propulsée par un inconnu. Il me voit, le chemisier ouvert, penchée en avant, alors que l’inconnu qui s’est littéralement allongé entre mes cuisses, repousse la dentelle de ma culotte pour avoir accès à mon intimité.Il me suce. Sa langue s’est glissée comme un serpent. Elle trouve mon bouton et les lèvres l’aspirent. Si le fauteuil cache à mon mari ce que fait l’homme, je ne peux et ne veux pas en cacher les effets. C’est bon.Mais il ne s’attarde pas. Il revient vers moi. En tournant la tête, je le vois extraire sa bite de son pantalon et sans se dévêtir plus, la recouvre aussitôt de latex.Il se place. Il soulève ma jupe. Tout le monde doit voir ma culotte et le reste. Mais je m’en fous. Je veux qu’il me prenne. Paul m’avait donné la liberté de séduire, je la prends, mais devant lui. D’une certaine façon, c’est ainsi que cela doit se passer. La fliquette a tracé notre chemin sans le savoir. C’est pour Elle, grâce à Elle que nous sommes ici.Il m’envahit. Je lui suis ouverte. J’ai envie qu’on me prenne. Une baise un peu « sauvage », par-derrière, un peu comme on prend une pute au bois contre un arbre ou après un repas avec une envie subite et que chacun cherche à prendre et donner du plaisir.Il me baise, me bourre. Je sens le regard de mon mari et je crois que de me voir lui donne une fougue renouvelée.Amélie me voit aussi. Elle me sourit une seconde, complice dans le vice avant de repartir dans les profondeurs du plaisir et de la jouissance.Mon baiseur me fait du bien. Il me caresse la poitrine, je caresse mon petit bouton. Sa queue est puissante, dure, longue, agréable et elle glisse presque trop facilement dans ma grotte grasse de désir et de sa salive. Je ne force pas mon plaisir. Il s’affiche sur mon visage, comme doit le voir mon mari qui ne me quitte pas des yeux.Impossible de dire quel homme, Luc, mon inconnu ou mon mari a joui le premier. Mais ce que je sais, c’est que de voir Amélie totalement submergée par sa jouissance, la transformant en un corps presque sans vie que les deux hommes maintiennent de leur mieux m’a procuré un plaisir particulier fait de satisfaction, mais aussi d’une certaine jalousie.Mon inconnu s’est vidé dans sa capote avec de petits cris. Il m’a libérée. Le trio s’est défait. Ils ont détaché Amélie de ses liens. Un moment de flottement, aussi bien dans la foule que parmi les acteurs. Je me prépare à partir pour d’autres horizons. Cette vision m’a échauffée et la baise par l’inconnu pas totalement satisfaite. J’ai envie.Et puis, tout se passe comme dans un rêve. Luc parle à l’oreille de son complice. Il doit parler de moi car leurs regards se dirigent vers moi. Paul fait les quelques pas qui nous séparent. Il me prend la main. Je me laisse guider. C’est si étrange. Il finit de dégrafer mon chemisier, fait tomber la jupe au sol, détache mon soutien-gorge, tire sur ma culotte. Je suis nue, enfin pas vraiment, car il me reste mon porte-jarretelle, mes bas et mes hauts talons.La pudeur n’est pas de mise dans cette maison. Si on veut rester entre soi, il faut pousser la porte, comme l’indique le règlement, et personne n’a le droit de l’ouvrir sans autorisation. Mais ici, la porte est grande ouverte. Des hommes et des femmes regardent. Certains n’ont pas fait que regarder, comme mon inconnu et moi. Je suis nue, mais mon masque m’habille. J’apprécie ce que je vois. Les regards sont tournés vers moi. Mon mari m’exhibe. Il peut être fier. Malgré mon âge, je supporte la comparaison avec de plus jeunes.Il m’exhibe, mais je sens qu’on se saisit de mes poignets. C’est Luc qui est derrière moi et c’est lui qui m’accroche avec les menottes. Un instant je vais protester, mais la fierté me retient. Ne pas faiblir devant mon mari. S’il laisse Luc faire, c’est que lui aussi veut voir.Menteuse, hurle la petite voix. Ne pas faiblir, mon cul ! C’est plutôt que toi aussi, tu voudrais vivre ce qu’Amélie vient de vivre. Baisée par les deux hommes. Baisée devant tout le monde. Ressentir le plaisir que cela doit être, de se faire posséder par deux mandrins… devant ces gens… anonyme pour eux… sauf pour mon mari, Amélie et Luc.Et puis, toujours Luc qui planifie. Il pousse Amélie pour me caresser. Pendant de longues minutes, je suis un jouet entre ses mains. Des mains, une bouche et une langue qui bientôt explorent mon intimité. Je frissonne de ses caresses. C’est la deuxième fois qu’une femme s’occupe de moi. La première étant la femme candauliste qui m’avait draguée pour son mari. Elle s’était chargée de tout, me caresser, le sucer ne lui laissant que le soin de me posséder sous ses yeux et, alors qu’il me bourrait avec vigueur, elle se caressait pour trouver la jouissance au moment où son mari éjaculait.Mais Luc ne fait pas que cela. Je le vois aller chercher deux hommes. Je comprends qu’ils sont pour moi. Mais ce que je vois est encore plus troublant. Alors que les deux hommes libèrent leur sexe, je vois mon mari manifestement sous les ordres de Luc les sucer et les branler.—  Regarde bien, chère Anne. Tu as compris que ton mari est un peu ma chose. Il aime cela. Je sais qu’il te l’a avoué. Mais je veux que tu le rejoignes dans ce voyage. Nous pourrions vivre des moments très forts. Laisse-moi te montrer un aperçu de ce que nous pourrions faire. J’ai toujours rêvé de diriger un couple. Je ne manque pas d’idées pour que chacun vive des moments très forts.Il me fait face. Son regard plonge dans le mien. Il n’attend pas de réponse. De toute façon, j’ai du mal à réfléchir, avec Amélie, tous ces regards fixés sur moi, la vision de mon mari suçant des queues. Paul ne me regarde pas, peut-être a-t-il honte de ce qu’il fait, en tout cas, il met une belle ardeur à sucer ces hommes, ces bites qui se dressent maintenant… Se dressent pour moi… Il prend mon silence et mon trouble pour un accord.Alors tout s’enchaîne. Mon mari qui guide chaque homme vers moi. Mon Dieu que sommes-nous en train de faire ? Quel vice dans ce regard, alors qu’il place un homme face à moi. Luc est en retrait. Il surveille, dirige, organise.L’homme est entré par une poussée continue, mais puissante.Il s’immobilise le temps que l’autre, guidé par Paul, cherche le chemin de mon cul. Celui-là est plus délicat. Mais alors qu’il progresse, je sens mon ventre se remplir. C’est une sensation étrange, comme celle lorsque mon mari m’a sodomisée avec son gros engin la première fois. Mais ici, pas de douleur, juste une sensation de… Ils bougent. Au début, je suis ballottée de l’un à l’autre, mais bien vite ils trouvent leur rythme. Je comprends ce que ressentait Amélie. Prisonnière, mais prisonnière consentante qui se livre à ceux qui la possèdent.Mais Luc a prévu encore plus. Il a fait plonger mon mari entre les cuisses d’Amélie qu’il lutine. Paul offre ainsi une vision troublante de sa croupe que déjà son complice attrape pour le retenir, alors que d’une poussée sauvage il encule son… Soumis… Oui c’est cela… Leur relation c’est Dominant, Dominé.Luc a un sourire conquérant. Il peut. Le voici maître affiché de mon mari. Ce soir, c’est devant sa femme et non pas une inconnue Mystérieuse, qu’il laboure le cul d’un homme. Paul, lui aussi, se laisse posséder devant son épouse et non pas une femme cagoulée.Et moi ? Oui et moi ? Moi que deux hommes possèdent. Devant tout le monde. Qui se retrouve ainsi parce qu’un homme l’a organisé, et cet homme qui veut faire de moi sa chose… Comme mon mari…Jamais… Jamais je ne laisserai… Si… Pourquoi pas… C’est si bon… Ils me remplissent… J’aimerais qu’ils se vident en moi, sentir leur foutre éteindre l’incendie qui se répand partout. Je brûle de mille feux…Paul gronde sous la puissance de son enculeur. C’est bon. C’est beau. Oui mon Chéri c’est beau. Tu as raison. Pourquoi se priver de ces plaisirs. Oui. Oui. Luc va te remplir le cul… Moi je voudrais tant que…Après oui, après, peut-être que si je suis sage et bien obéissante, mon Maître m’accordera cette faveur…