RĂ©sumĂ© de l’Ă©pisode prĂ©cĂ©dent :Ma nièce Magalie âgĂ©e de vingt-trois ans me demande d’être le premier lecteur de son livre dans lequel elle relate ses Ă©bats sexuels.Ă€ cause des lectures, des photos et des vidĂ©os de Magalie que je gardais en tĂŞte, j’eus du mal Ă m’endormir, car je savais que j’allais la voir demain midi. Sophie, ma femme voyait bien que j’étais Ă cĂ´tĂ© de mes pompes :— Qu’est-ce qui t’arrive Bertrand ? Tu es avec nous ou pas ? C’est la fin du confinement qui te fait peur ?— Non, je ne suis plus habituĂ© Ă quitter la maison. Ça me fait bizarre.— Quand on sera en famille, ça ira mieux !— SĂ»rement, bonne nuit.— Bonne nuit mon chĂ©ri.Ă€ mon rĂ©veil, je ressens le besoin de faire l’amour Ă Sophie. Pas seulement parce que j’en ai envie, mais aussi pour me donner bonne conscience, car je culpabilise d’avoir des pensĂ©es lubriques concernant Magalie. Sophie dort encore , je relève le bas de sa nuisette et colle mon bas-ventre contre ses fesses. Je glisse mes mains sous la nuisette pour lui caresser les seins. Ils sont nettement plus gros que ceux de Magalie qui a l’avantage de la jeunesse. Sophie a 47 ans et fait du 100C, elle commence Ă s’arrondir. Ce n’est plus la jeune femme que j’ai connue lors de notre rencontre il y a bientĂ´t 20 ans. Je me souviens encore quand nous passions nos week-ends nus dans mon appartement. J’ai encore en tĂŞte son corps lorsqu’elle se dĂ©plaçait de pièce en pièce et je la matais avant de lui faire l’amour. J’adorais ses fesses rebondies, ses seins dĂ©fiant la gravitĂ© et sa taille fine. Moi aussi j’étais en meilleure forme et je l’honorais aussi souvent que possible, plusieurs fois par jour, dans toutes les pièces de notre logement.Aujourd’hui ce n’est plus le cas, car nous n’avons plus la mĂŞme vitalitĂ©. Mais ce matin, je suis en forme. Mon sexe est tendu et glisse contre ses fesses. Sophie dort-elle encore ? J’aurais aimĂ© ĂŞtre rĂ©veillĂ© en me faisant sucer, c’est pourquoi je dĂ©cide de lui faire subir le mĂŞme supplice en descendant le long de son dos. Ma langue se promène maintenant Ă la naissance de ses fesses et descend vers son anus qu’elle m’a toujours refusĂ©. Elle aime se faire lĂ©cher son petit orifice, mais refuse la sodomie. Je continue donc mon chemin vers sa vulve qui n’est pas encore mouillĂ©e. Je me dĂ©pĂŞche de pallier ce manque en ajoutant un maximum de salive que j’étale avec ma langue. PressĂ© par l’envie de la pĂ©nĂ©trer, je me redresse et place mon sexe dans l’axe. Doucement, je m’avance et rentre progressivement en elle. M’y voilĂ complètement, je commence lentement mes va-et-vient. Des gĂ©missements m’informent que Sophie est rĂ©veillĂ©e. J’accĂ©lère le rythme en m’agrippant Ă ses Ă©paules.— Bonjour, mon chĂ©ri, tu es en forme ce matin !— Oui, je fais de mon mieux.— T’arrĂŞte pas, t’arrĂŞte pas, continue.— Vos dĂ©sirs sont des ordres Madame !Je place Sophie Ă genoux et commence Ă la prendre en levrette. Le rythme s’accĂ©lère et mon pubis claque fortement sur ses fesses.— Tu aimes ? Tu veux que je continue ?— Oui, oui, vas-y, vas-yyyyy !Sophie est prĂŞte Ă jouir et essaye de m’attendre pour partager son plaisir avec le mien. J’accĂ©lère encore la cadence et mon sexe devient de plus en plus dur. Je suis prĂŞt Ă exploser. Nous sommes synchrones et jouissons ensemble. C’est toujours aussi bon d’éjaculer au plus profond de celle qu’on aime. Nous restons immobiles pour savourer la jouissance. Après l’avoir longuement embrassĂ©e dans le cou et caressĂ© ses seins, je m’affale Ă ses cĂ´tĂ©s sur le dos.— Bonjour, ma chĂ©rie, tu as bien dormi ?— On ne peut mĂŞme pas dormir tranquille.— Promis, je ne recommencerai plus !— Tais-toi, imbĂ©cile. Embrasse-moi au lieu de dire des bĂŞtises. Il fait dĂ©jĂ jour, il est quelle heure ?— 7 heures 20.— Ne tardons pas, aujourd’hui on va chez Carine et Patrick.Entendre le nom des parents de Magalie me fait penser subitement Ă elle. Sophie me tourne le dos et j’imagine que ce sont les fesses de Magalie qui sont nues face Ă moi. Cette Ă©ventualitĂ© me donne un coup de fouet et je recommence Ă bander. Il est vrai qu’à cinquante et un ans ce n’est pas frĂ©quent, mais l’imaginaire aide le physique. PressĂ©e de revoir sa famille Sophie vient de se lever pour prendre une douche. Avant qu’elle ne l’atteigne, je la rejoins dans la salle de bain et l’enserre alors qu’elle se regarde dans le miroir. Mon sexe sur le bas de son dos et sans Ă©quivoque.— Tu as encore envie ? Qu’est-ce qu’il t’arrive ?— Si tu n’aimes pas, j’arrĂŞte !— Je n’ai pas dit ça, mais…— Alors, tais-toi.Je pĂ©nètre Ă nouveau Sophie et je n’ai pas besoin de prĂ©liminaires ni de lubrifiant. Pour moi ce n’est pas ma femme que je prends debout dans la salle de bain. Je suis en train d’aller et venir dans ma nièce Magalie dont j’ai encore en tĂŞte ses photos avec GrĂ©goire. C’est moi qui vais la faire jouir. Cette mentalitĂ© de mâle alpha me dope et Sophie apprĂ©cie beaucoup. Elle qui habituellement est rĂ©servĂ©e, commence Ă donner de la voix. Les cris de Sophie, mĂ©langĂ©s aux images de Magalie dĂ©cuplent mes envies et mes ressentis.— Putain que c’est bon !— T’arrĂŞte pas, plus vite, plus viiiite. Viens, viens. Oh ouiiiiii !Deuxième orgasme pour Sophie et moi en moins d’une heure. Ça faisait longtemps que je n’avais plus rĂ©ussi cet exploit. Sophie, accrochĂ©e au lavabo pour ne pas perdre l’équilibre et reprendre son souffle, a l’air satisfaite de ma performance. J’en profite pour lui piquer la place Ă la douche. Sophie ne trouve mĂŞme pas la ressource pour râler. Elle s’assoit sur le bord de la baignoire et attend sagement son tour.Nous arrivons chez les parents de Magalie et je stationne la voiture dans l’allĂ©e qui mène Ă leur garage. Carine et Patrick ouvrent la porte d’entrĂ©e et nous accueillent avec de larges sourires. Impatient, mais avec une pointe d’apprĂ©hension, je cherche Magalie du regard. Elle n’est pas lĂ pour nous accueillir.— Magalie n’est pas lĂ Â ? demande Sophie.— Elle se prĂ©lasse dans la piscine, rĂ©pond Carine. Elle avait besoin de prendre l’air après avoir Ă©tĂ© enfermĂ©e dans son appartement d’étudiante.— Entrez donc, on va prendre l’apĂ©ritif dans la vĂ©randa, ajouta Patrick.C’est vrai que c’est apprĂ©ciable de se retrouver enfin en famille. Nous avons tous une anecdote Ă raconter concernant cette longue durĂ©e de confinement. De temps en temps, je tourne la tĂŞte pour essayer de voir Magalie. Ă€ cause du rebord de la piscine, je ne vois dĂ©passer qu’une touffe de cheveux. Voyant mon regard dirigĂ© vers la piscine Patrick me dit :— Magalie est une petite malpolie ! Elle aurait pu venir vous saluer ! Magalie ! Magalie ! Viens dire bonjour Ă Bertrand et Sophie !Aucune rĂ©ponse.— À moins que ça vous dise de piquer une tĂŞte dans la piscine avant de passer Ă table ?Sophie m’interroge du regard et j’acquiesce d’un signe de tĂŞte.— Ça sera avec plaisir, mais personne ne m’éclabousse ! dit Sophie.— Vous avez pris un maillot ? Demande Carine.— Oui, comme Ă chaque fois que nous venons chez vous ! C’est tellement agrĂ©able de pouvoir se baigner !Sophie et moi partons nous changer dans la salle de bain. Une fois nus, j’en profite pour me frotter le sexe sur les fesses de ma charmante Ă©pouse. Mes mains sont baladeuses et soupèsent ses seins.— Mais tu vas arrĂŞter ! On est chez mon frère et c’est hors de question qu’on fasse quoi que ce soit ici ! En plus je crois que tu en as eu suffisamment pour aujourd’hui !— On dit jamais deux sans trois !— ArrĂŞte tes bĂŞtises ! Mais tu bandes mon cochon ! C’est malin, comment vas-tu faire maintenant pour sortir et aller jusqu’à la piscine dans cet Ă©tat ?— J’ai bien une idĂ©e, mais ça risque de prendre un peu de temps. Tu vois ce que je veux dire ?— ArrĂŞte de te frotter contre moi, on dirait un chien en chaleur !— Dis-moi que tu n’aimes pas et j’arrĂŞte.— T’es chiant, je t’ai dit pas maintenant !Sophie se dĂ©pĂŞche d’enfiler son maillot, quitte la salle de bain et me laisse seul avec la bite en l’air. Il faut que je me calme rapidement si je veux rejoindre la piscine sans attirer l’attention. Malheureusement je pense Ă Magalie en tenue lĂ©gère dans la piscine et du coup mon Ă©rection ne faiblit pas. J’enfile mon short de bain qui ne dissimule pas du tout mon excitation. Après une rapide rĂ©flexion, je choisis de porter devant moi ma serviette et mes habits. Je sors de la salle de bain et me dirige vers le jardin. Dans la cuisine je croise Carine.— Bertrand, donne-moi tes habits, je vais les dĂ©poser dans notre chambre.— Merci c’est gentil, mais je peux le faire.— Va profiter de la piscine, je m’en occupe.Tout en discutant, nous nous dirigeons vers sa chambre pour y dĂ©poser mes vĂŞtements. Devant la porte de la chambre, Carine s’empare de mes vĂŞtements et de ma serviette.— Va profiter du soleil et rejoindre Sophie.Carine a un moment d’arrĂŞt en apercevant la toile tendue de mon short de bain. Un long silence s’installe.— Je comprends mieux pourquoi tu tardais Ă aller dans l’eau et pourquoi tu te baladais avec tes vĂŞtements.— DĂ©solĂ©. Instinctivement je place mes mains pour cacher mon Ă©rection.— Il ne faut pas c’est la nature. C’est Sophie qui t’a mise dans cet Ă©tat ?Que lui rĂ©pondre ? Que c’est sa fille qui m’excite, car elle me raconte ses relations amoureuses ?— Oui, c’est une mĂ©chante coquine.— Viens te calmer dans la chambre avant que quelqu’un ne te voie ainsi.Me voilĂ avec ma belle-sĹ“ur, dans sa chambre pour essayer de trouver un moyen pour que j’arrĂŞte de bander. La situation est complètement inattendue.— Ça commence Ă passer ? me demande Carine.— Non pas encore. DĂ©solĂ©.Carine Ă©carte mes mains pour constater qu’effectivement je suis toujours en pleine Ă©rection.— En tous cas, tu te portes bien Ă ce que je vois, dit Carine en pointant du doigt mon sexe.Elle s’approcha tellement, que son index entra en contact avec la bosse sur mon short.— Et en plus c’est la grande forme ! Elle est toute dure !— Carine, s’il te plaĂ®t, arrĂŞte !— Je ne devrais pas te le dire, mais ça fait un bon moment que je n’ai pas eu ça sous la main. Patrick est moins bien Ă©quipĂ© que toi.En mĂŞme temps qu’elle prononce ces mots, Carine passe sa main sur mon short pour essayer d’estimer la taille de mon sexe.— Bertrand, j’ai une solution pour calmer rapidement tes ardeurs et que tu puisses aller te baigner. Pour cela il faut que tu me laisse faire et que ça reste pour toujours entre nous. Tu es d’accord ?— Euh, qu’est-ce que tu proposes ?— Ne fais pas ton prude. Je te propose qu’on baise ! Patrick n’y pense que rarement et ce serait vraiment dommage pour moi de ne pas profiter d’une telle bite.Mon cerveau est en Ă©bullition pour traiter la proposition de Carine qui a plantĂ© son regard dans le mien. J’ai un peu de mal Ă tout assimiler. Ma nièce est une cochonne et maintenant sa mère me propose de la baiser. Je suis Ă l’arrĂŞt mentalement, mais toujours prĂŞt physiquement. Carine caresse mon sexe Ă travers le tissu et attend une rĂ©ponse. N’en ayant pas de rĂ©ponse, tout en soutenant mon regard, elle baisse mon short et s’empare de mon sexe. Elle me branle Ă©nergiquement et un sourire apparaĂ®t sur ses lèvres. Elle me libère juste le temps de verrouiller la porte de la chambre et revient vers moi, se met Ă genoux et commence Ă me sucer. Je ne suis pas du tout maĂ®tre de la situation. Je ne fais que subir, mais mon corps et plus particulièrement ma bite adorent.— DĂ©pĂŞchons-nous, dit Carine.Elle se relève, Ă´te rapidement ses habits et s’allonge sur son lit face Ă moi, les jambes Ă©cartĂ©es. Mon esprit ne peut s’empĂŞcher de faire le comparatif avec Sophie. Carine est lĂ©gèrement plus petite, ses seins sont moins gros, elle a gardĂ© un ventre plat et se rase complètement les poils pubiens. C’est une jolie femme et mon esprit est maintenant focalisĂ© sur l’envie de lui faire l’amour. J’ai juste un moment d’hĂ©sitation puis je place ma tĂŞte entre ses jambes. Je commence Ă lĂ©cher son sexe. Nouveau goĂ»t de cyprine, nouveau grain de peau sous mes doigts, nouvelle fermetĂ© mammaire, j’ai honte de profiter de ma belle-sĹ“ur. Mais qui profite de qui ? J’ai l’impression d’être exploitĂ© et bizarrement ça me plaĂ®t.Sophie me tire vers elle pour que je puisse la pĂ©nĂ©trer. Une fois face Ă elle, j’ai un petit mouvement d’hĂ©sitation, mais Carine m’empoigne le bassin pour me tirer en elle. Me voilĂ en mouvement dans ma belle-sĹ“ur. Je la vois se mordre les lèvres pour ne pas crier et j’entends ses gĂ©missements qu’elle essaye d’étouffer pour ne pas ĂŞtre entendue. Le contexte est tellement Ă©trange et inattendu que je ne tarde pas Ă Ă©jaculer. Carine jouit elle aussi et ne pouvant crier, elle reporte toute son Ă©nergie en me plantant ses ongles dans mon bassin. Contrairement Ă toute attente, ma douleur et ma jouissance se mĂ©langent agrĂ©ablement. Je suis sur une autre planète en train d’essayer de comprendre comment je suis arrivĂ© lĂ . Je viens de tromper pour la première fois Sophie et je culpabilise d’autant plus que c’est avec sa belle-sĹ“ur. Comment ai-je pu laisser cela arriver ? Soudainement, je me prends mon maillot de bain Ă la figure et Carine me dit :— Va te baigner, je crois que ça ne devrait plus poser de problème maintenant.Elle m’embrasse rapidement sur la bouche et commence Ă enfiler son maillot. Comme un automate, je mets mon maillot, je traverse la maison jusqu’au jardin et arrive près de la piscine. Je suis accueilli par Sophie qui se moque de moi :— Ah quand mĂŞme, tu en as mis du temps. Tu as eu un souci mon chĂ©ri ? dit Sophie.J’ai du mal Ă sortir ces quelques mots :— Non, non, tout va bien.— Bonjour tonton !— Bonjour Magalie. Comment vas-tu ?— Très bien merci. Toi par contre, j’ai l’impression que tu as un peu forcĂ© sur l’apĂ©ritif ! Viens te baigner avec nous ça te fera du bien.Patrick est en pleine conversation avec sa sĹ“ur. Ils Ă©changent les nouvelles qu’ils ont des membres de la famille. Magalie s’approche de moi pour discuter de tout et de rien. Elle Ă©vite le sujet de son livre et de ses photos et vidĂ©os.Progressivement, je commence Ă retrouver mon calme et ĂŞtre serein. Carine vient nous rejoindre maintenant dans la piscine. Elle se jette dans les bras de son mari et l’embrasse dans le cou. Patrick paraĂ®t Ă©tonnĂ© d’une telle dĂ©monstration d’amour.— On passe Ă table dans une demi-heure ! N’oubliez pas de vous sĂ©cher pour passer Ă table, je ne veux pas d’eau dans la maison. Carine ajoute « Celui qui mouille ma maison sera privĂ© de dessert ! »Tout le monde rigole. Sophie dĂ©cide de sortir la première et de prendre une douche.Le reste de la journĂ©e fut nettement moins mouvementĂ©. Il n’y eut plus aucune allusion sexuelle. Nous Ă©tions comme dans une rĂ©union de famille normale, mais qui subitement avait basculĂ© dans une dĂ©rive de dĂ©bauche inattendue. Comment faire pour que cet Ă©vĂ©nement ne vienne pas briser une vie familiale joyeuse et sereine ? La journĂ©e touche Ă sa fin et il est temps de rentrer chez nous. Après de grandes embrassades, nous reprenons la route pour notre domicile. Je suis silencieux tout le temps du trajet et je songe Ă cette journĂ©e mouvementĂ©e. J’aime sincèrement Sophie et je suis honteux d’avoir couchĂ© avec Carine. Je pense aussi Ă Magalie avec qui je n’ai pu m’isoler pour discuter de son livre. Une fois arrivĂ©e devant chez nous, ma rĂ©flexion m’a poussĂ© Ă dĂ©cider de ne rien dire Ă Sophie. Je garderai tout pour moi, je suis persuadĂ© que ce n’était qu’un pas de travers et que maintenant le trajet sera sans embĂ»che.Nous avons convenu de recevoir Patrick, Carine et Magalie dans quinze jours pour passer une journĂ©e en famille.La suite dans un prochain rĂ©cit.