Je m’appelle Marie. J’ai 42 ans. Je suis mariée et j’ai deux enfants. Je suis gérante d’un domaine viticole dans le Bordelais, près de la commune de Bellac. L’histoire que je me suis décidée à vous raconter s’est produite il y a deux ans maintenant.Depuis que mon mari a hérité de ce domaine, nous avions dans l’idée de proposer une formule de vacances-découvertes dans laquelle les jeunes étudiants pourraient découvrir le patrimoine historique de la région, sa gastronomie et surtout participer à une expérience plutôt rare : participer aux vendanges d’un grand vin de Bordeaux. Le château familial proposant un cadre d’une qualité exceptionnelle, nous avons naturellement décidé de demander un certain » standing » à nos jeunes invités. Le domaine étant d’une taille modeste, seule une dizaine d’étudiants se relaient chaque année dans les appartements aménagés à cet effet dans les ailes du château. Depuis que cette formule existe, nous avons vu des dizaines d’étudiants, de toutes les nationalités, venus dans notre région tant pour le dépaysement que pour la découverte d’une vie bien différente de la leur.Au début du mois de septembre 97, parmi les 12 jeunes gens que nous avons accueillis, il y avait Cristy.Comme chaque année, j’accueillais au compte-gouttes les nouveaux venus. Cristy arriva en soirée. Un ami qui partait en vacances pour l’Espagne l’avait déposée. Elle était fatiguée par le voyage et ne demanda qu’à pouvoir profiter de sa chambre. Dans la lumière du soir, dans ses vêtements de voyage décontractés, avec ses cheveux cachés sous un chapeau, elle ne m’impressionna pas. Mais le lendemain matin au petit déjeuner, sa beauté me subjugua. Elle fut la seule à arriver dans la salle à manger commune vêtue d’un simple peignoir blanc. Radieuse, elle se montrait aux regards de tous dans une sensualité à couper le souffle. Je ne pensais pas pouvoir ressentir de l’attirance pour une autre femme, et pourtant ce fut le cas. Il faut dire qu’elle a absolument tout pour elle : Grande, des cheveux bruns ondulés en larges boucles avec de légers reflets roux, des yeux bleus verts, des lèvres au dessin parfait, des pommettes saillantes sur un sourire enjôleur. Mon premier réflexe, face au trouble qu’elle provoquait en moi, a été de me réfugier dans la cuisine et d’en ressortir lorsque tout le monde avait quitté la salle à manger.Le programme de cette première journée était de laisser chaque visiteur découvrir notre vaste domaine. À cheval, à vélo ou à pieds, à travers les vignes, les prairies et les bois, tous ont pu découvrir les charmes et la douceur de la campagne bordelaise. Pour ma part, après avoir fait visiter le château à deux de nos pensionnaires, je me surpris à chercher Cristy. Au bout d’une heure, mon désir de la revoir était si grand que le moindre accroc dans les derniers préparatifs des vendanges me mettait dans une rage disproportionnée. Mais, à la fin de l’après midi, je finis par apercevoir la belle chevelure de Cristy et mon cœur fit un bond dans ma poitrine. Elle était assise sous un pommier du verger de l’ancien cloître. Elle n’avait pas tord car l’endroit, à l’écart du reste de la propriété, est des plus reposant. Sans réfléchir, je me cachais pour pouvoir l’observer à ma guise. Elle portait un pantalon corsaire bleu pale et un chemisier blanc à manches longues. Elle s’était déchaussée et s’était assise en tailleur les cuisses écartées. Son chemisier était largement ouvert sur sa poitrine montrant, à qui sans donnait la peine, un magnifique soutien-gorge blanc à balconnet d’où pointaient de superbes tétons roses. Elle avait les yeux clos et se laissait caresser par le soleil.Je restais de longues minutes à l’observer. J’enviais sa sensualité. Je la désirais. Je me demandais quel goût avait sa peau, quel parfum avait ses cheveux, quelle douceur avait ses lèvres. À ce moment précis, la chose que je désirais le plus au monde était d’être à sa place, dans ce corps de 19 ans, effronté et désirable. Sans pouvoir me contrôler, je glissais une main dans mon Jeans et me fis jouir en quelques secondes, le regard fixé sur sa poitrine, retenant mes cris en me mordant les lèvres. Puis, honteuse, je me suis enfuie sans attendre.Toutefois, à l’heure du repas, je me plaçais plusieurs fois dans une situation qui m’obligeait à la frôler. Je pus, ainsi, sentir son parfum qui finit de m’envoûter.Le soir même, ne pouvant pas dormir, je me décidais à marcher pour me passer l’envie de me toucher en pensant à elle. Mais, au fond de moi, je savais déjà que j’irais voir sa fenêtre pour avoir, peut-être, la chance de l’apercevoir. Elle logeait dans une suite magnifique sous les toits qui donnait à la fois sur la cour du château et sur l’étang côté sud. Les lumières étaient éteintes, mais côté bois deux des trois fenêtres étaient allumées. Elle était là, à s’activer, à ranger ses vêtements dans les penderies de son petit salon privé, nue, éclairée par une lumière tamisée. Je compris plus tard, avec certitude, que pour elle l’exhibitionnisme était une philosophie de vie, une manière d’exposer aux regards sa sensualité exacerbée. Elle était magnifique. Ses seins gonflés pointaient fièrement au-dessus d’un ventre plat plongeant dans le creux de ses hanches vers un sexe brun au buisson étroit. Ses épaules fines glissaient avec grâce sous les larges boucles de sa chevelure. Son dos cambré se terminait par les plus belles fesses de femme qu’il m’ait été donné de voir. Lorsque, de dos, elle se pencha légèrement en avant, le dessin de ses deux sphères me donna envie d’y glisser la langue. Mes doigts retrouvèrent instantanément le chemin de mon sexe. Il m’a semblé que ma culotte n’avait jamais était aussi mouillée. J’y enfouis un doigt, puis deux. J’aurai voulu m’asseoir pour pouvoir m’abandonner au plaisir, mais une fois assise je n’aurai plus vu l’objet de mon désir. Malgré le plaisir qui montait par vague, je tentais de rester debout. J’ai joui longtemps. Car, chaque fois que je posais les yeux sur les fesses de Cristy, sur sa poitrine ou sur son sexe, une vague de plaisir me parcourait le corps. Mes jambes ne me tenant plus, je finis par m’effondrer sur l’herbe pour prolonger un dernier orgasme en donnant de petits coups sur mon clitoris avec le bout des mes doigts. J’en aurai hurlé de plaisir. Quelques minutes après, la lumière s’est éteinte. Malgré la douceur de la nuit, je frissonnais.Je retournais dans mon lit, auprès de mon mari. J’en avais presque oublié les hommes. Je me sentais coupable. J’aime mon mari. Seulement, ce soir-là, il n’était plus la seule personne avec qui j’avais envie de coucher. Je le regardais dormir un moment. Puis, je me glissai sous les draps, pris son sexe endormi dans ma bouche et fis lentement tourner ma langue autour de son gland. Je voulais lui prouver, et me prouver à moi-même, que je l’aimais encore en lui faisant la pipe de sa vie. Son sexe grossissait lentement dans ma bouche, c’était la première fois que je faisais ça et c’était extraordinaire. Je laissais ensuite glisser ma langue le long de sa tige et me mis à lécher ses couilles. Il se réveilla lorsque je décidais de passer ma langue à la limite de son cul. Je n’avais jamais été aussi excitée de toute ma vie. J’avais envie de baiser ! Pour la première fois, je plaçais mon sexe sur le visage de mon mari et commençais à onduler du bassin. Je sentais sa langue qui jouait avec mon clito, suivait le dessin de mes lèvres et s’enfonçait dans mon sexe. Je jouis comme jamais. Je sentais que j’inondais le visage de mon mari du fruit de ma jouissance. J’eus la soudaine envie de goûter mon jus, le jus d’une femme. Je plongeais mes doigts dans mon sexe et les léchais avec avidité. C’était délicieux, mais quel goût pouvait avoir le sexe de Cristy ? Pour oublier cette question, j’engloutis à nouveau la bite de mon mari et le pompais avec force. Il éjacula dans le fond de ma gorge. J’avalais chacune des longues saccades tout en continuant à le sucer. Il redevint dur. Sans hésiter, je le chevauchais en lui tournant le dos. Je voulais jouir pour moi et seulement pour moi ! Toutefois, j’imagine que le spectacle que je lui offrais devait le ravir. Je me mis à me pilonner avec sa queue, tout me masturbant d’une main. Je sentais monter le plaisir. Et les yeux fermés, je revoyais toutes les images de cette journée qui avait fait de moi une salope profondément bisexuelle.