L’histoire que je vais raconter est tirée de la réalité ( les prénoms ont été changés, pas les lieux), s’y mêlent, deux aventures qui se sont déroulées, il y a quelques années.J’étais et je le suis encore consultant à mon propre compte, et bien que basé à Bordeaux, j’intervenais sur une grande moitié sud de la de la France. Une entreprise importante de la région de Limoges, avec des établissements assez dispersés m’a demandé d’animer une formation des assistantes commerciales de ses différents établissements.C’est donc dans la banlieue proche de Limoges, où la Société a implanté son siège que cette formation s’est déroulée. Passons les 2 premières journées ou je me retrouvais face à 11 dames ou demoiselles de 26 à 50 ans environ, assez attirantes dans la majorité, rivalisant de charme et d’élégance, service commercial oblige.Ce n’est qu’à la fin de la matinée du quatrième jour que les événements se précipitèrent. Nous déjeunions dans une auberge distante de 10 kilomètres et au moment de partir avec le groupe, je rencontrais sur le parking de la Société la responsable de la formation, jeune femme de 35 ans, charmante qui me demande un compte rendu rapide du déroulement de ces journées. Comment résister une telle demande quand elle est présentée par une jolie brune, vêtue d’une robe d’été à fleurs, légère, bronzée à souhait et avec un sourire….Trois quarts d’heure après je rejoignais le groupe à l’auberge, une place m’était réservée au centre de la table, qui n’était pas celle dont nous disposions habituellement, c’était une table rectangulaire, toute en longueur et étroite. À mon arrivée des sourires entendus et des commentaires sur ma discussion avec Hélène, la responsable formation, chacune apportant son mot, son coup de griffe… enfin des femmes.Occupé à rattraper le temps perdu, j’écoutais les apartés qui se faisaient, j’appris ainsi que Hélène passait pour une fille sans scrupules et ses compétences n’étaient pas les seuls critères qui lui avaient permis de progresser dans la société.Je souriais à ces commentaires quand je sentis un regard posé sur moi, vous savez ce poids que l’on ressent et qui vous fait lever la tête et croiser le regard de l’autre. En l’occurrence c’était Marie, juste en face de moi, son visage à quelques dizaine de centimètres du mien qui me regardait intensément avec le même sourire entendu que le mien.J’allais lui parler et tenter d’engager la conversation sur ce terrain scabreux, quand la serveuse apporte les assiettes.A partir de ce moment nos regards se sont croisés à tous instants, des regards intenses, tendres, interrogatifs.La conversation ? banale, la pluie et le beau temps, le travail…Un regard encore plus appuyé et je sens un genou contre le mien, j’interroge du regard, un battement de cil en réponse et la pression se fait plus forte, je souris, résiste un peu, allonge ma jambe ce qui eut pour effet de glisser mon genou le long de sa cuisse. Marie eut un léger sursaut et réagit en serrant mon genou entre ses cuisses, certes par très haut mais je sentais une douce chaleur m’envahir et une certaine excitation monter en moi.Le charme fut rompu par Elodie, qui interpelle Marie lui disant d’atterrir, que çà faisait 2 minutes qu’elle lui parlait, etc etc à qui pensait-elle ?Regardant Marie du coin de l’œil, je l’ai vu rosir, mais pas du tout se démonter et répondre très naturellement :« Je pensais à des choses très agréables que j’aimerais bien faire » et se tournant vers moi me dit :« N’ai-je pas bien répondu monsieur le professeur ? » elle savait pertinemment qu’elle me mettait dans l’embarras et elle en rajoutait car le matin nous avions eu une discussion avec le groupe sur ma fonction, surtout pas professeur, et nous avions travaillé sur la façon de répondre sans se démonter.Elle venait de me faire passer un message qu’elle a confirmé par son jeu de jambes sous la table, se frottant très légèrement à mon genou, bougeant de façon imperceptible mais très sensuelle.Quelques quolibets sur les choses agréables qu’elle aimerait faire m’apprirent qu’elle n’avait plus de copain depuis quelques mois et chacune de la « plaindre » de la savoir seule, elle laissait la conversation déraper un peu, mais nos jambes elles étaient en mouvement.Très lentement je la voyais glisser sur son siège ce qui lui permettait d’avancer le bassin vers mon genou, je me sentais glisser doucement entre ses cuisses, je décidais de l’aider et je me mis moi aussi à avancer le plus possible sur mon siège. Avant même que je ressente l’obstacle, elle sursauta, serrant fortement ses cuisses emprisonnant mon genou contre son sexe. L’état d’excitation dans lequel j’étais ne faisait qu’empirer, je sentais avoir un peu le feu aux joues, quant à mon sexe, il commençait à être à l’étroit dans mon slip.Je jetais un œil vers elle mais aussi vers les autres, j’avais l ’impression que tout le monde voyait notre manège ; mais non, chacun discutait sans se préoccuper de nous. Croisant son regard, je vis ses yeux brillant de désir et d’excitation elle aussi ; elle me le confirma en fermant les yeux voluptueusement.De temps en temps, quelques légers mouvements de son bassin que je ponctuais par une pression du genou maintenaient notre état d’excitation. L’heure avançant et voulant reprendre une allure décente, je du prendre l’initiative de rompre le charme, lui disant, dans le ton de la conversation :« C’est très bien, mais il faut en garder pour plus tard », elle acquiesça d’un battement de cil et après une légère pression libéra mon genou.Dessert, café, conversation, regards, frôlements sous la table, le repas pris fin.J’avais presque repris un aspect décent et je me levais avec les autres. Marie, était encore assise et je surpris son regard se porter mon entre jambe, elle espérait percevoir le résultat de ses manœuvres, elle eut satisfaction, car ce regard fit monter en moi une bouffée de désir et je me mis subitement à bander, à son sourire me montra qu’elle avait vu, sa langue sur ses lèvres, qu’elle avait aimé. Se levant elle me glissa un regard canaille et avec un large sourire me chuchota :« Pas mal … » qui en disait long sur ses intentions.Aussi discrètement que possible je rejoins ma voiture sur le parking de l’auberge, arrivé dans les derniers, j’étais dans un recoin assez éloigné. Il me restait quelques minutes et je décidais d’appeler ma secrétaire à BORDEAUX pour qu’elle me fasse le compte rendu des évènements. Pas mal de problèmes et le temps passe, enfin les difficultés réglées je range le portable et au moment de rentrer dans ma voiture, je vois Marie, à quelques dizaine de mètres de moi attendant la fin de la communication.Marie, je ne vous l’ai pas encore présentée, mais vous lui donneriez le Bon Dieu sans confession. La regardant venir vers moi, lentement, j’ai tout le loisir de la détailler. C’est vrai que je ne l’avais pas bien regardée jusqu’à maintenant, comme les autres d’ailleurs. Pas très grande, assez mince, mais avec des formes, des jambes assez longues pour sa taille, bien mises en valeur par un pantalon de lin, moulant l’arrondi des hanches ne laissant apparaître aucun élastique disgracieux, tee-shirt en soie blanche mettant en valeur sa poitrine ronde et bien galbée, un port de tête droit mais pas hautain, des cheveux bruns, coupés au carré encadrant un visage régulier, agréable et des yeux noisette pétillants. Marie n’est pas une gravure de mode, mais d’une beauté que l’on rencontre assez régulièrement.Elle avançait vers moi, un léger sourire aux lèvres, presque en conquérante ; elle savait qu’elle avait gagné, mais qui aurait pu résister.« Les autres sont parties quand j’étais aux toilettes, est-ce que je peux profiter de la voiture ? » me dit-elle tout en s’approchant de moi avec un regard brillant.« De la voiture ou du chauffeur » lui répondis-je ; « J’ai adoré tout à l’heure »« Moi aussi » me répondit-elle juste avant que nos bouches se rejoignent presque violemment tant le désir était fort. Nos langues se sont cherchées, emmêlées ; ses seins se sont pressés sur ma poitrine, son ventre s’est collé au mien. Elle ondulait faisant glisser son ventre et son sexe sur mon ventre, cherchant la dureté de mon sexe.La violence de notre baiser a provoqué chez moi une érection instantanée, un petit gémissement me fait comprendre que son sexe a trouvé ma virilité. À bout de souffle nos lèvres se séparent mais nos ventres restent soudés l’un contre l’autre, mon sexe cherchant son sexe, son sexe cherchant le mien. Pendant quelques minutes nous avons fait l’amour mais à travers nos vêtements ; Marie s’était soulevée sur la pointe des pieds pour bien sentir mon gland se presser à l’entrée de son sexe, j’ai fléchi les jambes comme pour la pénétrer.Nous étions debout contre la voiture aux vues de tout le monde et risquions d’être vus de collègues de la Société.Je me sépare d’elle et lui dis « Monte, ce sera plus discret », un coup d’œil sur la montre du tableau de bord m’indique qu’il ne nous reste que peu de temps.« Tu as vu l’heure, il faut rejoindre la salle »« Attends encore un peu, je veux encore te sentir, je veux te toucher » et elle pose sa main sur mon sexe, me caressant à travers le tissu, dans un lent mouvement de va-et-vient et entreprend de défaire ma ceinture de pantalon.« Je veux la voir, je veux la toucher, je veux la caresser, je veux la sucer» disait -elle en s’énervant sur les boutons et le zip. Enfin elle ouvre mon, pantalon, je bande au maximum, mon slip est complètement déformé le gland dépasse un peu de la ceinture. Elle me caresse à travers mon slip lentement, voluptueusement ; ses doigts montent jusqu’au gland luisant tellement il est tendu.Elle a de tous petits gémissements d’excitation, j’aimerais la caresser moi aussi mais elle est trop en retrait, je ne peux lui caresser que les seins. Je les sens tendus, durs, les pointes sont érigées, je les sens à travers son soutien-gorge, je les fais rouler sous mes doigts, elle gémit plus fort.Elle à passé sa main sous mon slip et maintenant me caresse le sexe sur toute sa longueur, mais gênée par le tissu elle fait glisser mon slip et pousse alors presque un cri de triomphe « La voilà … » avec un grand soupir. Alors elle me prend dans sa main et commence un lent va-et-vient. Je ferme les yeux tellement c’est bon.Mais ce n’est pas le moment on n’a plus le temps« Arrêtes, s’il te plait, on n’a pas le temps de finir, on va tout gâcher »« Oui, ce serait dommage, mais j’ai envie de te sucer, je veux te sentir venir dans ma bouche »« Je n’ai rien découvert de toi, je veux aussi te caresser, découvrir la douceur de ta petite chatte, jouer avec ton petit bouton rose, le sucer, le lécher, je veux aussi te sentir jouir sur ma langue, goûter tons jus, ta mouille ; pour tout çà on n’a pas le temps et je le regrette »« D’accord mais je prends un acompte » et d’un seul coup elle enfonce mon sexe dans sa bouche en gémissant, elle me suce divinement, sa langue s’enroule autour de mon gland, elle serre les lèvres et fait des va et viens, ses doigts agiles me caressent les couilles, les pressent, les remontent, à ce rythme là je ne vais pas durer longtemps, elle suce comme une reine.« Stop s’il te plait, c’est trop bon, sinon j’explose», un dernier baiser sur mon gland et elle se relève souriante, se passant la langue sur les lèvres avec délectation, les pommettes rosies, les cheveux décoiffés.« Dommage, j’aurais bien continué, mais c’était bon, ta bite à bon goût, tes couilles sont grosses et pleines, j’aurais bien voulu les vider dans ma bouche »Je me rajuste avec difficultés, je bande comme jamais, ma bite rentre difficilement dans mon slip, çà la fait rire.« Je t’ai à peine caressée, je n’ai rien touché, rien goûté, rien vu de toi »« Attends » dis-t-elle.Fébrilement, elle dégrafe chaque bouton de son pantalon, fait glisser la fermeture éclair en laissant entrevoir un ventre plat, bronzé et la dentelle de la ceinture de son string (puisque c’en était un). Passant ses mains sur ses hanches, elle fit glisser son pantalon jusqu’à mi-cuisse. Je découvrais maintenant complètement son string blanc, laissant deviner sous la finesse du tissu une ombre brune prometteuse.Elle ouvrait lentement les cuisses, son string était réellement mini, il ne pouvait cacher toute cette mousse brune et soyeuse qui débordait par endroits, une mince bande soyeuse et trempée pénétrait par endroit entre ses lèvres gonflées.Elle continuait son strip-tease, à sa façon, décidée à me faire découvrir toute son intimité.Pas un mot, que des regards et des soupirs.Maintenant, les yeux mi-closs, elle se caressait par dessus le tissu, le faisant entrer dans sa fente, me montrant du doigt le contour de son sexe, de ses lèvres, remontant vers son clitoris pour le presser plus fort.Avec un regard intense elle fit descendre son string et ouvrit ses cuisses largement, me montrant son intimité luisante de mouille, les poils collés tant elle avait été excitée par nos caresses, des grandes lèvres gonflées de désir, ouvertes laissant voir ce petit bouton nacré complètement décapuchonné, des petites lèvres minuscules, bien roses, elle aussi entr’ouvertes sur l’entrée de son sexe brillant de son jus intime.Je n’ai pas pu résister, ma bouche s’est penchée vers son ventre, y déposant quelques baisers et descendant vers l’objet de mas désirs. Le nez dans sa toison, ma langue se pose délicatement sur son clitoris. je la sens que se cambre déjà , quelques coups de langue et elle ondule sous mes caresses, sa respiration se fait plus forte, elle échappe quelques petits cris aigus.Ma langue se durcit et descend vers ses petites lèvres, son goût est plus musqué, ma langue la pénètre comme une petite bite, elle gémit plus fort, elle me presse la tête contre son sexe, ondule d’une voix rauque« Arrête, arrête j’en peux plus mais je ne veux pas jouir maintenant, on n’a plus le temps, il faut y aller »J’avais perdu de vue que j’avais à travailler et que nous nous étions attendus.Complètement frustrés et dans un état d’excitation extrême nous remettons de l’ordre dans nos tenues pour paraître acceptables, mais notre excitation n’allait-elle pas nous trahir devant les autres.Pendant le trajet, Marie se refit une beauté, un petit coup de maquillage, de parfum et la voilà pimpante mis à part les pommettes plus rose que la normale ; quant à moi j’avais l’impression d’avoir les joues en feu.Nous n’avons pas échangé un mot pendant le trajet, notre état d’excitation était tel qu’il ne fallait rien dire, rien faire et surtout pas se toucher ne serait ce que le bout des doigts.Arrivés sur le parking j’essayais d’arranger ma tenue. Marie s’est vite rendu compte que je bandais encore et avec un regard contrit me dit : « moi aussi j’ai envie, j’ai le ventre en feu, le frottement de mon pantalon sur mes lèvres me rend folle », ce qui eut pour effet de me faire durcir encore plus.Quelques mots d’excuses, des problèmes à résoudre avec ma secrétaire et la formation à repris son cours ; mes les autres stagiaires étaient elles dupes ?Surtout Elodie, assise à côté de Marie, qui affichait un sourire entendu, elle qui était déjà intervenue à table et qui avait certainement surpris une partie de notre manège. Quelques mots échangés à voix basse entre elles et la session démarre.Les minutes passent, la situation se détend, surtout pour moi, je suis maintenant plus à l’aise dans mon pantalon, j’ai repris une allure décente. Mais c’était sans compter sur Marie. En début d’après midi elle se fit discrète dans ses regards, ses attitudes mais il émanait d’elle beaucoup de chaleur, de sensualité.Tout s’est re déclenché au cours d’un exercice que j’avais donné. Dans mes déplacements dans la salle, je passais derrière chaque stagiaire pour vérifier si tout allait bien ; arrivant derrière Marie je vérifiais comme pour les autres et c’est là que je lisais, écris assez gros : « Je n’en peux plus, j’ai trop envie , je vais me caresser ».Une bouffée de chaleur me monte au visage et je me remets bander de plus belle ; heureusement que j’étais derrière ces dames et demoiselles et que discrètement j’ai pu redresser la situation si j’ose dire et dissimuler je pense, cette modification anatomique soudaine. Revenu m’asseoir à mon bureau, Marie se lève, me regarde avec léger un sourire et se dirige vers la porte, au moment de la refermer alors que tout le monde est plongé dans l’exercice, je la vois articuler à mon intention « J’y vais » elle se retourne en ondulant des fesses et referme la porte.Assis à mon bureau je l’imaginais dans les toilettes, faisant descendre pantalon et string, ouvrir ses cuisses, écarter ses lèvres, et se donner du plaisir, faisant rouler sous ses doigts son clitoris gonflé d’excitation, se pénétrant au plus profond d’elle-même, j’allais même à imaginer que ses doigts descendaient plus loin vers des plaisirs que beaucoup s’interdisent, se caressant son anneau plissé, l’assouplissant sous ses doigts pour se pénétrer d’un seul coup, déclenchant un orgasme dévastateur. Mon esprit s’échauffait, mon corps s’enflammait, j’avais du mal à penser à autre chose qu’à Marie qui se donnait du plaisir et qui me l’avait dit.Son retour me surprit dans mes pensées, dans mes fantasmes. Levant les yeux sur elle quand elle franchit la porte, je la vis apaisée, détendue mais avec quelques cernes sous ses yeux encore brillants d’excitation et surtout avec les joues enflammées. Toujours souriante, elle me jette un clin d’œil et articule muettement « çà y est » avant de s’asseoir à sa place.L’exercice terminé, chacune rend son document que je feuillette pour avoir les éléments afin d’engager le débat sur les thèmes abordés. Arrive le document de Marie, j’ai un léger sursaut et mon regard va bien sûr à Marie qui me fixe avec son sourire habituel. Nos regards se croisent et très gêné je lis ce que j’avais entraperçu :«Çà y est, je l’ai fais…. comme c’était terrible …. d’ailleurs vois le résultat…sent… goûtes…. » avec le document rendu elle avait joint un kleenex complètement trempé et luisant de sa jouissance.J’ai dû passer par toutes les couleurs, pour le plus grand plaisir de Marie, mais je n’ai pas pu résister longtemps à l’invitation qui m’était faite. Pendant le débat qui s’était engagé, je portais de temps en temps le kleenex à mon nez, à mes lèvres, retrouvant son goût et son odeur envoûtante de tout à l’heure dans la voiture. Nos échangions de brefs regards chargés de tout notre désir.Je ne vous dis pas l’état dans lequel je me trouvais… heureusement que j’étais assis. Mon sexe battait sur mon ventre, je sentais chaque pulsation, j’avais l’impression que j’allais éclater, mes testicules étaient durs comme du bois, avec une douleur quasiment insupportable, mais que faire sinon tenter de me calmer en pensant à tout sauf à Marie, et surtout de poursuivre mon travail.Quelques dizaines de minutes plus tard, après un semblant d’apaisement, ayant repris quelque décence, je distribue un autre exercice. Toujours quelques regards, légers sourires entretenant notre connivence. Marie me remet ses réponses avec les autres stagiaires, mais j’ai encore eu droit à ses commentaires personnels, qui n’avaient rien à voir avec le sujet.« Je vois que toi aussi tu n’en peux plus, je sais que tu bandes et c’est pour cela que tu restes derrière le bureau. J’ai envie de te goûter comme tu l’as fais. Va te branler dans un kleenex comme je l’ai fait et donnes-le moi à la pause. Je suis toute excitée à penser que tu vas jouir pour moi et que je vais goûter ton jus. J’ai encore envie, mais cette fois c’est toi qui te donneras du plaisir et qui me fera participer »Levant les yeux vers Marie, je vis son regard interrogateur et brillant d’excitation. Ses yeux, ses lèvres, tout son visage me demandaient si j’allais lui donner ce plaisir. Mon apaisement fut de courte durée et me revoilà avec une érection douloureuse que je tentais de dissimuler tant bien que mal.Quelques commentaires hasardeux et bafouillants, pour le plus grand plaisir de Marie et me voilà sauvé par la montre. C’était le moment de faire la pause.Est-ce que j’allais donner satisfaction à Marie ? Est-ce que je pourrais encore dissimuler longtemps ce trouble qui perturbe le déroulement de la séance ?Les stagiaires quittent la salle, mais il y a bien entendu une retardataire, Marie qui, faisant semblant de chercher dans ses affaires, continuait son petit manège. Un coup d’œil vers la porte, personne… « Alors… » me dit elle dans un souffle, les lèvres légèrement ouvertes, le buste redressé faisant ressortir ses seins, laissant plus voir que deviner leur pointe à travers le tissu ; et là , j’ai la révélation « Mais… tu es nue sous ton tee-shirt… »« Oui , regardes… j’ai retiré mon soutien-gorges pour mieux me caresser» ayant passé sa veste sur ses épaules elle soulève lentement son tee-shirt et je découvre deux magnifiques petits seins ronds, bronzés, se tenant bien tout seuls, gonflés de désirs, leurs pointes tendues, réclamants une bouche avide. Cette vision de quelques secondes, on pouvait nous surprendre, a encore avivé mon excitation.« Alors » me dit-elle encore, en frôlant du bout des ses doigts la bosse qui déformait mon pantalon « Tu ne pourras par tenir jusqu’à ce soir, moi j’ai toujours envie, mais je suis plus détendue, va te soulager en pensant à moi comme j’ai pensé à toi quand je me suis caressée, tien voilà des kleenex, rapportes-les moi..» et elle m’en tendit un paquet.Sans un mot, je les pris et je sortis de la salle pour aller aux toilettes.C’est vrai, je n’en pouvais plus, elle m’avait achevé quand j’avais découvert ses seins nus sous le tee-shirt, mon sexe me faisait mal tellement il était dur, j’avais le bas ventre en feu, je supportais à peine le frottement de mes vêtements sur mes testicules.Je m’enfermais dans les toilettes, dégageait mon sexe de mon pantalon et commençait un lent mouvement de va-et-vient, très vite le plaisir montait. En très peu de temps j’étais au bord de la jouissance, le fait de préparer les kleenex et le plaisir me surpris, me coupant le souffle, je me vidais dans ces mouchoirs en de longs jets libérateurs. Quelques minutes pour reprendre mes esprits et remettre de l’ordre dans mes vêtements et je sortis des toilettes détendu mais frustré, le plaisir que j’avais pris était plus le soulagement d’une douleur physique, qu’une réelle jouissance.Comme dans beaucoup de Sociétés les toilettes hommes et femmes sont proches les unes des autres, Marie m’attendait non loin de là , toujours avec son léger sourire ravageur ses yeux brillants et ses pommettes un peu plus roses que tout à l’heure.« C’était bon » me dit-elle ?« A peine, mais je suis mieux »« Et mon cadeau… »Je lui tendis les kleenex, qu’elle ouvrit immédiatement pour contempler le fruit de ma jouissance« Ouuh il y a le paquet… » et elle les porta à ses lèvres. Je la vis lécher presque avidement le sperme sur les kleenex,« Humm .. j’adore » dit-elle.Mon excitation reprenait le dessus, je lui envoyais un baiser du bout des doigts et la laissais à sa dégustation.Il fallait retourner en salle.Chacun reprend sa place et je peux continuer le déroulement prévu. Mais c’était sans présager de l’attitude de Marie ; après quelques dizaines de minutes, cette petite cochonne, sans me quitter des yeux, commence à déplier lentement les kleenex et à les porter à ses lèvres. Lentement elle se barbouille la bouche avec le sperme contenu dans ces mouchoirs, me montrant de temps en temps ses lèvres luisantes et barbouillées de traces blanchâtres qu’elle s’empressait de faire disparaître d’un coup de langue agile.Sa mine réjouie, ses prunelles brillantes en disaient long sur le plaisir qu’elle en retirait. Je me sentais assez mal à l’aise de la voir agir ainsi, craignant de nous faire repérer par ses regards insistants, mais mon apaisement ne fut que de courte durée, mon excitation grandissait à chaque oeillade qu’elle me décrochait.Et puis mon attention fut captée par le manège d’Élodie qui depuis quelques minutes ?…. secondes ?….regardait dans tous les sens, posait un œil interrogateur à l’entour, cherchait quelque chose ! Mais quoi ? Elle paraissait intriguée par quelque chose dans son environnement, cela la troublait, mais visiblement elle n’arrivait pas à définir quoi ?Puis l’objet de ses inquisitions s’est précisé, elle se penche discrètement vers Marie, qui tenait toujours le kleenex près de ses lèvres et là j’ai tout de suite compris ce qu’elle cherchait et qu ’elle venait de découvrir. Marie, dans son excitation, à manqué de discrétion, elle n’a pas songé un instant que tout le sperme contenu dans les kleenex dégageait une odeur caractéristique qu’Elodie n’a pas reconnue tout de suite.Mais immédiatement son regard mi-goguenard mi-envieux s’est posé sur moi et un demi-sourire a pointé sur ses lèvres. Je ne savais plus quelle attitude adopter, mon excitation de tout à l’heure était radicalement tombée, je me voyais au centre d’un scandale….Elodie s’est voulu tout de suite rassurante, elle s’est penchée plus encore vers Marie, à tendu naturellement la main vers les kleenex que Marie lui a cédés gentiment et en me regardant droit dans les yeux, Elodie a porté les kleenex à ses lèvres. Elles étaient complices j’étais victime d’un complot mais combien agréable.Pour pouvoir continuer mon travail, je décidais de me tenir hors du champ de vision de mes deux coquines qui discutaient maintenant à voix basse. Marie devait tout raconter à Elodie. La journée allait s’achever mais la soirée risquait d’être chaude.