Résumé de l’épisode précédent : Cherchant à investir dans l’immobilier locatif de luxe, Thomas rencontre Rodolphe Keller, dirigeant d’une agence immobilière. Celui-ci lui présente Xavier et Sonia Parissé qui vont faire passer à Thomas une soirée mémorable dans le loft que Rodolphe leur a vendu…Je dois avouer que le souvenir de la soirée vécue chez M. et Mme Parissé me hanta pendant plusieurs jours, et que même les quelques séances de masturbation avec la vision de Sonia Parissé à quatre pattes en fourrure sur sa table basse avaient du mal à calmer mon excitation.C’est au cours de la semaine suivante que je me décidai à recontacter Rodolphe Keller, le dirigeant de RDK Immobilier, afin de parler de mon projet d’investissement dans des locations touristiques avec des prestations de haut niveau :— Rodolphe Keller, RDK Immobilier, bonjour.— Bonjour, Monsieur Keller, c’est Thomas D’Accourt. Nous nous sommes rencontrés lors d’une soirée au Mytho Bar la semaine dernière. Vous étiez avec de charmants clients, M. et Mme Parissé.— Oui, bien sûr, Thomas, comment allez-vous ? Avez-vous passé une agréable fin de soirée chez M. et Mme Parissé ? Leur loft vous a plu ?— Une soirée divine dans un appartement magnifique, dis-je sans donner plus de détails.— Tant mieux. Ce couple est tout à fait exquis. Que puis-je pour vous ?— Nous avions discuté d’investissements dans du locatif touristique haut de gamme et vous m’aviez invité à reprendre contact avec vous…— Et vous faites bien, me coupa-t-il d’un ton enthousiaste. Je pense que notre agence est la mieux placée pour vous conseiller et vous aider dans votre recherche. Il faudrait qu’on se rencontre afin d’échanger sérieusement sur votre projet. Quand seriez-vous disponible ?— Je suis disponible cette semaine, après je pars en déplacement professionnel à l’étranger jusqu’aux fêtes de fin d’année.— C’est embêtant car je suis moi-même absent de l’agence toute la semaine. Mais si vous le souhaitez, je peux voir avec un des conseillers disponibles pour qu’il vous reçoive rapidement dans nos murs et je reprendrai le dossier personnellement dès mon retour. Vous verrez, nous avons installé l’agence au rez-de-chaussée d’un bel hôtel particulier.— Eh bien, c’est sûrement la meilleure solution effectivement. Faisons comme ça.Comme convenu avec mon interlocuteur quelques minutes auparavant par téléphone, je reçus un texto me confirmant un rendez-vous dès le lendemain à 14 h dans les locaux de RDK Immobilier accompagné de l’adresse. Il s’agissait, en effet, du quartier le plus chic de la ville.Je profitai de la soirée pour mettre à jour le dossier qui m’accompagnerait au fameux rendez-vous et fit quelques recherches sur internet afin de mieux connaître la société de M. Keller. En l’occurrence, j’appris que c’était son épouse, Diane, qui dirigeait l’agence et que Rodolphe était le numéro deux.C’est vêtu de ma traditionnelle tenue jean, chemise et veste de costume que je me dirigeai vers l’adresse indiquée par texto par Rodolphe la veille. Je sonnai à l’interphone, une voix féminine m’invita à entrer et un bip m’indiqua le déverrouillage du joli portillon en fer forgé. Je m’avançais dans la cour gravillonnée quand la même voix féminine que celle de l’interphone m’interpella avant même que je puisse voir d’où elle provenait.— Bonjour, Monsieur D’Accourt, soyez le bienvenu chez Rodolphe et Diane Keller Immobilier.Une jolie jeune femme m’accueillit sur la terrasse ensoleillée de la propriété. Derrière elle, se dressait fièrement la façade lumineuse du très bel hôtel particulier dont M. Keller m’avait parlé au téléphone.— Claire, la nièce de M. et Mme Keller. Je travaille dans l’agence depuis cinq ans. En son absence, Rodolphe m’a demandé de vous recevoir de la meilleure des façons afin de prendre connaissance de votre projet.— Très bien, Claire. Appelons-nous par nos prénoms si vous le voulez bien. Ça sera plus simple, proposai-je en souriant à la jolie rousse.— Souhaitez-vous que l’on s’installe sur la terrasse afin de profiter du soleil malgré la fraîcheur, ou préférez-vous la chaleur de l’intérieur ?— Si vous n’avez pas peur d’avoir froid, la terrasse me semble un endroit agréable pour travailler…— Très bon choix. Installez-vous autour de la table. Je vais chercher mon ordinateur et des cafés. Je reviens dans une seconde, dit-elle en s’éclipsant.L’esprit sûrement accaparé par le sujet pour lequel j’étais venu, je n’avais pas fait attention à la tenue vestimentaire de Melle Keller. C’est le bruit de ses talons sur le pavage de la terrasse qui me fit lever les yeux du dossier que j’étais déjà en train de déballer sur la table. Claire était une jolie rousse relativement grande dont le soleil faisait flamboyer la crinière. Ses cheveux tirés en arrière et rassemblés en une queue de cheval haute lui donnaient un air strict qui contrastait avec son large sourire qu’un rouge à lèvres carmin rehaussait. De larges lunettes mettant en valeur un regard vert émeraude offraient à ce visage sérieux une facette mutine.Le claquement de talons provenait d’une paire de bottines rouge en daim. Une jupe crayon, en cuir noir, descendant légèrement sous ses genoux, soulignait parfaitement la courbe de ses hanches et mettait en valeur un joli postérieur. Un pull à col roulé sans manches, du même rouge que ses chaussures, terminait son look de working-girl sexy class sous lequel on imaginait une généreuse poitrine.Un court instant passa avant que ma nouvelle conseillère en immobilier réapparaisse, un plateau avec les cafés et quelques douceurs dans les mains et la sacoche de son ordinateur en bandoulière. Quelle vision ! Pour être certaine que le PC ne tombe pas, Claire avait passé la lanière de la sacoche en travers de son buste et celle-ci passait juste entre ses seins, tirant sur la laine de son pull. Elle devait avoir au minimum un bonnet D, peut-être même E…Par galanterie, je me levai pour venir l’aider à poser le plateau. À quelques centimètres d’elle, je devinai les effluves de son parfum qui m’enivra. Elle posa son ordinateur puis s’échappa de nouveau en me disant qu’elle allait mettre une veste pour ne pas avoir froid. Elle revint rapidement, le haut de son corps recouvert d’un superbe blouson en vison Blackglama dont la couleur brune tranchait avec le teint clair de son visage. Elle me tendit également un grand plaid en renard très épais en me disant que ça me permettrait de me réchauffer si la fraîcheur de cette belle journée de décembre venait m’importuner.Nous travaillâmes deux bonnes heures, chacun emmitouflé dans sa fourrure. J’avais l’impression que Claire comprenait vraiment mon projet. Elle était très professionnelle.Vers 16 h, le beau soleil de décembre commençait à décliner fortement alors que nous terminions notre réunion. La jolie rousse me proposa d’entrer dans l’agence afin de me montrer au chaud les biens qu’elle pensait adaptés à ma recherche.RDK n’était décidément pas une agence comme les autres. Pas d’accueil, de bureaux ou de petits box. Non, au lieu de ça, une grande table de salle à manger, un grand canapé, un immense écran plat. Une maison rien de plus classique en somme, sauf que tout était bien rangé et d’une propreté impeccable. Un intérieur très cosy, très familial où l’on imagine une grande tablée fêtant Noël ou des anniversaires avec la cheminée qui crépite dans le fond.Claire m’expliqua que RDK était une agence familiale et que les employés étaient tous de la famille. Claire avait rejoint Diane et Rodolphe dans l’entreprise il y a cinq ans, suivie des jumelles des patrons deux ans plus tard. Et son petit frère doit également intégrer RDK dès ses études terminées en fin d’année scolaire.Elle m’invita à m’installer sur le canapé face au grand écran plat. Avant de me présenter quelques biens, elle souhaitait savoir comment j’avais connu l’agence. Je lui expliquai que j’avais fait la connaissance de son oncle dans une soirée et qu’il m’avait présenté un couple de clients, il était venu boire avec eux un verre pour fêter leur emménagement dans l’appartement qu’il leur avait vendu.— D’ailleurs, ce couple n’a fait que des éloges sur votre agence et ils ont fini de me convaincre de reprendre contact avec Rodolphe pour que l’on travaille ensemble lorsqu’ils m’ont fait visiter leur loft.— Ah d’accord. Mon oncle ne m’avait rien dit. Si ce n’est pas indiscret, qui sont les personnes qui vous ont fait visiter ce loft ?— Il s’agit de M. et Mme Parissé, un couple très agréable.— Effectivement, le loft de Sonia et Xavier est vraiment splendide. Je les connais très très bien, surtout Sonia, me dit-elle en souriant dans un petit rire.— Ah bon, c’est vous qui vous êtes occupé de leur dossier, dis-je naïvement.— Non pas du tout. Sonia et moi n’avons que quelques années d’écart. Elle était une toute jeune professeure d’économie lorsque j’étais au lycée. Nous avons rapidement sympathisé en nous découvrant de nombreux points communs et sommes devenues des amies… très… très proches…Je sentis mes joues rougir et une sueur froide traverser mon corps. J’aurais voulu me faire tout petit et m’enfuir, pensant que Claire me menait en bateau et était au courant de la soirée que j’avais partagée avec le couple Parissé. Mais finalement, rien dans la suite de la conversation ne confirma ma peur. Je repris mes esprits sans que la belle conseillère se rende compte de mon émoi soudain.Comme prévu, tous les deux installés sur le canapé, Claire fit défiler sur l’écran des biens susceptibles de m’intéresser. Des villas et des appartements tous plus beaux les uns que les autres. Son téléphone sonna. Elle me tendit la télécommande et me dit de continuer à regarder pendant qu’elle était au téléphone. Par discrétion, elle monta à l’étage par l’imposant escalier qui arrivait directement dans le salon.Je faisais défiler les annonces quand soudain une vidéo se lança. Je reconnus aussitôt le loft de Xavier et Sonia Parissé. La caméra était figée sur le rideau de l’ascenseur. Après quelques secondes, le rideau s’ouvrit, laissant apparaître mon couple fantasmagorique rencontré quelques jours plus tôt, dans la même tenue et accompagné d’un homme qui n’était autre que moi…Mon cœur battait la chamade, je me mis à transpirer. Cette vidéo était le film de la soirée inoubliable que j’avais passé avec Sonia et Xavier. Je tentais d’actionner la télécommande pour stopper la vidéo ou l’écran mais rien n’y faisait. J’avais été filmé à mon insu, trompé. Et que faisait ce film sur cet écran ? C’était quasiment une production professionnelle, réalisée avec plusieurs caméras disposées avec des angles de vue différents. La partie soft de la soirée avait été coupée et Sonia apparaissait déjà en fourrure à quatre pattes sur la table basse, suçant goulûment Xavier dans une pipe baveuse pendant que je me branlais en les regardant. Je me battais désespérément avec la télécommande pour enlever cette vidéo de l’écran quand j’entendis les talons de Claire dans le majestueux escalier. C’était trop tard, elle ne pouvait plus ignorer ce qui s’était passé chez son amie.Je me retournai en l’entendant descendre, et quelle ne fut pas ma surprise quand je la découvris emmitouflée dans le même manteau de renard que celui de Sonia ! Je restai la fixer, incapable de dire quoi que ce soit. C’est Claire qui rompit le silence :— Je me suis déjà caressée de nombreuses fois en regardant cette superbe vidéo que Sonia m’a envoyée dès le lendemain de votre rencontre.En disant cela, elle ouvrit son manteau et je me rendis compte qu’elle portait également la même lingerie que son amie. Le même porte-jarretelles rouge retenant les mêmes bas-couture. Le même redresse-sein et demi-balconnet rouge mettaient ses énormes seins en valeur. Même sa toison de vraie rousse était taillée en une fine langue qui surplombait sa vulve comme sa copine Sonia. Seule la paire de bottes à talon, qu’elle avait choisi fort judicieusement de porter, différenciait leurs tenues.— Sonia m’a raconté que sa tenue t’avait beaucoup excité lors de votre petite soirée, alors je lui ai demandé de me prêter son manteau et j’ai acheté la même lingerie car tu as dû remarquer que mes seins sont beaucoup plus gros que les siens.Claire était passée au tutoiement. Sûrement un effet de la situation qu’elle nous imposait.— Tu aimes mes gros seins ? me demanda-t-elle en les prenant à pleines mains et en triturant ses tétons.Cette vision m’excitait. Je ne saurais dire si c’est la présence de Claire dans cette tenue ou la vidéo sur l’écran qui me faisait le plus bander.— Je suis sure que tu aurais aimé baiser ma copine black l’autre soir, n’est-ce pas ?— C’est certain, mais je connaissais la règle…— Si tu te rattrapais avec moi maintenant… Ça te plairait de me baiser en regardant Xavier défoncer sa petite salope de femme pendant que tu te branles ?Je me levai et la rejoignis au milieu du grand escalier. Arrivé devant elle, je plaquai ma main sur sa chatte trempée et la pénétra avec deux doigts, sans la prévenir et en la regardant droit dans les yeux. Mon aplomb et ma prise d’initiative la surprirent. Elle pensait rester maîtresse de la situation mais elle était en train de perdre la main.— Je te baiserai si tu penses que tu peux être aussi chienne que ta copine Sonia.Je l’attrapai par la queue de cheval pour la forcer à m’embrasser, et je remis mes doigts profondément dans sa chatte. À la fin du baiser, elle m’attrapa le poignet pour sortir mes doigts de son con. Ils dégoulinaient de sa mouille. Elle porta mes doigts à sa bouche et les suça vulgairement puis me cracha au visage en me fixant :— Je serai encore plus chienne qu’elle… Maintenant, bouffe-moi la chatte !Toujours debout dans l’escalier, Claire écarta les jambes et m’obligea à m’agenouiller sur la marche devant elle. Elle mit sa main derrière ma tête et appuya légèrement pour approcher mon visage de son puits d’amour. Je ne me fis pas prier. L’odeur de sa mouille me donnait envie de la dévorer.— Tu aimes l’odeur de ma chatte ? me demanda-t-elle, sa main dans mes cheveux. Je l’ai parfumée pour toi…— Votre odeur me donne envie de vous faire jouir avec ma bouche, lui répondis-je.Ses doigts jouèrent quelques secondes avec son clitoris déjà tout excité afin de bien me faire comprendre ce qu’elle désirait. Je mettais tout mon cœur dans ce cunnilingus. Ces gémissements m’indiquaient que son plaisir commençait à monter. Ses mains pétrissaient ses gros seins à travers la fourrure. Après quelques minutes de ce traitement, ses doigts rejoignirent ma langue. Elle se branlait littéralement dans ma bouche. Sa mouille coulait le long de ses cuisses. Le spectacle de sa jouissance qui venait d’éclater dans un cri aigu me ravissait. Ma queue était douloureuse dans sa prison de jean. Claire reprit doucement ses esprits, assise dans les escaliers.— Moi aussi, j’ai envie de te voir dans le manteau de castor que tu portes dans la vidéo. Déshabille-toi et va le mettre, il est dans la penderie de l’entrée…Quelques instants me suffirent à me débarrasser de mes vêtements et à enfiler le manteau de fourrure. Aussitôt, la sensation de douceur m’électrisa. Je fermai le manteau. Lorsque j’arrivai dans le salon, Claire imitait la scène de humping de Sonia qu’elle voyait à l’écran. Claire, en lingerie ultra sexy à califourchon sur le manteau de fourrure, me regarda et me fit signe de la rejoindre. Je me mis debout juste devant elle. Elle se caressa le visage dans ma douce fourrure de castor et passa ses mains dessous. À l’aveugle, elle jouait avec mes boules et ma queue. Elle s’amusait à taper ma queue sur ses joues à travers le tissu en me regardant au-dessus de ses lunettes.— J’ai envie de sucer ta grosse queue, me dit-elle d’une voix suave.Le geste accompagna la parole, et de ses mains, toujours sous mon manteau, elle fit sortir mon sexe dardé entre deux crochets. Elle saliva sur mon gland puis l’emboucha dans un petit bruit de contentement. Sa bouche était chaude et baveuse. Cette sensation me rendait dingue et augmenta encore lorsqu’elle me caressa les couilles à travers la fourrure. Tout à sa fellation la belle rousse n’en oubliait pas pour autant son propre plaisir et continuait de se branler sur son manteau.— Baise bien ma bouche, je veux tout ton foutre, m’ordonna-t-elle alors que je sentais sa respiration accélérer et son plaisir monter.Je la pris par la queue de cheval et augmentai la pression de ma bite dans sa bouche. Elle salivait beaucoup pour mon plus grand plaisir. La bave coulait aux commissures de ses lèvres et tombait sur ses énormes seins laiteux que le redresse-sein soutenait. Comme j’aime à le dire, cette femme a le côté vulgaire qu’on aime chez la femme des autres. Ma main libre étalait sa bave sur nichons et je vins pincer ses tétons entre mon pouce et mon index. Un gémissement étouffé par la présence de mon sexe dans sa bouche m’informa de sa jouissance imminente. Une main rejoignit la fourrure entre ses cuisses alors que l’autre attrapa violemment des seins pour les pétrir durement. Alors que Claire jouissait une seconde fois en voulant retirer ma queue de sa bouche afin d’hurler son plaisir, je la contraignais à la garder et j’éjaculais violemment de longs jets de sperme dans sa gorge. Lorsqu’elle fut à la limite de l’asphyxie, je la libérai et elle fit couler tout mon jus sur ses seins. Alors que je la pensais KO de plaisir, elle m’attrapa par le col de mon manteau et m’attira à elle pour me rouler une grosse pelle.— Maintenant que tu as souillé la bouche de Claire, la chiennasse, tu vas goûter ton sperme en m’embrassant.J’obtempérais sans rechigner. Le baiser se fit de plus en plus sensuel et accompagné de douces caresses. Cet instant contrastait avec la bestialité des deux dernières heures. Nous nous assoupîmes même quelques minutes dans les épaisses fourrures qui jonchaient le canapé.Dix-neuf heures approchaient et ma jolie rousse me prévint sans sentiment que la partie devait s’arrêter là pour aujourd’hui, car sa tante, Diane, n’allait pas tarder à rentrer. Elle m’invita tout de même à prendre une douche avec elle. Quelques caresses savonneuses et baisers langoureux clôturèrent cette studieuse après-midi de travail.Rhabillés comme si de rien n’était, et le lieu de débauche rangé et nettoyé, Claire me raccompagna jusqu’au portillon. Dans l’obscurité de la cour gravillonnée, nous croisâmes Mme Keller qui arrivait d’un rendez-vous en extérieur. Sa nièce me présenta comme un nouveau client. Et alors que je prenais poliment congé, Claire me retint par la manche de ma veste et me chuchota à l’oreille :— Il faudra reprendre rendez-vous car nous avons encore du travail. Ta conseillère en immobilier a très envie de se faire défoncer comme une grosse chienne par son jeune client…Dans l’ombre, près du portillon et alors que sa tante était à quelques mètres de nous, elle prit ma main, la glissa sous sa jupe et me dit :— À bientôt M. D’Accourt !Sa chatte était de nouveau trempée…