Ma porte claqua, faisant table rase de mon passé solitaire. Celle de l’appartement de Jasmine était grande ouverte. Mon sexe aussi. Mike me passa les menottes et me poussa sans égards devant lui.— Tu as vraiment un beau cul. J’espère que Jasmine va t’en faire baver à mort.Quand Frank jeta mon peignoir sur mes épaules, une savoureuse montée d’adrénaline me fit entrer de plein pied dans ce rôle d’esclave sexuelle qui hantait mes rêves depuis mon adolescence.— Entre, voisine! Par ici! Pousse la porte au bout du salon et installe-toi confortablement! J’’arrive.Ils m’installèrent au centre d’une pièce capitonnée, comme le serait une cellule de centre psychiatrique pour dément dangereux. Tout semblait déjà convenu entre eux. Frank attacha mes menottes à un anneau scellé au plafond, de sorte que seule la pointe de mes orteils touche encore le sol. Jasmine, vêtue d’un body noir désarmant, fit le tour de ma petite personne avec des yeux de louve en chasse. Stimulant subtilement mes zones érogènes, elle me mit sur orbite en quelques secondes. Inondation vulvaire au rendez-vous et érection clitoridienne honteuse voire catastrophique.— J’adore les blondes intégralement bronzées sans foufoune. Quand elles possèdent une chatte aussi expressive, de jolies jambes et des seins pointus, je me sens saturée des pulsions sadiques effrayantes. Tu es typiquement le style de fille qui mexcite : un visage de poupon, un corps dadolescente dont les seins ont poussé trop vite, un clitoris très émotif monté sur ressort. Tes frères ne m’avaient pas menti. Tu es une super bonne mouilleuse qui démarre au quart de tour. J’adore torturer les filles qui m’ inondent quand je les fais souffrir. Que de temps perdu à rattraper! Je vais t’aveugler avec ce masque pour que tu puisses te concentrer uniquement sur tes sensations.La boule de plomb qui enflait dans mon ventre devint si lourde que ce fut presque insupportable.— Faites vite! Je ne vais plus pouvoir me retenir longtemps.— Tu vas soulever ta cuisse à l’horizontale pour m’offrir ta chatte entr’ouverte.— Comme ca?— Ne joue pas la timorée! La fenêtre de ma chambre m’offre une vue panoramique de a tienne…si tu vois ce que je veux dire. Ecarte encore sinon je me verrai obligée d’attacher ta cheville gauche au plafond!Dans un défi insensé, je fis un grand écart vertical qui affola mes partenaires.— Si tu savais à quel point cette position très inconfortable magnifie ta plastique…et ta longueur de jambe. Je pense que tu sais que tu es très bien foutue mais seras-tu assez vicelarde pour me demander de l’attacher?— Oh oui! Attachez-moi!A peine ligotée, les jumeaux commencèrent à me fesser à tour de rôle. Jasmine, surexcitée, ne me lâchait plus la motte tout en flattant l’érection de mon clito.— Je t’avoue que tu me troubles énormément depuis un certain temps. Il faut dire que tu y mets beaucoup d’énergie.— Même pas vrai!Comment? Ose me dire que tu ignores que tu te donnes chaque jour en spectacle à ta voisine en te promenant à poil dans ton appart!— Aie! Vous pincez trop fort.— Réponds ou je t’arrache le clito!— Et alors? Je ne vous pas où est le mal si j’aime rester nue chez moi. Je ne vous oblige pas à vous rincer l’il que je sache.— Inutile d’être arrogante avec moi pour conforter ta punition, ma jolie! Je t’ai percée à jour, horrible exhibitionniste, depuis que tu me nargues en laissant ta fenêtre ouverte quand tu joues à touche minou! Tu le sais très bien. Je t’observe depuis un bon mois. Dimanche dernier, tu as fait très fort. Tu t’es envoyée en l’air une vingtaine de fois sur la journée, toute seule comme une grande. Le problème, c’est que tu ne pouvais pas savoir que j’étais chez moi à trier ma comptabilité.— Ben non! Je ne savais pas. Je me souviens par contre vous avoir entendue rentrer avec une fille vers 21h seulement.— A 21h, tu as cru m’entendre rentrer mais il s’agissait d’une amie qui venait passer la nuit chez moi. Tu as patiemment attendu que nous soyons au lit pour te procurer trois extases énormissimes. Nous n’en avons pas cru nos yeux et encore moins nos oreilles. Je suppose que tu sais ce qui attend les petites vicieuses multi orgasmiques de ton espèce, ma chérie?— Je l’ignore. Je n’ai jamais pratiqué des filles plus âgées et encore moins des sadiques.— Tant mieux! Tu m’as bien écrit que je pouvais jouer avec ton corps à ma guise.— Oui! Je n’ai qu’une parole surtout quand une fille parvient à me mettre en transes comme toi. C’est trop bon. Je n’avais jamais été attachée. C’est un supplice bouleversant.— Si tu es joueuse, je t’en promets de plus épicés encore, de supplices comme tu dis.— Oh mon Dieu! Ce doigt dans l’anus, c’est super troublant. Myke!!! Doucement… Oh oui! C’est trop bon. Frank! Mes seins, pince-moi les tétons! Je viens…je viens.Jasmine décrivait des arabesques avec ses ongles sur mon corps en commentant toutes mes courbes avec des qualificatifs plus érotiques les uns que les autres. Je me suis mise à sangloter comme une Madeleine quand Jasmine, un doigt après l’autre, investit mon vagin. Mille fois, j’ai cru que j’allais jouir. Mille fois, elle me laissa choir au bord de l’orgasme. Les stimulations de mes partenaires m’assaillaient de toute part. J’avais complètement perdu le contrôle quand ma partenaire me proposa l’improposable.— Si nous passions un contrat toutes les deux avant que l’affolement de tes sens ne devienne insoutenable?— Vite alors, je suis déjà très, très loin!— Voilà! J’ai exposé ton cas à quelques personnes qui aimeraient te rencontrer. Qu’en dis-tu?— Oh! Fais-moi vite jouir! Trop excitant ce deal!— Pas si vite! Il faut d’abord que je teste ta motivation. Si tu ne te laisses pas aller trop rapidement à la jouissance, je te conduirai personnellement chez ma meilleure amie pour un petit stage, rémunéré certes, mais sexuellement éprouvant.Il ne fallait pas m’en dire autant pour que je me retienne avec conviction.— Très bien! Mais je crois que tu es capable d’encore monter plus haut. Plus longtemps tu parviendras à te contenir, plus mon amie et son personnel déploieront des trésors d’imagination pour abuser sexuellement de ton corps.La seule idée qu’un piège diabolique pouvait se refermer sur moi m’excitait par dessus tout.— Tu es très courageuse ou alors très vicieuse. Nous allons beaucoup nous amuser avec toi. J’ai une furieuse envie de te rendre dingue. Je n’arrêterai de téter ton gros clitoris que lorsque tu me supplieras de te faire jouir.Ma décision était prise.— Jamais je ne te supplierai de me faire jouir.— Tu as choisi la bonne option. J’ai hâte de te conduire au château d’Adèle. Tu ne le regretteras pas, ni elle, ni ses relations perverses. Elle t’accueillera dans un lieu parfaitement équipé pour rendre hommage à ta beauté et te faire souffrir. Avoue que tu n’attends que cela!— Oh! Jasmine! Tu me comprends de mieux en mieux.Les jumeaux, parvenus à leurs fins, prirent congé sans mot dire. Durant une éternité, Jasmine m’étira le clito entre ses lèvres tout en ne doigtant merveilleusement les orifices. Cette déesse de la masturbation avait pris totalement la mesure de mon plaisir. Mon clitoris souffrait d’une sensibilité exquise. Je grognais et poussais de petits cris stridents. Elle s’en amusait pour prolonger l’interminable attente de ma délivrance.— Tu es toute grelottante, ma biche. Tu me fais pitié. Je te finis maintenant ou quoi?— C’est diabolique ce que tu me fais subir. Jamais personne ne m’a fait autant languir. Fais comme tu le sens! Je suis quand même totalement à ta merci.Lorsqu’elle estima que j’avais atteint le summum de ma frustration, elle décida de libérer le volcan qui couvait dans mon ventre depuis plus d’une heure. Ce fut lhorreur. Même pire que ça. Jai commencé à prendre un pied formidable. Plus fort et plus long que le plus géant des orgasmes de ma vie. Je n’en finissais plus d’éjaculer des salves de plaisir.— Tu aurais pu me prévenir que tu mouillais comme une fontaine. J’aurais pris mes précautions.— Tu ne m’en as pas laissé le temps. Je croyais que tu me mettrais toute la nuit à l’épreuve.— Fini de rigoler! Dans une bonne heure, je dois prendre le train pour aller bosser en Allemagne.— Pour faire quoi?— Je suis…disons responsable de casting pour une agence. Je t’engagerai bien immédiatement dans un rôle bien précis mais je ne suis pas la seule à décider du sort des candidates.— Ben zut et tante Adèle, alors? Tu sais que je suis à la porte de chez moi.— …et sans aucun effet personnel, si je ne m’abuse. Pas question que tu squattes mon appartement pendant mon absence! J’ai ton billet, tu m’accompagnes. Suis-moi! On se prend une douche express et ensuite, je te vêtirai décemment. Cela ne devrait pas poser de problème. Nous faisons à peu près la même taille.— Désolée de te contredire mais je fais au minimum deux tailles de moins.Chez Jasmine, tout était too much. Sa douche à l’italienne pouvait accueillir dix personnes sans problème. Je ne savais pas comment la remercier de sa sollicitude mais elle avait déjà quelques idées sur le sujet. Les mêmes que les miennes, probablement.— Nous logerons chez ta tante Adèle. Tu apprécieras, tu verras. C’est un endroit idéal pour calmer les petites excitées de la chatte de ton espèce.— Je n’ai rien à voir avec cette personne. Adèle ne serait qu’une grande tante des jumeaux qui ne sont d’ailleurs que mes demi-frères par adoption. Tout ce que je sais d’elle n’est que rumeur. Elle serait pleine aux as et grosse consommatrice de jeunes filles. Jasmine, j’ai un petit problème avec tes vêtements. Pas qu’ils soient moches mais un peu trop exhib, non?— Pourquoi crois-tu qu’ils soient neufs et que je ne les porte jamais? Le chemisier transparent, passe encore mais le mini short en élastane blanc qui moule le sexe et les fesses, très peu pour moi. Par contre ,toi, tu le portes très bien. Ton micro string laisse même penser que tu n’as pas de culotte. Tourne-toi! C’est bien ce que je pensais. Ton sexe est fabuleusement mis en valeur. Ta longue fente est sublime quand elle est compressée. Je vais te confier un secret. Cette gamme de vêtements sexy a été fabriquée pour répondre à la demande particulière d’un vieux psychopathe qui voulait que sa jeune épouse soit habillée archi provocante pour attirer les regards, et, espérait-il, les mains de tous ses amis. Je te les emballe dans ta valise et j’appelle un taxi…qui possède des vitres teintées, de préférence.