Hier, je n’ai pas pu aller les observer, ma mère m’ayant formellement interdit de quitter ma chambre. J’ai donc piaffé d’impatience toute la journée, en pianotant sur mon ordinateur, toujours à la recherche de photos croustillantes. Mais cela n’avait plus la même saveur. Depuis que j’ai assisté aux ébats de ma sœur et d’Emilie, je n’attends que de les revoir. Je dois dire que je regarde ma sœur d’un œil différent maintenant. Aux repas, je scrute son visage pour essayer de savoir à quoi elle pense. Elle a croisé mon regard une fois et m’a demandé d’un ton agressif si je voulais sa photo. Si elle savait ! Oui je veux ta photo et je veux qu’Emilie soit avec toi et je veux que vous vous léchiez !Aujourd’hui, ma mère est de sortie. Une fois par mois, elle va chez son dentiste en ville et je suppose qu’elle se fait sauter par ce brave Mr Kerhir, pour qui j’ai toujours eu beaucoup de respect. Mais j’ai désormais de l’admiration pour lui, car il peut se faire une belle femme sans avoir les inconvénients de devoir la supporter tous les jours. Ma mère est chiante, aigrie et toujours de mauvaise humeur, mais elle est belle. Quoi qu’il en soit, je compte profiter de son absence pour passer outre les ordres maternels et rejoindre la rivière, quitte à être davantage puni. Mais si tout se passe bien, j’aurai alors tout ce dont j’ai besoin pour réaliser mon plan : un appareil photo numérique et un caméscope. J’enfourche mon vélo et je prends le chemin le plus court pour arriver à la rivière. Les filles sont encore à la maison, mais j’ai l’intention de procéder à quelques réglages avant leur arrivée. Je prends des photos pour m’assurer que le flash ne se déclenche pas, ce qui me ferait immanquablement repérer. Voilà, je suis prêt. Je m’assois dos à un sapin et j’attends. J’ai pris un bouquin pour faire passer le temps, mais mon esprit est trop occupé pour me concentrer sur ma lecture. Alors, je me contente d’écouter. J’entends les oiseaux qui chantent, le vent dans les arbres. Bercé par ces bruits reposants, je m’assoupis.Je ne sais pas combien de temps j’ai dormi. Je me lève d’un bond et je jette un coup d’œil vers la rivière. Personne. Je regarde ma montre. Il est déjà six heures du soir ! Je les ai ratées forcément. Ou alors, elles ne sont pas venues. Je préfère cette hypothèse qui me ferait moins regretter de m’être endormi. Dégoûté, je range mon matériel et reprends le chemin de la maison en espérant que ma mère ne soit pas revenue. En franchissant le seuil de la porte, soulagé de voir que ma mère n’était toujours pas là, j’ai la surprise de voir Audrey et Emilie sur le canapé. Elles se lèvent d’un bond et s’écartent, comme prises sur le fait. Je vois bien que leurs cheveux sont emmêlés et que leurs habits sont tout froissés, mais comme je tiens à conserver toutes mes chances, je fais celui qui n’a rien vu et je monte dans ma chambre. Je sens une érection monter, je me précipite à la douche et je me branle. Les imaginer, toutes les deux, là dans le salon, si proches et si inaccessibles en même temps, me met dans tous mes états.Lorsque je sors de la salle de bains, les sens et l’esprit reposés, ma mère est revenue. Elle est de bonne humeur, son dentiste a dû la satisfaire. Toutes les punitions sont levées et Emilie a la permission de passer la nuit chez nous. Elle refuse d’abord poliment en prétextant n’avoir aucune affaire, mais ma sœur lui propose de lui prêter quelques-uns de ses habits.Le soir, nous regardons la télé tous les trois, mais, absorbé par mes pensées, je perds vite le fil de l’histoire. Je préfère monter dans ma chambre et attendre de voir ce que vont faire les filles. Pendant ce temps, je me branche sur le net et poursuis mes recherches. Au bout de quelques minutes, j’entends du bruit dans le couloir. J’entrouvre la porte après avoir éteint la lumière et je les vois entrer toutes les deux dans la chambre d’Audrey. Je referme la porte et saute par la fenêtre. La fraîcheur du soir a remplacé la chaleur torride de la journée, mais je sue quand même. Mes membres tremblent, je ressens des frissons. L’excitation me gagne, mais je dois me calmer sinon je vais me faire repérer. Le temps de rejoindre la fenêtre de leur chambre, j’ai repris le contrôle de mon corps. Seul mon sexe conserve son indépendance et me supplie de le libérer de mon caleçon. Je ne l’écoute pas et me concentre sur mon objectif. La fenêtre est ouverte et la lumière éteinte. Mais, la nuit est claire et j’arrive à discerner les silhouettes. Ma sœur est couchée sur le ventre, les fesses relevées vers Émilie, qui l’embrasse de partout. Ses mains caressent son dos de bas en haut. Audrey gémit doucement. Emilie frotte sa chatte sur le mollet de ma sœur. Soudain, ses mains descendent sur ses fesses, glissent entre elles, frôlent son petit trou et rejoignent son sexe. Son majeur et son index s’enfoncent d’un coup dans son vagin. Elle les laisse dedans quelques secondes, puis, lorsqu’elle les ressort, elle les porte à sa bouche et les suce. Puis, prise d’une envie incontrôlable, elle se jette sur la chatte de ma sœur et la lèche. Elle donne des grands coups de langue, elle la lape. Audrey enfonce sa tête dans l’oreiller pour étouffer ses gémissements, mais je les perçois quand même. Entendre ma sœur gémir et voir sa chatte, ses fesses rondes, ses seins qui pendent alors qu’elle est presque à quatre pattes, tout cela m’excite au plus haut point. Je sors ma queue et me branle lentement. Déjà, une goutte pointe au bout de mon gland. Mais je ne veux pas gicler trop vite. Ma sœur se retourne et s’assoit en face d’Emilie. Elles s’embrassent à pleine langue en se caressant les seins. Elles font rouler les pointes entre leurs doigts. Les doigts fins de ma sœur m’excitent. Je voudrais qu’ils soient serrés autour de ma queue. Puis, elles écartent les cuisses, se cherchent quelques secondes, pour finalement arriver à ce que leurs chattes se touchent. Alors, elles lancent leurs hanches, elles ondulent, elles font des vagues. Leurs corps entiers sont des vagues qui viennent et qui repartent. Le frottement de leurs deux sexes les électrise, leurs corps se tendent, elles ouvrent la bouche et cherchent de l’air. Leurs doigts s’agrippent, leurs poings se serrent et se desserrent. La vague prend de la vitesse, c’est un raz-de-marée qui les submerge, elles sont emportées. Alors, les deux corps sont emportés et semblent voler quelques secondes avant de retomber, inertes, en sueurs. Quelques tremblements les agitent, puis c’est le sommeil qui les enlève, nues et heureuses.Je sens alors un liquide chaud inonder ma main et couler le long de ma cuisse. L’odeur du sperme et son contact me réveillent. Sans bruit, je rejoins ma chambre où je m’endors rapidement, impatient de voir le jour se lever et de savoir quel nouveau spectacle, il va m’offrir.