Visualisations: 98
[Cette histoire est issue entièrement de mon imagination.]Je la regarde, elle est rousse, 1m65, superbe, élancée, cheveux longs naturellement frisés. Elle se tient debout à l’arrêt de bus. En cette matinée de printemps elle porte une jupe légèrement ondulée, un chemisier transparent noir sous une veste qui voile un soutien-gorge balconnet en dentelle de même couleur.Ses longues jambes gainées de soie se terminent par des escarpins en velours. Je la contemple des pieds au visage, détaillant chaque trait de sa ligne, les contours de ses joues, ses longues jambes sensuelles. Je la trouve très élégante et fort à mon goût. Elle dégage un charme qui m’attire irrésistiblement. Je me tiens debout la, de l’autre côté de l’arrêt de bus. Une légère brise fait flotter le bout de ses cheveux dans l’air et m’apporte les effluves de son parfum. Je fonds littéralement devant cette femme, elle doit avoir 23 ans je pense.En cette matinée j’étais sorti plus tôt du travail pour pouvoir aller déambuler à la Fnac écouter quelques CD et lire de nouvelles BD. Le bus arriva, il était quasiment vide, seul s’y trouvait une personne âgée, devant, et une jeune maman accompagnée de sa petite fille d’environ 6 ans assises vers l’avant de l’autobus.Je laissais monter en premier cette femme envoûtante. À chaque enjambées le haut de ses jambes se découvrait me laissant apercevoir une partie de la dentelle de ses bas noirs. Elle s’arrêta pour acheter un ticket au conducteur, j’étais toujours sur le trottoir, ma tête au niveau de ses cuisses à un mètre cinquante environ. Ses fesses étaient rondes, ses jambes parfaitement dessinées. Je sentais mon sexe se gonfler progressivement dans le pantalon de mon costume.Tout en compostant son ticket, alors que je montais à mon tour dans le bus, elle m’ausculta d’un regard furtif. Je vis pour la première fois ses jolis yeux verts et je ne pus m’empêcher de sourire. Je sentais mes yeux pétiller. Le conducteur me sortit de mes pensées en me demandant mon ticket. Je plongeais ma main dans une des poches intérieures de ma veste pour y sortir ma carte orange.Pendant ce temps elle était allée s’asseoir sur une banquette 2×2 qui faisait face à l’arrière du bus. Elle avait posé ses pieds un peu en hauteur sur la protubérance que formait la carrosserie au niveau de la roue.Je m’assis juste en face d’elle au milieu de la banquette à côté de son sac a main. Nos regards s’étaient croisés et décroisés immédiatement signe de nos timidités. Mes yeux ne pouvaient s’empêcher de converger vers son visage. Elle était là je pouvais presque la toucher et je n’osais entamer la conversation.Je commençais à la désirer fortement et je pouvais sentir une curiosité certaine de sa part, par la façon dont elle m’observait discrètement. Je souhaitais en mon fort intérieur qu’un événement externe déclenche une ébauche de dialogue, mais rien ne venait. Cela faisait à peu près 5 minutes que nous roulions. Nos regards, maintenant, ne se quittaient plus. Sa jupe du fait du roulis permanent du bus s’était relevée un peu plus et laissait voir maintenant un fin liserai de peau blanche.La chaleur commençait à m’envahir, je voyais son regard glisser de mes yeux à mon pantalon pour remonter doucement le long de ma chemise. Elle devait être entrain d’imaginer mon corps dévêtu. Je faisais de même plus ou moins adroitement, mon regard plongeait dans son chemisier, dont elle avait déboutonné les deux premiers boutons, qui révélaient la naissance d’une poitrine honorable. Ses cuisses s’écartaient en fonction des remous du bus et mon regard plongeait parfois complètement vers ses jambes.Cette situation avait l’air de lui plaire, elle ne cessait de me sourire. Il faisait vraiment chaud, j’avais déjà enlevé ma veste. Mon torse et mes épaules musclées moulaient légèrement ma chemise et je sentais ses yeux de plus en plus inquisiteurs.N’y tenant plus je lui demandais alors si je pouvais ouvrir la fenêtre. Elle me fit un sourire et me répondit que non. Sa voix était douce et gracieuse, le son de ses mots résonnait en moi. Prudemment je me levais pour atteindre la poignée de la fenêtre. C’était un exercice assez périlleux lorsque le bus était en mouvement. Il n’y avait rien pour s’agripper autour en cas de chute.Soudain le bus freina un peu plus que d’accoutumée sans pour autant s’arrêter. Malgré une bonne notion d’équilibre du à la pratique de différents sports de glisse, je me sentis vaciller vers l’avant sans pouvoir y remédier. Pour limiter l’effet de ma chute je me rattrapais sur le dossier avant en posant une main de chaque côté de ses épaules. Mon genou gauche vint s’appuyer contre le rebord du siège tandis que ma jambe droite vacilla dans le vide.Elle eut le réflexe de m’agripper par les hanches pour me stabiliser. En tombant je m’étais presque accroupi sur elle. Mon nez caressait ses cheveux. Respirer cette odeur me provoqua une érection instantanée. Sa tête se trouvait au niveau de mon buste et je la sentais respirer profondément pour recueillir mon odeur corporelle. Ses mains glissèrent de mes hanches et vinrent palper mes fesses. Elles ne laissent jamais les femmes indifférentes: bien proportionnées, rondes et fermes, elles attirent les regards. Et parfois les mains ! Je la laissais faire sans rien dire.Par réflexe mes mains vinrent pénétrer sa chevelure au niveau de son cou. Mes doigts glissaient entre ses cheveux fins avec une infinie tendresse. Mon nez humait ses cheveux.En me rasseyant sur la banquette, mon visage glissa le long de son crane et je lui déposais un baiser léger sur le front. Je glissais ma jambe droite entre ses jambes ce qui lui fit écarter légèrement ses cuisses. Malgré une certaine expérience je n’arrivais pas à distinguer plus loin que le haut de ses bas. Cela excitait ma curiosité : portait-elle un slip, un string ou était-elle peut-être nue ?Je caressais de la main gauche le dessus de sa main droite qu’elle avait posé sur ma cuisse, tandis que ma main droite avait glissé sur son genou gauche lui massant l’intérieur de la cuisse. Je pouvais sentir la chaleur de son corps à travers la soie de son bas.Elle posa son pied droit sur le siège juste en dessous de mon sexe. Elle offrait à mon regard son entrejambe de façon tout à fait indécente. Je baissais alors les yeux et j’aperçus alors un porte jarretelles retenant ses bas, ainsi qu’un string en dentelle noire. Je faillis avoir un orgasme, elle venait de me caresser les testicules du bout de ses escarpins. Ses caresses de velours circulaires sur la base de mon sexe ne me laissaient pas insensible.J’avais du mal à me contenir, de légers gémissements s’échappant de ma bouche. Non je ne rêvais pas, elle me souriait tout en me prodiguant de divines caresses. Elle se prénommait Juliette. Nos lèvres se touchèrent et nos langues s’entortillaient dans un baiser passionné. Nous descendîmes à l’arrêt suivant. Elle me fixa dans les yeux en me disant qu’elle habitait non loin de là . J’arrêtais alors un taxi qui nous déposa au pied d’un immeuble en pierre de taille de 4 étages du XVième arrondissement. J’ouvris la lourde porte en bois et la laissais passer. Je la précédais, suivant à chacun de ses pas son déhanchement.Elle se savait certainement observée et accentuait vraisemblablement ses mouvements. Le bruit régulier de ses talons sur le sol m’excitait. Je m’approchais d’elle en l’enserrant de mon bras. Ma main vint se poser sur sa hanche et tomba rapidement sur ses fesses. Elle était craquante.Passé la cour intérieure nous pénétrâmes dans un hall. Elle habitait au second étage. Dans l’ascenseur nos mains auscultaient le corps de l’autre. Nos caresses étaient frénétiques, pleines d’envies, de désirs. Nous échangeâmes un profond baiser. Je me saisis d’une de ses cuisses et lui relevais la jambe en la plaquant sur les portes. Elle regardait la glace par-dessus mon épaule où elle pouvait observer nos mouvements.Cela devait l’exciter fortement car elle mouillait énormément. Ma main était passée entre temps sous sa jupe, je soulevais son string de mes doigts pour pouvoir rentrer en contact avec son sexe humide.Elle stoppa d’un geste l’ascenseur entre le premier et le deuxième étage. Elle déboutonna tous les boutons de mon pantalon à l’exception du premier et elle libéra finalement mon sexe. Je fis glisser son string le long de ses jambes et l’enfouissait dans l’une de mes poches non sans l’avoir humecté, il avait un parfum sucré. En remontant mes mains allaient et venaient de ses hanches à ses fesses.Ma langue s’immisça entre ses lèvres la pénétrant légèrement. Mon nez s’enfonçait dans sa toison rousse. Après avoir goûté à son sexe je voulais goûter à ses seins. Mes mains remontèrent sur son ventre, le bas de ses seins. Je profitais de cette position pour déboutonner un peu plus son chemisier et l’embrasser dans le cou. Sa peau avait le goût de la vanille. Mes mains glissèrent dans son dos et n’eurent aucun problème à dégrafer son soutien-gorge. Ses seins étaient libres, je pouvais les voir, les toucher à travers la transparence de son vêtement. Je lui mordillais un téton, tandis qu’un doigt la pénétrait.J’approchais mon sexe de sa fente, elle le guida doucement à l’entrée de son intimité. Je la pénétrais doucement sans aucune difficulté. Pour pouvoir la pénétrer plus profondément je la saisis au niveau des fesses et la soulevais. Elle m’entourait la taille de ses jambes et mes mouvements se faisaient plus amples plus profonds.Sa respiration s’accélérait, de petites gouttes perlaient de son front comme du mien. Je donnais toute mon énergie. Malgré son faible poids (50/55Kgs) je commençais à m’épuiser. Soudain je sentis les muscles de son vagin se contracter enserrant un peu plus mon membre et décuplant mon plaisir. Elle s’agrippa à mon cou renversant sa tête en arrière pour que je la pénètre au maximum. Elle jouit pendant quelques secondes en poussant de petits gémissements.Je n’avais pas encore terminé mais je ne pouvais certainement plus la tenir à bout de bras plus longtemps. Je la reposais sur le sol pour me soulager de son poids. Elle se mit accroupie et avala entièrement mon sexe. Elle commença à le sucer dans toute sa longueur, sa langue effectuant des rotations sur mon gland. Ses doigts me caressaient la verge : ils glissaient avec une légère pression sous elle ou me masturbaient fortement.Ce qui m’étonnait c’est qu’elle savait exactement comment me donner du plaisir sans même que je n’ai eu à la guider. Elle me suçait, gobant parfois une de mes boules, caressant mes fesses. Après 5 minutes de ses caresses buccales expertes je sentis mon orgasme monter. Je la relevais et la pris alors en levrette, l’une de mes positions préférées. Mes mouvements se faisaient plus rapides, moins coordonnés. J’avais du mal à garder ses seins dans mes mains, j’avais arrêté de les malaxer depuis un moment.Puis j’eus cette sensation intense, merveilleuse, annonciatrice de l’orgasme imminent. Mes fesses se serrèrent un frisson me parcourut partant de mes bourses remontant dans mon ventre pour finalement envahir mon cerveau. Dans un grognement j’éjaculais en elle, je sentais ma semence l’envahir. Je profitais pleinement de mon orgasme qui avait rarement été aussi fort. Elle aussi avait joui pour la seconde fois. Elle se retourna et m’embrassa tendrement puis me nettoya de sa langue mon sexe dégoulinant de nos secrétions mêlées. Nous nous rajustâmes rapidement. Qui était-elle ? J’allais peut-être bientôt le savoir.2 minutes plus tard je pénétrais dans son appartement (…) [Suite ???]FroutFrout_en_vacances@everyday.com
Rencontre avec une inconnue dans le bus
[Cette histoire est issue entièrement de mon imagination.]Je la regarde, elle est rousse, 1m65, superbe, élancée, cheveux longs naturellement frisés. Elle se tient debout à l’arrêt de bus. En cette matinée de printemps elle porte une jupe légèrement ondulée, un chemisier transparent noir sous une veste qui voile un soutien-gorge balconnet en dentelle de même couleur.Ses longues jambes gainées de soie se terminent par des escarpins en velours. Je la contemple des pieds au visage, détaillant chaque trait de sa ligne, les contours de ses joues, ses longues jambes sensuelles. Je la trouve très élégante et fort à mon goût. Elle dégage un charme qui m’attire irrésistiblement. Je me tiens debout la, de l’autre côté de l’arrêt de bus. Une légère brise fait flotter le bout de ses cheveux dans l’air et m’apporte les effluves de son parfum. Je fonds littéralement devant cette femme, elle doit avoir 23 ans je pense.En cette matinée j’étais sorti plus tôt du travail pour pouvoir aller déambuler à la Fnac écouter quelques CD et lire de nouvelles BD. Le bus arriva, il était quasiment vide, seul s’y trouvait une personne âgée, devant, et une jeune maman accompagnée de sa petite fille d’environ 6 ans assises vers l’avant de l’autobus.Je laissais monter en premier cette femme envoûtante. À chaque enjambées le haut de ses jambes se découvrait me laissant apercevoir une partie de la dentelle de ses bas noirs. Elle s’arrêta pour acheter un ticket au conducteur, j’étais toujours sur le trottoir, ma tête au niveau de ses cuisses à un mètre cinquante environ. Ses fesses étaient rondes, ses jambes parfaitement dessinées. Je sentais mon sexe se gonfler progressivement dans le pantalon de mon costume.Tout en compostant son ticket, alors que je montais à mon tour dans le bus, elle m’ausculta d’un regard furtif. Je vis pour la première fois ses jolis yeux verts et je ne pus m’empêcher de sourire. Je sentais mes yeux pétiller. Le conducteur me sortit de mes pensées en me demandant mon ticket. Je plongeais ma main dans une des poches intérieures de ma veste pour y sortir ma carte orange.Pendant ce temps elle était allée s’asseoir sur une banquette 2×2 qui faisait face à l’arrière du bus. Elle avait posé ses pieds un peu en hauteur sur la protubérance que formait la carrosserie au niveau de la roue.Je m’assis juste en face d’elle au milieu de la banquette à côté de son sac a main. Nos regards s’étaient croisés et décroisés immédiatement signe de nos timidités. Mes yeux ne pouvaient s’empêcher de converger vers son visage. Elle était là je pouvais presque la toucher et je n’osais entamer la conversation.Je commençais à la désirer fortement et je pouvais sentir une curiosité certaine de sa part, par la façon dont elle m’observait discrètement. Je souhaitais en mon fort intérieur qu’un événement externe déclenche une ébauche de dialogue, mais rien ne venait. Cela faisait à peu près 5 minutes que nous roulions. Nos regards, maintenant, ne se quittaient plus. Sa jupe du fait du roulis permanent du bus s’était relevée un peu plus et laissait voir maintenant un fin liserai de peau blanche.La chaleur commençait à m’envahir, je voyais son regard glisser de mes yeux à mon pantalon pour remonter doucement le long de ma chemise. Elle devait être entrain d’imaginer mon corps dévêtu. Je faisais de même plus ou moins adroitement, mon regard plongeait dans son chemisier, dont elle avait déboutonné les deux premiers boutons, qui révélaient la naissance d’une poitrine honorable. Ses cuisses s’écartaient en fonction des remous du bus et mon regard plongeait parfois complètement vers ses jambes.Cette situation avait l’air de lui plaire, elle ne cessait de me sourire. Il faisait vraiment chaud, j’avais déjà enlevé ma veste. Mon torse et mes épaules musclées moulaient légèrement ma chemise et je sentais ses yeux de plus en plus inquisiteurs.N’y tenant plus je lui demandais alors si je pouvais ouvrir la fenêtre. Elle me fit un sourire et me répondit que non. Sa voix était douce et gracieuse, le son de ses mots résonnait en moi. Prudemment je me levais pour atteindre la poignée de la fenêtre. C’était un exercice assez périlleux lorsque le bus était en mouvement. Il n’y avait rien pour s’agripper autour en cas de chute.Soudain le bus freina un peu plus que d’accoutumée sans pour autant s’arrêter. Malgré une bonne notion d’équilibre du à la pratique de différents sports de glisse, je me sentis vaciller vers l’avant sans pouvoir y remédier. Pour limiter l’effet de ma chute je me rattrapais sur le dossier avant en posant une main de chaque côté de ses épaules. Mon genou gauche vint s’appuyer contre le rebord du siège tandis que ma jambe droite vacilla dans le vide.Elle eut le réflexe de m’agripper par les hanches pour me stabiliser. En tombant je m’étais presque accroupi sur elle. Mon nez caressait ses cheveux. Respirer cette odeur me provoqua une érection instantanée. Sa tête se trouvait au niveau de mon buste et je la sentais respirer profondément pour recueillir mon odeur corporelle. Ses mains glissèrent de mes hanches et vinrent palper mes fesses. Elles ne laissent jamais les femmes indifférentes: bien proportionnées, rondes et fermes, elles attirent les regards. Et parfois les mains ! Je la laissais faire sans rien dire.Par réflexe mes mains vinrent pénétrer sa chevelure au niveau de son cou. Mes doigts glissaient entre ses cheveux fins avec une infinie tendresse. Mon nez humait ses cheveux.En me rasseyant sur la banquette, mon visage glissa le long de son crane et je lui déposais un baiser léger sur le front. Je glissais ma jambe droite entre ses jambes ce qui lui fit écarter légèrement ses cuisses. Malgré une certaine expérience je n’arrivais pas à distinguer plus loin que le haut de ses bas. Cela excitait ma curiosité : portait-elle un slip, un string ou était-elle peut-être nue ?Je caressais de la main gauche le dessus de sa main droite qu’elle avait posé sur ma cuisse, tandis que ma main droite avait glissé sur son genou gauche lui massant l’intérieur de la cuisse. Je pouvais sentir la chaleur de son corps à travers la soie de son bas.Elle posa son pied droit sur le siège juste en dessous de mon sexe. Elle offrait à mon regard son entrejambe de façon tout à fait indécente. Je baissais alors les yeux et j’aperçus alors un porte jarretelles retenant ses bas, ainsi qu’un string en dentelle noire. Je faillis avoir un orgasme, elle venait de me caresser les testicules du bout de ses escarpins. Ses caresses de velours circulaires sur la base de mon sexe ne me laissaient pas insensible.J’avais du mal à me contenir, de légers gémissements s’échappant de ma bouche. Non je ne rêvais pas, elle me souriait tout en me prodiguant de divines caresses. Elle se prénommait Juliette. Nos lèvres se touchèrent et nos langues s’entortillaient dans un baiser passionné. Nous descendîmes à l’arrêt suivant. Elle me fixa dans les yeux en me disant qu’elle habitait non loin de là . J’arrêtais alors un taxi qui nous déposa au pied d’un immeuble en pierre de taille de 4 étages du XVième arrondissement. J’ouvris la lourde porte en bois et la laissais passer. Je la précédais, suivant à chacun de ses pas son déhanchement.Elle se savait certainement observée et accentuait vraisemblablement ses mouvements. Le bruit régulier de ses talons sur le sol m’excitait. Je m’approchais d’elle en l’enserrant de mon bras. Ma main vint se poser sur sa hanche et tomba rapidement sur ses fesses. Elle était craquante.Passé la cour intérieure nous pénétrâmes dans un hall. Elle habitait au second étage. Dans l’ascenseur nos mains auscultaient le corps de l’autre. Nos caresses étaient frénétiques, pleines d’envies, de désirs. Nous échangeâmes un profond baiser. Je me saisis d’une de ses cuisses et lui relevais la jambe en la plaquant sur les portes. Elle regardait la glace par-dessus mon épaule où elle pouvait observer nos mouvements.Cela devait l’exciter fortement car elle mouillait énormément. Ma main était passée entre temps sous sa jupe, je soulevais son string de mes doigts pour pouvoir rentrer en contact avec son sexe humide.Elle stoppa d’un geste l’ascenseur entre le premier et le deuxième étage. Elle déboutonna tous les boutons de mon pantalon à l’exception du premier et elle libéra finalement mon sexe. Je fis glisser son string le long de ses jambes et l’enfouissait dans l’une de mes poches non sans l’avoir humecté, il avait un parfum sucré. En remontant mes mains allaient et venaient de ses hanches à ses fesses.Ma langue s’immisça entre ses lèvres la pénétrant légèrement. Mon nez s’enfonçait dans sa toison rousse. Après avoir goûté à son sexe je voulais goûter à ses seins. Mes mains remontèrent sur son ventre, le bas de ses seins. Je profitais de cette position pour déboutonner un peu plus son chemisier et l’embrasser dans le cou. Sa peau avait le goût de la vanille. Mes mains glissèrent dans son dos et n’eurent aucun problème à dégrafer son soutien-gorge. Ses seins étaient libres, je pouvais les voir, les toucher à travers la transparence de son vêtement. Je lui mordillais un téton, tandis qu’un doigt la pénétrait.J’approchais mon sexe de sa fente, elle le guida doucement à l’entrée de son intimité. Je la pénétrais doucement sans aucune difficulté. Pour pouvoir la pénétrer plus profondément je la saisis au niveau des fesses et la soulevais. Elle m’entourait la taille de ses jambes et mes mouvements se faisaient plus amples plus profonds.Sa respiration s’accélérait, de petites gouttes perlaient de son front comme du mien. Je donnais toute mon énergie. Malgré son faible poids (50/55Kgs) je commençais à m’épuiser. Soudain je sentis les muscles de son vagin se contracter enserrant un peu plus mon membre et décuplant mon plaisir. Elle s’agrippa à mon cou renversant sa tête en arrière pour que je la pénètre au maximum. Elle jouit pendant quelques secondes en poussant de petits gémissements.Je n’avais pas encore terminé mais je ne pouvais certainement plus la tenir à bout de bras plus longtemps. Je la reposais sur le sol pour me soulager de son poids. Elle se mit accroupie et avala entièrement mon sexe. Elle commença à le sucer dans toute sa longueur, sa langue effectuant des rotations sur mon gland. Ses doigts me caressaient la verge : ils glissaient avec une légère pression sous elle ou me masturbaient fortement.Ce qui m’étonnait c’est qu’elle savait exactement comment me donner du plaisir sans même que je n’ai eu à la guider. Elle me suçait, gobant parfois une de mes boules, caressant mes fesses. Après 5 minutes de ses caresses buccales expertes je sentis mon orgasme monter. Je la relevais et la pris alors en levrette, l’une de mes positions préférées. Mes mouvements se faisaient plus rapides, moins coordonnés. J’avais du mal à garder ses seins dans mes mains, j’avais arrêté de les malaxer depuis un moment.Puis j’eus cette sensation intense, merveilleuse, annonciatrice de l’orgasme imminent. Mes fesses se serrèrent un frisson me parcourut partant de mes bourses remontant dans mon ventre pour finalement envahir mon cerveau. Dans un grognement j’éjaculais en elle, je sentais ma semence l’envahir. Je profitais pleinement de mon orgasme qui avait rarement été aussi fort. Elle aussi avait joui pour la seconde fois. Elle se retourna et m’embrassa tendrement puis me nettoya de sa langue mon sexe dégoulinant de nos secrétions mêlées. Nous nous rajustâmes rapidement. Qui était-elle ? J’allais peut-être bientôt le savoir.2 minutes plus tard je pénétrais dans son appartement (…) [Suite ???]FroutFrout_en_vacances@everyday.com
Cunnilingus, Exhibition-Voyeurisme, Fellation, FH, Frousses, Inconnu, Intermast, Pénétration, Voir, Volupté
Tags:bus, cunnilingu, exhib, fellation, fh, frousses, inconnu, intermast, pénétratio, voir, volupté