Je m’appelle Moana, j’ai 29 ans. Je vis à Tahiti, plus précisément à Mataiea, petite commune en bordure de l’océan. Je suis un « afa » comme on dit en tahitien, c’est-à -dire un métis, né d’un père breton, marin à l’origine tombé amoureux du charme de Papeete ainsi que de celui de ma mère, une pure vahiné Maohi, qu’il a épousée.De mon père, j’ai hérité de sa passion pour la mer et de ses yeux bleus, et de ma mère, des caractères ethniques de mes ancêtres polynésiens. Je suis grand, athlétique, très sportif et très attaché à mes racines.J’ai participé il y a quelques années au concours de Mister Tahiti. J’avais été plutôt bien classé, et avais débuté une carrière dans le mannequinat ; mais je n’ai pas aimé l’ambiance trop malsaine des podiums, ainsi que la vie trop stressante et je n’ai pas souhaité poursuivre. Au lieu de cela, j’ai préféré monter une petite structure qui propose différentes activités en rapport avec mes vraies passions : la mer et mon île. J’organise des sorties en catamaran, mais aussi de la plongée sous-marine avec bouteilles ou seulement en palmes/masque/tuba, des sorties pour voir les baleines à la saison, et d’autres activités comme des sorties dans le lagon en paddle ou en canoë. Bref, sans rouler sur l’or, j’arrive à vivre de ma passion, et mon activité me permet d’être en contact avec plein de monde à qui je fais découvrir mon île et ses fonds marins.Nous sommes début juin, et vu le peu de touristes, les affaires sont plutôt calmes en ce moment. Je suis dans mon local à vérifier le matériel lorsque rentrent deux femmes qui viennent se renseigner sur les activités que je propose. Nous discutons un moment, un rendez-vous est pris pour l’après-midi, et même pour un baptême de plongée pour l’une d’entre elles. Elles se prénomment Cécile et Sophie. Sophie vit sur l’île depuis quelques années avec son mari. Ils sont déjà venus très souvent plonger avec moi. C’est une assez jolie femme dans la quarantaine, blonde, les cheveux mi-longs, les yeux bleus, un corps élancé et svelte. Cécile qui semble avoir à peu près le même âge est au contraire une petite brune aux cheveux longs qui, je l’apprendrai plus tard, est venue passer seule deux semaines chez son amie…13 h 30, Sophie et Cécile sont à la porte du local. J’ai déjà préparé et embarqué leur matériel, Sophie qui « connaît la maison » s’équipe toute seule pendant que je fais essayer une combinaison à Cécile. Je suis surpris de constater qu’elle a un corps absolument magnifique. Elle n’est pas grande certes, mais elle est musclée de partout… des jambes fines et joliment galbées, un ventre plat, et surtout, elle a une poitrine fabuleuse. Le haut de son bikini à toutes les peines du monde à contenir la superbe paire de seins dont elle est pourvue. Et que dire de son petit cul que son bas de maillot met sublimement en valeur !Nous embarquons, et après une dizaine de minutes de navigation, je m’accroche à un corps-mort et dispense les explications nécessaires pour que le baptême de Cécile se passe dans les meilleures conditions. J’ai également, en arrière-pensée, très envie de la revoir durant son séjour, mais pas seulement pour lui faire découvrir les merveilles de mon île ! Elle veut du dépaysement… J’ai très envie de lui en offrir… mais à ma manière !Je plonge avec Cécile et Sophie nous suit. Comme c’est son baptême de plongée, je tiens Cécile par la main. Habituellement, un moniteur de plongée reste proche de son élève pour que celui-ci ne panique pas, mais avec elle, je pousse le zèle à lui tenir le bras, et reste tout le temps de la plongée collé à elle !Comme elle ne semble pas effrayée par ce milieu qu’elle découvre, j’en profite tout en restant peu profond, pour lui faire admirer un maximum de choses de la vie sous-marine. Sophie en profite pour faire des dizaines de photos de tout ce que nous voyons, mais également de Cécile dont je joue le poisson-pilote. Au bout de 40 minutes, ce qui est exceptionnel pour un baptême, nous remontons sur le bateau. Sophie est heureuse de sa plongée, mais que dire de Cécile ? Elle est aux anges. Elle est tout simplement émerveillée par ce qu’elle vient de vivre et de découvrir. Je les aide à se déséquiper… et vient le moment de retirer les combinaisons. Et pour Cécile, celle-ci (peut-être un peu trop juste) colle désormais à sa peau… Cécile se tortille en tous sens pour tenter de s’en extraire, mais le tissu du soutien-gorge reste accroché au néoprène et dévoile ainsi de magnifiques seins ronds et fermes aux aréoles bien brunes et aux mamelons fièrement dressés.Je me régale de cette vision, Cécile s’en rend bien compte, elle se débat un peu plus, mais a les bras coincés dans les manches de cette fichue combi et ne peut rien faire pour se cacher. Je m’approche pour l’aider en me rinçant copieusement la vue et en affichant un grand sourire de satisfaction. Cécile est rouge de confusion mais finit par s’en amuser.Sur le chemin de retour, les deux amies s’approchent de moi et m’entourent. Elles font quelques selfies en guise de souvenirs de cet après-midi et, comme après chaque plongée, nous parlons de tout ce que nous avons vu sous l’eau.En arrivant au local, je leur propose de prendre une douche pendant que je rince et range le matériel et leur offre un Maitai, un cocktail traditionnel polynésien à base de rhum, de vanille, de citron vert et de jus de fruits exotiques. Nous nous attablons sur la terrasse avec nos cocktails et discutons de ce qu’elles veulent faire durant le séjour de Cécile et de ce que je peux leur proposer dans les jours à venir. Je leur conseille donc une randonnée vers l’ancien volcan, la découverte du lagon en canoë. Je leur parle d’une sortie pour aller à la rencontre des baleines qui commencent à arriver dans les eaux en vue de leur reproduction et insiste sur le fait que c’est pour elles la période des « amours », et donc qu’elles nous offrent un spectacle magnifique de chants et de ballets aquatiques à ne surtout pas rater. Pour finir, je leur propose enfin une sortie en mer à bord de mon cata sur un ou plusieurs jours.Après trois verres de Maitai, les deux amies deviennent plus volubiles. Cécile, comme pour justifier de sa venue en « célibataire », m’explique que c’était pour elle un vieux rêve de venir ici et de découvrir ce coin de paradis, mais que le budget nécessaire est bien trop élevé pour venir en famille. Du coup, son mari s’est « sacrifié » pour que sa petite femme chérie puisse exaucer son rêve. Il lui a offert pour son 40e anniversaire le billet d’avion, et vu qu’il est enseignant, il lui a proposé de partir seule chez son amie pendant qu’il gérerait les enfants. Elle s’est laissée convaincre et est venue en abandonnant mari et enfants en métropole.Je comprends très vite que Cécile a envie d’en profiter pour découvrir un maximum de choses durant son séjour.Elles décident de revenir le lendemain matin pour une sortie en canoë sur le lagon. Il est temps de se quitter, et Cécile, quelque peu éméchée, s’approche spontanément de moi pour me faire la bise et me remercier. C’est un geste qui me surprend mais me ravit, d’autant plus qu’elle pose sa main sur mon torse et la laisse glisser dans une douce caresse jusqu’à mon ventre, ce qui provoque chez moi instantanément un début d’érection.Une fois partie, je continue le rangement du matériel, le gonflage des bouteilles sans cesser de repenser à cet après-midi et plus particulièrement à cette petite Cécile qui ne me laisse vraiment pas indifférent. Était-ce uniquement les effets de l’alcool ou serait-elle réellement attirée par moi ? Aurait-elle envie de profiter pleinement de son séjour pour un dépaysement total ? En tout cas, moi, je suis partant pour lui en donner !Je termine mes occupations, lorsque j’entends un téléphone sonner qui n’est pas le mien. Je regarde tout autour de moi, mais ne vois rien. La sonnerie s’arrête, puis recommence trois secondes après. Je finis par trouver le portable sur un siège sur la terrasse, Il y a le prénom de l’appelant : Sophie. Ce doit être le portable de Cécile. Je parviens à décrocher, je reconnais sa voix :— Oui… Moana à l’appareil… Que puis-je pour vous ?— C’est Cécile… je ne retrouvais plus mon portable… me voilà rassurée…— Pas de souci… il est retrouvé… est-ce que je le garde jusqu’à demain ?— Euh… est-ce que je peux venir le chercher… si tu es… vous êtes… pardon, toujours à ton… votre local ?— Je suis toujours à mon local… mais on peut se tutoyer si tu préfères. Ce sera plus simple et plus convivial… Et tu peux passer si tu veux le récupérer… ou je peux aussi te le déposer.— Oh non… c’est gentil… mais je ne veux pas… te déranger… j’arrive tout de suite… je n’en ai pas pour longtemps !— Entendu… je t’attends.Un quart d’heure après, Cécile est devant moi, vêtue d’un simple débardeur qui fait magnifiquement ressortir sa poitrine et d’un paréo noué autour de la taille en guise de petite jupe. Je ne peux m’empêcher de l’admirer et de la « déshabiller » du regard. Elle s’approche de moi, mais au lieu de prendre le téléphone que je lui tends, comme tout à l’heure elle pose ses deux mains sur mon torse. Je la prends dans mes bras et la serre un peu afin de la coller contre moi. Elle se pince la lèvre inférieure entre les dents comme une petite fille timide, mais se laisse faire sans réticence. Je suis pris d’une magistrale érection dans mon bermuda, et il est impossible pour elle de l’ignorer. Je la serre contre moi et commence à l’embrasser dans le cou tout d’abord, puis ma bouche va à la rencontre de la sienne et nous échangeons un premier baiser. Très vite, nos langues se mélangent et notre baiser se fait langoureux. Ses mains caressant tantôt mon dos, tantôt mon torse, et mon ventre sans oser aller plus loin dans leur exploration.Moi aussi, je me mets à la caresser, mais beaucoup moins sagement, car je suis attiré par ses seins et ne me contente pas de les sentir au travers du tissu. Très vite, je glisse une main dans le décolleté et libère un premier sein que je pétris aussitôt tout en embrassant Cécile, mon autre main se posant sur ses fesses, je la presse doucement contre moi. L’excitation me gagne. Je ne peux plus me retenir et ma bouche se dirige vers sa poitrine. Je prends son sein à pleine bouche, le suce et le tète goulûment.Cécile pousse un gémissement de plaisir et rejette sa tête en arrière en signe d’abandon, ses mains caressent toujours mon torse et mon ventre, et s’enhardissent même à passer sur mon sexe pour en apprécier la virilité au travers de mon bermuda. Je continue à sucer ce merveilleux sein, dont la peau est douce et sucrée, le mamelon est dur et tendu. Ma deuxième main passe alors sous le fin tissu du paréo pour découvrir ses fesses bien fermes et en apprécier le galbe parfait.Mon excitation est à son comble. Je défais son paréo qui tombe par terre et la soulève du sol pour la déposer sur la table. Cécile retire son débardeur et je lui retire son string. Elle est maintenant entièrement nue devant moi, totalement offerte, les jambes écartées. Je suce de nouveau un court instant ses seins avant de plonger sur son ventre que je couvre de baisers jusqu’à sa petite toison pubienne qui dessine un petit triangle noir au-dessus de sa vulve totalement épilée. J’enfonce ma bouche entre ses lèvres douces et déjà toutes humides. Ma langue s’insinue et goûte à ce nectar qui commence à s’écouler de son intimité. Je joue du bout de ma langue avec son clitoris que je prends très vite entre mes lèvres pour le pincer doucement et le sucer. Cécile s’allonge sur la table, les yeux clos, les jambes repliées. Ses mains caressent mes cheveux, m’incitant à ne surtout pas arrêter ce cunnilingus qui semble la transporter au paradis. Elle gémit de plus en plus fort, sa cyprine coule de plus en plus abondamment et je me régale de son nectar sucré et parfumé. Ma langue joue avec cette petite vulve douce, s’insinue entre ses lèvres et s’enfonce dans son vagin. Cécile se tord de plaisir sur la table, les jambes reposant maintenant sur mes épaules, et connaît son premier orgasme qui l’emporte dans un cri de plaisir.— Viens…, viens ! me dit-elle. J’ai envie de toi… prends-moi… je te veux en moi…Je me redresse, baisse mon bermuda, saisis mon sexe tendu d’une main et l’approche de sa vulve. Cécile qui s’est redressée sur la table en appui sur un bras regarde mon sexe que je frotte contre ses lèvres gonflées de désir. Elle pousse un petit « waouh », à la fois de surprise et d’admiration, son visage s’illumine d’un sourire émerveillé en découvrant mon sexe. Il faut dire que la nature m’a particulièrement gâtée de ce côté-là . J’enfonce tout doucement mon pénis entre ses lèvres et déjà je ressens l’étroitesse dès l’entrée de son vagin.— Ouh… Doucement ! me dit-elle. Vas-y doucement… hummm, oui… c’est bon… oooh… doucement… continue… c’est bon…Je pénètre délicatement dans cette petite grotte serrée, atteignant lentement le fond de son vagin. Je me retire tout aussi doucement avant de recommencer ma pénétration. Je vais et je viens ainsi une dizaine de fois dans cette chambre d’amour merveilleusement étroite, ne laissant que mon gland à l’entrée du vagin lorsque je me retire. Cécile finit par se rallonger sur la table, les yeux de nouveau clos, les bras remontés au-dessus de sa tête en signe de total abandon. Je la saisis par les chevilles et lui remonte les jambes en les maintenant grandes écartées. Je peux ainsi profiter à loisir de cette petite chatte ruisselante dans laquelle mon pieu coulisse maintenant sans difficulté et de la vue de ce joli corps de femme qui se tord de plaisir en gémissant sans discontinuer. Cette vision déclenche en moi une pulsion bestiale et j’accélère mes mouvements de bassin. Cécile crie de plus en plus fort, s’accroche à la table et ne tarde pas à jouir de nouveau. Je ne peux plus me contenir. Ses gros seins qui remuent au rythme de ma pénétration, ce corps qui se tortille et ses cris de jouissance finissent de réveiller le fauve en rut que je suis. Je pose ses jambes sur mes épaules de part et d’autre de mon cou, et la saisis par les hanches. Ainsi accroché, je redouble mon va-et-vient qui devient de plus en plus rapide et profond. Cécile hurle et ce sont de véritables coups de boutoir que je lui assène maintenant sans aucune retenue. Mon sexe, toujours à l’étroit, cogne au fond de son vagin sans ménagement. Je continue ainsi pendant de longues minutes avant de jouir et d’éjaculer en elle. Nous nous effondrons tous les deux sur la table, incapable du moindre mouvement.Quelques minutes plus tard, nous refaisons surface, et réalisant l’heure qu’il est, Cécile se rhabille prestement, m’embrasse une dernière fois et me quitte en courant…