Ce jour-lĂ , j’étais particulièrement Ă©nervĂ©, après un long week-end d’inactivitĂ©. En fait, mes relations avec mon amie avaient Ă©tĂ© une fois de plus orageuses, et pour je ne sais plus quelle raison insignifiante, elle avait refusĂ© de faire l’amour. Je me retrouvais donc une fois de plus seul chez moi, et cette solitude me pesait particulièrement.Pour Ă©viter de ruminer des idĂ©es noires, et n’arrivant pas Ă m’endormir, j’écoutais la radio, sautant au hasard d’une station Ă l’autre. Soudain, entre deux disques de pop-rock, j’entendis le prĂ©sentateur d’une station locale expliquer qu’il allait diffuser des annonces de personnes souhaitant faire des rencontres. Je m’approchai du poste et attendis impatiemment la fin du disque.Le prĂ©sentateur annonça enfin les propositions. La plupart venaient d’hommes seuls recherchant une compagne. J’allais changer de station, déçu, lorsqu’il annonça qu’une jeune femme ayant beaucoup souffert recherchait une amitiĂ© sincère. Je bondis sur le tĂ©lĂ©phone pour appeler : qui sait ? Peut-ĂŞtre allais-je faire une rencontre providentielle ?HĂ©las le tĂ©lĂ©phone de la station Ă©tait saturĂ©. J’insistai et je refis plusieurs fois le numĂ©ro, sans succès. J’allais abandonner et essayer de lire, mais j’essayai quand mĂŞme une dernière fois la touche bis et lĂ , surprise : j’entendis un grĂ©sillement, puis la voix d’une standardiste qui me demanda mon numĂ©ro. Je le donnai, puis elle me dit de raccrocher et d’attendre.Une dizaine de minutes plus tard, alors que la nuit Ă©tait dĂ©jĂ bien avancĂ©e, le tĂ©lĂ©phone sonna. Je dĂ©crochai, le cĹ“ur battant. C’était la jeune femme de l’annonce. Elle se prĂ©senta, elle s’appelait Monique et elle me demanda de parler de moi. Je lui expliquai franchement ma situation d’homme déçu. Sa voix Ă©tait douce ; elle me proposa de venir la rejoindre – en toute amitiĂ©, prĂ©cisa-t-elle, et pour simplement parler, elle avait confiance en moi, ma voix lui avait paru rassurante. Elle me communiqua son adresse et je partis dans la nuit, brĂ»lant d’impatience.Après un court trajet sur une rocade dĂ©serte, j’arrivai dans une banlieue mĂŞlant des pavillons et des immeubles locatifs plus populaires mais coquets au milieu des arbres. Elle rĂ©sidait dans l’un d’entre eux. Je tournai un peu, le cĹ“ur battant, pour retrouver la bonne entrĂ©e. Je repĂ©rai enfin son nom sur la boĂ®te aux lettres, et je gravis les marches de l’escalier deux par deux jusqu’au troisième Ă©tage. L’immeuble Ă©tait simple mais propre. Je sonnai enfin chez Monique.J’entendis un bruit feutrĂ©, elle m’ouvrit, il faisait sombre et je ne vis pas tout de suite son visage. Elle me fit entrer dans son salon, meublĂ© assez confortablement, et nous nous assĂ®mes sur un canapĂ© recouvert de velours beige et dĂ©corĂ© de coussins recouverts de soie. Monique Ă©tait de taille moyenne. Elle s’excusa, vu l’heure tardive, de m’accueillir vĂŞtue d’un peignoir de satin bleu. Elle avait le teint mat, le visage ovale, un joli nez bien dessinĂ©, des yeux noirs et des pommettes lĂ©gèrement saillantes. Ses cheveux auburn Ă©taient rassemblĂ©s en un chignon assez Ă©lĂ©gant, elle avait de profonds cernes sous les yeux, son visage Ă©tait grave, je la trouvai assez jolie mais l’air fatiguĂ©. Elle m’expliqua qu’elle avait une vie difficile, ses dĂ©boires familiaux l’avaient Ă©puisĂ©e, son mari Ă©tait intempĂ©rant et cogneur, son divorce en cours, et surtout sa douleur lui venait d’être sĂ©parĂ©e de sa fille unique, alors âgĂ©e de 8 ans, et cela depuis plusieurs mois…Monique parla longtemps, je l’écoutais, et je l’observais en mĂŞme temps, je l’encourageais du mieux que je pouvais. Elle Ă©tait Ă©videmment un peu dĂ©pressive, et ma visite lui Ă©tait d’un grand rĂ©confort. En fait, cela n’avait plus rien Ă voir avec la rencontre galante que j’espĂ©rais ; cependant, un peu plus tard, nous parlâmes de nos vies sentimentales et sexuelles, en toute libertĂ©. Je lui avouai que j’étais peu satisfait de ma vie de couple et, de son cĂ´tĂ©, elle me dit qu’elle Ă©tait très sensuelle et que les relations sexuelles lui manquaient. Ayant eu connaissance des infidĂ©litĂ©s de son mari, elle avait quelques relations avec des amants de rencontre, mais Ă prĂ©sent elle n’avait plus le cĹ“ur Ă chercher un nouveau compagnon. Je lui dis que nous pourrions peut-ĂŞtre nous revoir pour en discuter, car ce soir-lĂ , outre l’heure tardive et la fatigue, elle n’avait visiblement pas le moral pour aller plus loin.Tout en l’écoutant, j’essayais discrètement de deviner comment elle Ă©tait faite : elle paraissait très mince, mais sa ceinture, en soulignant sa taille fine, mettait en relief une jolie petite paire de fesses bien rondes, des jambes longues et Ă©lĂ©gantes paraissaient au-dessous. Tout en parlant, je pouvais voir de temps en temps le peignoir bâiller un peu au niveau du buste, et j’eus la joie d’apercevoir furtivement un joli sein pointu, bien dessinĂ© et de belle proportion. Je me dis que dans le courant d’une future visite, je ne manquerais pas de lui en faire compliment. Mais il Ă©tait très tard, près de trois heures du matin, et il me fallait rentrer pour dormir un peu avant le lendemain, oĂą une longue journĂ©e de travail m’attendait.Monique Ă©tait certes accablĂ©e de problèmes, mais elle Ă©tait très douce et finalement plutĂ´t gaie. En nous quittant, je lui dis que j’avais envie de la revoir. Nous Ă©changeâmes nos numĂ©ros de tĂ©lĂ©phone et nous nous fĂ®mes la promesse de bientĂ´t nous retrouver. Avant de partir, je l’embrassai sur la joue, puis sur le coin des lèvres, elle se laissa faire et je la serrai contre moi, je sentais son corps souple et sa taille fine, ses seins pointaient sous le peignoir, le bas de celui-ci s’entrouvrit et j’aperçus une longue jambe qui frĂ´la la mienne, je sentis une vague d’émotion m’envahir, je l’étreignis une dernière fois et je rentrai chez moi la tĂŞte pleine de pensĂ©es folles…Quelques jours plus tard, vers 10h, le soir, le tĂ©lĂ©phone sonna. C’était Monique, elle allait un peu mieux et me proposait de venir prendre un verre, en me demandant de lui acheter un paquet de cigarettes. J’abrĂ©geai ma tirade anti-tabac et, un quart d’heure plus tard, j’étais chez elle, le cĹ“ur battant. Je rĂŞvais de la revoir nue sous son peignoir bleu mais, Ă ma grande dĂ©ception, elle Ă©tait habillĂ©e d’un survĂŞtement de coton gris clair qui lui montait jusqu’au cou et dissimulait ses formes ! Nous nous mĂ®mes Ă nouveau sur le canapĂ© pour bavarder, mais cette fois-ci la conversation tourna de plus en plus sur les relations de couple et le sexe. Je lui avouai sans ambages que la solitude me pesait beaucoup, car j’étais très sensuel. Elle me dit aussi que les relations lui manquaient, car son mari, en dehors de ses accès de boisson ou de brutalitĂ©, avait Ă©tĂ© un assez bon amant – en particulier elle avoua qu’elle regrettait son membre viril, de forte taille. Je lui rĂ©pondais d’un air dĂ©tachĂ© des banalitĂ©s… que l’amour Ă©tait aussi une question de tendresse et de savoir-faire !En fait, je commençais Ă bander dur et je me rapprochai d’elle, j’avais Ă prĂ©sent très envie d’elle. Monique devait lire cela dans mes yeux et elle me laissa m’approcher et caresser doucement son bras puis son Ă©paule et aussi sa cuisse. Ma bouche se rapprocha de la sienne, je l’embrassai sur la joue puis au coin des lèvres, de petits baisers tendres, elle ne disait plus rien, je lui pris la taille et je me mis contre elle, je sentais ses formes sous le tissu souple et en mĂŞme temps je lui embrassai les lèvres. Elle retardait le moment du baiser, mais mes caresses sur ses cuisses commencèrent Ă agir, elle entrouvrit ses lèvres et se laissa aller, puis devint soudain active, nous nous embrassâmes sur la bouche avec frĂ©nĂ©sie, sa langue rentra dans ma bouche cherchant la mienne je lui pelotai les seins que je sentais s’affermir sous mes caresses.Monique commençait Ă soupirer, elle Ă©tait Ă prĂ©sent couchĂ©e sur le dos et je l’embrassais, collĂ© contre elle, une main sur son sein droit et l’autre malaxant sa chatte Ă travers le tissu, c’était bon, je sentais que nous n’allions pas tarder Ă faire l’amour !Nous sommes restĂ©s de longues minutes Ă nous embrasser profondĂ©ment et Ă nous caresser, nos langues emmĂŞlĂ©es et nos cĹ“urs battant de plus en plus vite ! Monique me dit alors tout simplement :— Viens dans la chambre, on sera mieux !Elle enleva le dessus de lit et Ă©tendit une grande serviette sur les draps propres, pour ne pas tacher.— Oui, tu sais, dit-elle, quand je fais l’amour, je mouille beaucoup !Ă€ ces mots, je sentis ma queue se raidir encore plus. Je me dĂ©shabillai rapidement et je la regardai me faire un strip-tease des plus excitants, elle avait une jolie culotte de soie noire et un splendide soutien-gorge Ă balconnet assorti et remarquablement bien rempli !Je fus agrĂ©ablement surpris de la dĂ©couvrir nue, Monique Ă©tait en fait une fausse maigre, elle avait de longues jambes minces et Ă©lĂ©gantes que j’avais dĂ©jĂ aperçues et ensuite un cul magnifique bien pommĂ© et ferme, ses fesses bien rondes Ă©taient surmontĂ©es de deux jolies fossettes de beautĂ©. Sa taille fine mettait en valeur une paire de seins splendides, assez volumineux, très pointus et ornĂ©s de très gros tĂ©tons dardĂ©s et raides tels que je n’en avais jamais vus ! Quelle merveille, comme elle Ă©tait bandante ! J’admirais surtout ses gros tĂ©tons. Elle me dit en effet qu’ils Ă©taient très sensibles et que les caresses Ă cet endroit lui donnaient beaucoup de plaisir.Monique s’allongea sur le lit, les bouts de ses seins sortis du soutien-gorge agressivement pointĂ©s vers moi. MalgrĂ© mon dĂ©sir de la savourer lentement, j’avoue que je me ruai pour lui sucer le bout des seins. En sentant ces petites carottes durcies par la caresse rouler sous ma langue, je ressentis une immense vague de plaisir. Elle me prit la queue, autant pour en apprĂ©cier la fermetĂ© que pour me rendre ma caresse et elle se mit Ă masturber doucement mon membre raidi.— ArrĂŞte, lui dis-je au bout d’un moment, si tu continues, tu vas me faire gicler, tu sais !Je descendis ma bouche Ă hauteur de son pubis et je me mis Ă lui lĂ©cher la chatte. Les grandes lèvres Ă©taient dĂ©jĂ dĂ©ployĂ©es en corolle, et une abondante quantitĂ© de liqueur suintait de sa vulve. Je la lapai avec dĂ©lice avant de dĂ©capuchonner son trĂ©sor de plaisir. Monique avait un assez gros clito, bien dressĂ© et surmontĂ© d’un joli bouton renflĂ©. Ma langue vibrait et lĂ©chait Ă toute vitesse et en tout sens l’admirable bouton d’amour. Elle eut comme une dĂ©charge Ă©lectrique et soupira profondĂ©ment :— Oh ! oui, vas-y, oui, encore, oh ! je sens que tu vas m’exciter, toi, oh ! ouii !Moi, je la goĂ»tais avec voluptĂ© et je ne pouvais que l’approuver mentalement ! Plus je la lĂ©chais et plus Monique se tordait de plaisir, soulevant ses fesses pour pousser sa moule Ă la rencontre de ma langue. Je la fis ainsi gĂ©mir de longues minutes… puis brutalement elle se tendit et eut une sĂ©rie de contractions saccadĂ©es du bas-ventre et des fesses. Elle cria :— Oh ! ouii, ça y est, tu me fais jouir, oh ! que c’est bon, oh ! j’avais envie, tu sais ! Mais continue, je suis bien, allez, viens me baiser Ă prĂ©sent, j’ai envie de ta grosse queue en moi, allez, baise-moi, chĂ©ri !AussitĂ´t, pour partager son plaisir, je remontai mes lèvres lentement vers sa bouche, je l’embrassai et je lui enlevai son soutien-gorge. Ses gros seins pointus, enfin libĂ©rĂ©s, jaillirent vers moi, ma queue grossit encore plus si c’était possible, et je sentis mon gland effleurer les lèvres de son sexe. Elle Ă©tait très excitĂ©e, mais elle tendit la main vers la table de nuit pour saisir un prĂ©servatif, posĂ© lĂ Ă dessein. Je suivis son regard et je lui en fis la remarque :— Alors, Monique, tu avais tout prĂ©vu, hein, tu avais envie de baiser avec moi, ce soir !— Eh bien, oui, je savais que tu allais venir si je te le demandais, j’avais bien remarquĂ© comme tu me regardais la dernière fois, tu sais, et puis comme tes yeux ont brillĂ© quand tu as aperçu mes seins, j’ai tout de suite senti que je serais bien avec toi quand tu m’as serrĂ©e dans tes bras, j’ai aussi apprĂ©ciĂ© que tu ne me sautes pas dessus la première fois ! Mais si ça peut te rassurer, en me lavant, ce soir-lĂ , je me suis caressĂ©e en pensant Ă toi ! Alors ce soir, j’ai voulu t’avoir près de moi, tout près !Et ce disant, elle m’enfila un prĂ©servatif en massant bien ma verge puis en me branlant franchement la queue.— ArrĂŞte, Monique, tu vas me faire juter ! Je prĂ©fĂ©rais que tu me suces un peu.— Pardonne-moi, mais je n’aime pas trop. Mon mari m’y obligeait avec violence, et ça me rappelle de trop mauvais souvenirs. Non, viens plutĂ´t me baiser !En disant cela, elle s’était allongĂ©e sur le dos et elle se cambra brutalement puis, en me prenant les fesses, elle vint s’empaler elle-mĂŞme sur mon vit. La sensation fut dĂ©licieuse, enfin je sentais son Ă©tui bien chaud enserrer ma bite. Je la pĂ©nĂ©trai profondĂ©ment et très facilement, je restai quelques instants au fond d’elle sans bouger pour savourer mon plaisir. Mais Monique Ă©tait Ă prĂ©sent bien chaude, et c’est elle qui se mit Ă remuer pour bien sentir mon gland lui frotter le vagin, ses seins touchaient ma poitrine et cela dĂ©cuplait ma jouissance, elle avait toujours ses gros tĂ©tons dardĂ©s, impudiques, soulignant son Ă©tat d’excitation.Je me mis Ă la pistonner lentement, en sortant presque totalement ma queue du fourreau pour bien sentir les lèvres de son sexe frotter mon gland, puis je replongeais ma bite bien profond dans sa chatte. Monique poussait des cris de plaisir aigus et ininterrompus qui augmentaient encore ma jouissance. Elle Ă©carta ses cuisses au maximum pour me permettre de la baiser encore plus profondĂ©ment, je pris ses fesses Ă pleines mains et je la serrai contre moi pour la pĂ©nĂ©trer Ă fond. Je sentais que l’orgasme approchait, je n’avais jamais encore baisĂ© une femme aussi sensuelle et aussi excitante, ses seins pointus qui tremblotaient sous l’effet de mes coups de pine me procuraient un plaisir inouĂŻ – elle me dit par la suite qu’elle n’arrivait pas toujours Ă trouver des soutiens-gorge en 95D avec des bonnets assez profonds pour chausser ses seins – ultra bandants !Je lui dis dans un râle :— Oh ! Monique, je viens, tu me fais trop jouir !Mais Monique, qui avait dĂ©jĂ ressenti un orgasme lorsque je lui avais sucĂ© la moule, en voulait plus. Elle se retourna et s’accroupit, me prĂ©sentant sa croupe rebondie, au milieu de laquelle luisait sa chatte, aux lèvres brunes boursouflĂ©es de plaisir s’ouvrant sur sa fente rose et humide. Elle ajouta, plus pour m’exciter que pour me guider, car j’avais dĂ©jĂ compris :— Viens, j’ai envie que tu me baises en levrette, maintenant !Ses yeux noirs Ă©taient brillants, et un sourire d’invitation luisait sur son visage. Je me mis Ă genoux et je me rapprochai lentement d’elle, la queue dressĂ©e vers le plafond. Je m’amusai un peu en me branlant, en faisant glisser mon vit entre ses fesses ! Elle protesta :— Ah ! non, chĂ©ri, baise-moi comme il faut, j’ai envie de jouir, maintenant !Je rabattis ma queue, qui est très arquĂ©e, vers le bas, pour amener mon gland en face de sa chatte bĂ©ante et je m’enfonçai un peu en elle.— Ah ! non, lĂ , tu m’énerves, baise-moi bien profond, j’ai trop envie, tu sais.En fait, je n’y tenais plus et je m’enfonçai en elle jusqu’à la garde. Elle remuait son cul pour mieux sentir mon membre aller et venir en elle. Je pris son cul Ă pleines mains et je la pĂ©nĂ©trai Ă fond, je sentais ma queue bien bandĂ©e aller et venir en elle, c’était le jardin des dĂ©lices et la nuit de la glisse rĂ©unis ! Mais je n’oubliai pas les bonnes manières, et je commençai Ă titiller son clito d’une main, tandis que je lui pelotai un sein de l’autre main. Elle se mit Ă crier de plaisir :— Oh ! chĂ©ri, oui, comme ça, oui, continue, oh ! je vais jouir, oui, vas-y, branle-moi le clito et prends-moi comme une chienne, oh ! j’aime ta grosse queue, oh ! ouiii, ça y est, je jouis ! Oh ! je jouis, chĂ©ri !Je ressentis aussitĂ´t les contractions de son vagin autour de ma pine, elle l’aspirait littĂ©ralement, la serrait en spasmes convulsifs, je n’en pouvais plus et je sentis une vague dĂ©ferler du plus profond de moi, un plaisir inouĂŻ me secoua, je l’empalai furieusement, ma bite raide plongĂ©e jusqu’à la garde dans son cul, et brutalement je jutai en gros flots au plus profond du con de Monique. Elle ressentit ma dĂ©charge et atteignit en mĂŞme temps que moi le paroxysme de la jouissance.Après quelques derniers spasmes, nous nous Ă©croulâmes ensemble alors que je restai profondĂ©ment enfoncĂ© en elle, et nous nous fĂ®mes de dĂ©licats baisers câlins de remerciements mutuels.Monique est restĂ©e quelques mois ma maĂ®tresse, nous faisions l’amour chez elle ou aussi au tĂ©lĂ©phone, puis nous nous sommes, hĂ©las, quittĂ©s. Elle a trouvĂ© du travail dans une autre rĂ©gion et s’est remariĂ©e avec un homme plus âgĂ©, avec lequel elle a enfin trouvĂ© un bonheur serein. Je pense toujours Ă elle avec Ă©motion et tendresse. Peut-ĂŞtre aura-t-elle un jour l’occasion de lire ces lignes qui, je l’espère, lui rappelleront de bons souvenirs…