Note de la rĂ©daction :Le nitrate d’amyle, plus connu sous le nom de « poppers », est une substance toxique pouvant avoir des effets nĂ©gatifs sur la santĂ© et en particulier occasionner des problèmes cardiaques. Ă€ ce titre son utilisation est tout Ă fait dĂ©conseillĂ©e.La seconde vie de Caroline – (Re)NaissanceMa vie a changĂ© complètement lorsque j’ai divorcĂ© de mon mari, Laurent. J’étais jusqu’à prĂ©sent, un pur produit exponentiellement frustrĂ©e de classe moyenne, qui avait commis une erreur monumentale en Ă©pousant son premier petit copain ! ! Pourquoi ? probablement parce qu’à treize ans, je mesurais 1m78 et que je pensais ĂŞtre un monstre ! Laurent m’a toujours traitĂ©e merveilleusement, s’occupant de moi Ă l’école, me protĂ©geant toujours des moqueurs et des malintentionnĂ©s. Il avait un an de plus et comme nous Ă©tions pratiquement voisins, nous faisions toujours notre chemin vers l’école ensemble. J’ai ainsi toujours pensĂ© que j’avais beaucoup de chance qu’un garçon comme Laurent s’intĂ©resse Ă moi et, bien que je n’éprouve pas une passion brĂ»lante pour lui, nous sortĂ®mes ensembles tout naturellement…J’ai toujours Ă©tĂ© très timide, complexĂ©e par ma grande taille, culminant Ă 1m86 dès quinze ans. Toujours ensembles, tout le monde nous imaginait mariĂ©s et nous ne les avons pas déçus ! A dix-neuf et vingt ans, respectivement, nous franchimes le pas, bien trop jeunes comme je le sais maintenant…Si Laurent a Ă©tĂ© sexy, il n’a jamais Ă©tĂ© particulièrement attirĂ© par la chose sexuelle. Pendant toutes ces annĂ©es, il se limita au minimum syndical, une fois toutes les deux semaines sans fioritures, ni originalitĂ©. Je ne suis pas sĂ»re qu’il se soit souciĂ© une seule fois de savoir ce que je ressentais, ou si je jouissais. Une fois terminĂ©e son affaire, il se retournait et s’endormait très vite, me laissant insatisfaite.Tout a en fait basculĂ© alors qu’il Ă©tait parti Ă l’étranger deux mois suite Ă un contrat important. Pour la première fois depuis huit ans, je me retrouvais seule pour plus d’une ou deux nuits consĂ©cutives … Quelques jours après son dĂ©part, je trainais dans la maison, m’ennuyant ferme, lorsque me vint l’idĂ©e de faire LE grand nettoyage de printemps. InspirĂ©e, je commençais par la chambre. Nous avions achetĂ© cette maison trois ans auparavant pour un prix ma foi très raisonnable, en imaginant d’emblĂ©e tout refaire du haut jusqu’en bas. LĂ encore, mon cher mari n’avait pas fait preuve d’une grande activitĂ© car tout Ă©tait restĂ© tel qu’à notre arrivĂ©e. Je dĂ©cidai donc de m’armer de courage et de tout bouger !Je commençai, inspiration divine, par bouger l’armoire Ă glace afin de pouvoir nettoyer parfaitement les tapis. En soulevant ceux-ci, un morceau de la plinthe situĂ©e dans le coin derrière le meuble bascula, rĂ©vĂ©lant une cavitĂ© creusĂ©e dans le mur. Curieuse, je tâtonnais Ă l’intĂ©rieur et en retirais une pile de magazines et quelques cassettes vidĂ©os. Un regard sur le premier de la pile m’informa immĂ©diatement sur le contenu gĂ©nĂ©ral de cette cache : sexe ! Je m’allongeai sur le sol et enfonçai davantage mon bras dans l’ouverture magique pour en retirer un sac plastique mystĂ©rieux.ExcitĂ©e et curieuse, je dĂ©taillai un peu plus mes trouvailles Ă©talĂ©es sur le sol. Cela ne pouvait provenir de Laurent car l’armoire, la poussière en attestait, n’avait pas bougĂ© d’un pouce depuis notre arrivĂ©e. J’ouvris le sac : il contenait trois vibromasseurs de tailles diffĂ©rentes (de 12 Ă 30 centimètres environ) et cinq petits bouteilles scellĂ©es portant des Ă©tiquettes suggestives de marque  » TNT « . Tout un programme ! !Pour bien comprendre la suite de mon rĂ©cit, je vous rappelle qu’à ce moment prĂ©cis de ma vie, je ne connaissais de la vie que très peu de choses. L’amour Ă la papa, et je n’avais jamais, je le sais maintenant, jamais joui de ma vie, ni par Laurent, ni mĂŞme en me masturbant, car… j’ignorais ce que c’était : une vraie bĂ©casse. Ainsi donc, au moment oĂą j’ai vu la couverture du premier magazine, j’ai su que ma vie venait de basculer. Je sentis monter en moi une vague de sensations inconnues, l’adrĂ©naline du dĂ©sir ! Pas pour n’importe quoi, non. Pour ça, le SEXE… Dieu, ou quelque chose d’approchant avait mis cela entre mes mains, pour une raison que j’ignorais. Tremblante comme une feuille, je rassemblai les journaux et le sac en plastique sur le lit et me dĂ©shabillai rapidement. Lorsque je fus nue, je me Couchai sur le lit, fermant les yeux un instant pour savourer ce moment. En les rĂ©ouvrant, je vis Ă nouveau tous ces magazines et je compris que je ne rĂŞvais pas.En choisissant un au hasard, je l’étalai devant moi en commençant Ă le dĂ©tailler. Une superbe fille me souriait, la bouche grande ouverte. Une substance blanchâtre s’étalait sur sa langue et coulait lĂ©gèrement le long de ses lèvres. Elle avait mis du sperme dans sa bouche ! ! Revenant en arrière, je vis dĂ©filer devant mes yeux Ă©bahis le film de cet « incroyable chose ». Je vis, incrĂ©dule, cette fille caresser et sucer un sexe masculin et faire jaillir dans sa bouche le flot de semence. Sans y penser, ma main commença Ă descendre le long de mon corps et toucha mon sexe brĂ»lant et bizarrement humide. Je me demandais quel goĂ»t cela pouvait avoir. Je me focalisai ensuite sur un autre fascicule intitulĂ© « anal sex ». Dès la couverture, je fus mise au parfum : une jeune nymphette Ă quatre pattes semblait manquer d’air, ceci probablement Ă cause d’un long et fin sexe introduit dans son anus. Je fus marquĂ©e par la plĂ©nitude lue sur son visage gracieux, la beautĂ© de ces courbes. Ma main se crispa un peu plus sur mon sexe, qui semblait se liquĂ©fier lentement : que m’arrivait-il donc ?L’impression Ă©tait Ă©trange car je m’aperçus que j’étais plus attirĂ©e par l’image de cette superbe fille nue que par la sodomie elle mĂŞme. J’ai commencĂ© Ă me caresser, explorant mon corps, centimètre carrĂ© par centimètre carrĂ©. Je (re)dĂ©couvrais ainsi mon clitoris : oh, bien sĂ»r, j’avais dĂ©jĂ ressenti plusieurs fois des choses agrĂ©ables Ă cette endroit, mais pas avec une telle intensitĂ©. Juste une lĂ©gère excitation par rapport Ă ce qui dĂ©ferlait sur moi, en ce jour bĂ©ni. Je caressais de plus en plus rapidement mon bouton devenu turgescent alternativement avec la paume de ma main et le bout de mon index. Le jus s’écoulant lentement de mon sexe me permettait de m’auto-lubrifier agrĂ©ablement, Ă©vitant l’irritation par manque d’habitude. J’avais oubliĂ© depuis longtemps la magazine pour ne m’occuper que de moi. Les vagues de plaisir me submergeaient. Je poussais des petits cris tant les sensations nouvelles qui m’envahissaient, Ă©taient puissantes. J’avais l’impression d’avoir dĂ©couvert le Paradis : j’explosais dans un orgasme ravageur pour la toute première fois de ma vie.Pantelante, je marquai une pause, ne pouvant plus toucher mon clitoris devenu si sensible. Dans un coin de la chambre se trouvait un grand psychĂ© ancien, unique objet me restant de ma grand mère. Je l’installai dans le prolongement de mon lit et me regardai. Ce qui je vis me plut ! En fait, j’étais plutĂ´t sexy. Je touchais des parties de mon corps comme si je les dĂ©couvrais pour la première fois, ce qui en fait n’était pas si faux. Je me regardais objectivement en comparaison avec les filles de ces magazines et franchement, je me trouvais bien mieux. Mes fesses Ă©taient bien rebondies et mes seins gonflĂ©s. J’avais des pointes de seins longues et très sensibles. Dès que je les sollicitais, elles semblaient se figer en deux petites phalanges Ă©carlates. Mon corps Ă©tait ferme car j’avais par le passĂ© frequentĂ© de longues heures les salles de gymnastique ou de fitness. Laurent ne m’avait jamais dit combien j’étais belle et sexy. Je lui en voulus de m’avoir laissĂ©e dans l’ignorance, probablement sciemment pour Ă©viter tout dĂ©sagrĂ©ment…Je retournai vers les magazines lorsque mon regard se porta vers le sac que je renversai sur le lit, rĂ©pandant sur la couette les vibros et les petites bouteilles. J’avais vu un jour chez ma voisine un vibromasseur, bien petit par rapport Ă ceux-ci et surtout moins Ă©vocateur. LĂ , autour d’un tube rigide, une enveloppe en latex noir donnait l’illusion d’un pĂ©nis, certes de tailles incongrue mais très rĂ©alistes. Je ne pensais pas que les piles aient rĂ©sistĂ© Ă l’épreuve du temps, mais, Ă mon Ă©tonnement, ils reprirent vie lorsque je tournai le bouton. Surprise par cette sensation bizarre, je le lâchai et je le regardai bouger sur le lit. Je le repris et l’éteignis. Dans la salle de bain, je nettoyai soigneusement les trois objets et les essuyai dans une serviette Ă©ponge. Je pris au passage un flacon de vaseline et revint dans la chambre. De nouveau, je repris le magazine et regardai l’anus de cette fille. Semblable Ă un bouton de rose, Ă©tirĂ© autour du sexe la pĂ©nĂ©trant, il ressemblait Ă une petite bouche serrĂ©e autour du bâton de chair. « Si elle peut le faire, je peux le faire », me dis-je. En arrière plan, je vis Ă©tonnĂ©e un pot de vaseline semblable au mien et deux bouteilles identiques Ă celles que j’avais trouvĂ©es dans la cache. Était ce la clĂ©Â ? J’ouvris l’une d’elles en faisant sauter le sceau mĂ©tallique. Une Ă©trange odeur chimique s’en Ă©chappa et s’assaillit les narines. Je reniflais une ou deux fois puis refermait le bouchon. Je sentis aussitĂ´t mon cĹ“ur s’accĂ©lĂ©rer, et une chaleur nouvelle m’envahir. Je me sentais prise de folie sexuelle : je ne le sus que plus tard mais je venais ainsi de dĂ©couvrir la puissance du nitrate d’amyle.L’influence sur ma libido s’avĂ©ra extraordinaire. Insatiable et affamĂ©e, j’ouvris le pot de vaseline et m’enduisit copieusement les doigts de ma main gauche. Je commençais Ă jouer avec mon anus en tournant lentement autour de mon propre « bouton de rose ». J’utilisais mon index comme une sonde. « Mon Dieu », me dis-je, « comment ai-je pu ignorer cela si longtemps ? ». Je passai ainsi plusieurs minutes Ă me pistonner avec mon doigt, avant d’en introduire un deuxième, car deux valent mieux qu’un… Je me souvins alors des vibromasseurs. J’enduisis de vaseline le premier : je ne savais pas trop ce que j’allais en faire. Je le mis en marche Ă puissance rĂ©duite et le promenai entre mon clitoris et mon sexe. La plaisir monta et, par hasard ou par chance, juste au moment oĂą j’allais jouir, le bâton m’échappa et vint toucher mon anus. Par instinct, je saisis la bouteille de nitrate d’amyle : une grande inspiration me transforma en un animal en chaleur : je sentis mes muscles se dĂ©tendre et je poussai, sans difficultĂ© le vibromasseur dans mon anus. Pour amplifier encore le plaisir, je commençais quelques va-et-vient lents en tournant cet objet sur lui-mĂŞme. Ne pouvant plus rĂ©sister, je parcourus mon corps de ma main libre et finis par mon clitoris : deux ou trois caresses me conduisirent Ă l’orgasme. Je ressentis de façon incroyable tous les spasmes de mon corps, en particulier, ceux de mon anus autour du vibro.Reprenant mes esprits lentement, je sentis le cylindre noir vibrer, excitant Ă©galement par l’intĂ©rieur, mon sexe vide… Dans l’un des magazines, une fille se faisait prendre par de grands noirs Ă la fois, l’un devant et l’autre derrière. Je voulais ĂŞtre cette fille, j’allais ĂŞtre cette fille ! !Le deuxième vibro Ă©tait long de 18 cm. Celui dans mon anus Ă©tait dĂ©jĂ de la taille du sexe de Laurent. Deux seraient probablement beaucoup pour moi, mais je devais m’en rendre compte par moi mĂŞme. Je coinçai le premier vibromasseur dans mon anus en m’asseyant dessus, pendant que je lubrifiais abondamment le second. Face au miroir, je positionnai la tĂŞte de celui-ci sur l’entrĂ©e de mon sexe. GĂ©missant sous l’effet des vibrations, je sentis le cylindre de latex forcer petit Ă petit l’ouverture et me pĂ©nĂ©trer lentement. La sensation de total envahissement Ă©tait fantastique. Les deux vibromasseurs s’étaient placĂ©s d’eux-mĂŞmes parallèlement encadrant la mince paroi de chair sĂ©parant mes deux trous. Les mains plaquĂ©s sur mes seins, je pinçais frĂ©nĂ©tiquement mes pointes en me regardant, droit dans les yeux, dans le miroir. Le spectacle Ă©tait magnifique, en toute modestie…Sous l’effet de cette double sollicitation, un flot soutenu de jus coulait le long de mes jambes, inondant le lit sous mes fesses. Je pris les deux objets, et pompai frĂ©nĂ©tiquement comme une folle : Je jouis encore et encore.Je suppose que j’aurais pu (dû ?) ĂŞtre surprise de pouvoir prendre ces deux « jouets » Ă la fois, pour ma première sĂ©ance. Mais, rien ce jour lĂ ne pouvait me perturber dans cette dĂ©couverte accĂ©lĂ©rĂ©e de mon corps et de ses possibilitĂ©s. NĂ©anmoins, je m’assoupis deux ou trois heures, mes rĂŞves peuplĂ©s des images de ces magazines. Je me rĂ©veillai, excitĂ©e et Ă nouveau humide. Je dĂ©cidai alors de continuer mon initiation en regardant ce que pouvait bien me rĂ©server ces cassettes vidĂ©o. Je rassemblai mes nouveaux amis dans le sac en plastique et me rendis dans le salon devant la tĂ©lĂ©. Je m’installais confortablement, lumières tamisĂ©es et grand gin tonic on the rocks. PrĂ©voyante, j’étalai une grande serviette de bain sur le canapĂ© avant d’introduire la première cassette dans le magnĂ©to.Je vis qu’il s’agissait d’un film amateur. C’était du sexe brut, sans scĂ©nario, de l’intĂ©grale, tout ce que je voulais.La première sĂ©quence commença avec une très jeune fille rĂ©veillant une femme plus âgĂ©e pour lui faire l’amour. C’était la première fois que je voyais des lesbiennes en action et, la beautĂ© de ces corps me coupa le souffle. Je ne compris pas tout de suite pourquoi cela me faisait autant d’effet : peut-ĂŞtre, moi-mĂŞme ? La plus jeune lĂ©chait, doigtait, pinçait… le sexe rasĂ© de sa partenaire qui semblait apprĂ©cier de plus en plus le traitement. Soudain, un homme entra dans le champ de la camĂ©ra, modifiant la teneur de la scène. Je dĂ©cidai alors de reproduire ce que je voyais Ă l’écran. Je pris courageusement le plus grand des vibros, celui de 30 cm. Je le lĂ©chais comme le faisait la jeunette avec le (petit !) sexe de l’homme. Au bout de quelques minutes, celui-ci l’arrĂŞta de la main et la bascula, avant de la pĂ©nĂ©trer. Je me mis Ă genoux et positionnai la tĂŞte de mon amant de latex Ă l’entrĂ©e de mon vagin. En tâtonnant, je trouvai la bonne position pour pousser en Ă©cartant les lèvres de mon sexe dans deux mains. Appuyant de tout mon poids, je sentis mon sexe s’entrouvrir progressivement pour permettre le passage du gland surdimensionnĂ©Â : la sensation fĂ»t prodigieuse. Je descendis progressivement sur cette hampe, cm par cm, jusqu’à ce que mon vagin soit rempli. Me retrouvant assise sur mes talons, je rĂ©alisai que tout Ă©tait entrĂ©. IncrĂ©dule et fière, je pompais lentement, puis de plus en plus vite le vibro dans mon sexe ainsi ouvert. L’homme sur l’écran se retira et se positionna devant l’anus de la jeune fille. Je frĂ©mis nerveusement car si mon sexe avait acceptĂ© ce traitement somme toute facilement, mon anus me semblait plus difficile Ă convaincre ! Je devais savoir : libĂ©rant mon sexe, je retournai l’engin et le plaçai contre mon sphincter, toujours Ă genoux. La sensation de ce gland Ă©norme appuyant sur ma petite rondelle me fit fondre littĂ©ralement. Saisissant mes fesses Ă pleines mains, poussant , tirant, je fis progresser petit Ă petit le gland en moi. Soudain, il pĂ©nĂ©tra, d’un coup, m’arrachant un cri de douleur et me coupant le souffle. Prise d’une inspiration subite, je m’aidai d’une grande bouffĂ©e de nitrate d’amyle pour faire transformer la douleur en plaisir. Après le passage du gland, je me rendis compte que le reste suivait sans problème, me procurant une sensation fantastique et totalement inĂ©dite comme vous pouvez l’imaginer…J’avais complètement laissĂ© de cĂ´tĂ© la vidĂ©o. Elle dĂ©filait en arrière plan pendant que je me dĂ©fonçait l’anus de plus en plus profondĂ©ment, dans un mĂ©lange dĂ©tonnant de plaisir et de douleur. En me contorsionnant, j’arrivais Ă mettre en marche les vibrations. Mon anneau fut pris de contractions incontrĂ´lables, et, n’y tenant plus, je tirais sur mes pointes de seins Ă les arracher jusqu’à un nouvel orgasme incroyable d’intensitĂ©. En quelques minutes, je suis ainsi devenue accro au sexe anal, entre autre me direz-vous ! Retirant le vibro lentement, je savourais, vidĂ©e, les derniers spasmes : je marquai une pause afin de reprendre mes esprits.Tout allait trop vite. Deux heures plus tĂ´t, j’étais une femme au foyer qui s’ennuyait en faisant du mĂ©nage. Maintenant, j’étais une bĂŞte sexuelle, enchaĂ®nant les expĂ©riences Ă toute vitesse, mĂŞme si, pour l’instant, j’étais encore seule. Je profitais de cette pause pour souffler un peu et manger, mais les trente-sept annĂ©es de frustration sexuelle se rappelèrent Ă mes sens et je repris mon auto-apprentissage. Je revins devant la tĂ©lĂ©vision et remis en route le magnĂ©toscope. Je me caressais doucement en regardant en continu ces corps lĂ©chĂ©s, pĂ©nĂ©trĂ©s devant, derrière, ces Ă©jaculations puissantes… une femme recevait sur le visage, bĂ©ate, deux giclĂ©es de sperme, aimablement fournies par deux immenses athlètes noirs dont les dimensions me laissaient rĂŞveuses. Je me demandais si cela me plairait, je voulais goĂ»ter un homme, sentir du sperme dans ma bouche et sur ma langue.J’accĂ©lĂ©rai le mouvement de ma main. La jeune fille blonde de la première sĂ©quence rĂ©apparut avec une petite brunette, très mignonne Ă©galement. Elles commencèrent Ă faire l’amour et je sentis mon sexe pulser lorsqu’elles se positionnèrent en 69. J’imaginais les sensations que l’on devait avoir ainsi. ĂŠtre assaillie par les odeurs intimes de sa partenaire, lui prodiguer du plaisir tout en recevant le mĂŞme hommage. Je dus faire un effort surhumain pour ne pas jouir. J’étais sĂ»re maintenant que je devais trouver une femme pour moi, sentir ses mains, sa langue, ses lèvres, son souffle, sur ma peau… La blonde se releva et prit sur le cĂ´tĂ© un tube d’une substance translucide qu’elle Ă©tala copieusement sur ses mains. Je me demandais ce qui allait se passer. La rĂ©ponse vint rapidement et j’y trouvai enfin ma vocation.La blonde introduisit deux doigts dans le sexe humide de la brune, facilement, naturellement… puis deux autres suivirent. Je fis de mĂŞme, les Ă©cartant afin de dilater doucement ma vulve. Je gĂ©mis doucement, en mĂŞme temps que cette jolie brunette, en sentant ma sexe s’ouvrir largement, comme pour les vibro. Je suis grande, c’est sĂ»r mais je n’avais jamais pensĂ© que mon sexe pouvait ĂŞtre en proportion ! J’appris bien plus tard que cela n’était pas nĂ©cessairement systĂ©matique, mais ceci est une autre histoire. Pour l’instant, je trouvais que quatre doigts donnaient pas mal de plaisir. Mais le meilleur restait Ă venir. La blonde replia son pouce vers la paume de sa main et sous mes yeux Ă©bahis commença Ă pousser en tournant son poing dans le sexe de sa partenaire. Celle-ci gĂ©missait en se tortillant pour faciliter la pĂ©nĂ©tration. Je ressentis un choc Ă©norme lorsque, d’un coup, la main sembla aspirĂ©e jusqu’au poignet. La brunette se figea puis cria sauvagement en saisissant le bras de l’autre fille pour accĂ©lĂ©rer le mouvement de va-et-vient. Pour mon premier jour de ma nouvelle vie sexuelle, je tombais directement sur une scène de fist-fucking.Je cherchai Ă faire de mĂŞme. La sensation fut Ă©norme mais mĂŞme en m’aidant de ma deuxième main, je ne pus aller aussi loin qu’elle. L’angle Ă©tait mauvais ! Ceci me confirma que je devais partir en quĂŞte d’une partenaire pour m’aider Ă dĂ©couvrir le plaisir de cette pratique nouvelle. Un peu frustrĂ©e et jalouse, je me contentai de suivre la scène sur l’écran. Je repris alors mon plus grand vibro qui pĂ©nĂ©trait maintenant très aisĂ©ment et me caressais presque discrètement, attendant la suite.La blondinette seule maintenant Ă l’écran jouait avec un vibromasseur, comme moi, le roulant sur son corps, en modulant la puissance de ces vibrations. Je calquai ses mouvements en gĂ©missant lorsqu’elle gĂ©missait. Elle posa soudain son jouet et entreprit d’introduire quatre doigts dans son sexe bĂ©ant. Mon cĹ“ur manqua de s’arrĂŞter. Si mon instinct, qui venait juste d’être rĂ©veillĂ©, ne me trompait pas, cette fille Ă©tait en train de se fister seule. Elle continua Ă pomper son sexe lorsqu’elle changea soudain de position, me rĂ©vĂ©lant ainsi comment aller plus loin. Elle retira sa main, passa sa jambe derrière son bras. FrĂ©missant d’impatience, je testais immĂ©diatement cette nouvelle position. La diffĂ©rence m’apparut Ă©vidente : l’angle Ă©tait parfait. Je regardais fascinĂ©e la blondinette exĂ©cuter un long, sensuel et excitant fist sur elle-mĂŞme, me montrant ainsi la voie. Je copiai ce que je voyais Ă l’écran, multipliant mon plaisir, imaginant qu’elle Ă©tait rĂ©elle, face Ă moi, sentant presque son odeur, sa chaleur…Mes chairs se dilataient de plus en plus et je plongeai avec dĂ©lice ma main dans ce trou bĂ©ant et brĂ»lant qu’était devenu mon sexe.Je m’allongeai avec ma main dans mon sexe. Je poussai le plus loin possible : il me fallut un certain temps pour la faire entrer et ressortir sans gène ni douleur, mais il ne resta alors que le plaisir.J’eus ainsi trois orgasmes consĂ©cutifs très rapprochĂ©es, mon index droit dansant une farandole folle sur mon clitoris. Jamais je n’avais eu autant d’émotions en si peu de temps. Des larmes de joie me coulèrent spontanĂ©ment. Rien ne serait plus comme avant : pour la première fois de ma vie, je me sentais satisfaite sexuellement…